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 Sanz - Devoirs [Airet Syl]

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Airet Syl
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MessageSujet: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeVen 3 Oct - 19:10

Ca y est Sang, l'année scolaire commence pour toi. Tu as eu le temps de te documenter, donc voilà le premier examen.

Pour aborder une transition plutôt douce, voici ton sujet :


DEVOIR #1

Citation :
Vous vous éveillez avec la pleine possession de vos sens, jusqu'alors plongés dans une latence maladive.
Vous traiterez le sujet sous la forme d'un poème composé de trois parties :
- L'éveil
- L'afflux massif de ressentis
- Le virage progressif vers la folie


Dernière édition par Airet Syl le Lun 15 Déc - 22:21, édité 2 fois
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Sanz
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeDim 12 Oct - 18:58

Il levait une paupière lourde
L’enfant du sommeil
Levait ses accents de Souvenir
Revenait un peu des gouffres
Des Silences voilés d’Esperance
Sous les ombres et les Décombres
De l’Ame qui gronde encore
Un peu sourde.

Il ouvrait une œil brûlante
Vers l’Aube esquissée en rayon
Sa main est tremblante qui cherche
Le réveil ou la lampe et brusque
Un verre, un cri –Déchirure –

Est-il la ce temps, ou l’éclat
S’arrache pour hurler ?
Un rayon glisse à la fenêtre
- Elles font mal, ces couleurs
Déchirées en prisme -


Dernière édition par Sang Zoltan le Lun 13 Oct - 12:04, édité 1 fois
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Chikoun
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeDim 12 Oct - 21:00

Passage invisible d'un fantôme d'opérette.



Relis toi, Sang... A la première vue, déjà deux fautes.

J'aurais mis la troisième strophe dans le second thème... Et il n'y a donc pas de troisième thème...

Petite répétition que je trouve un peu lourde : déchirure/ déchirées, à la fin de deux strophes successives... Après seulement 4 vers ?

Mais quel est le fou qui croit aux esprits ?
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeLun 13 Oct - 23:19

Sang, tu m'avais fait part de tes quelques difficultés à saisir ce sujet au vol pour l'embellir de tes vers. C'est un peu jouer au bowling avec la rigole, mais l'idée de te voir sous la contrainte m'amuse.

Premier point, tu as su l'adapter selon ton style, et le rendu, ou l'ébauche de rendu, est intéressant. Mais tu as su tracer l'ossature, que tu reprendras plus tard pour l'améliorer.

Il levait une paupière lourde
L’enfant du sommeil
Levait ses accents de Souvenir
Revenait un peu des gouffres
Des Silences voilés d’Esperance
Sous les ombres et les Décombres
De l’Ame qui gronde encore
Un peu sourde.

L'Eveil, donc. Paupière, sommeil. Et puis cette ambiance de rêve qui s'estompe, Souvenir, le voile d'espérance d'un rêve moelleux. Donc, juste après les deux premiers vers, tu as voulu nous parler du rêve. On aperçoit des images qui s'estompent (ombre, voile, sourde).

Tout en gardant l'idée, j'aimerais que tu joues davantage sur les sonorités et/ou les rimes (pour le coup de bonnes sonorités, susurrantes d'un matin de roucoulade...).

Il ouvrait une œil brûlante
Vers l’Aube esquissée en rayon
Sa main est tremblante qui cherche
Le réveil ou la lampe et brusque
Un verre, un cri –Déchirure –

L'afflux de ressentis. On sent la poursuite de l'idée du premier paragraphe. Notre dormeur s'était-il rendu à nouveau dans sa torpeur pour s'éveiller à la répétition du réveil? 'un oeil' aurait été mieu vu. Esquissée en rayon, j'aime beaucoup. Un fin jeu de mot avec esquissée au crayon. Pourtant, quel dommage, nous ne sommes pas vraiment dans le sujet. Cette idée de pastels matinaux à approfondir.

Est-il la ce temps, ou l’éclat
S’arrache pour hurler ?
Un rayon glisse à la fenêtre
- Elles font mal, ces couleurs
Déchirées en prisme -


La folie, virage progressif. Hurler sans comprendre, encore ce rayon. la douleur, via les couleurs déchirées, l'impact rétinien en feu. Si je comprends clairement, le rayon glissant constitue le dérapage vers le dérangement psychique? 'Est-il là' (avec un là!).

