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 Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]

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Otalimar




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MessageSujet: Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]   Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol] Icon_minitimeMar 16 Déc - 21:50

D'après ce Texte:
Citation :
Ce fut comme une apparition : Elle était assise, au milieu du banc, toute seule ; ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose ; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l'air bleu. Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre ; puis il se planta tout près de son ombrelle, posée contre le banc, et il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière. Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une chose extraordinaire. Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé ? Il souhaitait connaître les meubles de sa chambre, toutes les robes qu'elle avait portées, les gens qu'elle fréquentait ; et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n'avait pas de limites. Une négresse, coiffée d'un foulard, se présenta, en tenant par la main une petite fille, déjà grande. L'enfant, dont les yeux roulaient des larmes, venait de s'éveiller. Elle la prit sur ses genoux. " Mademoiselle n'était pas sage, quoiqu'elle eût sept ans bientôt ; sa mère ne l'aimerait plus ; on lui pardonnait trop ses caprices. " Et Frédéric se réjouissait d'entendre ces choses, comme s'il eût fait une découverte, une acquisition. Il la supposait d'origine andalouse, créole peut-être ; elle avait ramené des îles cette négresse avec elle ? Cependant, un long châle à bandes violettes était placé derrière son dos, sur le bordage de cuivre. Elle avait dû, bien des fois, au milieu de la mer, durant les soirs humides, en envelopper sa taille, s'en couvrir les pieds, dormir dedans ! Mais, entraîné par les franges, il
glissait peu à peu, il allait tomber dans l'eau ; Frédéric fit un bond et le rattrapa. Elle lui dit : " Je vous remercie, monsieur. " Leurs yeux se rencontrèrent. " Ma femme, es-tu prête ? " cria le sieur Arnoux, apparaissant dans le capot de l'escalier.

Il me fallait le mettre en page de deux manières différentes: en Rôle-play, et en style plus standard, disons roman. Je devais également trouver un titre à cet extrait.

Titre:Révélation

Style Rôle-play:
Citation :


Ce fut comme une apparition : Elle était assise, au milieu du banc, toute seule ;
ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose ; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l'air bleu. Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre ; puis il se planta tout près de son ombrelle, posée contre le banc, et il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière. Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une chose extraordinaire.
Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé ?
Il souhaitait connaître les meubles de sa chambre, toutes les robes qu'elle avait portées, les gens qu'elle fréquentait ; et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n'avait pas de limites. Une négresse, coiffée d'un foulard, se présenta, en tenant par la main une petite fille, déjà grande. L'enfant, dont les yeux roulaient des larmes, venait de s'éveiller. Elle la prit sur ses genoux.
" Mademoiselle n'était pas sage, quoiqu'elle eût sept ans bientôt ; sa mère ne l'aimerait plus ; on lui pardonnait trop ses caprices. "
Et Frédéric se réjouissait d'entendre ces choses, comme s'il eût fait une découverte, une acquisition. Il la supposait d'origine andalouse, créole peut-être ;
elle avait ramené des îles cette négresse avec elle ?
Cependant, un long châle à bandes violettes était placé derrière son dos, sur le bordage de cuivre.
Elle avait dû, bien des fois, au milieu de la mer, durant les soirs humides, en envelopper sa taille, s'en couvrir les pieds, dormir dedans !
Mais, entraîné par les franges, il glissait peu à peu, il allait tomber dans l'eau ; Frédéric fit un bond et le rattrapa. Elle lui dit :
" Je vous remercie, monsieur. "
Leurs yeux se rencontrèrent.
" Ma femme, es-tu prête ? "
cria le sieur Arnoux, apparaissant dans le capot de l'escalier.



Style Roman:
Citation :

Ce fut comme une apparition : Elle était assise, au milieu du banc, toute seule ; ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose ; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l'air bleu. Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre ; puis il se planta tout près de son ombrelle, posée contre le banc, et il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière. Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une chose extraordinaire. Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé ?

Il souhaitait connaître les meubles de sa chambre, toutes les robes qu'elle avait portées, les gens qu'elle fréquentait ; et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n'avait pas de limites. Une négresse, coiffée d'un foulard, se présenta, en tenant par la main une petite fille, déjà grande. L'enfant, dont les yeux roulaient des larmes, venait de s'éveiller. Elle la prit sur ses genoux.

