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 <Ramalok>[devoir n°1]{Dounette}

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Ramalok




Masculin Nombre de messages : 168
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Date d'inscription : 24/11/2007

<Ramalok>[devoir n°1]{Dounette} Empty
MessageSujet: <Ramalok>[devoir n°1]{Dounette}   <Ramalok>[devoir n°1]{Dounette} Icon_minitimeSam 24 Nov - 22:09

Citation:
"
Vous êtes un chevalier errant, du temps d'Arthur. Vous n'avez pas de
fortune, juste votre armure, votre cheval et votre serviteur, un homme
du commun un peu félé, qui vous voue un véritable culte. Vous incarnez
un personnage imbu de lui même, loufoque et décalé.


Deux cavaliers chevauchaient seuls dans une grande forêt battue par le vent. La boule luminescente dans le ciel commençait à descendre vers
l’horizon.

« -Messire, il faudrait s’arrêter. La nuit commence à tomber. Les ombres des ténèbres ne sont pas des gens à côtoyer. »

Souffla t-il apeuré entre ses dents.

«-Que craint Ô sombre fêlé ? Ces ombres des ténèbres tremblent devant Ma puissance. C’est Celle de notre dieu qui arme mon bras vengeur que
personne ne peut défaire. »

« -Ho oui messire pardonné les stupides craintes de votre loyal serviteur. »
« -Tout est pardonné car Je suis miséricordieux. »
« -Vous êtes trop bon. »
« -Bien nous allons nous arrêter ici. » Déclara-t-il en montrant du doigt un amas plus épais de buissons et d’arbres dont les branches fournissent sont près du sol.
« Nous pourrons nous faire un abri contre toutes tentatives d’intrusions bien que mon bras soit puissant des êtres plus que des ombres rôdent dans cette forêt mais n’est crainte car la lumière qui brille en moi les repousses. »


Ils rejoignirent l’amas rapidement, après quelques minutes un filet de fumée serpentait entre les arbres.

« -Seigneur laissé moi préparer le souper de ce soir. » Dit-il d’un ton implorant.
«-Non point ne saurais cuisiner mon plat préféré, qui est du lapin, à part moi ! Ce soir je te ferais l’immense Honneur de t’apprendre un
proverbe. »


« -Ho merci maître vous êtes trop bon. »

« -Je sais déjà cela serviteur, il faudrait de l’enfoncer dans le crâne. » déclara-t-il avec une pointe d’agacement dans la voix.

La nuit tomba sur les deux voyageurs aussi vite qu’un chasseur sur sa proie. Après un bon repas bien mérité, le chevalier sa calla contre un
arbre et déclara :
« -On est jamais mieux servit que par sois même. »
« -Que dites-vous, maître ? »
« -C’est ces paroles que je t’ai promises tout à l’heure, cervelle de moineau. Maintenant que nos estomacs son bien remplis de la somptueuse
chair, je vais pouvoir dormir. »

Sur ces mots il plongea aussitôt dans un profond sommeil.

C’était la pleine lune, un hibou hulula, le vent soufflait dans la cime des arbres.
Basius, le serviteur se retourna dans ses couvertures. Une branche craqua, le volatile s’envola à tir d’aile comme si il avait été chassé. Un souffle
rauque se répercuta dans le profond silence de la forêt Basius tremblota sous ses couvertures.
*Ô maître Risleud protéger moi au nom de votre corps, de votre bras vengeur et de votre intelligence suprême, amen.*

« -M’as-tu prié hier soir ? »
« -Oui seigneur, avec beaucoup de ferveur. »
« -Sais tu pourquoi nous nous enfonçons dans cette sombre forêt ? »
« -Aucune pensée sur cela ne me viens à l’esprit maître Risleud. »
« - Crétin ! Je sais que tu as écouté à la porte, prend sa pour ta désobéissance ! »

Le chevalier gifla violemment Basius au visage avec son gant en métal.

