[Première Session du Panthéon] Les Alléas de Vainelarliclos.

Il est 19h30 quand nous devons y aller, je viens juste de terminer mes devoirs : il était temps!
Je monte dans la voiture en cachant un petit paquet dans ma poche.
En seulement 20 minutes nous somme arrivés à destination : il n’y a pas beaucoup de circulation en ce jeudi 21 février 2008 au soir.
Comme toujours il y a du monde dans le restaurant de l’Abris Côtier, heureusement que nous avons réservé une table…
Pas besoin de donner notre nom, j’ai déjà vu Suzel à la table du fond et je m’élance pour l’embrasser.
Inutile de demander où sont Marc et les deux petits : la plage reste un terrain de jeux incontesté et j’aperçois d’ailleurs le frangin qui surveille de loin, son verre de Martini à la main.
Je sors donc du restaurant pour aller le voir et discuter avec lui.
Comme nous discutons, les neveux m’entendent et se retournent.
Maxime, à son habitude calme, me dit bonjour tout en continuant son pâté de sable.
Arno par contre cour dans ma direction comme une brute, je l’attrape au passage pour le prendre dans mes bras et il me fait un gros bisou!
Quelques minutes plus tard, alors que mon verre de Rhum vient de m’être servi, Pascale et Xavier arrivent enfin.
Après un long moment, alors que le repas touche à sa fin, je ne veux plus attendre : je sort discrètement le petit paquet de ma poche, puis je m’approche de ma mère avant de le lui donner.
Elle m’embrasse déjà quand je le lui donne, je répond alors simplement qu’elle devrait l’ouvrir.
Alors qu’elle ouvre délicatement le paquet, je la surveille et je vois ses yeux s’illuminer a la découverte du collier en argent que je viens de lui offrir pour ses 60 ans.
Elle se retourne alors vers moi, les larmes aux yeux et m’embrasse de nouveau avant de me remercier.
Quand elle sort complètement le collier de son emballage, tout le monde ouvre des yeux admirateurs tandis que moi je l’aide à le mettre et surtout à le fermer.
La soirée se poursuit jusque tard et nous ne rentrons qu’à 1h du matin, mais ce n’est pas grave : les parents ont acceptés que je n’aille pas en cours demain car j’ai quelque chose de bien plus important a faire.

Le lendemain matin je me réveille à 8h et je prend mon petit déjeuner en méditant sur la journée qui m’attend : je commence déjà a pleurer intérieurement.
A 9h j’aide mon père à installer les fleurs dans la voiture et quand tout est prêt je vais prévenir ma mère pour que nous partions au plus vite.
Après trois heures de route, nous arrivons enfin chez ma grand-mère que nous invitons dans un restaurant près de chez elle.
Une fois le repas terminé nous allons tous ensemble là où nous avions prévu d’aller.
Le jardin du parc est magnifique en ce vendredi 22 février 2008.
Les cerisiers sont fleuris de leurs fleurs blanches qui se confondent avec certaines des plus grandes pierres blanches qui encombrent le sol.
Les rosiers bordant le chemin sont remplis de fleurs, certaines sont rouges, d’autres blanches, le mélange accentué par le vert sombre des feuilles crée un contraste magnifique avec le chemin composé de roches noires.
La blancheur des pierres de granite, levées à intervalles réguliers, reflète la lumière de soleil éblouissant ainsi la vision des visiteurs.
Nous avançons donc dans ces allées parfumées en suivant ma grand-mère qui connais le chemin.
Nous stoppons enfin devant l’une des grandes pierres de granite blanc.
Nous déposons tous nos fleurs et nous recueillons.
1 an…
1 an déjà que mon grand-père est mort, c’est pourquoi je me trouve devant sa tombe aujourd’hui.
Je tombe, je ne peux plus me contenir : je suis à genoux en train de pleurer la mort de mon grand-père.
Mon grand-père qui m’avait fait plusieurs tableaux à ma demande…
Le dernier que j’ai récupéré me revient a l’esprit : une vue des calanques de Marseille.
Ces le dernier souvenir que j’ai de lui, l’objet le plus cher à mon cœur.
Quand, après plusieurs heures, nous rentrons à la maison je passe dans ma chambre regarder le tableau de mon grand-père puis je m’installe devant l’ordinateur pour me changer les idées.

