Sujet: Travail de description. Les sensations dans l'eau.
Il courait… Il courait depuis déjà un bon moment. L’heure ? Il ne la connaissait pas. La raison ? Non plus. Tout ce qu’il savait, c’est qu’une force, en lui, le poussait à courir dans cette forêt. Il continuait de courir
jusqu'à
présent les "courir" servaient un peu de refrain... pas mal fait les trois premiers répétés comme c'était... mais là c'est peut-être celui de trop... zigzaguant à travers les arbres, dérapant sur les tapis de mousses et se relevant…
joli Il court toujours. Soudain, c’est la liberté. La
force, invisible, en lui, a arrêté de le pousser. Cette
force a même disparut.[/i] [color:de57="darkorange"]ARGGGG on reste au passé. Et là répétition du mot "force"
Il se trouvait dans une
clairière. L’herbe était grasse et courte. Au centre de la
clairière, un lac, d’un bleu azur, alimenté par un ruisseau, appendice d’un quelconque fleuve coulant non loin de las
"là"...
et puis ton idée est bonne mais le mot appendice fait très sophistiqué, et pour tout dire peu poétique... autre chose eut été mieux...L’adolescent regarda le ciel
là faut penser à arrêter la phrase ^^ quelques nuages filaient et un beau soleil répandait ses rayons sur l’astre bleu.
l'astre bleu ? Metaphore très peu parlante, là... il s'agit du ciel, du lac ?Il suait et avait chaud. Il se sentait inconfortable dans ses vêtements qui lui collaient à la peau.
Bien aussi cette phrase Il prit la direction du
lac. Au bord du
lac, il se déchaussa et mit le pied dans
l’eau pour vérifier la température de
l’eau.
Là deux phrases à mettere en une, ça économiserait une répétition, en plus... Au contact de l’élément liquide, l’adolescent eu un frisson.
L’eau était fraîche. Il se déshabilla puis glissa lentement dans le lac. Quelques brasses lui suffire pour se réchauffer.
Pas mal là la finLe jeune adulte nagea vers l’entrée du ruisseau et s’y allongea. L’eau caressait ses muscles rompus. Le courant massait son corps brisé par la course. Il se sentait léger.
Pas mal tout ça... Le soleil qui était maintenant à son zénith réchauffait l’eau. Son esprit était en paix, tout les tracas de ce monde étaient envolés, oubliés. Les chants des oiseaux le berçaient.
Bien aussi, mais le "réchauffait l’eau" casse un peu ^^ pas poétique ça...Il s’endormit…
Il se réveilla quelques heures plus tard. Il sortit de l’eau en pleine forme et revigorer
revigoré. Une fois séché et habillé, il regarda dans les profondeurs du lac. A ce
moment, la force invisible du matin le reprit. Et il se remit à courir
dans la forêt vers un lieu qu’il ne connaissait pas.
Hum... mitigé là-dessus, mais on en rediscutera...[hrp] désolé rendu avec un peu de retard. [/hrp]
A la bourre pour la corec donc tu es pardonné