Chez la Détente

Il l'a touche du bout de ses doigts, elle frémit. Elle attendait, ou redoutait, ce jour depuis si longtemps. Il chercha à lui faire un câlin, mais elle l'évita.
      Coleen, 16 ans, le visage mince, les joues creuses, un corps osseux, les mains et jambes squelettiques, regardait son père devant elle, droit dans les yeux. Cet être qu'elle avait pourtant bien connu et aimé un jour, et elle n'éprouvait plus rien pour lui. Il l'a répugnait, l'a dégoûtait.
       Cet être au poil poivre et sel, long et visiblement mal entretenu, a lui aussi le visage émincé et sec troué d'yeux vides et presque mauvais, les doigts abimés par la vieillesse, le froid et de mauvaises conditions.
       En le regardant ainsi, Coleen se souvient. Elle se souvenait très clairement de ses souvenirs d'enfance que son père lui avait malgré elle marqué au fer rouge dans cet état, qui l'a détruite, qui a détruit de la même manière sa famille, tout ça à cause de son égoïsme, et de son inconscience.

     Tout ça a commencé il y a bien longtemps en fait. En décembre 1998, lorsqu'elle venait de naître, elle avait 2 mois. C'était une nouvelle famille qui venait de se former, et une belle vie s'annonçait. Quelques mois plus tard, le jeune père commença à fréquenter des bars, mais raisonnablement. Il y allait peu, et rentrait assez tôt, alors sa chère et tendre laissait faire, tant qu'il était là pour la border...

Vouala vouala !!

Donc, dans le post que j'avais écrit avant, je parlais de plusieurs idées que j'avais, cette histoire est l'une d'elle. C'est un père qui a violenté sa fille dans son enfance, et cela a encore des répercutions dans son adolescence.
Je voudrais faire un parallélisme entre les actions passées qui expliquent ce qu'il s'est passé, et le présent où l'on voit les conséquences. Pour ça, j'alterne les deux, et je sais pas si c'est très compréhensible ou clair...
J'ai écrit un peu plus, donc si y a besoin de plus de texte pour juger ou corriger cet extrait, je peux en rajouter !
J'ai sûrement dû faire des fautes de temps, parce que je m'embrouille un peu avec ça !! (j'suis en S, c'est pas ma faute !! La conjugaison et moi... Voila quoi...)

Bref, en espérant que ça ne soit pas si nul que ça !!

Elec

Ma chère Electricka, comme tu le dis, c'est plus un "extrait" qu'une véritable histoire Tu dis que tu as écrit un peu plus, je pense que ce rajout serait bienvenue.

La petitesse de ton texte me laisse tout de même songeur... De même que le centre d'intérêt, qui est finalement réduit à une seule idée. Du coup je me dis que finalement ce que tu cherches à faire, ce n'est pas tant une histoire qu'une poésie en prose.

Si je devais retravailler la structure de ton texte, j'en ferai donc un poème - pas avec des rimes et tout le reste, mais juste du texte qu'on pourrait raconter et qui sonnerait beau à l'écoute. Or, en tant que poème, il faudrait autrement ton texte :

- te concentrer réellement sur la sensation que tu veux partager jusqu'à trouver les mots justes. Sois concise et claire.

- éviter le style "roman" de ta première phrase (tu ne veux clairement pas écrire un roman ) :

Elec a écrit:

Il l'a touche du bout de ses doigts, elle frémit. Elle attendait, ou redoutait, ce jour depuis si longtemps. Il chercha à lui faire un câlin, mais elle l'évita.

Tu mets de l'action dès le début, mais qui disparait aussitôt. Enlève l'action, concentre-toi plutôt sur le symbole des gestes.

- enfin, sois un peu plus claire sur l'alcoolisme du père, tout comme le fait qu'il maltraite sa fille. Pas besoin de le dire avec de gros sabots, mais il faut quand même que le lecteur comprenne. Sans ton commentaire explicatif, ça n'aurait pas été le cas.


