[WIP] Au milieu d'entre vous

Au milieu d'entre vous

encore un jour passer à regarder les divagations d'un monde en perdition, entourer de ses monstres qui ne voix par leur yeux que se monde creux. c'est dans se monde que j'évolue parmi les gobelins, lutins et autres créatures du même acabits. avez vous déjà croisée un lutin? je suis sur que oui. j'en connais une, c'est marrant un lutin c'est plain de joie de vivre, un peu innocent et sa essaye par dessus tout de le faire voir aux autres. même dans la douleurs il gardes le sourire essayant tant bien que mal de faire voire au autres le cotés rayonnant de notre mondes, celles que je connait couche sur le papier les aplats colorés de sa joie de vivre rependant ses arc-en-ciel lumineux dans nos yeux. quels maigres espoirs pour une réalité qui s'effondre. et tout ses gens qui se tourne vers les cieux nuits et jours peuvent ils entendre le murmures du rêves et des anges quand ils décortiquent les étoiles et nomment les nuages alors qu'il est tellement plus gratifiant d'ouvrir ses oreilles à la sonate de ses spectateurs de nos vies. Mais de nos jour qui se permet de prendre le temps. le temps de s'ouvrir à un monde qui dépasse l'imaginaire. on se dispute pour une simple question de vacances, pourquoi la simplicité se fait elle dévorer par l'organisation. Le gobelin connait la chanson, lui qui vie dans le jour présent, le prenant comme tels doit supporter pourtant le poids d'une vie qui refuse de le comprendre, car la vie est comme sa elle refuse les facétie des aveugles, car on a beau percevoir les autres on ne voix pas pour autant les clés d'une liberté tellement nécessaire au développement. j'aime énormément se gobelins car il détient en lui se regard que je porte sur se monde même s'il en a peur, qu'il cherche par dessus tout à rester "normal", car le jugement des autres est durs et sans équivoque, l'aparté d'un monde à cette tristesse d'être toujours un peu seul même entourer de ses amis car on garde tout le temps cette conversation avec soi-même, cette petite douleurs qui nous empêche de s'oublier parce que le murmure est toujours présent alors on guettent les cieux se noyant dans la sonates éternels, celles qui nous survivra et pourtant dont on aimerait connaitre l'apothéose final. Le gobelin de ses facéties, pamphlets et petites acrobaties linguistique essayes désespérément de se libérer d'une réalité qui l'emprisonne dans des filets.

de pas en pas je déambule dans un petit monde d'illusions réels que les gens feignent de ne pas apercevoir. car elle ne peuvent être et pourtant elle sont là. Mais pourquoi y croire quand les autres le refuse et vous prennent pour un fou quand vous en parler, mais qu'importe d'être fou quand on est libre du regard oppressant d'une majorité d'aliéné. aliéné a une normalité dictée par une société décevante qui se contente de regarder le mur devant eux plutôt que de l'éviter. moi je choisit de regarder les autres foncer dedans c'est plus drôle. Je reviens sur le gobelins, oui j'aime beaucoup le gobelins car il est l'images même de cette société qui s'effondre de refus, refus de ne pas accepter de voir un monde qui les entoure vraiment et qu'importe que vous vous retrouviez un peu dans mes mots combien auront le courage de les suivre, de suivre une logique qui apparemment n'a pas de sens. comme le gobelin vous vous retrouvez prisonniers du regard des autres. "mais si je fais sa que vont ils penser" " que va ont dire de moi" "je ne peut pas me le permettre impossible" et pourtant vous avez tous vue cette petite fée ingénue qui même si elle craint votre regard se montre toujours telle qu'elle est. car pourquoi faire autrement il est tellement plus simple de ne pas se cacher derrière un masque, et pourtant aucun d'entre vous n'a oser la juger car il est tellement rafraichissant de croiser une tel personne. Même si elle rappel a chacun que se sont nos propres barrières qui nous limitent et non la réalité, on ne s'empêcher, d'une certaine manière, de l'admirer pour sa franchise au monde. se sont ses petits êtres qui me font espérer pour la suite.

