un glouton?

Mes moi s’éveillent, mes moi veulent s’exprimer,mes moi s’émerveillent, mes moi ont une forte envie de prendre leurs jambes à leur cou.
Un à un, tout en fermant la porte qui
conduit au rêve loufoque qu’ils peuvent engendrer du bus monde
londonien à la bulle quotidienne qui se répète sans cesse, je fait
taire ces moi car ils ont la fâcheuse manie
de tourmenter mon esprit.
Tous ? Non, un a réussi a prendre le contrôle, mon moi affamé qui *argh*!
Ouf! Scellé dans un de ces rêve. Bon, lequel choisir? ah! celui-ci il faut fuir le…
Puis une odeur vint lui caresser les narines

*tourne la tête et pense…*

Hum *fait les cent pas* les yeux plein d’envie et un ventre vide quant a lui. Je m’approchais de cet endroit
lumineux, accueillant et surtout guidé par l’odeur alléchante qu’il dégageait.
N’osant tout d’abord pas approcher de ce lieu magique je tournais les talons mais mes instincts primaires
prirent le dessus et, guidé par l’âme vorace qui sommeillait en moi, j’entrai dans
cette étrange cité…
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Oui
ça fait longtemps que je traîne sur ce forum tel un parasite ou un
stalker qui guette les moindres faits et geste des écrivains^^ et
aujourd’hui, motivé par plus fort que moi, je rejoins les habitants pour
commencer!

Cassiopée avait bien perçu ce cri du ventre qui émanait de ce lieu de Ter Aelis. A présent elle se précipitait, se disant qu’elle pouvait être responsable d’un désastre si elle n’agissait pas rapidement.

Il fallait absolument que ce multiple se reprenne en mains, elle n’avait pas insisté pour qu’il vienne et qu’il se mette à dévorer les aelisséens.

Elle s’approcha de lui dans un silence total, portée par une douce brise imperceptible et elle le surprit :

Itadakimasu, itadakimasu…. Lui chuchota t-elle très calmement. Tiens, regarde, je t’ai apporté de quoi te nourrir. Laisse passer « le curieux et l’intéressé », maîtrise ton affamé…
Il est hors de question que les habitants de notre monde soient confrontés à un glouton. Maîtrise-toi !

Elle lui présenta un énorme morceau de viande encore dégoulinante d’un sang vermeil qui fit luire les yeux de la bête.

Regardant du coin de l’œil l’être qui approchait de lui,
plus
rien n’avait d’importance à ce moment car cette marche digestive de 3
jours, il s’en serait bien passé. En bon prédateur qui se
respecte, il attendit que la proie qui approchait de lui soit
à bonne distance pour bondir.

Mais…

waaAAAA de la viande !!!!

N’écoutant que d’une oreille le discours de sa bienfaitrice
et de l’autre sa faim.

S’essuyant d’un revers de la main, il commença détendu…:

Si nous ne nous étions pas rencontré, je ne serais
pas poursuivi par ces mauvais rêves et je n’aurais
pas connu mes démons et la crainte, mais
je te remercie d’avoir mis fin à ce conflit.

Puis détournant le regard pour scruter de nouveau cet
endroit lumineux, une vive pensée s’emballa : Maintenant qu’il
avait dévié de la liberté que devait-il faire ?

De l'herbe à perte de vue. Nahïs, ravie, poussa un cri de guerre, et, soudain, se précipita dans la nasse verte qui s'étendait, coura comme une folle en zigzaguant pour éviter d'écraser les jeunes pousses qui se trouvaient là, et dans un dernier élan, se jeta à plat ventre dans la grasse étendue. Le souffle court, elle s'assit enfin, heureuse de son accès de folie. Oui ça faisait du bien de se laisser aller à des instincts, non pas primitifs, mais plutôt vitaux.

Le soleil était déjà haut dans le ciel. L'heure de la sieste? Hum. Pas tout à fait. Nahïs réfléchissait à cette question pour le moins épineuse, quand tout à coup, elle entendit un drôle de bruit. Des voix? Un ogre? Voulant en avoir le coeur net, Nahïs se dirigea vers la masse sombre qu'elle distinguait au loin, et qui faisait un raffut pas possible.
Mais... UN CARNIVORE!!!!!! Non de nom!! J'allucinions! se dit Nahïs. Mais ça n'existe plus les gens aussi primitifs! Un amas de viande sanguinolent était en train d'être mis en pièces devant elle par un drôle de loustic qui, non seulement faisait un boucan de tous les diables, mais en plus mangeait comme un porc! Ou un glouton, vous allez me dire. Mais... c'était le petit Itadakimasu!! Le glouton préféré de Nahïs!! A côté, dame Cassiopée débitait calmement de douces paroles dans l'oreille du multiple. L'écoutait-il au moins, cet animal?

Nahïs s'approcha d'un pas décidé.
- Hé toi mon glouton!! Je te reconnais hein!! Ca ne prend pas avec moi tes airs de sainte nitouche, encore heureux que tu n'ai dévoré personne ici!! Non mais, j'imagine le scandale... Nahïs grimaça. Le pire avait été évité, grâce à l'intervention de Cassiopée.

Confuse, Nahïs se retourna vers elle:
- Je suis désolée ma dame, pendant que vous risquiez votre vie, moi je me roulais dans l'herbe comme une sauvage. Satané lui!! Vous avez eu la présence d'esprit de lui apporter un bout de viande, et je vous en rend grâce, car d'habitude, seuls les chocobonhommes lui conviennent. Petit Ita a eu de la chance!!

[HRP:] serais-je toujours vivante demain? Telle est la question. ^^ [/HRP]

Comme je suis un peu en panne de RP là, je te laisse juste ce message pour te dire que je suis content que tu viennes enfin en Ter Aelis pour de bon. Comme quoi faire une trèèès petite IRL ça à parfois du bon.

Essaie tout de même de ne pas manger tout le monde, ou alors tu partages, et puis si tu te mettais au graph'... ça me ferait une gallerie de plus où je ne posterais pas de commentaires!!! lol

Bonne soirée à toi mon chou et prends possession des lieux, Ter Aelis est à toi comme à moi. Essuie toi les pieds sur le paillasson et viens donc.

Aillas

Hé toi mon glouton!! Je te reconnais hein!! Ca ne prend pas avec moi tes airs de sainte
nitouche, encore heureux que tu n'aies dévoré personne ici!! Non mais, j'imagine
le scandale...

Itadakimasu n’avait pas remarqué la présence de Nahis, *damned je suis démasqué, mais je ne me démonterai pas* pensa t-il.

C’était donc toi qui couvrais mon arrivée avec le vacarme que tu produisais quand tu étais
occupée à t’exciter !

Il foudroya la sauvageonne du regard pour qu’elle ne révèle pas son identité, mais allait-elle comprendre ?
Puis, déstabilisé par cette arrivée, il se lança dans un monologue absurde :

La saveur même de la jeunesse est portée par le chocolat… Désolé je me suis un peu égaré ne faites pas attention à ça…

Voulant fuir au plus vite, il déposa un baiser sur la main de Cassiopée en guise d’au revoir et de remerciement puis il tenta de poursuivre son chemin sans bien sûr saluer la sauvageonne aux oreilles pointues