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 Blackduty devoir n°1.

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Blackduty

Blackduty


Masculin Nombre de messages : 388
Age : 32
Localisation : Derriere l'ordi, la souris, le clavié, la bière, le foi gras, et la clope!
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MessageSujet: Blackduty devoir n°1.   Blackduty devoir n°1. Icon_minitimeMar 15 Juil - 23:40

Mon mentor, Aligby a écrit:
Sujet : Un jeune homme d'une vingtaine d'année est enfermé dans les cachots d'un château, il est détenu pour une soi-disant vol d'un riche notable. Il tente de s'échapper.

Contrainte : libre. Taille : environ deux pages words.
Temps : une semaine.
Genre : fantaisie.


Moi a écrit:

Je m’appel Vicente. Je suis ornithologue.

La nature est belle, l’herbe verte est haute en cette saison.

Je suis heureux d’avoir vécus cette vie.

Ici tout est tellement beau, les oiseaux sont grands et de magnifiques teintes peignent leurs plumes.

Je m’approche de celui cis.

-« Vois tu Arode, c’est un acajou. »

-« Il est beau. »

-« Oui il est beau. »



BAM BAM



Je me réveil peu a peu.

-« Hé voleur ! Ton repas, ton dernier fichu repas ! »

Le geôlier s’en va.

-« Un bout de pain et un bol d’eau. »

-« Ne te plain pas Vicente, mange ! »

-« Oui Arode, je mange. »

Et je mange, j’explore la cellule du regard, c’est sombre, puant, et il n’y a pas de fenêtre ou regarder les oiseaux.

-« J’aimerai avoir quelqu’un avec moi ici. »

-« Je suis la Vicente, je suis la. »

-« Oui, mais toi… »

-« Quoi moi ? Je suis la et je te protége, déjà dans ta plus jeune enfance je te torchai le cul ! J’ai toujours été la ! »

-« Jamais tu ne ma laisser tout seul, oui excuse moi papa. »

-« Je t’ai dis de m’appeler Arode ! »

-« Oui Arode. »

-« Mange ! »

Alors je mange et regarde la salle vide, je suis tout seul… Il n’y a que moi, mon bout de pain et mon bol d’eau…

Je finis mon repas et dit a Arode :

-« Ce n’était qu’une pomme de terre. »

-« Tu oubli aussi la bourse de cent pièce d’or. »

-« Il faut que je sorte d’ici ! »



Je me lève, et frappe à la porte.

Le geôlier arrive, ouvre la trappe et me toise, c’est un arabe à première vue.

-« Qu’est ce que tu veut voleur ? »

-« Je voulais vous proposer un pacte » dis-je malhabilement en crispant les yeux a cause de la lumière dehors.

-« Un pacte ? »

-« T’es qu’un raté il ne t’écoutera jamais. »

Je ne prête pas attention a Arode et poursuit.

-« Je suis riche sort moi de la et je te donne cinq cents pièce d’or. »

Evidement je suis pauvre, mais je bluff bien.

-« Cinq cent rond ? Mais tu n’en n’as jamais eu plus de cinquante ! HAHAHA »

Le geôlier a entendu, et ouvre la porte :

-« Tend les bras. »

Je n’y crois pas, je m’exécute avec sourire, lui tendant les poignés en présentant les menottes, il n’a peut être pas entendu Arode.

Il sort un poignard et me saisit la main gauche, pris de peur j’essaye de reculer mais il est fort, il me retiens.

Il me coupe la main, mon sang commence à jaillir.

Pourtant je n’ai pas mal.

Il me donne un coup de pied dans le visage et je tombe dos au sol, il revient et me tape le ventre avec son poing, je me courbe.

Il en profite pour saisir mon autre main et me la coupe aussi, avec une facilitée impressionnante.

Il se redresse, tacher par le sang, fouille sa poche et en sort une petite clé, il la regarde, et me la jette lentement.

-« Je te donne le moyen de sortir d’ici ! Hahaha »

Il se retourne et ferme la porte. J’entends ses pas s’éloigner.

Je suis maintenant assis dans une petite flaque de sang, et fixe mes poignet se vidant de ma vie.

-« Et voila, comme d’habitude il a fallu que tu ouvre ta gueule. »

-« Je voulais pas papa. »

-« Arête de m’appeler comme sa ! »

-« Oui j’arrête. »

Je fais un long silence.

-« J’ai peur. »

-« T’es un mauviette et tu l’as toujours été. »

-« Est-ce que je vais mourir ? »

-« Tu connais la réponse. »

-« Dis papa, est ce que… est ce que sa fait mal de mourir ? »

Un long silence.

-« Papa ? »

-« Fils, ne m’appel plus comme sa s’il te plais. »

Il me parlai comme quand j’était gamin, calmement, sa m’inquiétait.