" Mademoiselle n'était pas sage, quoiqu'elle eût sept ans bientôt ; sa mère ne l'aimerait plus ; on lui pardonnait trop ses caprices. " Et Frédéric se réjouissait d'entendre ces choses, comme s'il eût fait une découverte, une acquisition. Il la supposait d'origine andalouse, créole peut-être ; elle avait ramené des îles cette négresse avec elle ?

Cependant, un long châle à bandes violettes était placé derrière son dos, sur le bordage de cuivre. Elle avait dû, bien des fois, au milieu de la mer, durant les soirs humides, en envelopper sa taille, s'en couvrir les pieds, dormir dedans ! Mais, entraîné par les franges, il glissait peu à peu, il allait tomber dans l'eau ; Frédéric fit un bond et le rattrapa. Elle lui dit :

" Je vous remercie, monsieur. " Leurs yeux se rencontrèrent.
" Ma femme, es-tu prête ? " cria le sieur Arnoux, apparaissant dans le capot de l'escalier.
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MessageSujet: Re: Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]   Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol] Icon_minitimeMer 17 Déc - 13:18

Alors, comme dit hier, quelques pistes pour que tu puisses reprendre ce devoir :

Style Rôle-play :

- Importance du choix des couleurs. C'est ce qui frappe le plus à première vue, donc il faut tout d'abord que tu t'assures de leur lisibilité, ce qui n'est pas toujours le cas ici. Ensuite, cherche une harmonie dans les tons quand c'est possible, par exemple jaune, orange, rouge, qui marquent la différence mais qui, dans une vision d'ensemble, ne choquent pas l'oeil et donnent envie de lire le texte.

- Les paragraphes. Pour le style Rôle-Play, il est conseillé non seulement d'aller à la ligne en fin de paragraphe, mais aussi de sauter une ligne pour bien marquer la différence. De plus, ça ne se remarque pas sur un texte aussi court, mais je pense que tu as tendance à ne pas faire assez de paragraphes donc essaie de changer ça dans tes romans si tu le remarques. Un changement de paragraphe doit se faire en fonction d'un changement de sujet, d'idée ou d'action dans la narration. Attention, ne tombe pas non plus dans l'excès inverse, c'est-à-dire faire un paragraphe toutes les deux lignes.

- Les pensées. C'est sûr que le texte n'est pas très adapté au rôle-play (encore heureux) puisqu'elles sont au style indirect, donc je t'autorise à les changer pour les mettre au style direct afin que ça corresponde mieux. La première phrase ne doit donc pas être considérée comme une pensée. Je te signale juste au passage que, dans un rôle-play classique, même si ça semble être passé de mode, les pensées sont exprimées entre * *, et pas seulement mises en italique.

- Les dialogues. Tu les as bien signalés par de la couleur, mais tu ne dois pas séparer la signalisation de qui parle comme tu l'as fait à la fin. Garde les mêmes couleurs, mais situe tout sur le même plan.


Style roman :

- La mise en page. Là aussi, je m'en doutais, erreur fatale (game over ^^). Je suppose que tu n'as jamais lu un roman où on saute des lignes comme ça à tire-larigo. Le changement de paragraphe est d'ordinaire marqué par un retrait, et c'est seulement lorsqu'un changement de temporalité a lieu qu'une ligne est sautée. Par contre, tu as justifié ton texte, ce qui est un bon point.

- Le choix des séparations. Dans les romans, les dialogues sont en général séparés du reste de la narration, donc là, tu dois faire un retrait, même si ça signifie deux retraits à la suite. Ensuite, n'as-tu pas remarqué que la phrase centrale de l'extrait était : Leurs yeux se rencontrèrent ? Si tu ne peux pas la mettre en valeur par de la couleur, fais-le au moins en la séparant du reste de la narration, là aussi par des alinéas.

Le titre : Il est assez approprié, mais j'en attends d'autres. Le choix du titre de ce texte nous amenera forcément à la discussion, et te permettra de mieux comprendre ce que tu veux pour tes romans.
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MessageSujet: Re: Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]   Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol] Icon_minitimeDim 21 Déc - 16:01

Rôle-play version 2:

Citation :
Ce fut comme une apparition : Elle était assise, au milieu du banc, toute seule; ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda.

Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l'air bleu.

Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre ; puis il se planta tout près de son ombrelle, posée contre le banc, et il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière. Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une chose extraordinaire.

