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| <Ramalok>[devoir n°2]{Dounette} | |
| | Auteur | Message |
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Ramalok
Nombre de messages : 168 Age : 32 Date d'inscription : 24/11/2007
| Sujet: <Ramalok>[devoir n°2]{Dounette} Sam 24 Nov - 22:31 | |
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- Citation:
Le sujet est simple, je veux que tu travailles sur ces thèmes : l'enfermement et le vide.
Le reste est à ta convenance. Tu as une semaine, mais comme je tiens beaucoup à ce que tu réussisses au meiu ce sujet, tu peux, si vraiment tu en as besoin, avoir du rab' de temps.
Limite de longueur du texte : une à deux pages world.
Amélie et sa pensée Amélie remontait la rue. Le ciel était noir, le vent soufflait. Elle repensait aux moments joyeux passés avec sa copine Joséphine, il y a une heure de cela. Son sac se balançait au rythme saccadé de ses pas. Elle marchait dans une rue sombre, seuls quelques lampadaires éclairaient la rue. Elle se dirigeait vers un carrefour, les rues étaient ténébreuses et froides. Une légère appréhension la saisit, faisant frissonner son corps et se dresser ses poils sur ses bras. La nuit était tombée sur la ville. Soudain les nuages noirs se déplacèrent, poussés par un caprice du vent, laissant la place à la lune. La jeune fille accéléra le pas pour calmer une envie pressante qui la prise soudain. Une pensée lui vint à l’esprit mais elle la repoussa violemment. A la sensation glaciale de la pensée son cœur se mit à battre plus vite. Tout était lugubre, seule la lune illuminait la rue de sa lumière pâle, les lampadaires s’étaient éteints du à une coupure de courant. La pensée refoulée chargea par surprise Amélie qui pensait en avoir fini avec elle. Un grand vent se leva qui la fit trembler de froid. Quelque chose toucha son épaule droite, elle sursauta violemment et essaya de courir horrifiée mais ses jambes ne lui obéirent plus la projetant violemment sur le sol froid, la sueur collait sa chemise contre son dos. Soudain une chaleur inattendue par ce froid mordant lui monta à la tête. Elle avait chaud, une chaleur torride… Tout tournait autour d’elle, les maisons semblaient se rapprocher, la rue rétrécit à vue d’oeil, les platanes dansaient autour d’elle et la lune ne semblait plus qu’une masse confuse blafarde dans le noir. Un vacarme parvint jusqu’à ses oreilles, son cœur bondit de sa poitrine, ses yeux horrifiés bougèrent dans tout les sens cherchant un endroit où se traîner mais un endroit pour y faire quoi ? Elle ne le savait pas du moment que c’était loin d’ici. La pensée revint plus forte et plus saisissante. Ses muscles se tétanisèrent, de sa position assise elle se plaqua au sol, la tête frappa durement le sol. La douleur n’atteignit jamais le cerveau, elle ne pensait plus à rien à part se réfugier quelque par, être en sécurité. Dans son champ de vision brouillé, des formes se mouvaient lentement comme ce qui se passait était un film qu’elle regardait au ralenti. Son souffle se coupait, elle avait du mal à respirer, tel un chien elle haletait par terre cherchant désespérément à récupéré l’oxygène qui s’échappait par sa bouche sèche de ses poumons en feu qui expiraient contre son gréée. Sa poitrine se soulevait et se baissait à un rythme rapide, elle soufflait telle une forge au maximum de ses capacités. Elle sentait que sa cage thoracique allait exploser, ses yeux se révulsèrent de peur. Son estomac se noua et se convulsa, elle se cambra, un liquide chaud, gluant et inattendu sorti de sa bouche recouvrant le haut de son corps. Son corps était fatigué, les muscles las elle ne pouvait esquisser le moindre geste. Sa vision se brouilla, elle s’évanoua dans son liquide nauséabonde. Amélie se réveilla dans son lit, les rayons du soleil réchauffaient sa peau blanche. La journée était bien avancée. La première chose qu’elle vit en ouvrant les yeux fut sa mère endormit sur une chaise, sans doute avait elle veillée durant une grande partie de la nuit. Les bruits d’une conversation lui parvinrent jusqu’à ses oreilles. Elle souffla doucement entre ses lèvres le doux nom de sa mère qui lui apportait réconfort pendant les moments de désespoirs. La jeune fille dut réitérée son appel, sa mère dodelina de la tête puis ouvrit ses yeux embués de fatigue. Fatigue qui passa