-« Arode… réponds moi s’il te plais. »

-« Non sa ne fait pas mal, tu ne le sentira pas. »

-« J’ai sommeil Arode. »

Mon sang coulai sur le sol et formai la vague silhouette d’un acajou.

-« Dors fils, dors. »

-« Je t’aime papa. »

-« Je t’aime mon fils.»

C’était la première foi qu’il me laissai l’appeler « papa ».

Je jette un cour regard dans la pièce, j’était tout seul.

Papa n’était plus la. Il m’avait accompagné durant vingt longues années, et pour la première fois il me laissa tout seul.
Je pose ma tête sur mon bras et fixe la clé a plat devant cette porte fermée, mes yeux ce ferment, et je vois un hiboux prendre la clé dans ses serres et partir au loin, dans cette plaine de verdure, au soleil levant.





J'espereque ce n'est pas trop hors sujet ^^ sinon j'espere aussi qu'il sera agreable a lire.
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Blackduty

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MessageSujet: Re: Blackduty devoir n°1.   Blackduty devoir n°1. Icon_minitimeLun 4 Aoû - 22:01

hum... Up? Ou bien sa fait un petit moment que Aligby n'est pas passer sur le forum...
20 jour :/
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Aligby
Héliaste
Aligby


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MessageSujet: Re: Blackduty devoir n°1.   Blackduty devoir n°1. Icon_minitimeDim 10 Aoû - 22:27

Je m’appelle [voir plus bas pour l’explication] Vicente. Je suis ornithologue.

La nature est belle, l’herbe verte est haute en cette saison.

Je suis heureux d’avoir vécus cette vie.

Ici tout est tellement beau, les oiseaux sont grands et de magnifiques teintes peignent leurs plumes.

Je m’approche de celui-ci.

-« Vois-tu Arode, c’est un acajou. »

-« Il est beau. »

-« Oui il est beau. »


BAM BAM


Je me réveil peu à peu.

-« Hé voleur ! Ton repas, ton dernier fichu repas ! »

Le geôlier s’en va.

-« Un bout de pain et un bol d’eau. »

-« Ne te plains pas Vicente, mange ! »

-« Oui Arode, je mange. »

Et je mange, j’explore la cellule du regard, c’est sombre, puant, et il n’y a pas de fenêtre ou regarder les oiseaux.

-« J’aimerai avoir quelqu’un avec moi ici. »

-« Je suis la Vicente, je suis la. »

-« Oui, mais toi… »

-« Quoi moi ? Je suis et je te protège, déjà dans ta plus jeune enfance je te torchai le cul ! J’ai toujours été la ! »

-« Jamais tu ne m’as laissé tout seul, oui excuse moi papa. »

-« Je t’ai dis de m’appeler Arode ! »

-« Oui Arode. »

-« Mange ! »

Alors je mange et regarde la salle vide, je suis tout seul… Il n’y a que moi, mon bout de pain et mon bol d’eau…

Je finis mon repas et dit a Arode :

-« Ce n’était qu’une pomme de terre. »

-« Tu oubli aussi la bourse de cent pièce d’or. »

-« Il faut que je sorte d’ici ! »



Je me lève, et frappe à la porte.

Le geôlier arrive, ouvre la trappe et me toise, c’est un arabe à première vue.

-« Qu’est ce que tu veux voleur ? »

-« Je voulais vous proposer un pacte » dis-je malhabilement en crispant les yeux à cause de la lumière dehors.

-« Un pacte ? »

-« T’es qu’un raté il ne t’écoutera jamais. »

Je ne prête pas attention a Arode et poursuit.

-« Je suis riche sort moi de et je te donne cinq cents pièce d’or. »

Evidement je suis pauvre, mais je bluff bien.

-« Cinq cent rond ? Mais tu n’en n’as jamais eu plus de cinquante ! HAHAHA »

Le geôlier a entendu, et ouvre la porte :

-« Tend les bras. »

Je n’y crois pas, je m’exécute avec sourire, lui tendant les poignés en présentant les menottes, il n’a peut être pas entendu Arode.

Il sort un poignard et me saisit la main gauche, pris de peur j’essaye de reculer mais il est fort, il me retient.

Il me coupe la main, mon sang commence à jaillir.

Pourtant je n’ai pas mal.

Il me donne un coup de pied dans le visage et je tombe dos au sol, il revient et me tape le ventre avec son poing, je me courbe.

Il en profite pour saisir mon autre main et me la coupe aussi, avec une facilitée impressionnante. [Je suis sceptique quant au fait de couper une main avec un couteau de cette manière]

Il se redresse, taché par le sang, fouille sa poche et en sort une petite clé, il la regarde, et me la jette lentement.

