Un souffle merveilleux anime les nuages,
Transporte les esprits par delà la conscience,
Transposant ses écrits vers d'autres échouages,
Ineffable désir de toutes ses souffrances.
Vent tapageur dans les silences de ses yeux,
Une larme s'écrie en roulant d'une joue,
Traçant un chant d'eau pure aux atours de bijou,
Solitaire joyaux d'une vie sous les cieux.
De ses cris déchirants en espoirs insoumis,
Effaçant, en un mot, un monde sans couleurs,
Il s'écrit, se devine, et se fait ennemi,
De ses douces amies, de ses maux enjôleurs.