Le lendemain matin, comme tous les samedi matins, je dois aller en cours.
Pendant le premier cous, je n’oublie pas d’envoyer un texto à mon frère pour lui souhaiter, en ce samedi 23 mars 2008, un joyeux anniversaire.
Je le verrai plus tard pour lui donner son cadeau, peut-être m*e*me cet après-midi qui sait?

Ce matin je me préparais à aller en cours quand le téléphone sonne et je décroche, c’est alors que Xavier m’annonce que Mathias est né dans la matinée.
C’est donc très excité que j’arrive au lycée pour passer 4h de cours qui paraissent une éternité.
Quand à midi, les cours sont terminés, je cours en direction de la sortie.
J’attends un peu devant le camion a pizz’ pour m’acheter une pizza comme repas de midi et je me jette dans la voiture *ou* ma mère m’attend pour aller à la maternité.
Le trajet est long jusqu’à l’autre bout de la ville et je commence a m’impatienter.
Heureusement il n’y a pas d’embouteillage en ce mercredi 27 février 2008 et après une demi-heure, nous arrivons.
Une fois à l’accueil nous demandons le numéro de chambre et quand le réponse est donnée, je cour en direction de l’ascenseur en disant à ma mère de se dépêcher..
Arrivé devant la porte de la chambre, j’ écoute : j’entends des voix mais aucun bruit provenant de Mathias.
Après quelques instants, je tape à la porte et le doux son de la voix de ma sœur me répond d’entrer.
J’ouvre la porte qui donne sur une petite entré telle un petit couloir.
Sur la gauche du “couloir” se trouve une porte donnant sur la salle de bain de la chambre.
Les murs sont couverts de blanc avec quelques touches de rose pale.
Je m’avance dans ce “petit couloir” de 2 mètres et arrive dans le gros de la chambre.
La première personne que je vois est Xavier, assis sur une chaise, mes yeux croisent ensuite ceux de ma sœur dans le lit et aperçoivent mon père à côté.
C’est dans le même ordre que je leur dis bonjour puis je m’approche du “berceau” *ou* dort Mathias.
Comme toujours, le neveu dort la première fois que je le vois…
Mais son sommeil ne durera pas longtemps car ma mère arrive quelques instants plus tard et une grand-mère joyeuse et qui parle toujours fort : ça ne pardonne pas.
Quand il se réveille et découvre deux nouvelles personnes, il ouvre de grands yeux sombres, qui nuancent avec ses cheveux clairs, pour découvrir le monde qui l’entoure.
Après un court instant, il fait entendre un petit grognement pour que sa mère le prenne dans les bras.
Elle lui propose de manger mais il n’a pas faim : il veut découvrir et se retourne vers nous.
Pascale le confie donc à notre mère qui le prend dans les bras tel un trésor fragile.
Les larmes aux yeux, grand sourire aux lèvres, elle lui parle tout doucement…
J’imagine que maintenant qu’il est réveillé, elle peut parler calmement…
Quelques minutes plus tard, Mathias s’agite dans les bras de sa grand mère et me cherche des yeux : il avait vu deux nouvelles personnes!
Ma mère me le transmet donc et je suis surpris par son poids : il a beau être petit, il pèse son poids!
Il est bien sure moins lourd que mes deux autres neveux mais tout de même…
Un quart-d’heure plus tard, alors que j’ai toujours Mathias dans les bras, sa mère estime qu’il est temps qu’il mange.
Mais alors que j’essaye de le tenir à bout de bras pour le lui rendre, il se tient fermement à ma chemise : il ne veut plus me quitter!
Il faut le forcer à me lâcher et il commence à pleurer, heureusement, ma sœur lui donne vite le lait et il se calme.

