Double

Prologue

Au centre du puits de feu rougeoyant dans une chaleur étouffante produite par la lave du cratère se tenait la grande place de pierre noire brûlée. Elle est soutenue par sept longues allées. Chacune a l’image du dieu a laquelle elle correspond. Les sept allés des sept dieux sombres où se tenaient sur cette place les sept représentants, les sept seigneurs de la haine.

_ Tyrok est mort, mes frères, il faut lui trouver un remplaçant, la croisade doit avoir lieu et elle doit aboutir pour la gloire des dieux sombres.

Affirma un seigneur dont le visage était cacher par une grande capuche noire d’où l’on ne pouvait qu’apercevoir la lueur de ses trois yeux.

_ Nous n’avions pas trouver le bon Tyrok était orgueilleux et stupide.

Répondit un autres enchâssé dans une énorme armure sombre dont le heaume était un énorme crâne.

_ Nous investiront l’ancien empereur du pouvoir des sept reliques, avec la bénédiction des sept personne ne pourra l’arrêter.

Parla un être sans consistance dons le corps était recouvert d’yeux flottants dans l’aire.

Chapitres I

Il courrait, sautait de toit en toit, par-dessus cette route a coté de cette ruelle tout n’était que fuite pour lui dans la ville d’Eltenberg. La capital de la lumières n’était pour lui que la fuite. Fuir, fuir le temple et ces maudits prêtres.

« Nous sommes les gardiens de la lumières et toi tu est la matérialisation du chaos. Nous allons t’étudier et te purifier. »

C’est sur que pour représenter la lumière il y a mieux, qu’un être à la ^peau d’un noir profond, aux cheveu tout aussi sombre et dont la colonne se termine par une longue queue noir, sans compter la bouche emplie de crocs et des doigts se terminant par des griffes. Mais ce n’était qu’une apparence, lui il n’avait fait aucun mal que celui de naître différent.

Il fallait fuir les prêtres maintenant pour pouvoir vivre ou plutôt survivre. Fuir, courir, encore et encore. Mais…..

Il s’arrêta soudainement. Là, un jeune gamin de son âge sortait d’une auberge, il était….. …. Son antithèse il avait de longs cheveux blonds, ses habits le désignaient d’une classe modeste et sa peau marmoréenne semblait douce et fine, et ses yeux bleus le regardaient. LE REGARDAIT !!!! Fuir, il faut fuir.

_ Elric !!

C’était sa tante qui l’appelait.

Depuis la mort de ses parents Elric vivait chez sa tante et son oncle qui étaient tenanciers d’une auberge dans la capitale de l’empire, il avait été élevé par eux et ne se rappelait que très peu de ses parents.

_ Elric peut tu venir s’il te plait

_ J’arrive tante Ellia.

Répondit le garçon.

Elle servait des clients qui venaient d’arriver. Leur allure habituelle les classait comme poivrot, marin, noble en quête de rixe ou bien fille de joie.

Les rumeurs allaient bon train dans l’auberge. Il faut dire qu’après le croisade de la haine il se passait beaucoup d’événement étrange ne vivant que pour la guerre, l’agitation des orques dans les terres oubliées, et le réveil des greyloks ses créature ne vivant que pour la destruction, le feu et le sang, causaient pas mal de problème.

En attendant que sa tante eut fini de servir les nouveaux clients. Elric écouta ce qui disait autour de lui.

« Il parait qu’une ombre s’est échappé des prisons des prêtres. »

« De toute façon c’est pas normal tout se qui se passe la bas. »

« Mais tout ça, c’est a cause de la croisade… »

« C’est pas terminé moi j’vous l’dis. »

« Patron encore une bière !! »

« Celui la c’est un tricheur !! »

Les ragots habituels qu’on entendait dans la taverne depuis la croisade.

La croisade… encore une guerre ignoble au nom de la destruction. U des princes noires des terres désolées avait unis les tributs barbares pour les envoyer sur l’empire de lumières, mais l’empereur et l’élu des dieux avait réussi a le détruire au prix de la vie de l’empereur, un grand meneur d’homme qui était très aimé du peuple. Depuis c’était l’élue Serran ferregrad qui régnait sur l’empire.

