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 Les mondes reliés, Heldrann et Nardheln

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Calaïs

Calaïs


Masculin Nombre de messages : 187
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Date d'inscription : 20/02/2008

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MessageSujet: Les mondes reliés, Heldrann et Nardheln   Les mondes reliés, Heldrann et Nardheln Icon_minitimeVen 29 Fév - 11:59

[HRP] j'ai commencé l'écriture de ce livre il y a deux ans, j'en suis au sixième chapitre mais il continue d'avancer doucement, je vous met ici le premier chapitre Des mondes reliés, Heldrann et Nardheln. Mes lectures étant surtout orientée vers le fantasy je m'en suis inspiré pour écrire.[/HRP]

Chapitre 1

Cela faisait plusieurs jours qu'ils pleuvait sur Samariis. Les gardes situé aux portes s'ennuyaient et jouaient tranquillement aux dés quand un homme se présenta devant les portes, ses cheveux longs et noirs étaient trempés, collé dans son dos, le visage de l'homme semblait marqué par l'expérience des combats longs et douloureux.
Les gardes furent surpris de voir un homme voyager seul par ce temps et à cette heure, il était minuit passé. La jument du voyageur était noire, d'après ses formes et sa façon de marcher venait de chariaviria, ce canton était réputé pour ses chevaux. Le sergent arrêta l'étranger à quelques mètres avant les murailles et lui demanda ce qu'il venait faire à Samariis, l'homme ne répondit pas et le sergent lui indiqua que de toute manière les portes ne s'ouvriraient pas avant le matin.
L'étranger sourit, Samariis lui avait manqué, il savait comment passer ces murailles et faire ouvrir les portes. Il écarta l'un des pan de sa cape révélant une lourde épée, il la sortit et fit approcher sa jument jusqu'au sergent et de ses compagnons, ces derniers s'affolèrent voyant le guerrier s'approcher arme sortie et sortirent les leurs. Une fois assez près du sergent l'étranger fit pivoter son épée et la tendit au sergent qui eut alors l'insigne des vogueurs sous le nez, le sergent poussa un petit cri de terreur en voyant plus nettement le visage du cavalier, il inclina la tête et dit :
Seigneur Laol, je ne savais point que vous veniez a Samariis sinon...
Je suis un vogueur sergent, je ne sais jamais ou je vais... Vous les ouvrez ces portes ou vous désirez attendre le lever du jour ?
Tout de suite. Le sergent se retourna vers les gardes et leur ordonna d'ouvrir les portes.
Une fois ces dernières ouvertes Laol s'engouffra dans Samariis sous la pluie continue. Cela faisait des années qu'il n'était pas revenu ici, il suivit l'allée principale, les torches qui l'éclairaient crépitaient lorsque les gouttes d'eau venaient à les toucher.
Laol savait ou il allait, la taverne des vogueurs se trouvait dans la neuvième enceinte. Le cavalier travers les huit premières enceintes avec le seul bruit des sabots de Iuta, sa jument. Juste avant de passer la neuvième enceinte un énorme bruit se fit entendre a sa droite, Laol porta la main a son épée et se rendit compte qu'il s'agissait juste d'un semi géant, gardien d'une taverne, qui jetait dehors un jeune étudiant de l'académie des puissances. Ce fut en se rappelant de ses propres souvenirs de l'académie que Laol rejoignit la taverne des vogueurs.
La bâtisse se trouvait le long de l'avenue principale, c'était un grand bâtiment blanc reconnaissable grâce à l'insigne des vogueurs, deux épées croisées sur un bouclier, qui se balançait suivant les rafales de vent. Laol posa pied a terre devant l'édifice et frappa le code, une petite fente s'ouvrit dans la porte, laissant voir deux yeux qui avaient l'air surpris devant le visage souriant de Laol. La fente se referma rapidement et le guerrier entendit les trois verrous de la porte s'ouvrir, puis il vit la porte faire de même. L'homme qui se trouvait derrière la porte était un personnage assez rondouillard au visage jovial, une fois le second battant de la porte ouvert il dit :
- Il n'y en a bien qu'un seul pour réveiller un honnête tavernier à cette heure !
- Que veux tu mon ami, on ne se refait pas...
- Aller rentre ! T'attend la venue de l'Ombre Noire ?
Laol tira sa jument dans la grande cour et tendit les rênes de Iuta a un jeune palefrenier,
- Méfie toi pour tes pieds mon garçon elle aime bien en écraser quelques uns. Dit Laol au jeune
garçon ayant saisit les rennes de Iuta. Une fois ses conseils donné le jeune guerrier se retourna
vers le tavernier et lui demanda :
- Gromurf. Suis- je le premier ou les autres sont déjà arrivés ?
- Otomo est arrivé il y a deux jours accompagné de Maok, Diros est arrivé dans la journée d'hier, Ganon doit arriver demain ou après demain.
- Merci a toi mon ami. Tu as une chambre de libre pour un jeune vieux vogueur ?
- Bien sur ta chambre habituelle t'attend sous les toits


