l'amour

Je les avait posté séparément sur Aëringor, là, je les ai regroupés, parce qu'ils avaient un lien entre eux






J'atend vos critiques. Je ne les avait pas retravaillé, sinon ils auraient perdus tout sens à mes yeux

je les ai écris durant la période la plus sombre de ma vie, celle où je n'avais plus envie de rien et que même la vie ne m'interessait plus. C'était juste après une rupture amoureuse, cet état m'a duré 6 mois, mais maintenant elle est finit, j'ai beaucoup appris de ce moment et maintenant, je profite à fond de la vie

Citation :

Tout n'est que souffrance
Tout n'est que pur haine
Tout comme cette présence
Qui te coule dans les veines

Tel un feu liquide
Elle s'installe au milieu du vide
Te couvrant de regrets
Vivant pour te hanter

Elle engendre une souffrance
Qui te plonge dans une transe
Que seule la mort peut effacer
Evitant de nombreux regrets

Tu ne peux y réchapper
En ton sein, c'est scellé
Ce sentiment appelé amour
Qui te tue sans détour

Ce premier poème m'a énormément plu, je dois te l'avouer, en particulier ceci :

Citation :

Tout n'est que souffrance
Tout n'est que pur haine
Tout comme cette présence
Qui te coule dans les veines

Oui cette vision de l'amour est bien sombre...mais elle est également l'apanage des jeunes gens, pour qui-encore- la vie se résume aux sentiments, puissants, irréfléchis et intenses.

Le reste du poème me plait un peu moins, il n'a pas la force de ces premiers mots, qui ont dus, eux, te tourner dans la tête, telle une litanie, pour sortir, purs, jettés sur du papier pixelisé.

Citation :

Belle, gracieuse, douce, telle était ma vie
Mais elle ne fut qu'éphémère
Maintenant je pense qu'elle est finie
Elle qui en tout pour tout m'indifère

Mon coeur n'a plus aucun désir
Mon corps ne se laisse plus attendrir
Mes envies ne sont plus que des ombres
Mes peurs sont revenues en nombre

Je ne faisais qu'aimer
Mais cela m'a été enlevé
Tout ça pour un souhait
Un souhait qui m'a tué

Mon âme est en perdition
Dans un vide bien trop profond
Elle ne peut pas s'en échapper
Tout doucement, elle va se désagréger

Pratiquement aucune faute d'orthographe et un style toujours aussi élégant et simple à mes yeux de néophyte dans cet art de la poésie. Vraiment, j'aime te lire.

Citation :

Douce était la vie qui m'habitait
Du moins, c'est ce que je croyais
Mais plus je grandissais, plus je m'enlisais
Dans une souffrance qui me poursuivait

Je ne sais comment m'en défaire
De cette souffrance qui ne m'indiffère
Je ne sais plus ce qu'il faut faire
Contre cette souffrance qui n'est éphémère

Plus personne ne peut me comprendre
Moi qui n'ai plus d'envie, plus de désir
Plus personne ne peut m'entendre
Moi qui ne veux plus rien dire

Je ne peux plus supporter cette souffrance
Je ne sais plus pourquoi je vis avec elle
Alors que la mort serait une douce délivrance
Avant l'heure du repos éternel

J'ai tout de même une remarque. Le premier lu m'a enchantée, le deuxième beaucoup plu, le troisième nettement moins. Il y a comme une lassitude chez le lecteur, car on a pratiquement la sensation de copié/collé. En effet, même si le thème abordé est sensiblement le même dans tes trois poèmes, ce qui est compréhensible, tu n'as pas fait l'effort ni de varier le rythme, ni de varier le choix de tes mots. On entend des répétitions d'un texte à l'autre, et même au sein d'un même texte. Si ta plume est délicate, ta recherche du mot parfait, de la sonorité adéquate n'est pas assez approfondie.

Travaille ça, et ce sera un véritable bonheur de te lire.

PS : je me suis permise quelques menues corrections orthographiques, j'espère que tu ne m'en voudras pas, mais en ceci aussi réside la perfection et l'excellence d'un poème.

merci Dounette et je les ai posté du plus récent au plus ancien sachant que le troisième est le premier poème que j'ai écris.