pourquoi je n'aime pas les fêtes de fin d'année.

Pourquoi je n'aime pas les fêtes de fin d'année.


Je dois avouer que le titre est quelque peu provocateur, étant donné que j'aime ces fêtes là.

Mais au fond de moi, une chose est sûre. Ces fêtes, censées annoncer l'espoir, l'amour, la famille et la chrétienté, font de nos enfants, avant, pendant et après ces événements, nos pires cauchemars !

Sincèrement les amis, lequel d'entre nous n'a jamais voulu donner un coups de pied dans les fesses d'un grossier garnement alors qu'après avoir reçu tout les cadeaux possibles et imaginables, monsieur (ou madame, c'est valable pour chacun d'entre eux) piquait une crise dans un supermarché parce qu'il en veut encore?

Alors en ce cas, qui pouvons nous réellement blâmer pour autant d’égoïsme et si peu de sincérité? la famille?
Il et vrai que la famille gâte toujours bien trop un enfant, un réflexe normal soit dit en passant.
Car lorsqu'une de ces petites créatures vient au monde, lequel d'entre nous n'a pas envie de participer, de prendre part à son éducation d'une façon ou d'une autre?
Que se soit la tante, le tonton, les grands parents, les cousins ou cousines plus grands, l'aîné des enfants de la famille si ce n'est pas le premier, le parrain, la marraine, et même les amis de la famille veulent s'y mettre, c'est l'instinct.  
Et pour cela, qu'y à t-il de mieux que la période de noël pour gâter ce chérubin qui en veux toujours plus.

Il y a aussi les médias qui sont en causes, forcément.
Par exemple, lorsque nous regardons une publicité tellement mieux que les autres, que nous devons absolument avoir cet article pour former une vrai famille, ou alors juste pour être plus beau (ou plus belle), franchement, il n'y à pas une seule personne que je connaisse qui ne soit pas influencée par cette commercialisation, surtout pendant les fêtes.

Au final, chacun d'entre nous, quelque soit sont origine, sa couleur de peau, sa situation financière, sa façon d'éduquer et même la façon dont il à été éduqué, l'entourage qu'il côtoie, l'influence qu'à le monde sur cet être, tout est mis en cause pour le rendre pourri, et le faire dormir sur ces deux oreilles.
C'est la tradition du jour béni de noël.

Mon grand père me raconte souvent que lorsqu'il était gamin, il était ravi de la période de noël car c'était de la famille qu'il retrouvait.
Et peu importait d'avoir une orange pour tout cadeau.
Seule, la joie de voir des êtres qui lui étaient chers l'inspirait en cette période, il y avait même l’assiette du pauvre, dans le cas ou une personne dans le besoin frapperait .
Croyez vous aujourd'hui que si l'on donnait une orange à ma nièce de trois ans pour noël elle s'en contenterait?
Pensez vous que si un pauvre frappait à votre porte, affamé, il aurait de quoi se nourrir? peu être, mais ce n'est pas sûr.
Et pour ma nièce, je pense plutôt qu'elle piquerait tout simplement une crise pour ne pas avoir eu le doudou ou la poupée qu'elle a tant désirée en regardant la publicité une dizaine de fois.

Je me demande tout de même comment une telle joie pure et ancrée dans nos meurs peu être devenue aussi individualiste et sans valeurs autre que monétaire.
Certes les gens veulent toujours faire plaisirs aux autres, mais cela n'est plus une traditions doublé d'un acte de charité.
Autre anecdote. Tout les ans, lorsque les fêtes se termines, que le sapin est enlevé ainsi que tout autres décorations festives, ma grand-mère a cette phrase magique, représentative de notre société d'aujourd'hui. "Ouf! Quelle corvée tout ce cinéma, c'est enfin fini." Honnêtement, les enfants et les jeunes de moins de vingt-cinq ans mis à part, vous n'avez pas cette petite pensée en tête vous? J'ai vingt-trois ans et je me fait cette réflexion tout les ans depuis mes quinze ans.