Alors alors. Pour la suite. En gardant cette base, tu vas tenter de m'étoffer ces deux derniers paragraphes, même en sortant du sujet, ça ne fait rien. Pour corriger le tir de la contrainte thématique que tu ne côtoies pas encore assez.

Donc, tu vas derechef retravailler ton texte, accentuer tes propres vers qui ne sont pas mauvais, mais alignés sans envie ni sentiments. Je voulais toucher ton Toi et te faire pleurer ce poème. Mets-y de la hargne, de la méchanceté, de la douleur. Et de la couleur.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeMer 22 Oct - 15:26

Comme tu as quelques soucis avec ce prime devoir, je te propose de l'écarter un instant, le temps de te plonger dans un second travail, qui sera espérons-le des plus captivants.

Par mesure de simplification, tous nos échanges auront lieu dans ce sujet, ce qui évitera de trop se disperser.


DEVOIR #2

Citation :
Décrire les tribulations d'un alchimiste du XVIe siècle dans un court texte (500-1000 mots). La quête de transmutation et les rapports du protagoniste avec l'Hermétisme apparaîtront avec l'alternance du vocabulaire relatif au cadre de travail. La pratique étant dans le récit prohibée, appuyer sur le secret et l'ésotérisme de la pratique.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeMar 18 Nov - 18:35

Allons allons Sang, je commence à douter de tes motivations. Pour le premier devoir, j'obtiens déjà un demi-rendu, et je patiente encore pour obtenir le résultat d'un second devoir. Je sais que tu as débuté ton travail à ce sujet, mais après bientôt quatre semaines, il serait temps pour toi de me proposer du résultat.

Il en va de notre crédibilité Élève/Mentor en terme d'activité. (les débats msn n'apparaissent pas ici ^^'). Dans l'attente de te lire.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeVen 21 Nov - 19:43

Citation :
Décrire les tribulations d'un alchimiste du XVIe siècle dans un court texte (500-1000 mots). La quête de transmutation et les rapports du protagoniste avec l'Hermétisme apparaîtront avec l'alternance du vocabulaire relatif au cadre de travail. La pratique étant dans le récit prohibée, appuyer sur le secret et l'ésotérisme de la pratique.


Nicolus, cela fait déjà trois heures que vous êtes enfermé dans votre Caverne…

Je sais bien Pablo…mais je n’ai pas fini… .

Le dîner est bientôt servi.

Allez donc, je vous rejoindrai.

L’enfant s’inclina modestement et ferma la porte du cabinet. Nicolus regardait par la fenêtre qui donnait sur les vastes jardins de la Propriété. Ses yeux plus bleus que le ciel avaient le reflet pâle des hommes perdus dans leurs rêves. Il n’avait pas faim. Ses livres sur son secrétaire dormaient paisiblement, ouverts sur des pages remplies de hiéroglyphes et autres obscures dessins de légendes oubliées. Cela faisait trois jours qu’il essayait de comprendre. Des morceaux de pierre traînaient au sol et dans le coin de la pièce un être informe gémissait.

Il avait rêvé Dieu et s’était figuré que l’Esprit de Création pouvait être à sa portée. L’homme naît du cœur divin pour à son tour se hisser jusqu’au ciel et dresser à son tour des Tours de Babel. Seigneur… pourquoi n’est ce qu’un monstre ?


Pourquoi n’es-tu qu’un monstre…Tanko ?

Je ne suis que votre création..Maître… .

Nicolus frappa le point contre le mur d’un geste brutal. Son front se plissa et une fatigue soudaine emprunta les sillons de ses rides pour aller forger l’image d’un vieil homme que l’échec rendait amer.

Tu n’es qu’un monstre.

Il tourna sa tête vers la bête enfoncée dans l’ombre. De sa fenêtre il distinguait les membres maigres pendre ainsi qu’un pantin désarticulé. Les yeux de Tanko brûlaient comme deux feux violets dansant sous un vent invisible et parfois ses paupières translucides venaient les recouvrir d’un voile sans pour autant les éteindre complètement. Tanko…

Tu es né de centaines de composés…de longues années d’ajustement entre un grain et un demi-scrupule… . Né dans la nuit et tu n’es que…

Je ne suis que votre Création Maître…

TAIS TOI

Nicolus avait martelé ses mots en même temps qu’il frappait encore le mur. Un désespoir rageur montait en vague.

Tu..tu…

Il n’arrivait plus qu’à balbutier. Ses mots se mélangeaient et sa pensée devenait confuse.