-« Je te donne le moyen de sortir d’ici ! Hahaha »

Il se retourne et ferme la porte. J’entends ses pas s’éloigner.

Je suis maintenant assis dans une petite flaque de sang, et fixe mes poignets se vidant de ma vie.

-« Et voila, comme d’habitude il a fallu que tu ouvres ta gueule. »

-« Je voulais pas papa. »

-« Arête de m’appeler comme sa ! »

-« Oui j’arrête. »

Je fais un long silence.

-« J’ai peur. »

-« T’es une mauviette et tu l’as toujours été. »

-« Est-ce que je vais mourir ? »

-« Tu connais la réponse. »

-« Dis papa, est ce que… est ce que sa fait mal de mourir ? »

Un long silence.

-« Papa ? »

-« Fils, ne m’appelle [le verbe appeler est ici conjugué à l’impératif présent, il lui faut donc un « lle » à la fin. Deux « l » lorsque le son qui suit est en « e » ainsi « j’appelle » « tu appelles » « nous appellerons », à l’inverse, on écrira « appeler », « appelé », « appela » « appeliez » avec un seul « l »] plus comme sa s’il te plais. »

Il me parlait comme quand j’étais gamin, calmement, sa m’inquiétait.

-« Arode… réponds moi s’il te plais. »

-« Non ça [démonstratif et non possessif !] ne fait pas mal, tu ne le sentira pas. »

-« J’ai sommeil Arode. »

Mon sang coulait sur le sol et formait [attention à ta conjugaison, ton erreur revient souvent, la terminaison de l’imparfait troisième personne du singulier est « ait » et non « ai » qui est la marque du passé simple à la première personne] la vague silhouette d’un acajou.

-« Dors fils, dors. »

-« Je t’aime papa. »

-« Je t’aime mon fils.»

C’était la première foi qu’il me laissait l’appeler « papa ».

Je jette un court [cour tout court, c'est-à-dire sans « t » tient plus du lieu que de la taille, contrairement à l’adjectif « court » qui lui est un peu plus long… (pour t’en souvenir, pense à le mettre ton adjectif au féminin « courte »)] regard dans la pièce, j’étais [deux fois que revient cette erreur, « ais » est la terminaison de la première personne du singulier à l’imparfait, et non « ait »] [/color]tout seul.

Papa n’était plus la. Il m’avait accompagné durant vingt longues années, et pour la première fois il me laissa tout seul.
Je pose ma tête sur mon bras et fixe la clé à [encore une erreur récurrente dans ton écrit, il s’agit ici « à » est une préposition, et non le verbe « avoir », pour ne pas te tromper, essaie de mettre le verbe avoir au passé comme suit : « fixe la clé avait plat », tu vois immédiatement que cela ne colle pas, il s’agit donc du « à » préposition et non du verbe] plat devant cette porte fermée, mes yeux se [« se » pronom personnel convient ici, et non pas « ce » démonstratif », attention] ferment, et je vois un hiboux prendre la clé dans ses serres et partir au loin, dans cette plaine de verdure, au soleil levant.


Ton texte est assez court, bien qu’il semble long, mais de nombreux espaces et de beaucoup de dialogues viennent lui donner un nombre de page important… mais il n’y en a pas tant que ça. Ce n’est pas un reproche, c’est juste une constatation : il ne sert à rien de mettre tant de saut de ligne. Mais ce n’est qu’une question de mise en page, passons.

Tes phrases sont construites correctement, sans gros défauts apparents, cependant elles sont d’une simplicité qui en devient un peu banal, sans originalité. Ce n’est qu’un premier devoir, ce n’est donc pas grave, ça ne le sera d’ailleurs pas plus au prochain, l’écriture se travaille et ne s’apprend pas en un jour. Il faudra aussi que tu fasses des efforts sur le corps du texte, tes dialogues sont nombreux et prennent une place un peu trop importante pour l’instant. Pour l’instant, nous allons nous attarder plus à l’écriture qu’aux histoires en elle-même, mais nous travaillerons probablement cela plus tard.



Excuse moi d'avoir mis tant de temps à te faire ta correction, j'espère pouvoir être plus présent à la rentrée.
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Blackduty

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MessageSujet: Re: Blackduty devoir n°1.   Blackduty devoir n°1. Icon_minitimeLun 11 Aoû - 22:39

Pas de problême!

Hey heum... pour le couteau, j'ai trichoullier ^^ (Genre : fantaisie.) j'en ai profiter pour donner des forces surhumaine.
Tout comme sa m'etonnerais qu'on puisse partager le même corp à deux^^

Merci pour la correction, je vais la relire deux ou trois fois pour m'en impregner^^
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MessageSujet: Re: Blackduty devoir n°1.   Blackduty devoir n°1. Icon_minitime

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