<Ramalok>[devoir n°2]{Ominoe}

Sujet : Décrire une scène romantique, terre, début 23eme siècle en deux fois et à chaque fois du point de vue de l’homme et d’une façon différente.

-*c’est cette nuit le grand moment, Maintenant qu’elle est rentré je dois lui dire.* Isabelle ! -Oui ?
-J’ai une surprise pour toi.
-Une surprise ??
-Ce soir nous allons au restaurant. Pas n’importe lequel, nous dînerons chez François !
-Tu es un amour Matéo !
Il l’embrassa.
-Va vite te préparer.
Une heure après, Matéo était entrain de faire les cent pas dans la cuisine
en pensant au dîné. pas très élégant comme phrase
*-Ce doit être le meilleur*

Elle arriva dans la cuisine. hum.. s'il s'est préparé il l'attendrait plutôt dans le salon non ?
-Je suis prête. Déclara-t-elle.
Ils sortirent dehors. Le ciel était illuminé d’étoile. Matéo appela un taxi. Le taxi arrivait arriva, l'action est sur le même plan que les autres silencieusement, flottant à dix centimètres du sol. La porte s’ouvrit, une marche pied se déplia. Ils montèrent. L’intérieure était noire, une vitre en verre les séparait du conducteur. Celui-ci leur demanda, poliment, dans un micro où ils allaient. où ils voulaient aller -Nous allons au restaurant François Matéo tendit un MA* au conducteur. je croyais qu'il y avait une vitre La musique emplit la voiture. Après une demi-heure de vole, ils arrivèrent devant le luxueux restaurant. Matéo paya le conducteur puis se retourna et alla au comptoir. a priori il entre dans le restaurant d'abord
-J’ai réservé une table pour deux sur la terrasse au nom de Jonme.
Le serveur lui répondit :
-Si vous vouliez bien me suivre, je vais vous montrez votre table.
Une fois correctement installer, ils commandèrent des écrevisses avec de l’espadon. En dessert ils prirent un gâteau aux pommes d’amour. Ils mangèrent tranquillement en bavardant de tout et de rien.
-Mais pourquoi nous as-tu emmené à ce restaurant ?
-Cela faisait longtemps qu’on était pas aller au restaurant donc j’avais
pensé que l’on pouvait compenser la quantité par la qualité, tu ne crois pas ?
A ces mots une coupure de courant survint dans tout le quartier. Un garçon vint leur allumer des chandelles.
-Les bougies font romantique tu ne trouve pas ?
On se croirait dans les temps ancien, en Italie. Soupira t-elle de bonheur.
*-C’est le moment où jamais*
Il se leva, stressé. Il mit un genou à terre. Il sorti une petite boite. se mettre à genoux dans un resto ? Ca se fait pas trop ça...
-Isabelle veux tu m’épouser ?
D’une main tremblante il ouvrit la boite. Un anneau d’or était posé sur un coussin de soie.
Les yeux d’isabelle brillaient de joie. Elle prit sa respiration et murmura :
-Oui je le veux.


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Commentaires : comparaison par rapport au premier sur le décalage d'ambiance recherché


-*Nous sommes le 14 Février, c’est cette nuit le grand moment, Maintenant qu’elle est rentré je dois lui dire.* Isabelle ! un apport quelconque de la date est discutable
-Oui ?
-J’ai une surprise pour toi, mon amour.
-Une surprise ??
-Ce soir nous mangerons au restaurant. Et pas n’importe lequel, nous
dînerons dans le restaurant le plus réputé et le plus romantique de la ville, chez François !
-Ho matéo. Tu es un amour !
Ils s’embrassèrent avec passion.
-Va vite te préparer, chéri Passage pas mal là on a effectivement une touche plus romantique...
Une heure après, Matéo était entrain de faire les cent pas dans la cuisine en pensant constamment au dîné.
*-Ce doit être le meilleur. Le meilleur et le plus beau !*
Elle arriva dans la cuisine. Resplendissante. Elle portait une robe noir qui descendait jusqu’aux chevilles avec un léger décolleté. Le visage était peu maquillé, sa peau sentait la lavande. Matéo était un peu étourdi par cette belle créature. bonne tentative aussi, mais la dernière phrase fait trop surjoué... trop exagéré
-Je suis prête.
Déclara-t-elle joyeusement. variation judicieuse, là aussi...
Ils sortirent dehors. Le ciel était illuminé d’étoile et la lune brillait de mille feux. pas mal ça
Matéo appela un taxi.
La taxi glissait silencieusement, flottant à dix centimètres du sol. La porte s’ouvrit, une marche pied se déplia. Ils montèrent. L’intérieure était noire, une vitre en verre les séparait du conducteur. Celui-ci leur demanda,
poliment, dans un micro où ils allaient. -Nous allons au restaurant François.
Matéo tendit un MA* au conducteur. Une musique douce emplit la voiture.
Après une demi-heure de vole, ils arrivèrent devant le luxueux restaurant. Matéo paya le conducteur puis se
retourna et alla au comptoir. -J’ai réservé une table pour deux sur la terrasse au nom de Jonme.
Le serveur lui répondit avec le sourire aux lèvres: -Si vous vouliez bien me suivre, je vais vous montrez votre table.
Une fois correctement installer, ils commandèrent des écrevisses avec de l’espadon. En dessert ils prirent un gâteau aux pommes d’amour. Ils mangèrent tranquillement en bavardant de tout et de rien.
-Mais pourquoi nous as-tu emmené à ce restaurant ?
-Cela faisait longtemps qu’on était pas aller au restaurant donc j’avais pensé que l’on pouvait compenser la quantité par la qualité, tu ne crois pas ? A ces mots une coupure de courant survint dans tout le quartier. Un garçon vint leur allumer des chandelles.
-Les bougies font romantique tu ne trouve pas ? On se croirait dans les temps ancien, en Italie. Soupira t-elle de bonheur. Un violoniste des rues s’installa sur la terrasse et débuta « Fidelio »
de beethoven. idée interessante bien que pour le coup ça soit carrement un rajout à l'histoire...
*-C’est le moment où jamais*
Il se leva, respira un grand coup et souffla, stressé. Il mit un genou à terre, la regarda dans les yeux. Il sorti une petite boite. Prit sa respiration. plus de détails pour plus de romantisme... pas bête mais là c peut-être too much nan ?
-Isabelle veux tu m’épouser ?
Tout s’étaient arrêté. D’une main tremblante il ouvrit la boite. Un anneau d’or était posé sur un coussin de soie rouge.
Les yeux d’isabelle brillaient de joie. Elle prit sa respiration et murmura :
-Oui je le veux.
Pas mal là la fin...

*MA : mini cassette sur lequel de la musique y est enregistré.

Correction par le mentor : Ominoé


Hum...
Je suis pltôt surpris, en bien, de la qualité des textes. Pas mal du tout, mieux que le premier en tout cas.

Quand à la consigne, ma foi bien compris aussi mais tu as utilisé de manière trop parcimonieuse la puissance du verbe pour marquer une ambiance tout de long. On distingue cependant des efforts par endroit.

C'était quelque chose de difficile, on va pas refazire ça pour le moment... on y reviendra peut-être d'ici quelques devoirs pour mesurer la progression

*correction détaillée à venir*