Tu…tu ne sais… pas… le temps que j’ai mis à t’enfanter… la patience et l’amour…le temps… les crimes, le jour , la nuit, les cuvées de sang et les mélanges…les mélanges… tu ne sais pas toutes ces nasses de sang où plongent les pierres de Saysine , de Koplée et de…de…

Il s’arrêta. Sa mémoire venait d’éclater. Une pensée fiévreuse le pressa soudainement. Il ne se souvenait pas de la troisième pierre. Il n’arrivait pas à s’en rappeler. Pourtant il la voyait, striée ainsi que sont les colonnes antiques, rongée par l’oxydation comme si elle était faite de métal quand elle n’en possédait pas un kopeck. C’était de la matière sombre, retrouvée au hasard de ses pérégrinations sur les flancs de quelque volcans. Il ne retrouvait plus le nom et l’angoisse affleurait.

Shyon…la pierre de Shyon…Maître… .

La Pierre de Shyon. C’était ça. Son regard descendit lentement vers le sol. Un morceau traînait sous le secrétaire. Comment son monstre pouvait s’en souvenir ?

Je t’avais dit de te taire…

Je ne voulais que…

Tanko n’eut pas le temps d’achever sa phrase. Nicolus avait pris le poignard à sa taille et la lame avait fendu l’air pour se ficher à deux centimètre de la tête de la créature. Un cri rauque retentit dans la cave.

Au même temps l’enfant était redescendu et frappait timidement à la porte.


Je t’ai dis que j’arrivais…, répondit-il avec un accent excédé

L’enfant n’osa ouvrir la porte et parla à travers la porte.

Cela fait une demi heure…

J’arrive… fais les patienter.

Son ton était plus ferme. Il fixait Tanko qui tremblait de peur. Les pas de l’enfant s’effacèrent et le silence réinvestit la pièce. Nicolus s’approcha et retira son arme du mur. Sous lui sa créature laissait entendre des cliquetis de dents qui s’entrechoquaient violement. Il méprisa ces signes d’effroi et retourna à sa fenêtre.

Il posa sa tête contre la vitre et murmura dans un long monologue :


Trois ans que mes doses passent du bleu ciel à l’indigo, puis de l’indigo au pourpre… . Jamais ce jaune… ce jaune iridescent… cet éclat d’or… . Si tu savais….Tanko… l’Harmonie ultime des gènes, la fusion miraculeuse de matières et de gène…l’extraordinaire complexité des nuances et l’inquiétante instabilité…si proche d’une explosion et si proche en même temps de l’exploit… on aurait cru qu’il y avait la…dans ces doses tout l’indicible des naissances, tout l’équilibre laborieusement assemblé. A chaque détail sa place et ses liaisons… . Et ce jaune qu’il faut attendre avant de le glisser dans le creux des pierres… Ce sang couleur de Dieu…. Qui porte trace de tout… qui porte trace des sources divines… quand l’homme devint créateur et poussa Dieu de son nuage…pour y prendre place…

POUR Y PRENDRE PLACE TANKO !!

Nicolus s’était retourné et jetait un regard rageur à la créature. Il y avait dans l’expression de son visage toutes les marques haineuses de son échec. Un tic nerveux faisait battre sa paupière droite. La bête n’osait y répondre. Elle restait prostrée dans son coin. Elle se sentait vivre. Elle ne comprenait pas. Qu’y avait t-il de plus qu’il n’avait pas ? Il était né. N’était ce là pas assez… ? Il se souvenait même du Système qui l’a enfanté. Le souffre, le Shyon, les grains de koplée, l’once de Saysine. Et au-delà les longues plongées dans le sang et les vapeurs d’encens. Puis le sommeil dans des petites alcôves taillées dans la pierre de Shyon. Et puis tous ces autres rêves de savantes combinaisons, ces mémoires de cris et de larme. J’ai vécu au-delà de moi se murmurait-il tandis qu’il fuyait les yeux injectés de sang de son Maître. Le mur était froid dans son dos, autant que ne l’étaient les pierres. Il avait peur de lui, au travers de son créateur, peur de n’être finalement qu’inachevé. Tanko frissonnait. Poutant, il se sentait vivre.

Je suis votre créature, Maii…

Le Monstre n’eut pas le temps d’achever sa phrase. C’était surement quelque mots de trop. Nicolus bondit la dague et main et la lame siffla dans ses entrailles. Il gémit. Leurs yeux se confrontèrent, se confondirent. Aux fond de chaque pupille des larmes montaient. L’Homme enfonça le poignard plus profondément. Ses lèvre tremblaient quand il essaya de parler.