«-Je vais te ré expliquer, cette bonté me perdra, alors nous nous dirigeons en ce moment même vers la demeure d’un puissant dragon vert.
Il dort au plus profond de la forêt. Nous serons bientôt sur son territoire. Enfaîte nous y sommes. Nous devons le terrasser. »

« -Seigneur ! Un dragon est une terrible bête. Nous ne pourrons lui résister ! »
« -Ne t’inquiète pas. » souffla t-il entre ses dents avec un regard de malveillance.

Ils débouchèrent sur une immense clairière. Risleud se leva sur ses étriers forma avec ses mains un porte-voix qu’il emmena à la bouche :

« - Isorn ! Réveille toi de ton long sommeil. »
Un craquement sonore se fit entendre. Les arbres, à l’opposé des cavaliers, s’effondrèrent sur une immense masse, verte, sombre. Devant
Basius et Risleud se dressa un colossal dragon. Isorn, dragon tant redouté même du Roi Arthur et de son preux chevalier.
Un silence lourd tomba sur la forêt.

« -Que viens tu faire ici humain ? Je vais te réduire en charpie toi qui a osé me réveiller. »

« -Viens si tu l’ose, monstre ! »
« -Maître enfuyons nous. » cria le pauvre serviteur apeuré sur sa selle.
*Risleud tout puissant, toi le plus fort de tous les hommes prie pour moi. Je t’en conjure ne me laisse pas mourir ici, amen.*

Le silence retomba sur la « clairière ». Puis un bruit de galop se fit entendre. Risleud se retourna, fou de rage. Toute une cavalerie menée
par Arthur en personne, chargeait d’entre les arbres fonçant droit sur le monstre vert. Ils l’avaient suivit !

« -En avant chevaliers ! Pour la table ronde ! Pour Excalibur ! Et pour la gloire ! Chargez ! »
Cria le Arthur, à son côté un des chevaliers sonna un cor, le puissant son se répercuta dans la forêt. A droite de Arthur, un chevalier dans
une armure qui brillait de mille feux, c’était Lancelot, chevalier de la Dame du Lac.

« -Ha ! Arthur et sa troupe vous ne valez rien contre lui mouhaha ! Isorn élimine les ! »

Le dragon sans écouter Risleud projeta sa queue, les cavaliers furent fauchés et s’écrasèrent contre les arbres.

« -Maintenant c’est à ton tour, jeune inconscient meurt ! » déclara t-il en se tournant vers le chevalier qui le défiait.

Le dragon cracha un flot gigantesque de flammes.

« -Haha je n’ai point peur de toi pauvre lézard mouhahaa. »
Avant que les flammes ne les enveloppent le pauvre serviteur qui regardait son maître put lire dans les yeux de celui-ci la folie.

Dans une salle blanche capitonnée, un homme sur un lit criait en gesticulant.

Centre pénitencier, de Sainte-Conté. Centre psychiatrique.
Patient numéro 48. Attention dangereux,
Il a immolé son colocataire.
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Dounette




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Date d'inscription : 22/11/2007

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MessageSujet: Re: <Ramalok>[devoir n°1]{Dounette}   <Ramalok>[devoir n°1]{Dounette} Icon_minitimeSam 24 Nov - 22:28

Deux cavaliers chevauchaient seuls dans une grande forêt battue par le vent. La boule luminescente dans le ciel commençait à descendre vers l’horizon.

« -Messire, il faudrait s’arrêter. La nuit commence à tomber. Les ombres des ténèbres ne sont pas des gens à côtoyer. "

Souffla t-il apeuré entre ses dents.

« -Que crains-tu, Ô sombre fêlé ? Ces ombres des ténèbres tremblent devant Ma puissance. C’est Celle de notre dieu qui arme mon bras vengeur, ce bras que personne ne peut défaire. »
« -Ho oui messire [/color]pardonnez les stupides craintes de votre loyal serviteur. »
« -Tout est pardonné car Je suis miséricordieux. »
« -Vous êtes trop bon. »
« -Bien nous allons nous arrêter ici. »[/color] Déclara-t-il en montrant du doigt un amas plus épais de buissons et d’arbres dont les branches [color=royalblue]fournies étaient situées près du sol. « Nous pourrons nous faire un abri contre toutes tentatives d’intrusions - bien que mon bras soit puissant - des êtres plus que des ombres rôdent dans cette forêt mais [color:7c06="royalblue"]n'ai crainte car la lumière qui brille en moi les repousses. »(problème de rythme dans la phrase. ca manque de ponctuation)
Ils rejoignirent l’amas rapidement, après quelques minutes un filet de fumée serpentait entre les arbres.