Après avoir remercié le tavernier Laol se dirigea vers le bâtiment. En passant a coté des écuries il entendit un cri de douleur, apparemment le jeune palefrenier n'avait pas fais assez attention et Iuta s'était amusée.
Le vogueur entra dans la taverne, vide a cette heure ci, et monta l'escalier, arrivé sous les toits il se rendit compte qu'il avait oublié les clés, n'ayant pas envie de descendre et de remonter les quatre étages il décida de faire un peu appel a la magie. Ses yeux devinrent blanc et un courant d'air chaud se fit sentir dans les couloirs, peu après les clés passèrent en volant devant les quatre autres portes du couloir avant d'atterrir dans la main du magicien. Il ouvrit alors la porte et remarqua que rien n'avait changé, il avança dans la pièce et ses yeux redevinrent blanc, la porte se referma doucement poussée par un faible courant d'air. Une fois la porte fermée les yeux de Laol reprirent leur couleur verte irisée d'orange habituelle. Laol retira alors sa cape et sa cotte de maille puis il les déposa sur un mannequin en bois disposé là à cet effet, ensuite il retira son épée et accrocha son ceinturon a la tête de lit enfin il se laissa tomber sur le lit ou il s'endormit comme une masse...

[HRP] je me doute que vos commentaires seront acérés mais dites les quand même, ainsi cela m'aidera a progresser...[/HRP]
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Calaïs

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MessageSujet: Re: Les mondes reliés, Heldrann et Nardheln   Les mondes reliés, Heldrann et Nardheln Icon_minitimeVen 29 Fév - 18:48