Tais…tais toi je t’en prie…tu n’es pas grand-chose tu sais… je me suis trompé…je…je n’ai pas du bien doser, bien compter… une once ne suffisait peut être pas…ou je t’ai tiré…trop tôt de ton alcôve…ou..

Ses larmes noyèrent ses mots. Tanko avait posé ses mains sur la garde. Il n’essayait pas de la retirer. Il voulait la sentir encore, sentir fuir ce qui s’est infiltré en lui, et qui s’en va déjà.

Maître…commença t’il dans un râlement, vous avez sûrement bien dosé…je suis là…votre œuvre…je suis quelqu’un…je…vis…

Tanko avait du mal à tenir ses paupière et la salle lui semblait tourner lentement, puis s’évader.

Je suis….

Tu n’es qu’une erreur…pas un homme… pas un homme.

Nicolus s’effondra à côté de sa créature. Sa main retira le poignard dans sa chute. Des perles de sueur éclairèrent son front. Il entendait encore siffler la bête à l’agonie. La bête qui avait un nom, qui n’en méritait peut être pas, qui l’a porté quand même. Dans un dernier élan elle tendit ses bras mous vers son Dieu. Mais il se releva, la laissant tomber ainsi qu’un regret qu’on cherche à enfouir au fond d’un coin sans mémoire.

D’un pas lent et fatigué, il se dirigea vers la porte. En marchant il prit jeta le poignard sur le secrétaire. Quand la porte se ferma derrière lui il soupira. Il entendait déjà les questions de Paulo au repas.


***



- Nicolus , vous avez avancé dans vos recherches ? Racontez moi !

- C’est terminé tout cela, Paulo, c’est terminé… il faut bien grandir un jour.






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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeSam 22 Nov - 12:52

Ah j'ai bien fait d'attendre. Mais avant de proposer une analyse/correction/possible amélioration de ce devoir #2, je vais te laisser un troisième sujet pour que tu puisses t'immerger dedans au plus tôt. Et nous aborderons le thème du fantastique pour ce troisième sujet.

Tout d'abord observe ces paysages, signés du peintre Jean-pierre Ugarte (aucun lien avec Augusto Pinochet Ugarte).

Sanz - Devoirs [Airet Syl] Mini_081122104459326471 Sanz - Devoirs [Airet Syl] Mini_081122104805334114


DEVOIR #3

Citation :
Raconter les découvertes d'un explorateur face aux vestiges d'une civilisation inconnue, sans doute disparue bien avant l'aube de la protohistoire. Ne pas omettre de mentionner la fascination devant ces curieux monolithes dévorés par la végétation. Interrogations, voire remise en cause de convictions sont attendues dans le paragraphe. Le silence est de mise, hormis le vent dans les futaies et le grondement des cascades.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeDim 23 Nov - 21:42

A propos du Devoir # 2

La présentation, d'abord, très aérée, un dialogue alterné par un récit en italique. Moi qui me retrouve souvent dans un paragraphe massif afin d'y déceler mes vérités, je me vois confronté à une toute autre école. Pour la forme, j'aurai préféré des tirets plus conventionnels et une utilisation plus restreinte des points de suspension (dans le dialogue).

Au fil de la lecture
- quelques imperfections - les fautes (obscures dessins, frappa le poing, quelques volcans, accent excédé (il manque un point), on aurait cru qu'il y avait là, le soufre, de cris et de larmes, au fond de chaque pupille, racontez-moi (le trait d'union).
- quelques lourdeurs. (Des morceaux de pierre traînaient au sol et dans le coin de la pièce un être informe gémissait ->préférer une ',' au copulatif 'et' ; la répétition du mot 'tour' et 'à son tour', L'homme naît du coeur divin puis se hisse jusqu'au ciel et enfin dresse des Tours de Babel. Il distinguait les membres maigres pendre ainsi qu’un pantin désarticulé (tel un pantin désarticulé irait mieux, ici on dirait qu'il distingue deux objets différents). Un désespoir (le désespoir tout simplement). Vérifier si le kopek est une unité monétaire russe déjà à cette époque. il se souvenait du système qui l'a (avait) enfanté. Il voulait la sentir encore, sentir fuir ce qui s’est infiltré en lui, et qui s’en va déjà (attention à la concordance des temps, ce qui s'était infiltré, et qui s'en allait déjà. La bête qui avait un nom, qui n’en méritait peut être pas, qui l’a porté quand même (même aspect -> avait porté), En marchant il 'prit' jeta le poignard sur le secrétaire (le prit est en trop).