Il fait chaud aujourd’hui, il fait même très chaud.
Ce serait presque l’été en ce samedi 1 mars 2008.
Je transpire déjà dans mes habits noirs mais je ne peux pas faire autrement : j’attends à l’entrée avec mon père et mon frère.
Ma mère n’est pas la car elle avait promis à mon grand-père d’aller à Paris avec lui.
Enfin les voilà qui arrivent.
Je m’approche de ma Marraine pour lui dire bonjour et je la trouve très calme et sereine, contrairement a Elsa, sa fille.
Tout le monde est là: nous pouvons entrer.
L’ église est grande et profonde mais bien éclairée grâce aux nombreux vitraux.
La cérémonie que je n’aime pas commence enfin.
Plus d’une heure plus tard nous ressortons et nous dirigeons en direction du cimetière.
Et voila le corps de Paul, le frère de ma Marraine qui descend, alors que son âme est monté.

…

Tout ceci j’aurais put le vivre, j’aurais put le ressentir et le partager avec les personnes que j’aime, mais non!
Je suis en chine au lieu d’être à Marseille avec ceux que j’aime.
Ce que j’ai raconté ne s’est donc passé que dans l’imagination de mon esprit mais les événements ont réellement eut lieu.
Tous les sentiments sont donc arrivés en moi tels des lames sombres et froides, me transperçant le corps et me déchirant l’esprit.
Je n’aurais jamais dut sous-estimer la force et l’importance de l’amour.
Cet amour que l’on partage avec les personnes que l’on aime comme la famille et les amis.
Cet amour qui permet de survivre mentalement aux problèmes de la vie.
On croit pouvoir vivre sans et se séparer des personnes que l’on aime pour une durée plus ou moins longue.
Mais lorsque les peines arrivent, seules ces personnes pourront nous aider à surmonter les épreuves de la vie, les “nouvelles connaissances” ne nous connaissant que trop peu.
Alors jamais il ne faut oublier l’importance de l’amour des personnes qui comptent à nos yeux et il ne faut plus faire cette erreur.

Il vous est demandé de noter ce texte. Ceci déterminera si ce texte peut accéder à la deuxième étape de la sélection pour le Panthéon.

Voici le code que vous pourrez copier :

Code:: Je donne à ce texte une note de [b]XX/20.[/b]
En effet, je pense que : [i]commentaires.[/i]

Lien vers le texte et ses commentaires : ICI

Je donne à ce texte une note de 14/20.
En effet, je pense que : Bien que le niveau de l'écriture soit encore grandement améliorable (nombre de répétitions sont encore présentes), le sujet nous touche tous je pense. en fait plus que le texte c'est le petit mot de l'auteur qui donne toute sa force et sa beauté.

Je donne à ce texte une note de 6/20.

Je ne crois pas qu’il soit sérieux de faire reposer ce texte entre les murs du Panthéon. Remettons nous du surplus d’émotion – qui n’est semble t il pas unanimement partagé (on sait la Dounette émotive ^^) et concentrons nous sur le reste.
Que reste-t-il donc ? Une forme qui me gêne terriblement, un enchaînement d’actions dont la narration presque robotique ne rend pas au texte la splendeur –aussi horrifiante soit-elle - du message. Une idée par phase, une phrase par ligne : un style épuré – ou dépecé. Sans compter les fautes d’orthographe, de grammaire, de ponctuation et de concordance des temps.
J’ai la conviction que la simplicité du texte est volontaire, car elle s’accorde malheureusement avec l’émotion traumatisante éprouvée par le narrateur. Cependant, je crois qu’il aurait été plus agile de retranscrire le tout autrement. Comment ? Je ne sais pas. Je suis certain d’une chose, ça ne m’a pas touché. Aveu d’autant plus cruel au vu d’une si funeste nouvelle. Désolé.