« -Seigneur laissez moi préparer le souper de ce soir. » Dit-il d’un ton implorant.
« -Non point ne saurait cuisiner mon plat préféré, qui est du lapin, à part moi ! Ce soir je te ferais l’immense Honneur de t’apprendre un proverbe. »

« -Ho merci maître vous êtes trop bon. »

« -Je sais déjà cela serviteur, il faudrait [color:7c06="royalblue"]te l’enfoncer dans le crâne. »déclara-t-il avec une pointe d’agacement dans la voix.

La nuit tomba sur les deux voyageurs aussi vite qu’un chasseur sur sa proie. Après un bon repas bien mérité, le chevalier se calla contre un arbre et déclara :

« -On est jamais mieux servit que par soi-même. »

« -Que dites-vous, maître ? »

« -Ce sont les paroles que je t’ai promises tout à l’heure, cervelle de moineau. Maintenant que nos estomacs sont bien remplis de la somptueuse chair, je vais pouvoir dormir. »
Sur ces mots il plongea aussitôt dans un profond sommeil.

C’était la pleine lune, un hibou hulula, le vent soufflait dans la cime des arbres.
Basius, le serviteur se retourna dans ses couvertures. Une branche craqua, le volatile s’envola à tir d’aile comme si il avait été chassé. Un souffle rauque se répercuta dans le profond silence de la forêt Basius tremblota sous ses couvertures.
*Ô maître Risleud protégez moi au nom de votre corps, de votre bras vengeur et de votre intelligence suprême, amen.*



« -M’as-tu prié hier soir ? »

« -Oui seigneur, avec beaucoup de ferveur. »

« -Sais tu pourquoi nous nous enfonçons dans cette sombre forêt ? »

« -Aucune pensée sur cela ne me vient à l’esprit maître Risleud. »

« - Crétin ! Je sais que tu as écouté à la porte, prend ca pour ta désobéissance ! »

Le chevalier gifla violemment Basius au visage avec son gant en métal.

« -Je vais te réexpliquer, cette bonté me perdra. Alors (n'oublie pas les ponctuations ! utiliser "alors" en debut de phrase est à banir, c'est du langage trop familier) nous nous dirigeons en ce moment même vers la demeure d’un puissant dragon vert. Il dort au plus profond de la forêt. Nous serons bientôt sur son territoire. En fait nous y sommes. Nous devons le terrasser. »

« -Seigneur ! Un dragon est une terrible bête. Nous ne pourrons lui résister ! »

« -Ne t’inquiète pas. »souffla t-il entre ses dents avec un regard de malveillance.

Ils débouchèrent sur une immense clairière.
Risleud se leva sur ses étriers et forma avec ses mains un porte-voix qu’il emmena à la bouche :

« - Isorn ! Réveille toi de ton long sommeil. »

Un craquement sonore se fit entendre. Les arbres, à l’opposé des cavaliers, s’effondrèrent sur une immense masse, verte, sombre. Devant Basius et Risleud se dressa un colossal dragon. Isorn, dragon tant redouté même du Roi Arthur et de son preux chevalier.
Un silence lourd tomba sur la forêt.
« -Que viens tu faire ici humain ? Je vais te réduire en charpie toi qui a osé me réveiller. »

« -Viens si tu l’ose, monstre ! »

« -Maître enfuyons nous. » cria le pauvre serviteur apeuré sur sa selle.
*Risleud tout puissant, toi le plus fort de tous les hommes prie pour moi. Je t’en conjure ne me laisse pas mourir ici, amen.*

Le silence retomba sur la « clairière ». Puis un bruit de galop se fit entendre. Risleud se retourna, fou de rage. Toute une cavalerie menée par Arthur en personne, chargeait d’entre les arbres fonçant droit sur le monstre vert. Ils l’avaient suivit !