Dans l'ensemble ton devoir est BON. Le sujet est largement respecté, il y a une cohérence, un regard intérieur de Nicolus qui se pose beaucoup de questions. Respect de l'époque également, Nicolus est sans doute un homme d'église, qui partage son art avec son apprenti. Nous avons donc un univers masculin et empreint de mysticisme. La croyance de 'la bête', sa foi en Nicolus qui renvoie le regard de Nicolus envers Dieu est une mise en abyme qui finit par dégoûter le penseur.
Je constate que ton petit travers à la relecture hâtive est réapparu, avec l'accumulation d'étourderies, mais il apparaît nettement moins qu'avant. C'est agréable de voir évoluer ta plume dans un univers moins romantique, imposé et marqué par une noirceur envoûtante.
Les règles de l'exercice ont été respectées, je m'habituerai à l'attente pour obtenir des rendus plaisants.

Pour ce devoir # 2, tu obtiens .PA.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeLun 15 Déc - 16:14

DEVOIR #3
Citation :

Citation:
Raconter les découvertes d'un explorateur face aux vestiges d'une civilisation inconnue, sans doute disparue bien avant l'aube de la protohistoire. Ne pas omettre de mentionner la fascination devant ces curieux monolithes dévorés par la végétation. Interrogations, voire remise en cause de convictions sont attendues dans le paragraphe. Le silence est de mise, hormis le vent dans les futaies et le grondement des cascades..

Carreau posa sa rame au fond de la barque. Il suait. De longues gouttes perlaient sur son front. Remonter le fleuve à contre courant avait été plus difficile qu’il ne l’avait supposé. Dans un coin de sa tête il espérait que tous ces efforts n’allaient pas être vains. Son cœur battait à tout à allure. Il accrocha à double tour son bateau à un tronc d’arbre dont les branchages venaient effleurer timidement le rivage. Puis il sortit de l’eau et s’enfonça dans la forêt qui longeait le fleuve. Jetant un vague coup d’œil sur sa boussole il estima qu’il devait virer à trente degrés au nord. Emprunter la voie marine l’avait légèrement fait dévier.

Pour pouvoir avancer il devait sans cesse ouvrir le chemin en coupant à la machette branches, ronces et hautes herbes. Le geste paraissait anodin mais à force de l’exécuter il sentait poindre un mal au coude. Il échappa une grimace. A ce rythme il devra dans une heure ou deux monter son campement et s’octroyer quelque heures de repos. Au loin des bruissements d’animaux semblaient tenir la seule musique qui existait dans ces contrées. Quelque petit air classique dans la végétation luxuriante ne lui aurait pas déplu. ll détestait les coins trop tranquille et les brutis esquissés que laissaient dans leur sillage d’obscures fantômes insaisissables. Il continua de se frayer un chemin jusqu’à buter sur un petit lac décoré d’une chute d’eau comme il en existe un peu partout à Anwen. Il soupira. Il y en a qui aimaient regarder l’eau filer en gouttes entremêlés pour aller se jeter joyeusement au fond d’une étendue claire. Carreau trouvait cela ennuyeux. Il s’accouda à un peuplier. Il essuya sont front suant avec le dos de sa main. Peut être n’y avait-il rien ici. Peut être que les cartes se trompaient. Les cartes se trompaient sûrement.

Il tourna sa tête à droite avec un vague désespoir quand il aperçut un enfoncement de la falaise d’où se jetaient les flots bleus qui ressemblait de loin à une grotte. Il tressaillit. Ce devait n’être qu’un trou, parmi d’autre. Il décida tout de même d’infléchir sa marche vers ce qu’il venait d’observer. Taillant à droite à gauche il parvint au bout d’une brève demi-heure à touche l’excavation. De près elle paraissait plus grande et plus étrange encore. L’entrée était parsemée de saillies semblables au ratissage d’un ours qui aurait voulu polir ses griffes. Au fond un boyau filait dans les profondeurs de la terre. Il hésita un instant. Il aurait été préférable de continuer le tracé qu’il avait déterminé avant de partir. Il devait être à dix jours de marches du premier point de ravitaillement. Dévier sa trajectoire rimerait à jouer avec ses réserves. C’était beaucoup de risque. Mais il semblait n’y avoir rien sur sa route. Ses doigts effleurèrent les imperfections de la paroi. Puis son pas lourd pénétra dans la grotte. Aucun explorateur n’avait trouvé des trésors sur le chemin qu’il avait fixé.

