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 la douceur de la fin.

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Aikoh kote

Aikoh kote


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MessageSujet: la douceur de la fin.   la douceur de la fin. Icon_minitimeLun 12 Jan - 21:09

Pour public averti !!!


Aujourd’hui, dans un monde semi-apocalyptique où il n’y a plus d’électricité à cause de nos ancêtres et de leurs centrales nucléaires qui ont ruiné une partie de notre monde, je suis seule survivante.
Oui, la seule parmi une race que je ne connais pas. Ils me ressemblent, c’étaient des êtres humains autrefois.
Au début, les hommes pensaient que c’était la religion qui nous tuerait à cause des guerres entre les peuples, la pollution, le réchauffement climatique ou que sais-je encore ?

Malheureusement, il n’en est rien.

C’est un mal qui nous a surpris, qui a feint d’être comme nous, nous ne savions pas, et mes amis sont aussi des leurs maintenant, ma famille, le monde entier.
Heureusement, il reste une denrée que nous avons sauvé grâce à un système de recyclage à l'infini et dont nous ne manquerons plus jamais, l’eau.

Je me présente, je m’appelle Myra, j’ai 23 ans, je ne suis pas très grande, un mètre cinquante-sept la dernière fois que je me suis mesurée. Je suis brune aux yeux noir, la peau hâlée, quelques petites origines asiatiques dans le sang qui se voient à peine. Aujourd’hui, il est temps que je prenne un bain, se cacher parmi des cadavres dans la fosse commune, ça pue.
La plupart du temps, ces choses qui ont envahi le cerveau des hommes ne les contrôlent qu’un temps.  
Dans ces moments là, lorsqu’ils sentent un être humain comme moi, il ne faut surtout pas les regarder dans les yeux.

Une fois je l’ai fait et c’était monstrueux.
Je voulais raisonner un homme transformé, mais déjà ses pupilles en humant mon odeur humaine s'étaient agrandies jusqu'à recouvrir entièrement le blanc de ses yeux !
Sa bouche montrait un immense sourire carnassier et je l’avais senti pénétrer mon âme pour m’aspirer dans les limbes...
C’est à ce moment là qu’un autre homme est apparu les yeux fermés, il m’a poussé et m’a dit de fuir, mais je n’ai pas pu.
Je me suis caché derrière un buisson, et j’ai regardé la transformation du pauvre damné qui s'était sacrifié pour ma survie.  
Le pauvre sot se faisait dévorer le bras à moitié pour que la chose puisse y prendre place en y créant un bras reconstitué sur le premier, le bras gauche bien sûr, pour un accès direct au cerveau au cœur.
Il tomba à la renverse et dormit d’un sommeil lourd jusqu’au matin, je veillai sur lui toute la nuit durant. Une flèche avait commencé à s'enfoncer dans mon cœur, et une douce chaleur parcouru ma peau.

C’était il y à cinq ans, et je m’étais juré de ne jamais l’abandonner.

Le soleil tapait haut dans le ciel, et je faisais un pique nique parmi des personnes transformées, en veillant à ne pas les regarder dans les yeux pour ne pas éveiller les soupçons.
Arthur était là aussi, lui qui m’avait sauvé cinq ans auparavant.
Parfois la folie emportait son cerveau et je devais me cacher.
Jamais je ne l’avais encore regardé dans les yeux, je n’en connaissais ni la couleur, ni la forme, mais je n’avais pas oublié son visage endormi, souffrant le martyr, et jamais je ne l’avais abandonné.
C’est une personne formidable, il a beaucoup d’esprit et nos discutions ne sont jamais une perte de temps. Il sait que je ne suis pas une transformée, c’est le seul. Et pour je ne sais quelle raison, il a vaincu son bras « prisonnier » et m’aide à m’enfuir lorsqu’une journée shopping dérape en chasse à l’homme.
Le pique nique est fort agréable, je discute avec tous mes amis inconscients de ce qui leur arrivent, persuadés que la vie est telle qu’elle l’a toujours été, une moitié de monde reconstitué ou nous avons pu vivre en paix quelques temps pendant que le reste de la population était morte en quelque heures à peine, bombardée par des Américains paranoïaques qui jugeaient bon que l’islam disparaisse.
Entre temps, les pays islamiques, sentant la fin, ont eux même décidé de venir à bout de la menace américaine et des pays Européens les entouraient. Un formidable génocide qui a ruiné la moitié de la population mondiale et tout les pays riches du monde.
D’ailleurs, à ce jour, l’argent n’a plus aucune valeur, des personnes ont bien essayé de remettre un système de monnaie en place mais le reste de la population existante à décidé que le troc était plus approprié, et mon avis va dans ce sens.

