Les courants d'air (Tome III)

"But what are we going to do... ?"

Every planet we reach is dead

Et hop, une suite .

Le jour où personne ne reviendra d'une guerre, c'est qu'elle aura enfin été bien faite

Je vous prie de croire mes chers concitoyens,

Que tout ceci n'est qu'un immense canular.
Une farce comme personne n'en refera.

merci de votre attention.













(bon courage Kya )

(.... No comment.)


J'ai ma time capsule!





C'est trop classe ^^

Super Dupont est arrivé, pour revendiquer le titre de champion de l'arène au nom de son pays.

Citation :

Clèm' dit :
enfin moi au moins j'ai pas de skyblog débile où je mets des articles sur la mort que c'est trop bien et que les ados c'est des incompris et que si ça continue je vais me suicider avec une cuiller à soupe et que j'écris mes articles avec tous les -o en majuscules et en rose

Fierté mal contenue*

C'est ma p'tite soeur !

Bizarre je m'en doutais...

Être :exister.
Exister : vivre
Vivre : exister...

Être, à priori, c'est être condamné à tourner en rond... et à chercher le sens de l'être. Dirait-on.



Kya... j'espère que tu ne penses pas surprendre qui que ce soit, surtout... bonne route et bon courage.

All we can do it's keep breathing

Carlos : "Tu sais quand j'ai su que j'allais t'épouser ?"
Gaby : "La première fois que tu m'as vu défiler sur un podium ?"
Carlos : "Non, ça c'est quand j'ai su que je coucherais avec toi ! J'ai su que j'allais t'épouser le soir où on a dîné à ce restaurant dans la 3ème rue."
Gaby : "Je me souviens de cet endroit..."
Carlos :"Tu avais une robe d'été en lin bleu. Tu avais commandé une énorme assiette de côtelettes. Fallait voir comment tu les dévorais. Tu avais de la sauce barbecue jusqu'aux coudes, de la viande entre les dents et de la graisse dans les cheveux. A la fin je t'ai fait remarquer que tu n'étais plus franchement présentable. Tu as pris ton miroir, t'as regardé la tête que t'avais et tu as eu ce rire tonitruant et joyeux, qui fusait dans tous les sens ; il a complétement envahi la salle et immédiatement je me suis dit : ce que je viens d'entendre, j'ai envie de l'entendre jusqu'à la fin de ma vie. C'est pour ça que j'ai demandé ta main et ça n'avait rien à voir avec ta beauté."

Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.

Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.

Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.

C’est l’olive pâmée, et la flûte caline ;
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !


Sonnet du trou du cul - Paul Verlaine et Arthur Rimbaud

Darthpo, Djoul. Un mec bien.

Lorsque vous démarrez votre ordinateur vous vous engagez politiquement