Dans le couloir il ne distinguait rien. Les diodes portatives qu’il avait allumées semblaient être inefficaces. Il resta un moment surpris. La nuit qui régnait dans ce long couloir semblait aspirer le moindre éclat de lumière de telle façon qu’il ne devait compter que sur le toucher pour pouvoir se guider. Il essaya vaguement de se figurer mentalement l’espace qui l’entourait mais dut bien vite se rendre à l’évidence. Au toucher en longeant la roche le plus près possible, il comprit qu’il tournait beaucoup trop de fois pour qu’il puisse tenir un schéma précis de l’endroit.

Cela devait faire des heures qu’il traînait dans le noir. La fatigue peu à peu s’insinuait dans son corps. Ses jambes étaient déjà lourdes et il s’arrêtait fréquemment pour essayer de récupérer. Il savait qu’il ne servait à rien de revenir sur ses pas. Il se perdrait encore plus. En quelque endroit, butant sur un mur, il lui avait fallu choisir. Les choix c’était aussi une marche résignée. Carreau fit encore une halte. La chaleur était insupportable. Il avait l’impression que c’était tout son corps qui peu à peu refuser de fonctionner. Butant sur une inégalité du terrain, il se releva. Il sentit comme quelque chose qui s’étendait sur son genou et coulait. Ce devait être du Sang. Il a du se faire mal. Carreau lâcha un juron. Ca n’allait pas l’aider. C’était en boitant légèrement qu’il avançait maintenant. Parfois il croyait voir quelque ombre puis se rappelait que le noir était trop profond pour pouvoir discerner quelque chose. Des flots de torpeur lui montaient à la tête. Au bout d’un moment il avait l’impression de marcher si lentement qu’il en était immobile. Le sol à ses pieds tournait. Il s’appuya contre la paroi. Était ce des jours qui défilaient tandis qu’il arpentait les couloirs de roc ? Il l’ignorait. Il savait seulement qu’il devait continuer. Son souffle se faisait court. Il n’avait plus chaud. Il avait froid. Il en tremblait même.

C’était trop risqué. Carreau l’avait fait quand même. Il arracha au mur des bouts de roche friable. Il venait de s’effondrer encore une fois. Jusqu’au moment où voulant se relever, naissait dans les nuits de son âme comme une lueur lointaine.

- La sortie, souffla t-il d’une voix rauque.

Il y avait la dans l’immensité obscure un point immobile qui tendait vers l’infini. Tout lui paraissait léger alors. Et ses blessures semblaient se refermer pour laisser le corps éreinté se nourrir d’une nouvelle force, d’une énergie sauveuse. Carreau toucha la lumière des doigts. Qu’avait-il prit comme chemin encore ? Il ne le savait pas. Il posa ses mains au dessus de ses yeux dans une volonté de déchirer le voile aveuglant.

Ce qu’il vit était un rêve. Son cœur manqua un battement. Au loin se découpaient des ruines mystiques qui venaient fleurir en des figures mystérieuses. Les courbes de marbre (était ce vraiment du marbre, d’aussi loin il y avait comme des pores dans la roche et des taches ambrées filaient en longues corolles sur la paroi, peut être du lichen) dansaient dans la végétation luxuriante. Se dessinaient çà et là comme des petits blocs de d’airain semblable à des maisons. Des ponts de bois le reliaient les une autre dans une harmonie sereine. Il n’y avait aucune trace vivante sinon ces constructions sublimes qu’un soleil venait mordorer par endroit. Des sentes finement taillées serpentaient tout au long du paysage. Il voulut faire un pas en avant mais un gouffre l’arrêta. Il semblait être suspendu dans l’air à des centaines de mètres du sol, réfugié dans sa grotte comme un nid dans la falaise. Il retourna alors dans sa contemplation. De si haut il pouvait voir s’étendre toute l’architecture fascinante d’une ville endormie au creux de la nature. Son regard se perdit lentement dans les méandres clairs des Platanes longeant les places dorées, continuant vers ce qui ressemblait à une église portant au sommet de ses tours d’étranges symboles.

