AccueilBlogDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -45%
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go ...
Voir le deal
1099.99 €

 

 Le journal de La Dé

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Aikoh kote

Aikoh kote


Féminin Nombre de messages : 733
Age : 32
Localisation : Finistère
Date d'inscription : 14/12/2011

Personnages RP
Pseudo:
Pseudo :
Pseudo :

Le journal de La Dé Empty
MessageSujet: Le journal de La Dé   Le journal de La Dé Icon_minitimeVen 17 Oct - 1:15

Le journal de la Dé.

La Dé est une femme comme il y en a tant d'autre sur cette planète.
Elle à plus de la soixantaine, elle rie, elle pleure, elle n'est ni riche ni pauvre.
C'est une femme précieuse, propre, pas très délicate parfois dans ces propos, mais elle est sincère, elle aime son petit monde.

La Dé est une femme qui chante dans sa salle de bain le matin, qui souvent fatiguée, se démène pour entretenir sa maison.
Elle à fait un bon mariage avec un homme qu'elle aime, elle à eu deux garçons, aujourd'hui grands et autonomes, alors, elle ne les voient pas très souvent.
Elle garde chez elle sa mère vieillissante et totalement dépendante. Je pense que La Dé est un peu triste parfois pour sa maman qu'elle aime tant, parce que tout le mal qu'elle se donne pour elle, ce n'est jamais assez. Mais elle à des soignantes et des infirmières tout les jours qui l'aide et qui l'encourage, La Dé, ça la rassure, parce qu'elle peu parler un peu.
Jo, Jia et Mao sont ces copines et confidentes. Jo à beaucoup d'énergie et la joie de vivre, elle rend La Dé heureuse. Jia et douce et sensible, elle sait écouter. Et je pense que Mao et gentille, elle connaît La Dé depuis si longtemps !

Mais La Dé à une double identité ! En faite, si je l'appelle comme ça, c'est juste parce que ça l'agace. Cette femme, avec un caractère bien trempé, se fait appeler Nanou.
Nanou se lève le matin, entre 8h et 9h, selon sa décision de faire la grasse matinée ou pas. Elle ouvre les volets de sa chambre et entrouvre sa fenêtre. C'est elle qui allume toute les lumières de la maison, bien que sont cher et tendre soit lever depuis 6h30. Elle prend son café avec du pain confiture que René à été prendre à la boulangerie dès l'ouverture, pour que ladite baguette soit délicieusement tiède, juste sortie du four. Malheureusement pour elle, l'heure de la douche et du bien être n'est pas au beau fixe à cette heure la, car les aides soignantes vont arriver, et comme ce n'est jamais à la même heure, le stress de l'attente trop longue se fait parfois ressentir, il faut dire que cette femme peu attendre jusqu'à dix heures du matin qu'on vienne s'occuper de sa mère, alors quand elles sont la, c'est un vrai soulagement !
Il faut aussi attendre les infirmières, qui viennes rarement pour des perfusions de glucoses, (il faut dire que Joséphine ne mange pas beaucoup) mais quand ça arrive, il y à pleins de cris et d'injures, la douleurs et la vieillesse fait parfois perdre la tête à une petite dame de 96 ans, mais après elle oublie, et complimente même les femmes qu'elle prenait pour des tortionnaires deux minutes plus tôt, alors ça se passe bien, et La Dé s’apaise et rie un peu. Entre deux attentes, elle à même réussi à faire sa toilette.
Maintenant, il faut attendre le Kinésithérapeute, qui lui, grâce à l'avantage particulier qu'il à d'être un homme, arrivera peu être à mettre les dents de la mère, (oui j'aime bien les jeux de mots un peu naze) Parce que, lorsque tu es un homme chez Joséphine, tu es forcément gentil, mignon et dévoué, à savoir qu'elle n'a pas eu un aussi bon mariage que sa fille, mais ça, c'est une autre histoire.
Lorsque le kiné et enfin passé, après avoir demandé des nouvelles de tout le monde et fait son job en gratifiant au passage Joséphine d'une nouvelle bouche avec un supplément de dents, le petit fils de Nanou arrive manger, enfin, c'est ce qu'il dit, mais il ne viens manger au final que le soir venu, alors sur la table, souvent, nous avons « l’assiette du pauvre ».
René m'a dit un jour que c'était une assiette en plus que l'on disposait sur les tables à la période de noël, au cas ou une personne pauvre, démunie ou sans abris qui viendrait frapper à la porte puisse avoir son repas pour l'occasion.
C'est René qui prépare le repas, souvent avant de partir à la pêche, ou à la pétanque. Il faut dire que cet homme à le sens de la présentation, alors que La Dé, elle, pourrait manger dans une gamelle en cinq minute sans aucune préparation que ça n'y changerait rien, après tout, c'est du tout à l'égout ! D'ailleurs c'est toujours la première à table, car elle aime bien la rapidité, c'est une vrai flèche, et, une fois le repas expédié, il ne faut surtout pas tarder à mettre le linge à sécher. Elle à en environ deux à trois machines tout les jours, le linge de son petit fils étant en quantité spectaculairement exponentiel, de son mari, bon, lui franchement, ça va, mais Joséphine est incontinente, ce qui, à 96 ans, me semble normal.
Et puis viens l'heure des copines ! Jo, énergique et souriante, arrive souvent la première, cette femme à une force étonnante ! Elle jardine, travail la terre « Jo ! Je te le répète encore, et toi aussi La Dé, PLIEZ LES GENOUS QUAND VOUS JARDINEZ ! »
En plus de toutes les activités physiques et les ballades, Jo à la bonté de bien vouloir, avec Nanou, coucher Joséphine vers 17h. Ben oui hein, c'est trop dure pour des aides soignantes ayant l'âge et la force physique de travailler de coucher une petite vielle de cinquante kilos toute mouillé, alors se sont deux autres petites vieilles qui le font, logique ! (Si, chers lecteurs vous remarquez le léger cynisme que je dégage dans cette phrase, personnellement, je le ressent si fort qu'il en deviendrait palpable. )
souvent, les quatre compères vont en ballades, dieu sait ou elles vont, mais vue ce que ces dames ramènes, il y à sûrement du shopping la dessous !