_ Tient Elric !!

Sa c’était Sofia une jeune prostituée qui travaillait dans l’auberge, Elric l’aimait bien elle était toujours très gentille avec lui. C’était une amie de la famille et son oncle et sa tante s’entendait très bien avec elle.

_ Alors mon bonhomme comment vas-tu ?

_ Bien, bien. J’attend que tante Ellia est fini, elle ma appelé. Et toi comment vas-tu ?

_ Oh ! Moi, et bien tout vas bien l’auberge est bondé et plein de jeune noble en quêtes d’actes interdits par leur honneurs donc une bonne soirées en perspectives allé je te laisse ta tante arrive.

Elle lui posa un baisé sur le front et parti.

_ Ah ! Te voila, peut tu aller me chercher deux fûts a la réserve s’il te plait.

_ Bien sur tante Ellia ! J’y vais de suite.

La taverne était placée juste en face de la réserve. Se ne serait ni difficile, ni éreintant. Elric se faufila entre les clients pour pouvoir atteindre la porte. En chemin il aperçu du regard Sofia qui aguichai un jeune noble. Quand il fut enfin sorti de la taverne il mis un temps avant de s’habitué a la faible lumière du claire de lune. La vue enfin retrouvée, Elric put aller jusqu'à la porte de la réserve. Mais un bruit singulier lui fit lever les yeux vers le toit du bâtiment… Là, il vit une ombre qui l’observait. Elle était nettement visible, son visage était éclairé par la lumière de la lune. L’être avait le visage finet sa peau, du noir le plus pure, sa colonne se terminait par une longue queue noire et sinueuse.

Il rentra en courant dans l’auberge et se précipita vers sa tante bousculant plusieurs clients au passage.

_ Tante Ellia !! Tante Ellia !!

_Elric ! Qu’y a-t-il mon trésors !

_l’ombre, tu sait celle dont tout le monde parle, elle est là dehors, je l’ai vue ! Mais elle est partie maintenant ! Tante Ellia !!

Autour d’eux les clients c’était rassemblé et parlait entre eux.

« J’en était sur c’était vraie »

« Vous voyer j’vous l’avait dit »

« La ville n’est plus sur de toute façon »

La tante commençait a s’énervé.

_ Arrêtez ! Taisez vous !! Cria t’elle, vous n’allez pas croire les dires d’un gamin de douze ans, ce devait juste être un rôdeur.

_mais c’est faux je l’ai bien vue tante Ellia, et puis la lune …..

_ Tais toi Elric !! Va te coucher il est tard.

Le coupa sa tante. Elric monta bouillant de rage tandis que sa tante tentait de calmer les clients.

Enfermé dans sa chambre Elric pleurait, se sentant rejeter et incompris de sa tante. Sa tante qui l’avait humilier en le traitant comme un gamin de six ans, devant tous les clients de l’auberge. Alors que cette ombre il était sur de l’avoir vue. Ce n’était pas un vulgaire rôdeur, Non !! C’était bien une ombre, un être a la peau noire de jais.

La lune l’éclairant en pleine face, c’était impossible de ce tromper.

Sa tante l’avait trahis. Elle n’avait pas voulut le croire et avait préférer l’humilier devant tout le monde.

Mais, il y avait quelque chose de troublant, qui….. Qui, le touchait profondément….. C’était comme une certitude……. Une certitude venue du plus profond de lui-même….. Venue du fin fond de son enfance……… il connaissait cette ombre.

Et c’est ainsi que la nuits passa, Elric ressassant interminablement cette histoire cette énigme.

Il n’avait cesse de repenser a cette improbable rencontre, ce jeune garçon blond. Il était sur de le connaître. Mais où ! Quand ! Ces questions restaient sans réponse. Il avait beau fouillé sa mémoire, il ne trouvait pas. Il ne se souvenait pas. Il n’arrivait pas a se souvenir.