J'aime la joie et le regard illuminé d'un enfant face à noël, mais je n'aime pas l'individualisme qui en ressort, c'est comme si notre égoïsme et le fait de vouloir absolument recevoir un cadeau nous pousse à en offrir, dans l'espoir puéril d'en avoir nous même.
C'est très déconcertant.
D’ailleurs, une fois, j'ai proposé à ma famille de donner l'argent que je garde tout les ans pour les cadeaux de noël dans une œuvre de charité.
L'un d'entre eux m'a répondu "Si tu fais ça, je ne t'offrirais pas de cadeaux pour noël".
Et un autre m'a dit "comment savoir quelle œuvre de charité ne t’arnaquera pas? tu ne peu pas, et peu être que l'argent que tu offriras dans un but de générosité sera utilisé à mauvais escient." Je n'ai rien pu dire, c'est vrai, comment savoir?
Mais penser que la plupart de la population pense ainsi me rend triste car ça me laisse dire qu'il n'y a quasiment plus de noble cause, même pour ce genre d’événement.

Je sais que je suis une personne cynique et qu'il n'y à pas que du négatif dans les fêtes de fin d'années.
Mais je pense aussi que chacun d'entre nous est responsable de ces actes, et je souhaite seulement pousser une certaine réflexion sur "Pourquoi fait-on ça?" "Est-ce réellement une bonne chose pour nos enfants?"  
Je n'ai pas de croyance spécifique sur ce qu'il faudrait faire ou pas.
Simplement, comme un jeune qui apprend à boire de l'alcool, peu être qu'à un moment donné, il est bon de se poser certaines questions si l'on ne veux pas virer dans l’extrême. (Et la c'est une allusion au nouvel an).

Joyeux Noël et Bonne année à tous !

Je sais très bien pourquoi tu n'aimes pas les fêtes de fin d'année...
C'est parce que tu ne les fais pas avec moi !  
(tu aurais été la bienvenue au nouvel an d'ailleurs ^^)


Blague mise à part, certes : les enfants gâtés sont insupportables. C'est là une partie de l'éducation qu'il faut traiter avec beaucoup de finesse ; et j'espère que ta réflexion d'aujourd'hui te fera très bien t'en sortir le moment venu Il faut savoir apprendre de ses erreurs, mais aussi de celles de ses parents !

ho tiens! tu t'es décidé à t'inscrire! c'est trop cool!!! et bien peu être pourrions nous faire le nouvel an tous ensemble l'année prochaine alors

Face aux cadeaux, les adultes ne sont pas mieux que les enfants, on est souvent déçu par les cadeaux des autres... et leurs réactions quand ils ouvrent les nôtres. (voir le gilet dans "le père Noël est une ordure").

Oui, c'est vrai, ce que je trouve vraiment vache et que je n'ai pas noté, c'est les reventes après noël, c'est un peu n'importe quoi je trouve de revendre un cadeau...enfin oui et non.

Oui parce que je trouve extrêmement égoïste de vouloir revendre ou offrir un cadeau que l'on vous à offert.
Et non parce qu'au moins le cadeau ne restera pas 10 ans ou plus dans le placard, tout dépend des points de vues je pense.

Je ne le ferai pas personnellement, mais ça se démocratise, dommage.

Il y a beaucoup de fautes dans ton texte. Tu devrais aussi revoir certaines phrases.

Citation :

Seule, la joie de voir des êtres qui lui étaient chers l'inspirait en cette période, il y avait même l’assiette du pauvre, dans le cas ou une personne dans le besoin frapperait .

Celle-ci est vraiment à revoir.

Citation :

Je me demande tout de même comment une telle joie pure et ancrée dans nos meurs peu être devenue aussi individualiste et sans valeurs autre que monétaire.

L'idée est présente, mais c'est assez brouillon.

Citation :

Au final, chacun d'entre nous, quelque soit sont origine, sa couleur de peau, sa situation financière, sa façon d'éduquer et même la façon dont il à été éduqué, l'entourage qu'il côtoie, l'influence qu'à le monde sur cet être, tout est mis en cause pour le rendre pourri, et le faire dormir sur ces deux oreilles.