La suite ? C'est le prochain épisode bien sur !
Revenir en haut Aller en bas
Mike001
Coordonnateur Littéraire
Mike001


Masculin Nombre de messages : 2662
Age : 23
Localisation : West Coast ; Phare Ouest
Date d'inscription : 26/09/2010

Personnages RP
Pseudo: Mike le Fremen
Pseudo : Hannibal Smith
Pseudo : Davy et Mickey

Le journal de La Dé Empty
MessageSujet: Re: Le journal de La Dé   Le journal de La Dé Icon_minitimeDim 19 Oct - 19:29

J'ai mis en rose les fautes, à toi de les corriger.

Si tu as un doute, vérifie : http://la-conjugaison.nouvelobs.com/

aikoh a écrit:
Le journal de la Dé.

La Dé est une femme comme il y en a tant d'autre sur cette planète.
Elle à plus de la soixantaine, elle rie, elle pleure, elle n'est ni riche ni pauvre.
C'est une femme précieuse, propre, pas très délicate parfois dans ces propos, mais elle est sincère, elle aime son petit monde.

La Dé est une femme qui chante dans sa salle de bain le matin, qui souvent fatiguée, se démène pour entretenir sa maison.
Elle à fait un bon mariage avec un homme qu'elle aime, elle à eu deux garçons, aujourd'hui grands et autonomes, alors, elle ne les voient pas très souvent.
Elle garde chez elle sa mère vieillissante et totalement dépendante. Je pense que La Dé est un peu triste parfois pour sa maman qu'elle aime tant, parce que tout le mal qu'elle se donne pour elle, ce n'est jamais assez. Mais elle à des soignantes et des infirmières tout les jours qui l'aide et qui l'encourage, La Dé, ça la rassure, parce qu'elle peu parler un peu.
Jo, Jia et Mao sont ces copines et confidentes. Jo à beaucoup d'énergie et la joie de vivre, elle rend La Dé heureuse. Jia et douce et sensible, elle sait écouter. Et je pense que Mao et gentille, elle connaît La Dé depuis si longtemps ! (la tournure de la phrase fait très enfantin)