rapidement en voyant sa fille réveillée. -Tu es réveillée. Comment vas-tu ? Lui demanda t-elle d’une voix où les vestiges de la fatigue perçaient. -Je me sens mieux mais que c’est il passé ? -Nous t’avons trouvé au pied d’un platane, allongée entrain de dormir. Nous avons fait venir un docteur, c’est lui que tu entends en discussion avec ton père. Il a dit que tu avait des crises d’angoisses fortes et qu’il t’aiderait du mieux qu’il pourra pour t’aider à les surmontées. Maintenant dort mon choux, le médecin à dit qu’il ta fallait beaucoup de repos après le nuit agitée que tu viens de passer. A ces mots les paupières d’Amélie devinrent soudainement lourdes. La torpeur se diffusa lentement dans son corps puis c’est la fatigue qui s’empara d’elle pour l’emmenée dans les bras de Morphée. [hrp] J’ai fais pas mal de recherche sur l’angoisse : dictionnaire (définition exacte du mot), google (témoignages et symptômes). La cause de son angoisse est une autre histoire Wink Voila j’espère que sa t’auras plus chère mentor adorée. [/hrp] | |
| | | Dounette
Nombre de messages : 4122 Date d'inscription : 22/11/2007
Personnages RP Pseudo: Pseudo : Pseudo :
| Sujet: Re: <Ramalok>[devoir n°2]{Dounette} Sam 24 Nov - 22:40 | |
| Amélie et sa pensée
Amélie remontait la rue. Le ciel était noir, le vent soufflait (pas mal, légèrement trop court. En effet tu as déjà mis une phrase très courte avant, ce qui donne un rythme particulier. Mais cela necessite à mon avis une phrase plus travaillée tout de suite après, histoire de ne pas rendre le début trop "sec"). Elle repensait aux moments joyeux passés avec sa copine Joséphine, il y a une heure de cela (phrase maladroite...le mot "repensait" m'a fait tilter. Un peu trop stéréotype dans la forme de la phrase). Son sac se balançait au rythme saccadé de ses pas (bien !!! très bien. Là on visualise bien, rythme, démarche, son même.). Elle marchait dans une rue sombre, seuls quelques lampadaires éclairaient la rue (là aussi tu aurais pu mettre une ambiance particulière, plutôt qu'une froide description : il y a ci, ca et autre chose...non?). Elle se dirigeait vers un carrefour, les rues étaient ténébreuses et froides. Une légère appréhension la saisit, faisant frissonner son corps et se dresser ses poils sur ses bras. La nuit était tombée sur la ville. (excellent !! le coup du frisson, très très bon !) Soudain les nuages noirs se déplacèrent, poussés par un caprice du vent, laissant la place à la lune. La jeune fille accéléra le pas pour calmer une envie pressante qui la prise soudain.(une envie pressante? o0 ?) Une pensée lui vint à l’esprit mais elle la repoussa violemment.(très bon) A la sensation glaciale de la pensée son cœur se mit à battre plus vite. (moins bon. lol. "de la pensée" ne convient pas. C'est incorrect dans l'esthétique de la formulation, et fait attention aux répétitions !)Tout était lugubre, seule la lune illuminait la rue de sa lumière pâle, les lampadaires s’étaient éteints du à une coupure de courant. (là tu passes trop vite. Ah bon les lampadaires se sont éteints? Qu'elle a été la réaction de la jeune fille? Ca aurait été interessant) La pensée refoulée chargea par surprise Amélie qui pensait en avoir fini avec elle. (excellent)Un grand vent se leva qui la fit trembler de froid. Quelque chose toucha son épaule droite, elle sursauta violemment et essaya de courir horrifiée mais ses jambes ne lui obéirent plus la projetant violemment sur le sol froid, la sueur collait sa chemise contre son dos.(Oulaaa ! Il s'en passe des choses en une seule phrase ! Trop d'info tue l'info ! Tu aurais pu faire avec ça au moins trois phrases, plus détaillées et mieux construites, parce que là on a soudain du mal à suivre) Soudain une chaleur inattendue par ce froid mordant lui monta à la tête. Elle avait chaud, une chaleur torride… Tout tournait autour d’elle, les maisons semblaient se rapprocher, la rue rétrécit à vue d’oeil, les platanes dansaient autour d’elle et la lune ne semblait plus qu’une masse confuse blafarde dans le noir.(Excellente description de l'angoisse...Oserais je dire qu'il manque un petit quelque chose...Je sais pas, tout ça reste quand même très descriptif...) Un vacarme parvint jusqu’à ses oreilles, son cœur bondit de sa poitrine, ses yeux horrifiés bougèrent dans tout les sens cherchant un endroit où se traîner mais un endroit pour y faire quoi ? Elle ne le savait pas du moment que c’était loin d’ici. La pensée revint plus forte et plus saisissante.