[Musique] "La vie, c'est toujours les mêmes chansons"- Brassens.

Ah oui, c'est la révélation musicale de l'année ce mec là !

Ma tête bouge toute seule à l'écoute de ce "dubfix" du au combien célèbre Requiem for a Dream, c'est la définition même du mot épique :

Nombre de messages : 667 Age : 31 Date d'inscription : 30/04/2013

Oui je double poste mais il fallait que je partage ça, mon Dieu ce saxo !

Ceux qui connaissent, souriront.
Ceux qui ignorent ce que c'est, se renseigneront et aimeront ce qu'ils verront.
C'était ma prophétie.

Nombre de messages : 667 Age : 31 Date d'inscription : 30/04/2013

Ecrire un concerto de 9 minutes à l'âge de 13 ans... solide, le bonhomme Heureux

Nombre de messages : 667 Age : 31 Date d'inscription : 30/04/2013

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Oh bien Tame Impala !

Of Montreal - Triumph of Disintegration

Spoiler:

Nombre de messages : 74 Age : 35 Date d'inscription : 20/06/2015

Nombre de messages : 667 Age : 31 Date d'inscription : 30/04/2013

2:17

Parce qu'il est bon, parfois, de revenir aux sources.

internationaliste
bobo
vaincra

Je déterre, délétère.

Smirt a écrit:

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Le Fossoyeur de Films a plus d'une corde à son arc...

(Je suis abonné à sa chaîne, j'adore la série des Dead Watts !)

http://concert.arte.tv/fr/philippe-jaroussky-et-emoke-barath-interpretent-le-stabat-mater-de-pergolese-au-chateau-de

Le Stabat mater de Pergolèse, un très beau morceau du début du 18e siècle qui allie voix et cordes.

Pergolèse est mort très jeune (aux alentours de 25 ans) dans un monastère. Avant de mourir, il a composé des airs religieux, dont le plus célèbre est ce Stabat mater qui raconte les souffrances de la mère du Christ assistant à l'agonie de son fils sur la croix ("la mère se tenait debout"). Je trouve que c'est une jolie idée que de voir cette scène du point de vue de la mère et non plus du fils, comme c'est toujours le cas dans les représentations : l'épisode change brusquement de signification pour devenir plus intimiste. J'aime bien le commentaire de Jaroussky au début de la vidéo, lorsqu'il met l'accent sur la dimension "angélique", "pas très humaine" de ce morceau qui est en effet une espèce de regard levé vers le ciel. C'est enfin un morceau ambigu, qui joue des décalages qu'il provoque entre un texte très sombre et une mélodie parfois sautillante. Vous en avez un exemple à 10'50 sur la vidéo ; l'air est léger, enlevé, et pourtant le texte est plus grave que jamais :

Quæ mœrebat et dolebat,
Pia Mater cum videbat
Nati pœnas incliti.

Je suis pas un très bon latiniste (ma prof de master me taxait "d'audacieux dangereux") mais ça donne quelque chose du genre : "Comme elle souffrait et s'affligeait, cette Mère aimante, en assistant à l'agonie de son cher enfant".

Gniaharh, je vais laisser ça là.

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