En sa pensée germait une Mémoire surprise. Comment pouvait-il exister dans ce monde des endroits comme celui-ci ? Les drones de toutes les Nations d’Anwen avaient scanné chaque parcelle de terrain et il existait dans toutes les bibliothèques des cartographies détaillées de tous les milieux. Mes les profondeurs des mers et des océans avaient été passées au peigne fin. Carreau contempla l’harmonie des formes jouant avec les lignes complexes de la Nature. On croirait que la ville était un bout de la nature sculptée par l’érosion et le Mystère divin qui embrasse tout spectacle originel. Les longs filaments d’herbe grimpantes masquaient les lignes régulières des bâtiments, rendant parfois confus les délimitations des structures et mêlant un rocher à un mur. Il n’existe pas de construction proprement parfaite. Où était les erreurs dans cet endroit, quel battant et quel fondation semblait plus fragile, moins parfaite ? Il n’y avait rien qui laissa penser que ce fut de la main d’un homme qu’un tel endroit sortit de terre. Rien aussi qui laissa croire que pluie, vent ou autre variation climatique ait abîmé à quelque endroit que ce soit les Architectures Merveilleuses.

Ébloui devant le spectacle il chercha dans sa poche un calepin pour dessiner ce qu’il voyait quand il lui sembla qu’une ombre le perfora de plein fouet. Son pied ripa sur le bord et tout son corps s’engagea dans le vide. Dans un dernier instant la tête retournée il crut voir au ciel comme des étoiles briller en plein jour et cette lumière comme un soleil tomber inexorablement en même temps que lui. Cette lumière ou dort une grotte si noire que pas un rayon ne peut l’éclairer. Où dort peut être son corps au fond d’une mare.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeSam 20 Déc - 17:39

Correction du devoir #3 (ou du moins vision de l'oeuvre).

Au fil de la lecture :

Je ne vais pas m'attarder dessus étant donné que tu as longtemps fréquenté les bases de la grammaire française. J'ai relevé cependant quelques incorrections

Spoiler:

Tu conviendras, Sanz, que cela fait encore assez lourd pour un texte censé être plus abouti. Je te recommande de relire ton texte afin de le fluidiser. Outre les erreurs de concordance des temps et une absence de rythme dans la première partie. Pour moi ton texte commence réellement à cette phrase : "Il y avait la dans l’immensité obscure un point immobile qui tendait vers l’infini". C'est dans ces tons-là que tu colles enfin au sujet et t'appropries enfin tes mots. La première moitié ne te ressemble pas du tout et me paraît vraiment pauvre ; assemblage de lieux communs et de maigres ressentis. Mais la triste régression s'éloigne en seconde moitié ; avec quelques descriptions en relation avec le sujet. J'aurai préféré des références à l'intemporalité de tes visions. Moins de répétitions également de 'il', des auxiliaires à n'utiliser qu'en extrême recours. Parfois les structures trop élémentaires (sujet-verbe-complément) côtoient des structures infernales bourrées de relatives et peu rythmées de césures.

Dans l'ensemble :

Ce texte est à améliorer pour recevoir sa véritable dimension. Je le qualifierai de FAIBLE, mais parcouru de bonnes impressions. Je retrouve donc ton envie de t'exprimer en décalage avec le sujet, de ne pas suivre le carcan oppresseur d'un moule à remplir. Mais il faudra bien un jour t'ancrer dans le sujet, même s'il t'inspire peu.

Pour ce devoir #3, tu obtiens .PC.

Libre à toi de proposer une meilleure version, plus riche, de la seconde moitié de ton devoir. Je vais tenter de te proposer un quatrième sujet plus en adéquation avec tes motivations, puisque nous devrions retourner à ta forme fondamentale d'expression ; le vers libre. J'y réfléchis.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeSam 20 Déc - 18:55

Spoiler:
Certes.

Ce n’est pas du Sanz. Et ce texte n’a pas vocation de m’évoquer. Nous sommes dans les études d’un style qui m’est étranger. Et c’est l’enjeu de notre collaboration, mais…

Ce texte est aussi un pur jeu avec le sujet, une façon agressive de dire : « je fais ce que tu me dis mais je fais comme je veux ». Le comme je veux est de ne pas écrire comme moi.

Il y a effectivement 2 Mouvements dans ce textes. Celui qui va du début jusque à « Il venait de s’effondrer encore une fois. Jusqu’au moment où voulant se relever, naissait dans les nuits de son âme comme une lueur lointaine’ » qui est un moment transitionnel.