***

un nouveau jour, un nouveau moment inoubliable, ou plutôt plusieurs moment inoubliable, festivals de couleurs au pays des pierres la nature a repris ses droits dans les forteresses de solitudes des monstres que j’aime ces cigales et ces papillons qui parcoures les aller bétonner de nos vie et nous font redécouvrir le monde, une petite pointes de cynisme, une parodie de vos œillères ou un enchantement coloré et la découverte de la réalité chacun a sa manièrent essaient de vous ouvrirent les yeux sur de nouvel façon de penser. et pourtant il l'ont dit mots pour mots cesser de figer se que vous voyer tels une suite de moment immobile tout est en mouvement perpétuel ouvrez les yeux et laisser vous entrainez par cette danse ambiante qui se passe autours de vous. mais une fois la nuée repartie, vous voila de nouveau immobile enfermer dans se monde gris, les projecteurs l'ont quitté, rideau... Mais pourquoi s'arrêter là, pourquoi refuser de voir le monde tel qu'ils est, pourquoi s'enfermer dans un monde triste et dépressifs, regarder vous enfermé dans votre misère, vous pouvez à peine supporter se qui vous entoure, mais vous avez tellement peurs de vivre que vous vous flagellez avec bonne volonté détruisant tout le rêves qui vous peuplent. croyez en l'impossible noyez vous dans la folie douce du rêves... venez goutter à l'hydromel de la liberté.
Je sais il faut respecter le choix de chacun qu'importe qu'ils soient stupides, mais quand le mondes fais pleurer les étoiles, quand le berceau lunaires ne calment plus la peines des aveugles, ils faut réagir, crier, hurler, que les gens se retourne sur eux même l'espace d'un instant pour se dire enfin, mais qu'est ce que je fais, pourquoi je me détruits moi-même. cesser de vous enfermer goutter à la sonates millénaires des rêves. car elle n'attend que vous !
j’ai vu un gobelin le cœur serré à regarder des papillons, des démons pleurer devant leur couleurs et pourtant comment peuvent ils s'enfermer dans le ternes une fois la danse terminée. fermez les yeux, libérez votre esprits et écouter la musique de la vie, la symphonie qui raisonnent dans chaque chose. l'espace qui vous entoure est gigantesque certes mais cessez d'en avoir peur et libérez vous, emplissez le de vos rêves, de vos visions ajoutez vos chants, votre vie à la sonate qui parcours les mondes. moi j'aime se monde mais je me lasse de le parcourir seul rejoignez moi dans ma folie, cessez enfin d'êtres votre juge et bourreau. j'ais vue une petite fée se jour, elle avait garder le même sourire, le même visage et pourtant elle était plus terne votre monde petit à petit lui volaient ses couleurs, sa joie, sa liberté. Car vous aimez que le monde vous ressemble fier de votre intelligence et de votre logique, de votre science et vos lois, vous ramenez dans vos filets toutes la liberté qui se promènent en se monde pour les enfermées dans une réalités qui n'est pas la leurs, vous vampirisez leur saveurs et pourtant vous ne saurez jamais accepter de vivre, car ses trop dur pour vous de concevoir que autant la souffrance que la joies sont des présents qui nous permettent d'avancer, vous enfermer les êtres comme moi, ceux qui veulent voir le monde, l'entendre, le chanter dans des prisons de mensonges, des mondes de solitudes. mais je serai toujours le fol de l'histoire, je danserait sur votre monde, et la tintinnabule de mes crécelles éclatera comme milles étoiles aux milieu de vie. peut-être un jour verrez vous derrières le masque du fol pour voir une vie, mais qui le méritera, un gobelin, une peluche, une fée, un elfe fors de sa raisons, un lutin peut-être. j’ai espoirs que vous décidiez d'essayer, juste essayez de comprendre mon monde rêvé, tentez de faire les premiers pas.

Ici les commentaires pour le texte de Teysa au milieu d'entre vous.

[dvédit] : édité, déplacé et fusionné ^^

Juste un truc Teysa, je veux bien lire, mais à l'heure actuelle, je lirai pas après la première ligne. Fais le relire s'il te plait, passe le en wip au pire, j'en sais rien. Mais là pour l'instant, je suis désolé et c'est peut être un peu dur, je ne lirai pas un tome long alors qu'il y a déjà 2 fautes ligne 1

j'accepte volontiers la critique (d'autant plus qu'elle ne m'est pas étrangère^^) et ne t'inquiète pas ne je ne le prend pas mal je connais mes défaut, si tu peut m'envoyer le liens ou me dire où je peut trouver un correcteur je vote pour. je dirais même que deux fautes en une ligne ça tient du progrès pour moi.