Aujourd’hui donc, alors que notre pique nique d’une quinzaine de personnes dans une clairière magnifique était le bienvenu, et que les mets délicieux que nous avions mangés nous rendaient repus, sages dans l’ivresse d’une joie simple.
Je discutais de tout et de rien avec Arien, un homme grand et fort musclé, un peu bourru qui avait une copine, Marion, douce mais avec du caractère.
Au moment où tout le monde partait, je repérais une forte présence derrière moi, j’avais été sentie. Mais comment celà était-il possible ?
Je n’avais regardé personne dans les yeux, personne ne savait et tous partaient, tous…Sauf Arthur ! Il avait encore un coup de folie, et il me fallait fuir sans émettre de soupçon parmi les convives.
Je marchais lentement en direction de la forêt à quelques mètres, mes yeux fixant mes pieds, comme d’habitude, pensant me perdre parmi les arbres et les feuilles mortes qui jonchaient le sol, mais déjà je sentais son souffle sur mon cou.
Trop tard, je n’avais pas peur, je savais que ça arriverait un jour.
Lui voulait que je survive pour perpétuer l’espèce humaine, il avait l’espoir de me garder intacte et de trouver un être non infecté, comme un dernier souffle à l’humanité qui s'était éteinte. Je me retournais pour le regarder en face, je voulais voir une dernière fois le visage de mon ami, et sûrement de mon tueur.
Ses yeux étaient d’une beauté sans égale, l’un bleu l’autre vert, un regard pur et doux, un nez un peu long que je n’avais pas oublié, des lèvres fines que j’imaginais douces, et une peau pâle, comme si une petite lumière émanait de lui.
Comme il se transformait, ses pupilles envahissaient l’ensemble de ses yeux, sa bouche prenait ce même sourire carnassier que j’avais déjà vue auparavant,  et ma peur montait, grondait dans tout mon être alors que ses yeux aspiraient toute la volonté que je mettais à cette pensée, Fuir.
Alors que quelqu’un nous avait vu, une enfant, et parlait apparemment de partager mon bras avec Arthur, mes pensées s’évadaient au dessus de tout, loin derrière l’obscurité qui avaient avait envahi ces beaux yeux bicolores.

Je m’évanouis, la peur au ventre.

Mes rêves sont des souvenirs. Et je me souviens de cette belle journée shopping que j’ai passé avec toi.
Nous avions emporté dans un sac quelques denrées et quelques babioles pour le troc.
Je voulais me coudre une nouvelle robe, et nous regardions les soieries à notre disposition.
Il y en avait des couleurs bleu nuit, scintillantes comme si de petites étoiles s'étaient déposées dessus. D’autres avec des fleurs aux milles couleurs, et une autre, plus détaillée, peinte à la main, qui racontait le monde comme il était avant, avec des animaux aujourd'hui éteints, des maisons et non les cabanons que nous avons aujourd'hui, et la terre entièrement cultivable, d’un beau bleu qui la recouvrait.
Mais l’une d’entre elles avait particulièrement captivé mon attention.
C’étaient une soie blanche qui brillait, des fleurs de dentelles couleur crème  y étaient accrochées. J’avais déjà vu ce tissu lors de divers mariages, c’était une matière qui me plaisait beaucoup, et je rêvais secrètement de la symbolique qu’elle représentait.
Arthur pris le rouleau et alla à la caisse sans mon consentement préalable. Je rougissais en pensant coudre une robe dans un tissu si noble et délicat. Et cette idiotie m'avait fait faire une belle bêtise. Innocemment, j’avais regardé la vendeuse, ce qui avait valu une chasse à l’homme, une fois de plus.

En me réveillant, je regarde mon bras, il n’y a pas de douleur, je ne sens rien, le reste de mon corps est toujours là. Je pense « ça n’a pas de sens, une transformation ressemble-t-elle réellement à cela ? »
Arthur me regarde, de ces yeux toujours fous. « Tu n’as rien, tu n’es pas transformée, l’homme que je détiens n’a pas pu s’y résoudre ».
Je le regarde, interloquée, déjà sous son emprise et sachant que je ne pourrais plus fuir. Son sourire est amer, je sais que ce monstre veut ma mort, il s’approche doucement et sent le parfum de mon cou mince, me dit que je sens bon, une odeur de fruit frais. Il croque dedans et m’arrache un cri silencieux.
Puisqu’il ne peut rien me faire, ses yeux redeviennent normaux, mais je sens que c’est toujours le bras gauche qui commande, le sourire est resté le même, froid, amer, carnassier.
Du sang tache ses mains, est-ce l'enfant ?
Sans oser poser la question de peur de la réponse, je regarde aux alentours mais ne vois rien. Je regarde le ciel et prie pour qu'Arthur ne souffre pas trop de cette cruelle manipulation .