Voilà, après tu n'es pas obligée de refaire ton texte, mais je pense qu'un point de vue extérieur est toujours utile.

Je trouve l'idée de Lep' assez intéressante. Ça changera, surtout que ce genre de sujet a déjà été traité façon nouvelle.

Je pensais pas du tout faire ça en poème, mais plutôt d'une longueur qui équivaut entre une nouvelle elle et un roman, le livre sur lequel je me base fait 165 pages, donc à peu près autant quoi (un tout pitit roman quoi)
Donc oui, le rajout de texte serait utile je pense pour que vois voyez ce que je veux dire...

Il l'a touche du bout de ses doigts, elle frémit. Elle attendait, ou redoutait, ce jour depuis si longtemps. Il chercha à lui faire un câlin, mais elle l'évita.
 Coleen, 16 ans, le visage mince, les joues creuses, un corps osseux, les mains et jambes squelettiques, regardait son père devant elle, droit dans les yeux. Cet être qu'elle avait pourtant bien connu et aimé un jour, et elle n'éprouvait plus rien pour lui. Il l'a répugnait, l'a dégoûtait.
 Cet être au poil poivre et sel, long et visiblement mal entretenu, a lui aussi le visage émincé et sec troué d'yeux vides et presque mauvais, les doigts abimés par la vieillesse, le froid et de mauvaises conditions.
 En le regardant ainsi, Coleen se souvient. Elle se souvenait très clairement de ses souvenirs d'enfance que son père lui avait malgré elle marqué au fer rouge dans cet état, qui l'a détruite, qui a détruit de la même manière sa famille, tout ça à cause de son égoïsme, et de son inconscience.

 Tout ça a commencé il y a bien longtemps en fait. En décembre 1998, lorsqu'elle venait de naître, elle avait 2 mois. C'était une nouvelle famille qui venait de se former, et une belle vie s'annonçait. Quelques mois plus tard, le jeune père commença à fréquenter des bars, mais raisonnablement. Il y allait peu, et rentrait assez tôt, alors sa chère et tendre laissait faire, tant qu'il était là pour la border...

 Coleen se leva, et marcha au travers de la salle. La tension était palpable entre le père et la fille. Elle se coinça dans un coin de la grande salle vide au murs gris anthracite. Dos à Richard, son père, elle commença à sangloter. Et si tout recommençait ? Si oui, que ferait – il pour se cacher, cette fois ?
 L'esprit ailleurs, Richard regarde les épaules de son adolescente bouger nerveusement. Il n'y pouvait plus rien, il a changé. La prison l'a changé. Le vieux père espère reconquérir sa femme, sa douce et tendre femme délicate. Au son de ses pleurs, son cœur était brisé. Il se lève alors, et se dirige vers elle. Il ne peut pas supporter de l'entendre pleurer, ça l'irrite. Quand elle était petite, il l'a prenait dans ses bras, sur ses genoux, lui caressait paisiblement les cheveux, et lui chuchotait des mots doux à l'oreille pour la consoler. Il se sentait tout particulier, tout chose, de se tenir juste derrière elle, elle avait tellement grandit, en 8 ans...
Elle sentait sa présence derrière elle, juste derrière elle... L'angoisse qui l'habite est tellement similaire à celle de sa jeunesse...