« -En avant chevaliers ! Pour la table ronde ! Pour Excalibur ! Et pour la gloire ! Chargez ! » Cria le (le Arthur?) Arthur, à son côté un des chevaliers sonna un cor, le puissant son se répercuta dans la forêt. A droite d'Arthur, un chevalier dans une armure qui brillait de mille feux, c’était Lancelot, chevalier de la Dame du Lac.

« -Ha ! Arthur et sa troupe vous ne valez rien contre lui mouhaha ! Isorn élimine les ! »

Le dragon sans écouter Risleud projeta sa queue, les cavaliers furent fauchés et s’écrasèrent contre les arbres.

« -Maintenant c’est à ton tour, jeune inconscient meurt ! »déclara t-il en se tournant vers le chevalier qui le défiait.

Le dragon cracha un flot gigantesque de flammes.

« -Haha je n’ai point peur de toi pauvre lézard mouhahaa.(mon dieu le langage MSN !) »
Avant que les flammes ne les enveloppent le pauvre serviteur qui regardait son maître put lire dans les yeux de celui-ci la folie.

Dans une salle blanche capitonnée, un homme sur un lit criait en gesticulant.

Centre pénitencier, de Sainte-Conté. Centre psychiatrique.
Patient numéro 48. Attention dangereux,
Il a immolé son colocataire.



Commentaires

Citation :
Deux cavaliers chevauchaient seuls dans une grande forêt battue par le vent
L'emploi du mot "une" n'est pas ici très joli. Des grandes forets battues par le vent, y en a des milliers. Peut être aurais tu pu : soit caractériser plus la dite foret ( foret ensorcelée, enchantée...tout ce que tu veux), soit justement jouer sur le parti pris que c'est ton histoire, ton monde, et que le lecteur a qu'a te suivre. Dans ce cas, tu aurais pu dire "dans la foret". Tu mets le lecteur dans le bain tout de suite.

Citation :
La boule luminescente dans le ciel commençait à descendre vers l’horizon.
Jolie métaphore, mais le mot "luminescente" ici ne convient pas. La lune ne phosphoresce pas. Heureux

Citation :
Souffla t-il apeuré entre ses dents.
"Il"? Qui "Il" ? N'aurais tu pas zappé l'étape des présentations? Heureux

Citation :
un amas plus épais de buissons et d’arbres dont les branches fournissent sont près du sol.
Ouille ouille la phrase ! Elle pique un peu les yeux Heureux
Déjà, le mot "amas" n'est vraiment pas joli...En soit, ce mot n'a aucune musicalité, l'employer dans ce contexte nuit à l'harmonie de ta phrase.
Ensuite, je doute qu'on puisse parler d'un "amas d'arbres"...
Et enfin, la fin de ta phrase est pratiquement incompréhensible! Je suppose que si on reformule ca donne ça: "dont les branches fournies étaient situées près du sol"...

Citation :
-Non point ne saurait cuisiner mon plat préféré, qui est du lapin, à part moi
L'ajout dans la phrase "qui est du lapin" casse complétement le rythme de la phrase.

Citation :
C’était la pleine lune, un hibou hulula, le vent soufflait dans la cime des arbres.
Basius, le serviteur se retourna dans ses couvertures. Une branche craqua, le volatile s’envola à tir d’aile comme si il avait été chassé. Un souffle rauque se répercuta dans le profond silence de la forêt
Joli ! Belle ambiance ! Heureux


Conclusion :

Les points positifs : Tu as visiblement tenté de différencier les deux personnages par leur langage. C'est une bonen chose. C'est domage que tu en sois pas allé jusqu'au bout de ta démarche en te renseignant vraiment sur les mots utilisés à cette époque là.
La fin de l'histoire est inattendue, et relève le niveau d'intéret. Mais ça reste assez raz des paquerettes...

Les poinst négatifs :
La ponctuation ! Le rythme des phrases et du texte ! C'est à mon avis ton soucis majeur. Cette absence de rythme, couplée à la très grande maladresse de certaines phrases, rend le texte vraiment difficile à lire.

MAIS ! Je connais ton niveau d'écriture Ramalok. Ceci n'est pas de ton niveau. je t'ai dejà vu faire mille fois mieux.
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