Je n’ai pas vraiment envie de m’enfuir, il me serre fort contre lui, et je sens une envie folle de l’embrasser pointer le bout de son nez.
Ça fait cinq ans que je rêve secrètement de voir les yeux de ce si beau visage, et franchement, au moment même ou je les ai regardés, j’ai su que plus rien ne pourrait me défendre contre l’amour que j'éprouvais pour lui, qu’il soit un être humain ou non.
Était-ce Arthur ? Il me mordillait le cou, j’avais envie de résister, de lui dire pourquoi il m’avait gardé intact toutes ces années, je me forçais à ne pas le regarder dans les yeux, mais c’était peine perdue. Au moment où nos regards se croisèrent, je l’embrassais de toutes mes forces, mes bras désespérément enlacés autour de son cou.
Le regard carnassier ne disparaissait pas, et je savais que le véritable Arthur enrageait sûrement de me sentir si vulnérable face au monstre inconnu qui se trouvait en face de moi. « Myra… » Lâcha mon interlocuteur, dans un moment de conscience qui ne dura pas.

« Mais qu’est ce que tu es ? » Cette question que je viens de poser à ce qui se trouve en face de moi, jamais je n’y avais pensé avant, tellement focalisée sur le besoin de rester en vie. Il répond avec dédain. « Je suis tous les péchés des hommes, je viens de l’autre bout de la galaxie, ni métamorphe, ni succube, ni monstre. Je suis un tout, ici pour vous détruire, tu es la seule qui n’est pas contaminée, protégée par l’homme que j’ai infesté. » Cette réponse ne m’a pas spécialement surprise, et ne me faisait pas peur non plus. Je m’attendais à tout, même à ça. « Myra… » Autre semi-conscience qui ne dura pas.

Il m’embrassa, adossé à un arbre, nous sommes certainement dans la forêt où j’ai voulu m’enfuir, triste ironie.
Il  m’assoie sur lui, je me sens perdue, seule. Il enlève ma robe en soie blanche et de son sourire froid embrasse mes seins et durcit leurs tétons. Un soupir sort de ma bouche, je suis en feu, je ne veux pas l’arrêter, pour rien au monde. Il m’allonge dans l’herbe et caresse mon ventre. Il enlève son tee-shirt et sa ceinture. Je me sens rougir au possible, mais il n’enlève pas son pantalon, ne voulant pas montré sa nudité, alors je comprends. Il veut que je me sente seule, nue et humiliée en sachant que le véritable Arthur me regarde sans doute.
Il enlève ce qu’il me reste de dignité, le soutiens gorge et la culotte en dentelle blanche transparente que je préfère, et baisse la tête entre mes jambes. Je sens que ça me brûle, je gémis, je ne veux pas, mais j’aime ça. Lorsqu’il relève la tête, je n’en peux plus, j’ai chaud partout et ma température a grimpé bien au delà du possible.
Son sourire se fait plus entendu, plus coriace que jamais auparavant, je suis totalement à sa merci. Il baisse son pantalon, son anatomie fièrement dressée, et m'assied une fois de plus sur lui. C’est une sensation inavouable, indescriptible, ça me brûle entièrement le corps, et quand je pense que c’est enfin fini, je le sens venir plus profondément encore.
Les heures passent sans que je les vois, la nuit arrive enfin. Lorsque les dernières gouttes de jouissance se rependent en moi, le sourire carnassier disparaît et laisse place à un long silence.

Je ne regarde pas Arthur, non pas par honte mais par peur que sa folie le reprenne. Je me rhabille en regardant les mains blanches et pures de cet être.
Je sais dorénavant que l’entité à pris une part bien plus importante de sa personnalité que ce que je ne pensais, et je suis à sa merci.
Il m'emmène, loin de tout.
Vais-je souffrir ? Oui, évidement. Je suis condamnée car j'aime un homme qui ne sera plus jamais lui même, je n'ai aucune chance de m'en sortir, je n'en ai pas envie. Où irais-je ? Je suis seule, et peu m'importe le temps qui passe...l'humanité a perdu.


Dernière édition par aikoh le Mer 14 Jan - 15:23, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: la douceur de la fin.   la douceur de la fin. Icon_minitimeMer 14 Jan - 14:46

Salut aikoh Salut

Je viens de lire ta nouvelle Dansant Dansant Dansant

Alors, dès le départ, j'ai trouvé l'idée d'introduire ton histoire en nous parlant d'être humains qui y ressemble mais qui ne le sont plus, super Dansant ! C'est vraiment une bonne accroche qui m'a donné envie de lire ta nouvelle jusqu'au bout. Mais hélas tes phrases sont décousues et je trouve personnellement que ça rend la lecture difficile. On saute trop du coq à l'âne. Je pense que tu as voulu retranscrire les pensées de Myra, ce qui est une bonne idée, mais peut être faudrait-il veiller à moins perdre le lecteur ?