Je donne à ce texte une note de 11/20.

En effet, je pense que : J'étais persuadé de t'avoir fait un commentaire mais à priori non donc je vais tacher d'en faire un léger ici. D'abord, les fautes et les incohérences, je suis vraiment chiant là-dessus, mais c'est un peu gênant. Surtout que tu as des mentors à titiller à ce sujet, c'est quand même pour ça qu'on les paye -pas-.

J'apprécie pas mal la sensibilité du sujet, une chute qui rend toutes les actions -qui en elles-mêmes sont d'un banal terrible, autant au niveau énonciation qu'au niveau de la contenance- pleines d'un sens nouveau et aidant à l'appréciation du texte. Attention cependant aux excès de démonstrations affectives que le lecteur ne saisira pas forcément.

Bref, un texte qui aurait mérité des corrections -tu noteras que je t'avais prévenu à ce sujet- pour arriver à un stade plus élevé de narration et de partage de l'émotion.

Je donne à ce texte une note de 10/20.
En effet, je pense que : C'est difficile de retranscrire ses émotions. C'est même très difficile surtout lorsqu'on à affaire à tout un panel de personnes différentes et qu'on souhaite, peut-être, les toucher toutes par notre texte et leur faire ressentir ce que nous avons vécu dans ces moments-là. Je dois malheureusement avouer que ce n'est que la fin qui m'a fait réagir et elle donne tout son sens au texte. En outre, il y a beaucoup de fautes d'orthographes gênantes et j'ai trouvé que les événements ne s'enchainaient pas naturellement.
Bref, je ne pense pas que ce texte ait sa place au Panthéon :/

Nombre de messages : 133 Date d'inscription : 06/01/2008

4/20 Quel ennui!

Je donne à ce texte une note de 8/20.
En effet, je pense que : On voit que tu veux faire passer des sentiments... Mais c'est plat. Beaucoup trop plat. En fait, c'est le mot de la fin qui m'a fait remonter cette note. Je suis navrée mais pour moi ça reste un enchaînement de faits. Et je n'arrive pas à ressentir l'émotion que tu tentes de faire passer.

De même; 8/20.

Malgré une bonne maîtrise de syntaxe et langue, il subsiste quelques fautes d'orthographe, et la mise en page en couleur n'était pas spécialement nécessaire, et n'est pas forcément un avantage à la lecture. Le fait d'aller à la ligne plus de nécessaire est également une faute de débutant (je la connais bien; j'y ais été sujet). A présent, le texte en lui même. Et bien, c'est une énumération plutôt bien ficelée, sûrement orgininellement basée sur les émotions, mais encore trop liée à la situation physique: celle-ci prend le pas sur les pensées. Ainsi, nous nous retrouvons avec une sucession de scènes au final sans grand interêt, se tenants à peine...

8/20, désolé.

C'est beau ce que tu nous écris, on ressent. Mais les sentiments ne font pas le texte. Le principal souci reste le style et beaucoup la forme. Répétitions, fautes d'orthographe, incohérence, simplicité, ... tout cela concorde à gâcher le texte.

Retravaille-le. Avec ton mentor, ou quelqu'un d'autre. (je sais même plus si tu es élève, désolé O_o). Le texte gagne à être soigné au niveau de la forme et du style. Si tu boostes ces deux aspects là sans entâcher le fond, il y a moyen de rendre ton récit dix fois mieux aux yeux des lecteurs.

La note de fin reste cependant un ajout qui sert le texte, et c'est bien joué $Clin d\'Oeil$

Invité

Je donne à ce texte une note de 1/20.
En effet, je pense que : un texte ne peut être présenté au Panthéon s'il est à ce point bourré de fautes d'ortographe, de répétitions, de fautes de frappe, signe le plus évident du j'menfoutisme de l'auteur vis à vis du lecteur. Il y a de bons éléments qui devraient faire grimper la note mais l'ortographe, la grammaire, les répétitions, les syntaxes hachées ou interrompues puis reprises maladroitement quatre lignes plus loin, c'est la base, c'est primaire, mais ça tue tout.