Il y a les attentes du lecteur. Et ce qu’on donne au lecteur. Il y a la frustration aussi.

Ce qu’on attend d’un Explorateur, c’est de l’engouement, de la fascination, quelque chose qui le dépasse, le transcende, l’illumine. Carreau n’est rien de cela. Si l’on devait faire une comparaison tirée par les cheveux ce texte décrit un système analogue de l’œuvre Madame Bovary. Elle rêve de romantisme et s’ennuie de la réalité. Carreau rêve de grandes découvertes et ce qu’il rencontre le blase complètement.

Il n’aime pas ce qu’il découvre. C’est l’ennui, le « ca sert a rien, c’est moche et ca me soule de marcher ». Ou est ce qu’on le voit dans le texte ?

Dans le ton. C’est plat. Plat a mourir. C’est une suite d’acte vidée de leur sens. Le Personnage évolue dans une résignation qui force lecteur à se faire chier royalement avec lui. C’est l’effort inutile, pénible et non valorisant. Le bel explorateur tout plein de pétillement dans les yeux. On est a quarante lieues de cela .

Citation :
« " Il y en a qui aimaient regarder l’eau filer en gouttes entremêlés pour aller se jeter joyeusement au fond d’une étendue claire"


C’est le paradigme de l’Explorateur décrit dans une ironie cinglante. C’est boow…

Citation :
"Carreau trouvait cela ennuyeux"

C’est mon personnage… .

Il y a comme un refus du Narrateur d’offrir ce qu’attend le lecteur et par de là le professeur ( gnark).

La Nature ne transcende pas Carreau. Il en a rien à cirer. Et style se calque sur cette Psychologie blasée du Personnage.

Donc 2 mouvements imbriqués l'un dans l'autre dans une progression qui tend à vouloir s'inscrire dans le sujet maus l'élève sadique fait d'une probable découverte un fantasme d'agonisant.... C'est beau de couper l'herbe sous le pied.

J'te kiffe mon Mentor a moi tu m'offre la possibilité dans mes devoirs d'exprimer tout ce que je ne suis pas et tout ce que je suis, tu fais de moi l'Homme pluriel au gosier d'argent.

Allez hop comment dire que ce n'est pas un écrit faible mais un texte avec des grilles de lectures superposée ou il faut jouer avec le premier degré ou non et savoir finalement qu'ici s'oppose la volonté farouche d'être tout sauf soi dans un ton plat, épurée de tous les agréments de mon style, limité lycéen mais lycéen volontairement parce que ca a du sens de faire en sorte que ca ne brille pas. Ca ne doit pas briller pour que le rêve puisse être plus qu'un Soleil.

j'aurai du accentuer tout cela. Et plonger dans l'Onirisme plus que Saturé.

Piou. Ze t'aime.

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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeMer 7 Jan - 15:24

Hum. Sanz, Poursuis-tu l'aventure? J'ai entendu pas mal de qu'en dira t'on qui te mettent sur la touche, alors j'aimerai savoir si le sujet que je te concocte sera honoré rigoureusement ou délaissé. Et de plus il en va de mon avenir de mentor ; ton départ me forcerait à te remplacer. Et pour la démarche qualité, un petit retour de notre entente serait bienvenu. Content Vert
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeMer 7 Jan - 15:33

Poste le donc ton devoir je te le ferai Chien

Tant que tu posteras des devoirs je le ferai, question de pacte
Carmen

Aboule.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeMer 7 Jan - 21:49

Il ne m'en fallait pas moins.

DEVOIR #4

Citation :
Naufrage d'antan. Par la forme poétique souhaitée, relater le désastre d'un navire pris en pleine tempête à une époque homérique. Le frêle jouet des Dieux balloté sur une mer en furie. S'immerger dans la métaphore.

Un sujet volontairement flou pour que tu puisses produire le meilleur de toi-même. Prends le temps, ne bâcle pas, et joue-toi des vers.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitimeDim 18 Jan - 22:45

Apres discussion avec les personnes concernées ( Chikoun et Airet Syl), la rupture du contrat entre le Mentor Airet et moi-même, l'élève, vient d'être consommée.

A l'heure dite je ne suis plus son élève et il n'est plus mon mentor.

The End.
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MessageSujet: Re: Sanz - Devoirs [Airet Syl]   Sanz - Devoirs [Airet Syl] Icon_minitime

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