Ensuite, insérer ton histoire dans un monde apocalyptique, c'est une très bonne idée Satisfait mais j'ai été assez frustrée par les piques d'explication que tu as semé tout au long de ton texte. Elles m'ont parues trop courtes, pas toujours amenées de manière opportune et surtout un peu trop simplifiées. Mais peut être est-ce là une déformation personnelle (j'adore tout comprendre ^^) ? Complice

J'ai également beaucoup aimé le sentiment ambiguë que ta personnage principale ressent pour Arthur. Un amour destructeur, ça marche bien Complice Mais j'aurais bien aimé que tu développes un peu leur relation, pour que l'on comprenne sans que tu le dises ce qu'elle ressent. En fait, je ne sais pas si je suis claire, mais tu nous dit trop rapidement les choses, tu ne nous laisses pas les ressentir par nous même. A titre d'exemple, quand Arthur sauve Myra pour la première fois, j'aurais bien aimé qu'on s'attarde un peu sur son étonnement du fait qu'il la sauve, sur sa curiosité qui l'a fait rester, cachée, pour regarder la scène, et sur le sentiment qui croît petit à petit en elle et qui la fait prendre soin d'un Arthur endormi avant de se jurer à elle-même qu'elle n'abandonnerai jamais son sauveur. Je veux ressentir moi aussi ce sentiment Satisfait et non pas qu'on me le dise.

Je trouve que la scène de sexe entre l'entité qui possède Arthur et Myra bien. On sent mieux ce qu'elle ressent (par rapport à l'exemple que je te décrivais plus haut) et je pense que tu décris bien l’ambiguïté de ses sentiments... même si j'aimerais que tu ailles encore plus loin Complice Pour moi, le cœur de ton texte c'est les sentiments que développent ta protagoniste pour cet être qui finira par la détruire (mentalement surtout), et je voudrais m'en délecter un peu plus.

En fait, dans ta manière de rédiger cette nouvelle, il y a certaines parties où j’accroche à fond, et je lis avidement, et d'autres où je sors de l'histoire car les phrases sont décousues ou trop simple et directe. De plus, j'ai l'impression que le niveau du vocabulaire ou le style de tes phrases n'est pas uniforme, ce qui affaiblit ton texte. Il reste aussi des problèmes d'orthographe (rien qu'au début : pour un public averti sans s à averti ^^) ou de ponctuation, ce qui n'aide pas à la lecture. Je pense qu'une simple relecture, et reformulation ou réorganisation light de certaines phrases rendrait la lecture plus fluide et ta nouvelle d'autant plus géniale  Succès total

Après, je ne sais pas non plus ce que tu attends comme commentaires. Je t'ai exprimé un premier ressenti, mais je ne sais pas si c'est ce que tu voulais, n'hésites pas à me dire si je commente HS ou si tu n'es pas d'accord  Complice

Haalysse Salut

Ah, et je te souhaite une bonne année ma chère aikoh, j'espère que l'on se reverra et qu'on aura l'occasion de mieux échanger en 2015 Heureux
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MessageSujet: Re: la douceur de la fin.   la douceur de la fin. Icon_minitimeMer 14 Jan - 15:16

Ah! Merci Haalysse. C'est exactement le genre de commentaire que je souhaitais, parce que j'étais assez étonné que personne ne commente cette lecture.
(en même temps si le lecteur n'accroche pas, tout s'explique) Encore pas mal de boulot la dessus il semblerait.
Si c'est assez décousu c'est parce que c'est un vrai rêve que j'ai fait est tenté de réécrire sur papier pour voir le résultat. ça a été corrigé par Chikoun et Koran et je l'ai un peu modifié, mais j'ai due oublier certaines choses. A revoir donc. Content

Bonne année à toi aussi ma petite Haalysse, évidement qu'on se reverra, le contraire serai bien triste. Blagueur
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MessageSujet: Re: la douceur de la fin.   la douceur de la fin. Icon_minitimeMer 14 Jan - 15:56

Si Chikoun a relu, j'ai dû les rêver les fautes ! ^^ (Koran je ne le ou la connais pas, je crois)

Et oui, je pense que l'on sent que c'est un rêve que tu essayes de retranscrire, d'où le côté décousu. J'ai hâte que tu sublimes ton texte :p

Haalysse Salut
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MessageSujet: Re: la douceur de la fin.   la douceur de la fin. Icon_minitime

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