Mais La Dé à une double identité ! En faite, si je l'appelle comme ça, c'est juste parce que ça l'agace. Cette femme, avec un caractère bien trempé, se fait appeler Nanou.
Nanou se lève le matin, entre 8h et 9h (on préférera écrire les chiffres en lettre : explication), selon sa décision de faire la grasse matinée ou pas (« ou non » sonne mieux). Elle ouvre les volets de sa chambre et entrouvre sa fenêtre. C'est elle qui allume toute les lumières de la maison, bien que sont cher et tendre soit lever depuis 6h30. Elle prend son café avec du pain confiture que René à été prendre à la boulangerie dès l'ouverture, pour que ladite baguette (on utilise « ladite » lorsqu'on est contraint de répéter un mot, en l'espèce tu as employé « pain » et non « baguette ») soit délicieusement tiède, juste sortie du four. Malheureusement pour elle, l'heure de la douche et du bien être n'est pas au beau fixe à cette heure la (le début de la phrase est alambiqué, pourquoi faire si compliqué ?), car les aides soignantes vont arriver, et comme ce n'est jamais à la même heure, le stress de l'attente trop longue se fait parfois ressentir, (point) il faut dire que cette femme peu attendre jusqu'à dix heures du matin qu'on vienne s'occuper de sa mère, (point) alors quand elles sont la, c'est un vrai soulagement !
Il faut aussi attendre les infirmières, qui viennes rarement pour des perfusions de glucoses, (il faut dire que Joséphine ne mange pas beaucoup) mais quand ça arrive, il y à pleins de cris et d'injures, la douleurs et la vieillesse fait parfois perdre la tête à une petite dame de 96 ans, (point) mais après elle oublie, et complimente même les femmes qu'elle prenait pour des tortionnaires deux minutes plus tôt, (point) alors ça se passe bien, et La Dé s’apaise et rie un peu. Entre deux attentes, elle à même réussi à faire sa toilette.
Maintenant, il faut attendre le Kinésithérapeute (pas de majuscule), qui lui, grâce à l'avantage particulier qu'il à d'être un homme, arrivera peu être à mettre les dents de la mère, (oui j'aime bien les jeux de mots un peu naze) (point) Parce que, lorsque tu es un homme chez Joséphine (« chez Nanou », puisque Joséphine loge chez elle ; ou alors « pour Joséphine »), tu es forcément gentil, mignon et dévoué, à savoir qu'elle n'a pas eu un aussi bon mariage que sa fille, mais ça, c'est une autre histoire.

Lorsque le kiné et enfin passé, après avoir demandé des nouvelles de tout le monde et fait son job en gratifiant au passage Joséphine d'une nouvelle bouche avec un supplément de dents, le petit fils de Nanou arrive manger, enfin, c'est ce qu'il dit, mais il ne viens manger au final (« au final » n'est pas accepté par l'Académie française) que le soir venu, alors sur la table, souvent, nous avons « l’assiette du pauvre ». (la phrase est excessivement longue)
René m'a dit un jour que c'était une assiette en plus que l'on disposait sur les tables à la période de noël (majuscule), au cas ou une personne pauvre, démunie ou sans abris qui viendrait frapper à la porte puisse avoir son repas pour l'occasion.
C'est René qui prépare le repas, souvent avant de partir à la pêche, ou à la pétanque. Il faut dire que cet homme à le sens de la présentation, alors que La Dé, elle, pourrait manger dans une gamelle en cinq minute sans aucune préparation que ça n'y changerait rien, après tout, c'est du tout à l'égout ! (trop long encore) D'ailleurs c'est toujours la première à table, car elle aime bien la rapidité, c'est une vrai flèche, et, une fois le repas expédié, il ne faut surtout pas tarder à mettre le linge à sécher. Elle à en environ deux à trois machines tout les jours, le linge de son petit fils étant en quantité spectaculairement exponentiel, de son mari, bon, lui franchement, ça va, (ça n'a aucun sens) mais Joséphine est incontinente, ce qui, à 96 ans, me semble normal.
Et puis viens l'heure des copines ! Jo, énergique et souriante, arrive souvent la première, cette femme à une force étonnante ! Elle jardine, travail la terre « Jo ! Je te le répète encore, et toi aussi (virgule) La Dé, PLIEZ LES GENOUS QUAND VOUS JARDINEZ ! » (le dialogue est mal incrusté dans le texte)
En plus de toutes les activités physiques et les ballades, Jo à la bonté de bien vouloir, avec Nanou, coucher Joséphine vers 17h. Ben oui hein, c'est trop dure pour des aides soignantes ayant l'âge et la force physique de travailler de coucher une petite vielle de cinquante kilos toute mouillé, alors se sont deux autres petites vieilles qui le font, logique ! (Si, chers lecteurs vous remarquez le léger cynisme que je dégage dans cette phrase, personnellement, je le ressent si fort qu'il en deviendrait palpable. (pas de point ici et il y a un espace en trop) ) (il manque un point)
souvent (il manque une majuscule), les quatre compères vont en ballades, dieu sait ou elles vont, mais vue ce que ces dames ramènes, il y à sûrement du shopping la dessous !

La suite ? C'est le prochain épisode bien sur !
Revenir en haut Aller en bas
http://www.korea-dpr.com/
 
Le journal de La Dé
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» [WIP]Journal d'une nouvelle vie
» Journal de recherche sur TG !
» Le journal arrive !
» journal intime d'un chaton

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ter Aelis - Le Forum :: Suivis individuels-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser