Tour 1, Poule 2
- Citation :
- Sujet : « Ne désespère pas, Tour Eiffel »
Contraintes : Réaliser une pochette musicale sous paint. Le nom du groupe est aussi le nom d'équipe, et le sujet est le titre de la chanson.
Autre : Les trois premiers de la poule de cinq passent au deuxième tour
Rendu n°1 : dvb et Vlynn (qualifiés au deuxième tour)Ta flèche plantée en ville
Au cœur des amoureux
Ton regard de métal
Au fond de mes yeux bleus
C'est comme un RER
Qui fonce dans la clairière
C'est comme la ligne quatre
qui foncerait sur Montmartre
N'désespère pas, ma belle
Dans la ville des lumières
J'ai besoin de ton air
Tu es ma Tour Eiffel
Le Champs de Mars est froid
Au cœur des amoureux
Sur le Trocadéro
C'est triste quand il pleut
Que l'on vienne d'ici
Ou Washington DC
Sur les marches de Chaillot
Dans mon cœur il fait beau
N'désespère pas ma belle
Sous le ciel de Paris
Le Monde nous envie
Tu es ma Tour Eiffel
De la bouche de métro
Au cœur des amoureux
Le sac en bandoulière
D'un pas aventureux
C'est comme un air de fête
Qu'on chante à tue-tête
C'est comme un air de France
Pour entrer dans la danse
N'désespère pas ma belle
Dans les rues de Lutèce
On jouera notre pièce
Tu es ma Tour Eiffel
Tes jambes en résille
rend'nt mon coeur amoureux
Ca y est je pars vrille
Je me sens vaporeux
C'est comme un air de fête
Ton sourire qui m'entête
C'est comme une belle offrande
Je te fais ma demande
Tu es ma Tour Eiffel
Tu es la seule que j'aime
Je suis le seul qui t'aime
N'désespère ma belle
Tu es ma Tour Eiffel
N'désespère pas ma belle
Tu es ma Tour si belle
N'désespère pas Eiffel
Rendu n°2 : Exodus (...) et JarwillTu sors enfin du grand couloir
Avec déjà l'oeil au beurre noir.
L'un d'eux a voulu t'isoler façon parloir,
Tu lui a r'fait le portrait, signé Renoir!
Alors qu'tu montes sur la scène,
V'la l'public qui se déchaîne.
Tu t'tiens sous les viva droite comme un chêne,
Alors qu'résonne le nom d'la Belle de Seine!
Ref : N'Désespère pas ma toute belle,
J'te mènerais jusqu'à la gloire en première!
N'Désespère pas Tour Eiffel,
Ils ont pas fini d'la voir briller ta lumière!La salle se noie sous l'bruit
Tandis qu'on sonne les trois coups de minuit.
A peine le juge frappe la cloche
que l'premier s'avance pour la taloche.
Il commence par l'crochet à la mâchoire,
Mais ton poing l'cueille et l'envoie choir.
Les perruches vont d'voir s'trouver un aut' perchoir:
L'Jésus de Rio a les bras en croix, l’œil en pochoir!
Ref : N'Désespère pas ma toute belle,
J'te mènerais jusqu'à la gloire en première!
N'Désespère pas Tour Eiffel,
Ils ont pas fini d'la voir briller ta lumière!Les parieurs sont en délire,
Les bookmakers s'remplissent les tirelires!
Les challengers font la queue comme au bar,
Histoire d'être les premiers à t'envoyer au trottoir.
Les frappes pleuvent comme des coups d'buttoir,
Mais c'est la Dame de Fer qu'manie le hachoir!
La Muraille de Chine succombe face à l'envahisseur
Et la Grande Ben de son glas sonne sitôt l'heure.
Ref : N'Désespère pas ma toute belle,
J'te mènerais jusqu'à la gloire en première!
N'Désespère pas Tour Eiffel,
Ils ont pas fini d'la voir briller ta lumière!Alors qu's'écroule le Quatar et ses pinces d'or,
Voilà qu'arrive sous les paillettes le seul vrai cador.
La Dame de Fer frémit devant tout l’auditoire,
Mais c'est pas le moment de s'passer à l'abattoir.
C'est le colosse des ricains qui te toise de sa hauteur,
Montre lui donc c'que c'est un vrai travail d'auteur!
Les poutres grincent sous les coups d'fureur,
Y'a rien d'pire qu'un combat entre deux sœurs.
Ref : N'Désespère pas ma toute belle,
J'te mènerais jusqu'à la gloire en première!
N'Désespère pas Tour Eiffel,
Ils ont pas fini d'la voir briller ta lumière!Elle a voulue t'la jouer à l'American devoir,
Tu lui as donné la réplique à la Audiard.
Le géant bascule dans un instant d'gloire,
Mais faut savoir qu'Hollywood est revanchard,
Et c'est toi qu'on finit par poser sur l'billard.
Les infirmières t'tournent autour avec les blousards,
Y' m'donne tous l'impression d'une bande de busards,
Raison pour laquelle un soir on disparaît dans l'brouillard.
Ref : N'Désespère pas ma toute belle,
J'vais t'l'arranger moi même ta douleur!