Répétition de "éduquer", et le mot "pourri" fait tâche.

Les phrases citées sont des exemples de ce qui, à mon humble avis, ne va pas dans ton texte.

Petite correction, il doit manquer quelque détails mais je te laisse chercher un peu

Citation :

Je dois avouer que le titre est quelque peu provocateur, étant donné que j'aime ces fêtes là.

Mais au fond de moi, une chose est sûre. Ces fêtes, censées annoncer l'espoir, l'amour, la famille et la chrétienté, font de nos enfants, avant, pendant et après ces événements, nos pires cauchemars !

Sincèrement les amis, lequel d'entre nous n'a jamais voulu donner un coups de pied dans les fesses d'un grossier garnement alors qu'après avoir reçu tout les cadeaux possibles et imaginables, monsieur (ou madame, c'est valable pour chacun d'entre eux) piquait une crise dans un supermarché parce qu'il en veut encore?

Alors en (dans) ce cas, qui pouvons nous réellement blâmer pour autant d’égoïsme et si peu de sincérité? la famille?
Il et vrai que la famille gâte toujours bien trop un enfant, un réflexe normal soit dit en passant.
Car lorsqu'une de ces petites créatures vient au monde, lequel d'entre nous n'a pas envie de participer, de prendre part à son éducation d'une façon ou d'une autre?
Que se soit la tante, le tonton, les grands parents, les cousins ou cousines plus grands, l'aîné des enfants de la famille si ce n'est pas le premier, le parrain, la marraine, et même les amis de la famille (répétition) veulent s'y mettre, c'est l'instinct.  
Et pour cela, qu'y à t-il de mieux que la période de noël pour gâter ce chérubin qui en veux toujours plus.

Il y a aussi les médias qui sont en causes, forcément.
Par exemple, lorsque nous regardons une publicité tellement mieux que les autres, que nous devons absolument avoir cet article pour former une vrai famille, ou alors juste pour être plus beau (ou plus belle), franchement, il n'y à pas une seule personne que je connaisse qui ne soit pas influencée par cette commercialisation, surtout pendant les fêtes.

Au final, chacun d'entre nous, quelque soit sont origine, sa couleur de peau, sa situation financière, sa façon d'éduquer et même la façon dont il à été éduqué, l'entourage qu'il côtoie, l'influence qu'à le monde sur cet être, tout est mis en cause pour le rendre pourri, et le faire dormir sur ces deux oreilles.
C'est la tradition du jour béni de noël.

Mon grand père me raconte souvent que lorsqu'il était gamin, il était ravi de la période de noël car c'était de la famille qu'il retrouvait.
Et peu importait d'avoir une orange pour tout cadeau.
Seule, (de trop) la joie de voir des êtres qui lui étaient chers l'inspirait en cette période, il y avait même l’assiette du pauvre, dans le cas ou une personne dans le besoin frapperait .
Croyez-vous aujourd'hui que si l'on donnait une orange à ma nièce de trois ans pour noël elle s'en contenterait?
Pensez vous que si un pauvre frappait à votre porte, affamé, il aurait de quoi se nourrir? peu être, mais ce n'est pas sûr.
Et pour ma nièce, je pense plutôt qu'elle piquerait tout simplement une crise pour ne pas avoir eu le doudou ou la poupée qu'elle a tant désirée en regardant la publicité une dizaine de fois.

Je me demande tout de même comment une telle joie pure et ancrée dans nos meurs peu être devenue aussi individualiste et sans valeurs autre que monétaire.
Certes les gens veulent toujours faire plaisirs aux autres, mais cela n'est plus une traditions doublé d'un acte de charité.
Autre anecdote. Tout les ans, lorsque les fêtes se termines, que le sapin est enlevé ainsi que tout autres décorations festives, ma grand-mère a cette phrase magique, représentative de notre société d'aujourd'hui. "Ouf! Quelle corvée tout ce cinéma, c'est enfin fini." Honnêtement, les enfants et les jeunes de moins de vingt-cinq ans mis à part (?), vous n'avez pas cette petite pensée en tête vous? J'ai vingt-trois ans et je me fait cette réflexion tout les ans depuis mes quinze ans.