Pas besoin de demander où, quand ou comment : le patron est là pour y pourvoir ^^

J'ai donc déplacé le sujet de Teysa directement en espace WIP pour une première étape de correction.

J'ai lu les deux premiers paragraphes. Je te donne déjà quelques indications/conseils pour une première étape de correction :

- Majuscule en début de phrase : en plus du point, ça permet encore mieux de repérer les débuts et fins de phrase -> confort de lecture

- mieux aérer les paragraphes en les scindant en plusieurs autres plus petits (le pavé c'est indigeste) Et surtout, s'il te plait, change la taille de ta police (pense à nos pauvres yeux et à nos petits écrans)

- énormément de fautes de singulier/pluriel, pas uniquement en matière de conjugaison, mais surtout en ce qui concerne les groupe nominaux (nom/adjectif). Ca c'est vraiment handicapant à la lecture parce que c'est une des règles de grammaires les plus évidentes et les plus faciles (et une des premières assimilées aussi bien à la lecture qu'à l'écriture). Autrement dit, le fait qu'il y en ait autant et que ça soit des fautes évidentes (pour un non dysorthographique en tout cas) perturbe vraiment VRAIMENT la lecture, bien plus que les fautes de grammaire plus complexe ou les tournures de style. Je t'invite très vivement à relire attentivement deux ou trois fois ton brouillon avant de le poster.

Petite note à l'attention des lecteurs-correcteurs : le texte est bourré de faute que vous jugerez indigne d'un niveau CM2. C'est ce qu'on appelle de la dysorthographie (c'est comme la dyslexie mais au niveau de l'écrit). Une lecture un peu plus poussée vous permettra de voir une syntaxe cohérente (je ne parle pas des lourdeurs de style ou autres effets purement esthétiques) et une narration qui se tient tout à fait. Si vous avez déjà lu des textes de Teysa, vous ne pourrez pas nier ses qualités en dehors de la "technique" pure.

L'effort de relecture/correction dans ce WIP sera donc d'aider Teysa à repérer les fautes les plus évidentes, à les pointer (pas uniquement à corriger de façon mécanique).

Bref, on a là un vrai WIP ^^

A propos des paragraphes, on a tendance à dire qu'une idée = un paragraphe.

Autre élément d'amélioration, les "se/ce". Je ne sais pas quel règle mnémotechnique simple et imparable il existe, mais comme ça, je te proposerais d'essayer à chaque fois que tu écris "ce/se" de le remplacer par "un" ou "le". Si ca marche, même si c'est pas ce que tu veux dire, c'est que c"est "ce". Sinon, c'est "se". Moyen inverse, tu regardes ce qu'il y a juste après comme mot, si c'est un verbe, c'est "se". Sinon, c'est "ce". Mais je pense que c'est plus complexe dans le sens où ça fait entrer en jeu la grammaire. A toi de trouver le moyen pour lequel tu peux être le plus à l'aise.

Dr Chikoun a écrit:: si c'est un verbe, c'est "se". Sinon, c'est "ce". Mais je pense que c'est plus complexe

ce + verbe

va falloir aller chercher plus loin le moyen mnémotechnique ><

Le moyen ne fonctionne pas avec le c' ou s' , mais il est très utile avec ce ou se.

se + verbe
ce + nom ou adjectif

Comme dit Cassi, c'est juste pour "ce/se". C'est déjà une bonne avancée de savoir corriger cette faute, s'/c' c'en est une autre.

Et dans tous les cas, un/le à la place de ce fonctionne quand même.

ouh le vilain grammar nazi Chikoun... j'ai bien failli me laisser abuser par cet adjectif qualificatif d'entourloupeur !

"C'est bien le sens de ce que nous souhaitons exprimer".

On utilise "ce" devant un nomsi on peut dire "un" ou "une".
Tu ne peux pas le faire avec "se".