Chapitre 2

Bien que cela ne faisait que quelques heures qu'il s'était endormi Laol avait regagné toutes ses forces. Chose étonnante les nuages avaient fini de déverser leur eau et le soleil pointait doucement son nez au dessus des plaines de Chariaviria. Laol remit son équipement et descendit dans la salle commune, un guerrier au longs cheveux blonds était en train de discuter avec Gromurf a voix basse.
- Ganon !
Le guerrier se retourna prestement et sourit a son ami.
- Laol mon ami ! Quand est tu arrivé ?
- Je suis arrivé cette nuit, mais j'ai quand même eu le temps de me reposer
- Et où sont les autres ?
- Tu les connais toujours a roupiller.
- On va les attendre, j'ai une faim de loup, j'ai galopé toute la nuit depuis Valfort pour arriver ici.
- Cela ne m'étonne pas de toi, tu as toujours été un ventre sur patte il n'y a pas de raison que cela change... Gromurf nous prenons une table tu t'occupe de nous servir ?- Pas de problèmes Laol !
Les deux amis allèrent s'assoir à une table dans un angle, une fois installé un homme mesurant a peu près un mètre quatre vingt dix sautait au bas de l'escalier, il était un peu plus petit que Laol mais plus carré, il avait les cheveux châtain et les yeux verts, il était suivit par un autre homme de taille moyenne et ayant les cheveux châtain foncé, coupé court, sa cape noire jurait avec ses yeux bleu clair. Quand les deux nouveaux venu virent Laol et Ganon attablé dans leur coin leurs visages s'illuminèrent et ils se dirigèrent vers eux en riant.
- Otomo, Maok ! Comment allez vous ? Leur demanda Laol.
On va bien. lui répondit le plus grand qu'était Otomo.
- Et Diros toujours au lit ?
- Tu connais ce fainéant non ? Lui répondit l'homme a la cape noire.
- Oui c'est vrai... J'ai entendu dire que vous étiez arrivé a Samariis il y a deux jours. Qu'avez vous appris de nouveau ici ?
- Rien de spécial... On a retrouvé certains de nos camarades de l'académie des puissances... répondit Otomo Apparemment tout ceux qui en sont sortit diplômé ont fini comme élite dans l'armée. Il n'y a bien que nous pour avoir choisi d'intégrer la guilde des vogueurs...
Au moment ou Gromurf déposa un plateau comportant 5 petits déjeuné Diros arriva en bas de l'escalier. Il était de taille moyenne et avait les cheveux noir semi court, ses yeux étaient marron. Il rejoignit la compagnie encore endormis et tira son petit déjeuné à lui sans dire mot.
Une fois que la tablée eut fini de manger en reparlant de leurs années d'études Laol prit la parole :
- Bon les gars si je vous ai réuni ici ce n'est pas pour parler du bon vieux temps, bien qu'on s'y soit bien amusé. Avoua-t-il.
- Alors ? Pourquoi est on là ?
- J'y viens, j'y viens, un de mes amis, un boréade vivant dans le canton de Riaviria m'a annoncé qu'une chose grave se passait dans le monde de Nardheln, l'Ombre Noire qui cherche à conquérir Nardheln depuis des années gagne de plus en plus de terrain, si Elle continue ainsi nous ne pourrons presque plus utiliser nos pouvoirs dans le monde d'Heldrann. Mon ami m'a demandé d'essayer de réunir les peuples magiques d'Heldrann pour leur demander de retourner prêter main fortes aux troupes elfiques de Nardheln.
- Quoi ! S'exclama Otomo. As tu seulement idée du nombre de créatures magiques d'Heldrann et des endroits différents dans lesquels ils vivent ?
- C'est pour cela que je fais appel a vous. Vous savez aussi bien que moi qu'a nous cinq nous maitrisons tout les éléments, Otomo tu maitrise l'eau, Maok le feu, Ganon toi tu maitrise la terre, Diros les pouvoirs de la chair et moi ceux de l'air. Si on se débrouille bien on peut couvrir tout les cantons très vite en restant ensemble.
- Oui c'est vrai, mais bon on pourrait d'abord se remettre en jambe non ? Cela fais des mois que je n'ai combattu en équipe.
- C'est juste c'est pareil pour moi, Gromurf tu n'aurais pas une quete dont personne ne veut ou ne peut s'occuper ?
- J'ai bien une extermination de vermine gobeline au niveau de la ville de Solterra, mais a part cela je ne peux que vous proposer des travaux au champs...
- On prend l'extermination c'est bon, où se trouve la zone a nettoyer ?
- C'est à une demi journée d'ici, à l'ouest, je suppose que vous connaissez la colline du crolle ?
- Bien sur... Ne me dit pas que les gobelins attaquent la ville située derrière le crane !
- Et bien si c'est cela...
- Malgré les sentinelles ?
- Depuis que les troubles ont commencé dans l'autre monde les sentinelles ne bougent plus, comme si elles attendaient quelque chose, ou quelqu'un...
- Enfin bon on verra cela sur place... Laol se retourna vers ses amis. On part a midi on prendra ces gobelins par surprise à la tombée de la nuit. On ne reviendra peut être pas ici alors prenez vos affaire...
Les autres approuvèrent et allèrent faire leurs paquetages
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Calaïs

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MessageSujet: Re: Les mondes reliés, Heldrann et Nardheln   Les mondes reliés, Heldrann et Nardheln Icon_minitimeDim 2 Mar - 17:23

Voila j'ai un peu de temps tranquille, je vous met le troisième chapitre :

Chapitre 3

Les cinq aventuriers se retrouvèrent donc plus tard devant la taverne sous l'enseigne représentant l'insigne des vogueurs. Ils dirent tous au revoir à Gromurf et montèrent en selle, avant de partir Laol demanda au tavernier :
Dis moi, tes gobelins ils sont combien ?
D'après mes dernières nouvelles ils étaient une centaine.
Ils ont donc très bien pu être rejoint par d'autres groupes alors ?
C'est malheureusement fort probable, a bientôt mes amis.
Les cinq vogueurs reprenaient donc la route ensemble vers l'ouest, comme lorsqu'ils avaient alors comme mission d'aller aider dans les champs pour payer leurs études.
Une fois sortit de la ville par la porte ouest le groupe partit au trot en prenant très légèrement au nord. La colline du Crolle se trouvait devant l'entrée de la vallée de Slesroc. La vallée était entourée sur trois cotés de falaises si abruptes que les murs de la ville ne devaient protéger que le sud. Avant que les troubles n'éclatent a Nardheln des sentinelles vivant dans l'immense tête de Crolle, posée sur la colline devant la vallée, empêchait quiconque ayant de mauvaises intention de rentrer dans la ville. Les cadavres étaient souvent retrouvé au pied de la tête, ou alors jamais retrouvé du tout.