Et c’est dans u recoins sombre d’une ruelle, qu’il s’endormie.

Une forte douleur a l’estomac le réveilla de bonheur dans la matinée. Il n’avait pas mangé depuis qu’il s’était échappé des prisons des prêtres. Des bruits proches attirèrent sont attention, les gardes. Il remercia son estomac douloureux et pris la fuite.

Au beau milieu d’une sombre ruelle il aperçu un riche personnage encapuchonné qui parcourait la ruelle. Il l’interpella et lui dit calmement :

_ Bonjour mon seigneur ! Auriez-vous l’obligeance de bien vouloir vous soulagez de votre bourse !

Il sortait d’une affaire avec ses prêtres, les problèmes s’accumulaient depuis la croisade et seul le pacte des ombres pouvait s’en occuper sans éveiller les soupçons de la populace. Il marchait pris dans ces pensées quand il entendit une voie derrière lui.

_ Bonjour mon seigneur ! Auriez- vous l’obligeance de bien vouloir vous soulagez de votre bourse !

Comment avait-il fait pour percer son camouflage, en tant que grand maître, n’importe qui ne pouvait passer outre ses sortilèges.

Et c’est sans se retourner qu’il répondit au misérable qui avait osez le provoquer ; d’une voie douce :

_ Et que pensez vous faire si je refuse bouseux putride !

_ Tout simplement vous tuez. Mais je préfèrerait sincèrement ne pas avoir a le faire et que tout se passe dans la bonne entente.

Répondit l’inconnue. Cela le fit sourire doucement, il ne doutait vraiment de rien.

_ Alors dites vous que je refuse.

Il sentit l’autre se ramassez sur lui-même pour lui sauté dessus. A cet instant il se retourna t envoya une lame d’ombre sur son adversaire.

Le sort détruisit plusieurs bâtissent aux alentours mais l’inconnue était toujours vivant et en un seul morceau au beau milieu des débris. Il s’approcha du corps de l’inconnue et quand il put le voir correctement, el en resta coi.

Sa tête était engourdie, son corps lui faisait mal.

_ Vous vous réveillez enfin.

Dit une voie.

Il ouvrit les yeux.

Il fut d’abord ébloui par la lumière d’une torche, mais quand ses yeux furent habitué a la lumière, il put voir celui qui avait parler.

Il fut alors étonné de découvrir le riche seigneur qu’il avait voulu dérober.

_ Pourquoi m’avoir recueilli ?

L’autre répondit :

_ Pour plusieurs raisons tout d’abord parce que tu semble posséder des capacités très rares et la seconde raison tu l’apprendras plus tard.

_ Moi ! De grand pouvoir ! Vous vous moquez de moi mon seigneur.

_ Non, je ne me moque pas de toi et de toute façon je ne te laisse guère le choix a partir de demain vous pouvez vous considéré comme mon apprenti. Est-ce bien claire.

_ Et si je refuse.

_je te livre au temple. Etant donné que tu viens d’essayer de m’assassiner….. Et puis quelque chose me dit que tu doit avoir un rapport avec l’ombre fugitive du temple et je doute que tu souhaite retourné dans les cachots des prêtre , surtout connaissant leur hospitalité pour tout se qui a un rapport avec l’ombre.

_....

_ Tu ne dis rien ? Je pensais que tu aurais plus de question à poser.

_pourquoi vous n’êtes pas surpris par moi ?

L’homme fut surpris par la question et regarda le garçon.

_ Tu comprendras plus tard. A demain remets toi bien.

Se soir la serveuse avait pris son congé et s’était lui qui dut prendre sa place.

Heureusement, se soir la, il n’y avait que peut de monde. Un ménestrel était dans un coin de l’auberge a chanter des balades paillardes pour son assembler conçu en grande parti de marin, un vieil homme était seul a un table, buvant un thé, et un mercenaire était accoudé a l’opposé du ménestrel. Elric allait lui servir un plat chaud et une pinte.

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