N'Désespère pas Tour Eiffel,
Quel sorte d’entraîneur pourrait pas se changer en soudeur?Rendu n°3 : Lumeï et Mirwane (qualifiées au deuxième tour)Lève les yeux
Et voit dans le ciel les lueurs
Lève tes yeux,
Regarde, ne compte pas les heures
Qui s'envolent,
Qui s'envolent
Du haut de la grande tour.
Refrain
Eiffel,
Le colosse parisien,
La généreuse montagne artificielle
M'envoie glisser de la main
Des rêves dans vos matins.
Pour que tu te lèves.
Ici il n'y a personne,
Tu peux reconstruire l'espoir.
Seule la nuit sonne
Lorsque les idées tombent
Du ciel,
Du ciel,
Du haut de la grande tour.
Eiffel,
Le colosse parisien,
La généreuse montagne artificielle
M'envoie glisser de la main
Des rêves dans vos matins.
Pour que tu te lèves.
La hauteur c'est l'ampleur
De tes espérances.
Et même si une heure a pleuré,
Elle s'apaisera en une danse.
Deux, trois pas,
Tu seras son jeune partenaire
Du haut de la grande tour.
Eiffel,
Le colosse parisien,
La généreuse montagne artificielle
M'envoie glisser de la main
Des rêves dans vos matins.
Pour que tu te lèves.
N'aie pas peur d'être seul
Quand tu rêves.
Au réveil d'avoir été veule
Quant tu te lèves,
Tu voleras,
Tu voleras,
Là où chantent les montagnes,
Du haut de la grande tour.
Un voyage
Au milieu des nuages.
Eiffel,
La montagne de fer, la belle
Me prête un bout de nuit
Pour gribouiller vos envies.
Eiffel,
Le colosse parisien,
La généreuse montagne artificielle
M'envoie glisser de la main
Des rêves dans vos matins.
Pour que tu te lèves.
Tu
Te
Lèves.
Rendu n°4 : Green Partizan et Cassiopée (qualifiés au deuxième tour)A force de voir depuis ma fenêtre
Les passants faire la queue sous ta robe
J'ai fini par me dire que peut-être
Sous ton air froid tu n'étais pas si snob
Pour que tu cèdes enfin au chant de Mars
Je vibrerai comme un métalophone
Sous les courbes ouvragées de tes arches
Dis-moi, dis-moi que tu te déboulonnes
Ne désespère pas, ma tou... r'Eiffel !
Si je suis en dessous de tout... r'Eiffel !
Des étrangers escaladent tes jambes
Des amoureux s'embrassent sous ton nez
Sur cette esplanade que tu enjambes
Ils viennent chatouiller tes doigts de pied
Et tu restes de bronze, silencieuse
Tu balances à gauche, tu tangues à droite
Indifférente à la mêlée fiévreuse
Cette foule de gens qui te convoite
Ne désespère pas, ma tou... r'Eiffel !
Oh j'ai crié ton nom partout... r'Eiffel !
Debout sur ton piédestal solitaire
Ma tour de fer dans un champ de velours
Tu balaies l'horizon de tes lumières
Tu éclipses les beautés alentours
Ignorant les saisons sous ton bardage
Ta rousseur métallique te maquille
Comme une demoiselle entre deux âges
Ah, si je pouvais prendre ta bastille
Ne désespère pas, ma tou... r'Eiffel !
Voyant ceux qui te tournent autou... r'Eiffel !
Pourtant tu feins toujours de m'ignorer,
Vierge recluse dans ta tour d'ivoire
Je t'ai fait la cour, tes marches j'ai grimpé
Tu refuses obstinément de me voir
Tu me crois touriste américain
Préférant les grandes blondes pulpeuses
Quand je ne suis qu'un titi parisien
Amoureux de tes courbes anguleuses
Je désespère de tou... r'Eiffel !
Car tu ne m'aimes pas du tout... r'Eiffel !
Rendu n°5 : Lilith et OnyrisSous la grisaille,
Le mauvais temps
Contre la marmaille
Et les passants.
Tu veilles fidèle
Phare citadin
Paris la Belle
Obstinément.
Ne désespère pas, Tour Eiffel
Marmots et parisiens n'oublient pas
Que sous les pigeons et les averses
Comme le leur, ton cœur bat !
les filles de joie dans les troquets
Et les bobos dans leurs palais
Boivent et chantent à l'unisson
L'âme de la ville en une chanson
Et les couples amoureux
Inventent de nouveaux jeux
A tes pieds transis
Dans le froid de Paris.
Ne désespère pas, Tour Eiffel
Sous tes airs fiers,tu nous observes
Voyeuse de fer, centenaire.
Par les ruelles
Et les vieilles pierres
Quand Paris s'éveille
Dame de fer, éternelle.
Les chats gris
Les allées sales
Les ivrognes ébahis
Dans les matins pales
Ne désespère pas, Tour Eiffel
Le temps passe sous ta ferraille
Où l'amour des fous s’encanaille
Ton grincement pour ritournelle.
Sous la grisaille,
Le mauvais temps
Contre marmaille
Et passants.
Tu veilles fidèle
Phare citadin
Paris la Belle
Obstinément.