 Richard, son beau Richard... A croire qu'il préférait son cher bar et ses foutus amis qu'à elle, sa femme, sa propre femme. Lorsqu'ils se sont connus, il était si attentionné, si amant, contrairement à maintenant... Elle a eu beaucoup de mal à coucher Coleen ce soir, encore plus que la veille. Elle réclamait son père, comme toujours. Elle devait maintenant faire attention, et pleurer en silence.
 Elle entendit une porte claquer. Allongée sur son lit, Elle demeure la tête sur son oreillé. A l'écoute du vacarme de son mari, elle se réfugia immédiatement sous la couette, remontée jusqu'aux yeux. Elle tremblait, sanglotait, se recroquevillant. Il lui hurlait d'en bas de descendre, elle n'osait pas. Elle se contentait seulement de pleurer encore plus fort.
Il monta avec sa lourde démarche les quelques marches le séparants. Alors que la jeune mère se préparait à le sentir attraper la couette qui la protégait, Richard se précipita dans la chambre de Coleen. Violemment. Par reflexe, l'adrénaline la secoua, et la poussa hors de son lit et la fit chambouler dans cette même chambre.
 Seulement, la scène qu'elle vit l'arrêta net. Il était assis sur l'enfant, son enfant, la bloquant sous ses hanches, et serrait ses boudins de doigts autour du joli cou. Son visage n'était plus humain, c'était une grimace de monstre, de gargouille digne de Notre – Dame de Paris. Sa force paraissait décupler et ses gestes aussi mécanique qu'un robot. Sous cette bête « humaine » étouffait un beau visage déformé virant au rouge écarlate, la bouche grande ouverte cherchant à gober tout type d'air et n'arrivant même pas à lâcher un pauvre petit son.

Ben voilà déjà ça change tout... Comme tu pars sur une idée longue (165 pages quand tu les écris et les corrige, relis, re corrige etc... c'est un boulot titanesque déjà... une nouvelle de 30 pages ça prend déjà des semaines...) et que jusqu' ici tu avances par extrait et paragraphes, un seul remède pour le moment : continue à écrire... en s' étoffant on pourra en dire plus ^^
Tu risques d' atteindre un truc qui te convienne plus rapidement. Donc continue.

Il l'a touche du bout de ses doigts, elle frémit. Elle attendait, ou redoutait, ce jour depuis si longtemps. Il chercha à lui faire un câlin, mais elle l'évita.
Coleen, 16 ans, le visage mince, les joues creuses, un corps osseux, les mains et jambes squelettiques, regardait son père devant elle, droit dans les yeux. Cet être qu'elle avait pourtant bien connu et aimé un jour, et elle n'éprouvait plus rien pour lui. Il l'a répugnait, l'a dégoûtait.
Cet être au poil poivre et sel, long et visiblement mal entretenu, a lui aussi le visage émincé et sec troué d'yeux vides et presque mauvais, les doigts abimés par la vieillesse, le froid et de mauvaises conditions.
En le regardant ainsi, Coleen se souvient. Elle se souvenait très clairement de ses souvenirs d'enfance que son père lui avait malgré elle marqué au fer rouge dans cet état, qui l'a détruite, qui a détruit de la même manière sa famille, tout ça à cause de son égoïsme, et de son inconscience.

Tout ça a commencé il y a bien longtemps en fait. En décembre 1998, lorsqu'elle venait de naître, elle avait 2 mois. C'était une nouvelle famille qui venait de se former, et une belle vie s'annonçait. Quelques mois plus tard, le jeune père commença à fréquenter des bars, mais raisonnablement. Il y allait peu, et rentrait assez tôt, alors sa chère et tendre laissait faire, tant qu'il était là pour la border...

Coleen se leva, et marcha au travers de la salle. La tension était palpable entre le père et la fille. Elle se coinça dans un coin de la grande salle vide au murs gris anthracite. Dos à Richard, son père, elle commença à sangloter. Et si tout recommençait ? Si oui, que ferait – il pour se cacher, cette fois ?
L'esprit ailleurs, Richard regarde les épaules de son adolescente bouger nerveusement. Il n'y pouvait plus rien, il a changé. La prison l'a changé. Le vieux père espère reconquérir sa femme, sa douce et tendre femme délicate. Au son de ses pleurs, son cœur était brisé. Il se lève alors, et se dirige vers elle. Il ne peut pas supporter de l'entendre pleurer, ça l'irrite. Quand elle était petite, il l'a prenait dans ses bras, sur ses genoux, lui caressait paisiblement les cheveux, et lui chuchotait des mots doux à l'oreille pour la consoler. Il se sentait tout particulier, tout chose, de se tenir juste derrière elle, elle avait tellement grandit, en 8 ans...
Elle sentait sa présence derrière elle, juste derrière elle... L'angoisse qui l'habite est tellement similaire à celle de sa jeunesse...