Je donne à ce texte une note de 9/20.
En effet, je pense que : Je n'ai pas trop été touchée par ce texte qui est une longue énumération d'actions très courtes, comme des petits flashs de la vie. Etonnamment, je ne trouve pas que les sentiments ressortent beaucoup.

Je donne à ce texte une note de 07/20.

En effet, je pense que : Quelques fautes d'orthographe par ci par là c'est un peu dommage.
Autrement les sentiments n'ont à mon sens pas autant d'importance que celle que tu voulais leur donner,
c'est malheureusement dur de s'accrocher a lire jusqu'au bout par moment

Je donne à ce texte une note de 05/20.
En effet, je pense que : Texte narratif. Trop de fautes grammaticales et syntaxiques. Sujet intéressant mais mal exprimé par un style encore balbutiant. Bref des progrès à faire encore.

Je donne à ce texte une note de 5/20.
En effet, je pense que : La police est bien choisie: ce texte dégouline.

Invité

Je donne à ce texte une note de 9/20.
En effet, je pense que : J'avais déjà prévenus, mais on m'écoute jamais alors hein.. après on s'étonne que. Donc Kinder avait bien résumé la situation dans les commentaires mais je n'ai pas la prétention de mettre une note plus basse qu'un 8 ou 9 à un texte lorsque je ne suis pas sûr de faire mieux, c'est peut-être mal mais ça ne regarde que moi. Toujours est-il que les autres ont déjà tout dit, et je pense qu'avec mon petit 9 je suis généreux.

Nombre de messages : 160 Age : 34 Date d'inscription : 25/11/2007

Je donne à ce texte une note de 7/20.
En effet, je pense que : Outre les problème relatif au français cités plus haut, le texte traitant de sentiments personnels n'en a pas ou du moins les sentiments n'apparaissent pas. Les évènements se suivent comme les secondes s'égrènent ce qui donne un caractère impersonnel et creux au texte. Un ennui souverain pendant la lecture.

Invité

Je donne à ce texte une note de 05/20.
En effet, je pense que : J'avais déjà donné mon avis sur la pertinence de la proposition. Je n'en ai pas changé. Outre une concordance des temps égorgée dès la première ligne, des fautes plus ou moins grossières, je retrouve un sentiment de platitude qui dessert au plus haut point un texte qui se veut porteur de sentiments. La mise en forme une ligne une phrase me parais des plus mal choisie en prime, puisqu'une impression d'ennui saisi le lecteur dès le début de l'énumération un chouïa monotone. Bref, clairement pas au niveau du panthéon.

Je donne à ce texte une note de 8/20.

Hum hum... C'est... plat .
Quel dommage ! Le thème est très intéressant, et plutôt bien traîté sauf au niveau de l'émotion ! On ne ressent pas les choses :/ .

L'orthographe & cie, c'eut été un minimum de mettre ça de manière propre. Ce sont des points importants qui s'envolent là, et cela sans parler evidemment de la gêne à la lecture.

Non non.

Je donne à ce texte une note de 14/20.

Oui, y a des fautes. Beaucoup. cependant l'auteur a fait l'effort de retravailler son texte, et de le reposter après remaniement. Ensuite, si tout n'est pas maitrisé, c'est normal, il est élève.
Contrairement à vous, à la lecture de ce texte, j'avais le en pleine . ^^
Alors suis p'etre plus sensible que vous ... Mais moi, je l'aime ce texte, et même avec ses fautes....

je donne a ce texte la note de 12/20
en effetje pense que: tu nopus fais bien ressentir le texte. l'idée est bien trouvé. Pour les fautes bin euh enfin bref Tire la Langue

je suis mal placé pour en parler. en fait j'ai bien aimé.

Ce texte obtient une note de

7,94/20