*Quels sont son nom, sa demeure, sa vie, son passé ? *

Il
souhaitait connaître les meubles de sa chambre, toutes les robes qu'elle avait portées, les gens qu'elle fréquentait ; et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n'avait pas de limites.

Une négresse, coiffée d'un foulard, se présenta, en tenant par la main une petite fille, déjà grande. L'enfant, dont les yeux roulaient des larmes, venait de s'éveiller. Elle la prit sur ses genoux.

"
Mademoiselle n'était pas sage, quoiqu'elle eût sept ans bientôt ; sa
mère ne l'aimerait plus ; on lui pardonnait trop ses caprices. "

Et
Frédéric se réjouissait d'entendre ces choses, comme s'il eût fait une découverte, une acquisition. Il la supposait d'origine andalouse, créole peut-être ;

*elle a ramené des îles cette négresse avec elle ?*


Cependant, un long châle à bandes violettes était placé derrière son dos, sur le bordage de cuivre.

*Elle
a dû, bien des fois, au milieu de la mer, durant les soirs humides, en envelopper sa taille, s'en couvrir les pieds, dormir dedans !*

Mais,
entraîné par les franges, il glissait peu à peu, il allait tomber dans l'eau ; Frédéric fit un bond et le rattrapa.

Elle lui dit :
" Je vous remercie, monsieur. "

Leurs yeux se rencontrèrent.


" Ma femme, es-tu prête ? " cria le sieur Arnoux, apparaissant dans le capot de l'escalier.


Roman version 2:

Citation :
__Ce fut comme une apparition : Elle était assise, au milieu du banc, toute seule ; ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda.
__Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose ; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l'air bleu.
__Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre ; puis il se planta tout près de son ombrelle, posée contre le banc, et il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière. Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une chose extraordinaire. Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé ?
__Il souhaitait connaître les meubles de sa chambre, toutes les robes qu'elle avait portées, les gens qu'elle fréquentait ; et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n'avait pas de limites. Une négresse, coiffée d'un foulard, se présenta, en tenant par la main une petite fille, déjà grande.
__L'enfant, dont les yeux roulaient des larmes, venait de s'éveiller. Elle la prit sur ses genoux.

__" Mademoiselle n'était pas sage, quoiqu'elle eût sept ans bientôt ; sa mère ne l'aimerait plus ; on lui pardonnait trop ses caprices. " Et Frédéric se réjouissait d'entendre ces choses, comme s'il eût fait une découverte, une acquisition. Il la supposait d'origine andalouse, créole peut-être ; elle avait ramené des îles cette négresse avec elle ? Cependant, un long châle à bandes violettes était placé derrière son dos, sur le bordage de cuivre. Elle avait dû, bien des fois, au milieu de la mer, durant les soirs humides, en envelopper sa taille, s'en couvrir les pieds, dormir dedans ! Mais, entraîné par les franges, il glissait peu à peu, il allait tomber dans l'eau ; Frédéric fit un bond et le rattrapa. Elle lui dit :

__" Je vous remercie, monsieur. " Leurs yeux se rencontrèrent.
" Ma femme, es-tu prête ? " cria le sieur Arnoux, apparaissant dans le capot de l'escalier.



Je suis assez sur de moi pour le rôle-play, mais moins pour le roman, surtout par rapport à l'overdose de paragraphe Très Heureux Et pour un autre tire? "L'Apparition", d'après la première phrase?

(__= alinéa)


Dernière édition par Otalimar le Lun 22 Déc - 12:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]   Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol] Icon_minitimeDim 21 Déc - 18:13

Désolée de te le dire mais là, ça va pas du tout XD A mon avis tu as dû faire un copier/coller qui est mal passé. Reposte-le de manière à ce que ce soit correct et que je puisse corriger quelque chose s'il te plaît, ou alors édite et préviens-moi quand c'est fait.
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MessageSujet: Re: Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]   Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol] Icon_minitimeLun 22 Déc - 12:07

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MessageSujet: Re: Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]   Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol] Icon_minitimeMar 6 Jan - 12:44

Alors, je viens de regarder un peu tout ça, et je constate avec satisfaction que tu as compris le principe. Juste, va à la ligne après le "mademoiselle..."

Enfin, pour le reste, tout va bien, il ne te reste donc qu'à appliquer tout ça à tes romans.

Prêt pour le devoir suivant, donc ^^
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MessageSujet: Re: Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol]   Otalimar- Devoir n°1[Ambre Melifol] Icon_minitime

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