Richard, son beau Richard... A croire qu'il préférait son cher bar et ses foutus amis qu'à elle, sa femme, sa propre femme. Lorsqu'ils se sont connus, il était si attentionné, si amant, contrairement à maintenant... Elle a eu beaucoup de mal à coucher Coleen ce soir, encore plus que la veille. Elle réclamait son père, comme toujours. Elle devait maintenant faire attention, et pleurer en silence.
Elle entendit une porte claquer. Allongée sur son lit, Elle demeure la tête sur son oreillé. A l'écoute du vacarme de son mari, elle se réfugia immédiatement sous la couette, remontée jusqu'aux yeux. Elle tremblait, sanglotait, se recroquevillant. Il lui hurlait d'en bas de descendre, elle n'osait pas. Elle se contentait seulement de pleurer encore plus fort.
Il monta avec sa lourde démarche les quelques marches le séparants. Alors que la jeune mère se préparait à le sentir attraper la couette qui la protégait, Richard se précipita dans la chambre de Coleen. Violemment. Par reflexe, l'adrénaline la secoua, et la poussa hors de son lit et la fit chambouler dans cette même chambre.
Seulement, la scène qu'elle vit l'arrêta net. Il était assis sur l'enfant, son enfant, la bloquant sous ses hanches, et serrait ses boudins de doigts autour du joli cou. Son visage n'était plus humain, c'était une grimace de monstre, de gargouille digne de Notre – Dame de Paris. Sa force paraissait décupler et ses gestes aussi mécanique qu'un robot. Sous cette bête « humaine » étouffait un beau visage déformé virant au rouge écarlate, la bouche grande ouverte cherchant à gober tout type d'air et n'arrivant même pas à lâcher un pauvre petit son.

Eve sait que Coleen est allée voir son père. Elle a peur. Très peur. Elles s'étaient convenues qu'à la moindre tentative, l'adolescente devrait appuyer plusieurs fois sur la même touche de son portable, pour que l'appareil l'appelle en urgence. Cela faisait déjà 1h déjà qu'elle était partie, et toujours rien. Eve se résonnait, ou du moins, elle y travaille. Elle cuisine, pour se calmer. Elle a toujours aimer cuisiner, c'est d'ailleurs comme ça qu'elle avait réussit à charmer Richard, à l'époque. Il disait que leurs enfants promettaient d'être fort physiquement, tellement sa cuisine était bonne. Maintenant, elle n'arrivait même plus à satisfaire sa propre fille, le sang de son sang, la chair de sa chair. Depuis le départ de son père, elle ne mangeait que très peu, et se contentait du minimum vital... Ca l'inquiète, mais elle n'y peut rien. Elle se sent impuissante vis à vis de son appétit. Elle n'a pas pris soin d'elle comme il le fallait lorsque son père était là, alors elle veut à présent la meilleure des mères. Eve continua consciencieusement de malaxer la pâte de son future gâteau, un gâteau aux pommes. Peut être était – ce lié à son prénom, mais c'est le préféré de Coleen, et ce depuis toujours. La radio hurlait en fond une musique de métal, pour qu'elle n'ait plus à entendre ses peurs...

