une rencontre

Dans les grandes rues de la nuit un être mystérieux se promène, quand sur un banc de pierre dans la clarté des étoiles, il aperçoit alors une dame tout de noir vêtu. Curieux notre personnage s’approche de la belle pour s’enquérir de sa personne. Il lui demande alors :

- Bonjour comment vous appelez vous

- Je suis la reine de la nuit. je me nomme Tsuki. Et vous quel est votre nom?

- Ravis de vous rencontrer nocturne personnage, appelé moi Teysa, le sombre maître de vos rêves.

- Je suis ravi de vous rencontrer aussi, Teysa...C’est un honneur de rencontrer un collaborateur de la nuit

- L’honneur est pour moi voyons

Teysa fait la révérence et baise la main de la sombre dame le visage traversé d'un large sourire. Quand la belle lui répond alors :

- La simple Tsuki luit mais Teysa voit, Teysa conçoit et modèle ses proies, Tsuki luit mais n'agit pas

- Mais que serait un créateur, même de proie, sans un monde, où une nuit pour pouvoir les accueillir

- Je ne suis qu'actrice et non conceptrice

- Peut être mais qu'est’ ce qu'une pièce sans acteur pour pouvoir la jouer

- J’abandonne toute réplique mais il est vrai que je m'applique à pouvoir vous guidé vers vos proies et je m'en fais une grande joie. Êtes vous toujours là, ou bien partez vous de se pas ?

- Ne vous en faites pas je suis toujours là, à vos coté, à vous parler. Vous me donnez ce phare, cet esprit endormi pour que mes rêves et cauchemar trouvent logement dans les tréfonds des esprits de ces âmes tourmentées.

- Vous m'impressionné je ne suis qu'une simple éclairée ...

Après un cours instant, une simple pause dans l’infinité de la nuit, la dame continua :

- D’ou vous vient votre nom n'étiez vous pas Abaddon ?

- Un rêve na pas de nom, il endosse celui qui lui plaît au moment venu.

- Vous êtes un rêve? Je ne suis pas fille d'Eve dite moi ce qu'est un rêve ...Un rêve parle ? Un rêve râle ?

- Un rêve c'est quelque chose qui n'existe pas mais pourtant qui est là, un rêve parle, pense, râle ou sourit. Le rêve c'est la vie de toutes les vies en un instant, une fraction de réalité dans l'imaginaire, une plume légère qui vous caresse l'esprit et qui laisse derrière lui comme simple marque, que le souvenir

- Est-ce une personne ?

- C’est toutes les personnes mais en même temps ce n'en est aucune, c'est un paradoxe.

- C’est l'esprit des gens endormis? Ou les pensées des gens éveillés

- C’est l'inconscient de toutes les personnes, c'est toutes leur vie, leur passé et leur future

- Le rêve quel chose étrange, peut il prendre la forme d'un ange ? Si la personne est bonne ?

- D’un ange ou d'un démon car, que la personne soit bonne ou mauvaise, n'as ton pas en nous tous, notre propre démon.

- Tsuki est une démone sous des trait d'ange mais je n'ai ni rêve ni chose étrange...

- La nuit ne rêve pas, elle est la scène et le décor, elle est la pièce dans laquelle le créateur des rêve fait funambuler ses créatures et créations

- Comment faire pour avoir un rêve? Pouvez-vous grand Teysa m'en donner un, de rêve ?

- Pour avoir un rêve il faut avoir un but, avez-vous un but ma sombre reine. Si oui je jure de vous construire un chef d'oeuvre digne de vous.

Teysa s'agenouille devant la sombre dame, la main sur le coeur en guise de serment. Devant le jeune homme agenouillé la dame ne peu s’empêcher d’esquisser un sourire triste, avant de répondre :

- J’ai un but ? Je ne le sais point trop....un but? Celui de m'envoler...bien que reine des cieux je ne peux point m'élancer...

