[Commentaires] Le Voleur

Je tente de te faire une analyse dans la semaine, mais tu me connais ^^'

Citation :

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Mes ongles ont raclé sa chair, terrorisés à l'idée de devoir quitter cet havre chantant.

Ce

Citation :

Je le savais au Elles sont à moi maintenant.

Tu as eu un bug là, à toi de remettre comme il le faut.

Cordelia ou la décomposition du corps
Comme toujours, ce que j’aime chez toi c’est ton écriture douce, les mots coulent, s’enroulent lentement. C’est donc un plaisir de lire.
Par contre, il reste que cette histoire est étrange et que, pour le moment, j’ai du mal à tout comprendre. Cet être, voleur, a qui il « manque » des morceaux de corps qui pourtant sont déjà là. Car si ce n’était le cas, il ne verrait pas et il ne pourrait manger donc survivre. De plus je pense qu’un enfant sans yeux et sans bouche attirerait bien des regards et des commentaires. A moins que ce ne soit habituel dans le monde que tu décris, mais ce n’est pas l’impression qui en ressort. Le seul petit passage où tu l’évoques est trop court pour se rendre bien compte de la situation. Alors j’aimerais savoir/comprendre : qu’est-il vraiment ?
Finalement, ce commentaire est assez court, mais ton début aussi. Tu peux nous emmener loin avec cette histoire mais veille à ne pas nous perdre en route, à nous laisser avec trop d’interrogations.

Merci Grend' d'avoir pris le temps de lire et de commenter ! Je vais essayer de faire un petit passage explicatif... mais je dois avouer que je ne saurais pas trop moi-même expliquer l'existence de ce personnage. Enfin... je trouverai bien ! ^^ Je vais corriger ces deux coquilles.

Encore merci !

J'ai beaucoup aimé ce ton très ambigu oscillant joyeusement entre l'innocence de l'enfance et la manipulation de l'autre par les moyens détournés.

C'est très poétique et ce n'est pas sans me rappeler les Innamorati de Snyder. En tout cas c'est un belle vision du rapport à l'autre et de la construction de soi par le conflit et l'appropriation.

C'est beau l'ambiguité.

Non, en effet, je n'ai rien corrigé encore. J'attends d'avoir un peu plus de temps, pour me pencher sur la suite et corriger au passage. En tout cas, je suis contente de voir que ce texte est un minimum accrocheur ! Je vais essayer de ne pas vous décevoir pour la suite ! ^^

Double post, certes, mais nécessaire pour signaler que cette nouvelle est finie. Je conseille à ceux qui avaient lu le début de tout relire car j'ai modifié certaines choses.

Je suis curieuse de lire vos commentaires !

A mon tour, (chose promise, chose due). J'ai beaucoup aimé ce texte car ton écriture est agréable à lire. C'est tout miel, tout doux, et ça donne presque le sourire.

Presque ? Oui presque car un passage me reste un peu dans la gorge. Le passage de Théo. Lire une description d'une enfant de crèche qui tente des approches physiques avec un gamin, le fait de le "faire attendre", d'être insistant dans les caresse... En tant que détenteur du BAFA, je t'avoue, j'ai franchement été mal à l'aise sur ce passage. Cela dit, en rien ça ne change la qualité du texte.

Je m'explique, le développement de la pensée, de la construction était très bien mené, le parallèle avec la construction de l'adolescent (la crise donc), j'ai beaucoup apprécié ce passage car au final ça rajoute une vraie cohérence au texte. Le coup de la première fois avec des jumeaux, étrangement, je m'y attendais ^^

Par contre, chose qui m'a gêné, c'est comme il a été dit plus haut, le "comment" de l'existence d'un enfant qui convoite des yeux qu'il ne pourrait pas voir... ça m'a assez gêné. Pareil pour la bouche, comment téter un sein sans avoir de bouche ? (les plus tordus diront "par les narines"... mais je passe dessus).

Je me doute que c'est plus une image, mais c'est vrai que ça fait se poser des questions dans la lecture.

Cependant, comme je l'ai souligné, on en retire un sentiment de douceur, de cohérence. L'aspect ambigu de la personnalité de l'enfant est dérangeant à mes yeux mais c'est ce qui en fait son sel. Imaginer un bambin calculer des plans tordus de manipulation, c'est un sujet intéressant.

La fin par contre, je ne m'étonne pas, montre le sang noir du bisexué, signe de sa corruption (d'âme j'imagine). Mais il y aurait peut être eut moyen de développer un peu plus plutôt que de trancher du statut "complet" au statut "décomposition". La transition était un poil trop rapide, mais au final, j'aime bien l'ensemble.

Donc je dis "clap clap" ^^