(attention à la ponctuation, tu perds le rythme là!) Ses muscles se tétanisèrent, de sa position assise elle se plaqua au sol, la tête frappa durement le sol. La douleur n’atteignit jamais le cerveau (tres bon), elle ne pensait plus à rien à part se réfugier quelque par, être en sécurité. Dans son champ de vision brouillé, des formes se mouvaient lentement comme (si) ce qui se passait était un film qu’elle regardait au ralenti. Son souffle se coupait, elle avait du mal à respirer, tel un chien elle haletait par terre cherchant désespérément à récupérer l’oxygène qui s’échappait par sa bouche sèche de ses poumons en feu qui expiraient contre son gréée (lol tu t'es laché sur les "e" là, same player try again !). Sa poitrine se soulevait et se baissait à un rythme rapide, elle soufflait telle une forge au maximum de ses capacités. Elle sentait que sa cage thoracique allait exploser, ses yeux se révulsèrent de peur. Son estomac se noua et se convulsa, elle se cambra, un liquide chaud, gluant et inattendu sorti de sa bouche recouvrant le haut de son corps. (alors LA...La tu tiens un truc...perfect !) Son corps était fatigué, les muscles las elle ne pouvait esquisser le moindre geste. Sa vision se brouilla, elle s’évanouie dans son liquide nauséabonde.
Amélie se réveilla dans son lit, les rayons du soleil réchauffaient sa peau blanche. La journée était bien avancée. La première chose qu’elle vit en ouvrant les yeux fut sa mère endormie sur une chaise, sans doute avait elle veillée durant une grande partie de la nuit. Les bruits d’une conversation lui parvinrent jusqu’à ses oreilles. Elle souffla doucement entre ses lèvres le doux nom de sa mère qui lui apportait réconfort pendant les moments de désespoirs. La jeune fille dut réitérer son appel, sa mère dodelina de la tête puis ouvrit ses yeux embués de fatigue. Fatigue qui passa rapidement en voyant sa fille réveillée.
-Tu es réveillée. Comment vas-tu ? Lui demanda t-elle d’une voix où les vestiges de la fatigue perçaient.(le dialogue est bon, attention à le mettre en forme correctement mon lapin. Il faut fermer les guillemets à la fin, c'est un minimum...)
-Je me sens mieux mais que c’est il passé ?
-Nous t’avons trouvé au pied d’un platane, allongée en train de dormir. Nous avons fait venir un docteur, c’est lui que tu entends en discussion avec ton père. Il a dit que tu avait des crises d’angoisses fortes et qu’il t’aiderait du mieux qu’il pourra pour t’aider à les surmonter. Maintenant dort mon chou, le médecin à dit qu’il ta fallait beaucoup de repos après la nuit agitée que tu viens de passer.
A ces mots les paupières d’Amélie devinrent soudainement lourdes. La torpeur se diffusa lentement dans son corps puis c’est la fatigue qui s’empara d’elle pour l’emmener dans les bras de Morphée.
Commentaires :
Oula tu as fatigué niveau orthographe sur la fin...Mais le tout reste orthographiquement plus que correct ! Au moins tu viens de me prouver que quand tu te concentres tu arrives à un sans faute (ou presque, j'ai dû en zapper, faut pas le dire, mais suis une quiche en orthographe...ihih !)
Ensuite le texte, la forme. Fait très attention à la ponctuation ! Tu ne l'utilises pas assez, or c'est absolument essenciel pour rythmer un texte, et guider le lecteur. Ce sont les points, les virgules, les signes de ponctuation qui aident le lecteur, qui le tiennent, qui lui disent : là tu t'arretes, tu respires, et là tu vas vite, c'est important, fonce.
Pour le texte, le fond. Je t'avais demandé de parler de l'angoisse, tu l'as fait. Mais...tu es resté sur une seule idée, et ça c'est domage. Decrire une crise d'angoisse, c'est très bien, mais oserais je dire que le lecteur a tendance à s'ennuyer au bout du deuxième paragraphe? Ton texte n'est pas assez riche en action, ou en évenement. Il est très ( trop ) descriptif, ce qui fatigue le lecteur, mais ne le passionne pas.
Conclusion : un très bon texte ! Je suis ravie de ce devoir. Tu as glissé dans celui ci quelques perles de phrases, qui donnent du corps au récit. Le prochain devoir, j'en veux des tout plein comme ça !!!
Continue, tu tiens le bon bout !!!! | |
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