- Alors vous rêverez vos ailes, car je serais vos ailes. Vous permettant alors de voir notre monde du haut de votre sublime royaume

La sombre reine ne sait que dire, elle regarde Teysa, une larme roule sur sa joue blanche.

- Merci. Répond-elle alors.

Teysa ramasse d'une caresse la larme de la belle, puis d'une voie douce, il dit: - pourquoi pleurez vous, ma dame??

- …

- Ma dame??

- Chut...

Et la dame s’en fut, elle disparut dans un carrefour nocturne, laissant notre pauvre Teysa en pleur sur le bord de la voie. Car en l’espace d’une seconde elle venait de détruire tous ses rêves.

Hum...histoire étrange :scratch:
Il y a certaines choses sous-jacentes que j'ai du mal à saisir... Mais ca n'empêche pas que le texte intrigue, interpelle et nous parle.
Il y a aussi pas mal de fautes, mais ca ne gène pas trop la lecture, ne t'en fais pas.
Bien que triste, je suis content d'avoir appris, a travers de ta nouvelle, qui était Teysa le Sombre (=

Merci.

( je suis en mode archéo).

Alors points négatifs
bon déja l'orthographe mais ça tu es au courant. Mais c'est vrai que c'est très gênant et que ça gâche l'écriture car on voit que tu sais t'exprimer et développer de bonnes idées en dehors de cela.
Les couleurs aussi choisis qui je trouve vont pas avec le ton du texte et qui tuent les yeux!

Sinan j'aime bien ce dialogue en forme de réflexion sur le rêve, l'autre, parfois tu verses dans le cliché mais sinon c'est plutôt agréable ses pensées oniriques nocturnes.

Tout pareil que choupi :

Les couleurs sont affreuses.
Les fautes sont encore pires.
Il y a trop de coquilles qui nous font penser que tu as voulu expédier ce texte, sans le relire ou le corriger. Dommage.

Au début je me suis dit ce qu'un texte comme celui-ci venait faire ici. J'ai d'abord cru à un RP, avec personnage de jeu et donc qui n'avait pas forcément sa place dans cette section.

Ce n'est qu'un peu plus loin que j'ai compris la vraie teneur du texte. Finalement j'ai bien aimé l'entrelacs d'idées et l'enchaînement des concepts, qui glissent de symboles en significations décalées... tout comme dans un rêve. Et c'est ce qui m'avait semblé tout d'abord comme des erreurs de significations, qui relève et pimente le texte, et lui donne ça vraie valeur onirique.

N'empêche que ça mérite un peu plus de soin. Le début est vraiment laborieux.

Quant à la chute, je pense que tu peux faire mieux (trop de subtilité... des fois autant dire les choses plus directement).

Ah oui, et puis aussi, fais attention au langage employé. Le vocabulaire "élevé" et les termes de RP ne font pas forcément bon ménage...

Mode épileptique "on"... Néanmoins, plus j'y regarde, moins je trouve à critiquer des couleurs qui nous rappellent les kaléidoscopes insaisissables de nos rêves.

Quelques fautes de narration et d'orthographe. Un coté pièce de théâtre, grandiloquent, qui s'amenuit au fil du récit. Le début regorge de comique de mots et de personnage, l'échange verbal a quelque chose de simple, mais d'incisif.

On sent que notre Teysa passe de prédateur à proie. Jusqu'à ce qu'on lui brise son rêve. Il y a naturellement quelque chose de "sous-jacent" comme le dit Sephiroth. Un chagrin... d'amour ? Ou peut être est-ce plus compliqué que cela...

Quelques virgules de trop parfois. On lit des phrases hachées. Heureusement, plus les sentiments parlent, plus le tout se fluidifie. L'étreinte et la retenue ne parviennent plus à enchainer la lourdeur du cœur.

Petit plus : il n'est pas simple d'arriver à "jouer" son propre personnage dans un texte que l'on met en forme, et qui n'a pas de cadre imaginaire ou romanesque construit.