Mémoires Aelissiennes [Auteurs multiples - Commentaires du recueil]

Je serais donc la première à commenter.

• Ramrod.

Je vis avec lui, et pourtant, cet homme continu à me surprendre. Avez vous lu son texte? Comme ça, sans savoir que c'était lui.. auriez vous imaginé que c'était du Ramrod? Où sont les bruits, les dialogues, les onomatopées, les réponses au tac o tac chères au cœur de l'auteur d'"avant Ramrod". Ce n'est plus le même style, Ramrod a changé de peau.
Un très joli morceau de vie, decrit avec la douceur d'une vision d'enfant. Les phrases sont fluides, bien construites, les lourdeurs évitées, et ca coule tout seul. J'ai adoré, vraiment.

• Grendelor

Tu as vraiment bien su décrire l'atmosphère de Galvorn ! J'étais complètement transportée en lisant ton texte. Le personnage est très justement croqué, on est y. Tu écris toujours aussi bien.

• Airet

Il a fallu le lire deux fois pour tout piger, et encore ! Suis sure que j'ai manqué des subtilités. Et j'ai bien rit ! Excellent ! Une chose de sure : Smirty nous a tout marqué...

Un début de mémoire extrêmement prometteur. C'est génial d'entrer ainsi en Ter Aelis de manière plus intime, et vous avez tous super bien joué le jeu.

et n'oublions pas non plus Aillas, pour son introduction

La petite dernière arrivée, "Errer, se poser, chanter" d'Hugo Zeppeline, m'a beaucoup fait sourire.

C'est très bien écrit (un peu gros, tout de même ^^), riche et fluide en même temps.
L'histoire m'a intrigué et notamment un détail bête m'a fait douter plusieurs fois.

Le héros, Balthazar, porte le même prénom que notre Historien Hednot (qui est cité).
Et l'on parles bien de "Hednot" (nom de famille de Balthazar) et de "Cicéron" (prénom de Cépacaret).
Ces deux figures n'étant pas appellées de la même manière, je me pose des questions, surtout avec la dualité du prénom Balthazar.
Sinon, j'ai beaucoup aimé le jour des offrandes de Ramrod, le jour des Shetland, et .. le mariage de Ram & Dou ? Dou, enceinte ? Damné Graal, on ne me dit rien à moi !!

La fin m'a surpris quelquepeu, bien plus allégorique et rapide que le reste, un peu "courte".
Cependant, ton texte est très agréable et frais. Bien vu.

EDITH : Je me dis, en ayant posté ce comm', qu'il serait pas mal que tout un chacun pose un titre à son texte. Ca serait tout de même plus pratique qu'un "le texte à machin, là" ...

Bonne initiative, Ramrod. J'ai renommé ma nouvelle Toile Cirée. Pour Aillas, effectivement, tu peux y ajouter un titre introductif, puisque c'est également un petit morceau de nouvelle en soi. Content de voir que les habitants participent et garnissent la bibliothèque. A suivre de près, donc.

Damné Graal, que ce recueil me semble déserté de commentaires, à défaut de textes.
Et pourtant, voilà qu'au détour d'une visite hasardeuse, je vois un texte ajouté dernièrement par Sephi.
Tiens ?

Alors voilà ce que je pense de An 18627 :

Déjà, ça m'a fait sourire que tu mettes en scène à la fois ton "petit-fils" et toi-même. Ton explication de la dynastie sephyrienne dans toute sa splendeur ^^. Ensuite, je vois que tu évoques les petits-enfants d'aelissiens connus, qui portent bizarrement la contraction des noms de leurs aïeux (et non leur parents directs, comme on pourrait le supposer), ce qui situe très vite ton récit quelques années en avant du présent actuel (D'ailleurs, la numérotation 18627 m'a laissé perplexe après-coup).
Une fois cela acquis, on suit l'histoire : quelques bizarreries apparaissent, quelques phrases mal peaufinées également, mais cela se lit sans encombre. La relation Papa-Grand Papa-Petit fils aurait mérité plus d'approfondissement, mais on y trouve un interêt certain (Dis donc, pas commode, ton fils, à première vue ...).
Je trouve juste dommage que ton texte n'aie pas été plus "peaufiné" (c'est l'impression que ça m'a laissé, mais c'est peut être faux). Tout va très vite, on sent bien que t'avais un paquet de choses à dire et que tu tentais de ne pas faire trop long non plus. On est un peu noyé sous le flot d'informations, qui passe en premier plan par rapport à la relation affective, attrait qui méritait à mon avis plus d'efforts. Le petit Sephilarh est un peu "lisse", son amour pour son père et son grand-père un peu idéalisé ... En tous cas, je salue deux choses : une nouveauté dans le recueil (je m'aperçois d'ailleurs que je n'ai pas commenté Nahis et Cassi, juste avant) et un récit plutôt futuriste chez un acharné de la Fantasy !

Merci mon Sephi.