Les vogueurs arrivèrent devant le crane mesurant près de six mètres de haut à la tombée de la nuit, les trois lunes l'éclairaient ainsi que toutes choses alentour, les compagnons furent alors frappé par le nombre d'ennemis a vaincre.
En effet les informations de Gromurf commençaient à se faire vieilles, près de cinq cent gobelins étaient posté près du crane. Les cinq compagnons firent demi tour et allèrent se placer dans un bosquet au fond d'un vallon pour discuter :
Il y a près d'une cohorte au pied de ce crane !
C'est vrai Maok mais il est trop tard pour faire demi tour. lui retorqua Laol. Il va falloir agir prudemment...
J'ai une idée qui pourrait nous etre utile. Proposa calmement Otomo, sans doute le guerrier le plus jeune mais aussi le plus sage du groupe.

Tandis qu'Otomo expliquait son plan, deux guetteurs gobelins ayant aperçu les vogueurs prévenaient leur chef qui ordonna aux centaines de gobelinoïdes de se mettre en place pour un combat. Des gobelourds se mirent a réveiller les petits gobelins a coup de fouets. En moins de dix minutes l'armée était prête au moment ou les derniers soldats se mirent en place les vogueurs se plaçaient en haut de la colline faisant face a celle du Crolle, ils étaient a pied et leurs armes étaient sorties. Laol tenait son épée d'une main ferme, son bouclier à bords tranchant étant fixé à son bras gauche. Otomo portait son lourd marteau de guerre sur l'épaule, ses yeux cherchant désespérément quelque chose. Maok avait encoché près de cinq flèches à son arc. Ganon, lui, portait sa lance de métal sur l'épaule bien qu'il ne soit pas a cheval son regard montra qu'il allait faire des dégâts. Diros tenait négligemment sa hache de lochabre, la lame de cette dernière frottant légèrement le sol.

Les soldats gobelins avaient les yeux braqué sur ces cinq hommes ayant osé défier leur armée. Les vogueurs quand à eux ne faisaient pas attention aux gobelins, ils regardaient le ciel et ce gros nuage s'approchant des lunes d'Heldrann, dès que ce dernier cacha la première lune le premier assaut fut donné, mais il ne venait pas des gobelins. Cet assaut venait des vogueurs, deux d'entre eux, Laol et Ganon, avaient les yeux d'une couleur différente que leur couleur habituelle, les yeux de Laol étaient devenu blanc tandis que ceux de Ganon étaient devenu vert, en deux secondes le premier rang gobelin fut transformé en statues tandis que le second rang fut plaqué au sol par un énorme vent du dessus, comme une gigantesque main les tenant écrasé entre elle et le sol. Les gobelins n'attendaient que ça et foncèrent en piétinant les gobelins au sol et en détruisant les gobelins temporairement transformé en statues, les gobelins par ces actions avaient tué près de cent de leurs propres troupes. Quand la marée gobeline arriva au pied de la colline les cinq flèches de Maok partirent se planter dans des gobelins puis s'enflammèrent, brulant ainsi nombre de gobelins autour de ceux ayant été blessé par les traits mortels. Les yeux de Diros virèrent au marron et plusieurs gobelins proche des vogueurs se retournèrent, se mettant a combattre leurs frères d'armes, le pouvoir de la chair maitrisant leurs esprits simple... Quand les gobelins arrivèrent encore plus près du groupe le carquois de Maok était vide ce qui signifiait au moins cinquante morts de plus dans les rangs gobelins, tout les gobelins maitrisé par Diros étaient mort tué par les leurs pour permettre leur avancée. Le vrai combat allait commencer.