J'aime la joie et le regard illuminé d'un enfant face à noël, mais je n'aime pas l'individualisme qui en ressort, c'est comme si notre égoïsme et le fait de vouloir absolument recevoir un cadeau nous pousse à en offrir, dans l'espoir puéril d'en avoir nous même.
C'est très déconcertant.
D’ailleurs, une fois, j'ai proposé à ma famille de donner l'argent que je garde tout les ans pour les cadeaux de noël dans une œuvre de charité.
L'un d'entre eux m'a répondu "Si tu fais ça, je ne t'offrirais pas de cadeaux pour noël".
Et un autre m'a dit "comment savoir quelle œuvre de charité ne t’arnaquera pas? tu ne peu pas, et peu être que l'argent que tu offriras dans un but de générosité sera utilisé à mauvais escient." Je n'ai rien pu dire, c'est vrai, comment savoir?
Mais penser que la plupart de la population pense ainsi me rend triste car ça me laisse dire qu'il n'y a quasiment plus de noble cause, même pour ce genre d’événement.

Je sais que je suis une personne cynique et qu'il n'y à pas que du négatif dans les fêtes de fin d'années.
Mais je pense aussi que chacun d'entre nous est responsable de ces actes, et je souhaite seulement pousser une certaine réflexion sur "Pourquoi fait-on ça?" "Est-ce réellement une bonne chose pour nos enfants?"  
Je n'ai pas de croyance spécifique sur ce qu'il faudrait faire ou pas.
Simplement, comme un jeune qui apprend à boire de l'alcool, peu être qu'à un moment donné, il est bon de se poser certaines questions si l'on ne veux pas virer dans l’extrême. (Et la c'est une allusion au nouvel an).

Joyeux Noël et Bonne année à tous !

Ce que tu décris au final c'est un peu l'effet pervers des évènements comme noël. En dehors de toute considération religieuse ou culturelle, le fait de systématiser un moment dans l'année où les gens se font des cadeaux casse la spontanéité du geste de don au final. Les gens font des cadeaux limite par obligation ou par réflexe et donc n'ont plus la signification du mot cadeau qui devrait être une chose exceptionnelle pour les gens qu'on aime.

Le cercle est vicieux en plus, car celui qui ne donne pas son cadeau est limite traité comme un monstre égoïste, et celui qui le fait peut voir dans le geste de donner un cadeau un échappatoire à toute considération autre. Pourquoi faire attention à ses proches toute l'année si en un jour on peut effacer tout d'un simple achat de cadeau ? Je n'irai pas commenter la dimension économique de la chose.


Mes ancêtres du côté de mon père ont choisi pendant les débuts du siècle de ne pas fêter Noël, nous ne le fêtons toujours pas aujourd'hui...bon bien entendu ça règle rien, on a les même problème que la plupart des familles, mais bon du coup en tant qu'observateur chaque 25 décembre j'ai loisir de voir cette couche de vernis complètement artificielle qu'est l'échange de cadeau (attention hein, je parle pas du réveillon, des joies d'un repas de famille ou encore des cadeaux d'un anniversaire, seulement cet évènement marketing qu'on appelle 'Noël').

Mon cher Axel Anders, sache que je me suis relue pas moins d'une dizaine de fois avant que tu me postes ta correction. ( la dessus je te remercie, franchement il y a des choses que je vois seulement lorsque c'est enfin corriger, vive la future secrétaire médico-social niveau BTS...) Mais je suis pas certaine de trouver des fautes que j'ai déjà pas mal relue...

Mic, tu as un don pour résumer les choses avec beaucoup de justesse, merci, j'avais peur de créer une polémique anti-anti noël, mais grâce à toi, je pense que en faite, non.