Coleen se faisait moquer à l'école. Tout le monde la dévisageait à cause de la couche d'écharpes et de foulards qu'elle avait. Les fond de teint de sa mère n'avaient pas réussit à cacher les marques de mains, mais avaient suffit à cacher ses cernes et sa pâleur. En dessous de ses écharpes, un col blanc collé à son cou cachait tant bien que mal les rougeurs, pour ne pas qu'elle ai trop chaud en ce mois de mai. La jeune fille essayait de tenir comme elle le pouvait jusqu'à la récréation pour aller pleurer aux toilettes, mais être assise au milieu de tous à la regarder était un vrai supplice. Elle devait supporter, alors elle supportait. Elle ne pouvait plus écouter la maîtresse, les hurlements de son père lui arrachaient encore les oreilles. Elle ne pouvait plus voir autour d'elle, son visage monstrueux s'érait encré et tatoué à sa rétine. Tout la hantait. L'enfant n'avait ni chaud ni froid au cou, elle ne sentait plus rien. Même en elle, elle était devenue insensible. Tout était irrité dans son corps, et tout son organisme pleurait de sang, un sanglot ensenglanté silencieux. C'est ce qu'elle faisait, elle pleurait en elle pour faire passer le temps devenue interminable pour elle. Plus rien n'avait de sens, plus rien n'avait le mérite de son attention. Plus rien, plus personne. Tout était noir. Elle avait aussi cette impression, affreuse impression, que c'était écrit en énorme sur son front, que son père lui... Lui... Sur sa chaise au fond de la classe, elle ne bougeait pas, fixait son cahier, le stylo plume « Hello Kitty » à la main. Elle ne bougeait pas, elle se contentait de revivre constamment la scène, la même vision, les mêmes cris, le même manque d'air. Le même cauchemar. Coleen se souvient qu'il lui criait souvent dessus avant, mais jamais elle n'avait pensé l'avoir énervé à ce point hier. Il faut qu'elle soit encore plus sage maintenant, et qu'elle ai des bonnes notes. Oui, il faut qu'elle fasse ça...

Doucement, il s'approche encore plus d'elle, au point d'être presque collé à sa fille. Ca lui rappelle d'anciens souvenirs agréables... Très agréables... Il lève doucement sa main, et la dépose sur son épaule.
Depuis le moment où elle a sentit la présence de cet être, de ce vieux dont elle avait à présent peur mais qu'elle avait appris à mépriser, elle avait arrêter de trembler et de pleurer ; elle écoute, très attentivement. Sa main sur son bras l'angoisse et la met mal à l'aise. Ses nerfs tremblaient à sa place, et elle supportait, comme toujours. Sa main la caressa doucement, ses poils se hérissaient, des souvenirs lui revinrent en tête, comme des infos flashs à la télé. Son portable dans sa poche lui faisait de l'oeil depuis un petit moment déjà. Ca la tentait, mais comment ? Comment s'y prendre ? Et si elle n'a pas le temps ? Ou pas l'occasion ? La panique monte, son cœur s'emballe, bat, vite, rapide, où aller ? Quoi faire ? Comment ? Elle se sent comme une proie sous le viseur d'un chasseur...Fffffou... Faut se calmer... Doucement... Souffler... Elle se retourne, face à l'homme. Son aparence de clochard pervers lui faisait à la fois peur et pitié. Elle veut lui cracher sa rage à la gueule, et s'enfuire en courant, comme une voleuse. La jeune reste là, sans rien faire, sans savoir quoi faire. Il est collé à elle, ses yeux relevés un peu vers le haut. Elle se sentait plus grande, plus forte, plus puissante que lui. Mais elle est maigre, plus que maigre. Elle a une apparence squelettique et cassante. S'il lui fait quoi que ce soit, comment pourrait elle se défendre ? En attendant l'aide... Il lui sourit, un sourire en coin de lèvres, avec un regard qu'elle avait malheureusement appris à connaître. Le coin. Elle est dans le coin de la pièce avec un père maintenant ex – prisonnier en face d'elle qui a vraisemblablement comme « super » idée de récidiver. Elle essaya de réfléchir plus vite. Comment prendre son téléphone assez discrètement sans qu'il ne se doute de rien ? Pour cacher sa réflexion, elle se remit dos à lui, et se remua les méninges...



Voila quasi le texte complet de ce que j'ai fait jusqu'à maintenant !! Il ne manque que quelque ligne...