"Ce" est un adjectif démonstratif, il pointe du doigt.
Exemple : Ce con, Ce naze, Ce nul.
Il est de même nature que cet/cette.

"Se" est un pronom personnel (généralement), il renvoie le verbe à un sujet. Il note l'appartenance au groupe verbal.
Exemple : Il se mange (il mange lui même), Elle se gargarise (elle gargarise elle même).

On utilise "se" devant un verbe si on peut dire "il"/"elle".
(en réfléchissant on pourra trouver se devant un nom notamment par apposition)

"Les papillons se transforment" => "Ils se transforment". (tu ne peux pas le faire avec "ce")

ça et sa, c'est presque l'inverse dans la règle.
Mais ça garde le même sens de "montrer du doigt" / "appartenance".

La règle est là pour différencier deux concepts.
C'est ça qu'il faut comprendre quand on use des mots : la syntaxe est là pour donner un sens à des concepts.

Lire ce petit truc :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Natural_Semantic_Metalanguage

Il indique l'ensemble des concepts qu'on utilise.

"ce" est un déterminatif.

La grammaire n'est pas un ensemble de règle en soi sans aucun sens. C'est un choix d'expression de concept. Faire une faute de grammaire équivaut généralement à faire une faute dans l'expression d'un concept. Notamment la faute "se"/"ce". Il est très important d'aborder la grammaire comme une expression sémantique d'un ensemble de concept, des choix qui ne sont généralement qu'arbitraires mais qui s'étendent dans l'ensemble d'un langage.

ce, cet, cette, ceci, cela, celui, celle sont tous reliés à des concepts de détermination du mot. Ils "montrent".

Les moyens mnémotechniques sont tellement nombreux qu'il est impossible de tous les apprendre. Je pars du principe que c'est la sémantique de la langue qui va te permettre de ne plus faire ce genre de fautes.

Exprimer la pluralité sur un nom : "s"
Exprimer la pluralité sur un verbe : généralement "ent", "ons", "ez".

Exprimer le "toi" sur un verbe : "s" (tu mangeS)
Exprimer le "toi" sur un nom : "txxxx", ton, ta, toi, tu et aucune modification du nom (ton chat)

Etc.

Les règles ne sont pas faites pour faire chier. Elles sont là pour communiquer sur support entre nous. La faute d'orthographe ou d'oubli n'est pas grave, la faute qui indique la méconnaissance du concept et de son usage est, elle, beaucoup plus grave dans l'expression d'un dialogue.

Oublier un "s" n'est pas grave, c'est un oubli.
L'oublier 50% du temps c'est ne pas avoir compris l'expression du concept de pluralité.

De bons psychologues d'ailleurs peuvent voir immédiatement en fonction de la répétition de fautes, l'exact ressenti de celui qui utilise l'écriture pour exprimer ce qu'il est. Réfléchis y.

je trouve se texte très interessant, tu donne au monde une réalité qui laisse à réfléchir sur son mode de vie, et en même temps on se retrouves plongés dans un monde fictif entouré de gobelins, fées ou même lutins.
un jugement dur sur le monde qui me donne envie d'entré dans le tiens. Content

Le dernier commentaire avant moi n'a pas pris en compte les précédents.....

Le dernier commentaire avant moi n'a pas pris en considération qu'il s'agissait d'un WIP... (trois points suffisent pour suspendre une réflexion soit dit en passant, cinq c'ets un peu too much Heureux

)

Même si Aikoh fait encore beaucoup de faute, au moins elle apporte de l'eau à notre moulin par ses remarques.

Les WIP servent avant tout à nous entraider à corriger les textes ou à mettre en avant les premières impressions pour confirmer ou infirmer les intentions des auteurs. On ne va pas non plus se mettre à corriger les commentaires des commentaires des floods.

Ceci dit Aikoh, petit conseil : commence à prendre l'habitude de faire attention à tout type de rédaction et d'intervention écrite (parce que c'ets* quand même vrai que t'en a caser plein partout des fautes dans ta courte intervention^^)

Woolfie : un avis plus détaillé peut-être sur le texte de Teysa ?

*c'ets pas une faute ! c'ets juste un gage d'authenticité, comme un poinçon sur une fourchette !

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