Les vogueurs s'espacèrent avant que la vague gobeline n'arrive sur eux, en quelques secondes les trois cent gobelins restant foncèrent sur les cinq guerriers. Ceux qui tombèrent face a Maok eurent le moins de chance, leur mort fut longue dans les flammes lancées par le magicien, de véritables langues de feu zébrait la zone autour du guerrier. Otomo quant à lui pestait contre le fait qu'il n'y ait pas d'eau a proximité, ses pouvoirs étaient donc inutile au groupe, mais son marteau de guerre remplaçait avantageusement cette lacune. Le sol autour de Ganon semblait vivant, des piques sortaient du sol empalant les ennemis du magicien de la terre, une fois leur travail funèbre achevé les piques retournaient dans le sol. La chose qui prit la place de Diros juste avant le début du combat n'avait rien d'humain, la créature était très grande et ses bras étaient semblables a deux lochabres, ses yeux avaient la même forme que ceux de Diros mais leur couleur était marron, la créature semblait danser tranchant ses ennemis au passage grâce a ses lames aussi effilés que des rasoirs. Le dernier vogueur semblait intouchable il flottait a deux mètres du sol lançant d'énormes souffles de vent faisant valser les gobelins, ceux essayant de les toucher avec des flèches, lui ou ses compagnons, se retrouvaient avec leur propre flèches plantées dans la gorge.

Au bout dune demi-heure de combat les cinq hommes étaient les seul au sommet d'une colline brulée et couverte de cadavres. Les vogueurs se retournèrent vers le campement gobelin juste a temps pour voir une trentaine de gobelourds portant dans des cages six insectes. Leur corps était composé de quatre sphères de lus en plus petites, la sphère supérieures étant la plus grosse comportait un œil et deux ailes très fine battant sans arrêt pour que le corps ne touche pas le sol, la plus petite des quatre sphères comportait un dard, ces créatures n'avaient pas de bouche, leur nourriture est la magie des humain ils l'aspirent par leur œil unique, une seule piqure d'anniliteurs empêche un homme d'utiliser ses pouvoirs a vie.
Six anniliteurs. Dit Laol. Ne comptez plus sur vos pouvoirs.
En effet dès que les gobelourds furent a moins de dix mètres Diros reprit sa forme originelle. Les gobelourds se séparèrent et déposèrent les anniliteurs en hexagone autour des cinq vogueurs. Une fois les cages déposées les Gobelourds foncèrent sur le groupe, masse levée. L'un d'entre eux se prit une flèche gobeline dans la bouche, Maok n'ayant plus de flèches dans son carquois en avait récupéré une de la gorge d'un des gobelins. Le second gobelourd reçut un coup sur la tête de la part du marteau d'Otomo, le marteau avait non seulement plié le casque a nasal mais avait aussi défoncé le crane, pourtant réputé solide, du gobelourd. Les cinq amis étant plus agile et sachant mieux manier les lames ne mirent pas longtemps a se débarrasser des gobelourds, race pourtant connue pour sa résistance. La hache de Diros et l'épée ainsi que le bouclier de Laol tentaient de trancher les têtes des gobelinoïdes, la lance de Ganon malgré sa taille n'était pas un handicap, elle trouvait les plus petites failles dans les armures et s'y plantait, les flèches gobelines tirées par Maok pénétraient elles aussi les chairs en passant des les articulations des armures gobelines. Otomo quant à lui ressemblait a un forgeron au travail explosant les cranes avec son marteau et répandant le peu de matière grise des gobelourds de partout. A vrai dire en moins d'un quart d'heure il ne restait aucun gobelourd, Laol avait pourtant aperçu quelques gobelins qui étaient entré dans le crane.
« Débarrassons nous d'abord des corps » proposa Maok. Le groupe tua d'abord les six anniliteurs et les cadavres se mirent a glisser vers le sommet de la coline puis à s'entasser. Certains corps étaient ramené grâce aux pouvoir de l'air de Laol, d'autres par les pouvoirs de la terre de Ganon, une fois tout les corps en tas ce dernier coupa la tête d'un gobelourd et la fit transpercer par un pieu de pierre, puis des lettres se gravèrent sous la tête qui elle même se transformait en pierre : « Ici est morte une cohorte gobeline et trente gobelourds, toi gobelinoïde de toute race, si tes intentions sont mauvaises passe ton chemin, les vogueurs veillent ». Maok mit le feu aux nombreux corps et se retourna vers son ami :
Pourquoi as tu fais cela ?
Un jour mon père est parti de notre maison de Slesroc pour chasser des voleurs gobelins avec des amis, trois jours plus tard une patrouille nous rapportait sa tête, son corps avait été brulé et sa tête empalée, plantée devant l'entrée d'un petit camp gobelinoïde qui avait été monté sur le lieu du carnage.
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