Rapport du docteur A
Patient :
Nom : X, l’équipe de psychiatrie le surnomme LE REVEUR/ the dreamer
Age : 17 ans
Sexe : Masculin
Espèce : Humain
Je me présente, Docteur A, diplômé de médecine psychiatrique. Directeur de l’établissement « La chambre blanche », établissement d’accueil et de soins pour personne atteinte de maladie psychique grave, basé à Neva-Tnop en Salta.
1er Mars 1991, l’un des aide soignant m’impose… un coup de main. Il m’amène son fils, le fruit de la luxure et d’une péripatéticienne. Il était né quelque jours plus tôt. Je tairais leurs noms car ceux-ci n’ont nullement leurs places dans ce rapport que je vous fait. Pris d’une pitié qui m’était jusque lors inconnue (car mon métier ne m’y autorise, bien entendu) je décidais de l’élever, malgré la vie que lui imposerait ma profession. Dû à certain problèmes médical d’ordre privé, la procréation m’était interdit.
Pendants ces années durant lesquels j’ai éduquer celui que j’eut nommé X, je vécu les plus grands bonheurs de mon existence. De plus, quelle satisfaction, pour un homme de sciences que de voir son fils doué d’une intelligences hors du commun, doté d’une curiosité dévorante, si bien, qu’à l’âge de 6 ans, il avait déjà lut bon nombre d’essaie sur la psychologie de fameux psychiatre. Chaque jour je répondais à de nouvelles questions toujours plus savamment élaborées , toujours psychologiquement plus intéressantes que la précédente. Mon fils était un génie.
A l’age de 8 ans, et sans autres forme de procès, X perdit la parole, puis atteint rapidement un stade quasi-végétatif. Infâme ironie que de voir un prodige, sombrer à son tour dans ce monde de silence assourdissant, qui plus est… mon fils. Il intégrât alors mon propre service de psychiatrie, car quelques mois après son mutisme soudain, X était devenu Jonas, Le Capitaine de L’Epervier, écumant les océans à la recherche de rapines, il aimait tant les pirates. Deux jours plus tard, il était un assassins recherché, du pseudonymes « Le chat noir », une sorte de tueur à gage infantile. Et enfin, il devint Jade, la Paladin, de l’ordre secret du paladum, élite du l’empire de Maximilien le juste, qui au passage n’existe pas… Il fut placé au service skisophrénie.
Très rapidement, nous comprîmes tous l’étrange pouvoir de X, car durant l’année de ses 10 ans, un infirmier m’appris en urgence, que mon fils avait disparut, Je m’empressais alors dans sa chambre, et je le vis, un jeune garçon étrange, portant les traits de mon fils, me regardant avec des yeux félins et fourbe, je vis X être le chat noir. Nous l’avons alors attaché et quand nous sommes revenus, nous fûmes fort surpris de voir à nos pieds, attachés, une jeune fille, vêtu de draperie blanche immaculé.
De mon point de vus d’homme de science, et qui plus est de psychiatre, je sais qu’il est matériellement impossible de se « métamorphoser » je compris que X avait un pouvoir bien plus grand, il pouvait manipuler nos esprit à sa guise, nous faisant voir ainsi de lui, l’image qu’il souhaitait.
Depuis lors, je n ‘ai cessé d’étudier son… enfin ses intellects complexes, ses personnalités si méthodiquement inventées, ses histoires, si insupportablement vécus , car il y avait de commun à chacun de ses personnages, une enfances extrêmement difficile, dénué de toutes familles et foyer, il était orphelin.
Au cours des années qui suivirent , de nombreux autres personnages naquirent sans dépassé pour autant le stade d’avancement, et d’enracinement des premiers qui le hantèrent. Toujours certain points communs, et toujours de nouvelles apparences, un véritable théâtre, mais non pas dans la salle noire, mais dans la chambre blanche.
Un jour, dans l’année de ses 16 ans, alors que je m’occupait d’un patient particulièrement atteint, j’entendis la voix de mon fils m’appeler, sa vraie voix. Je lâcha alors toute considération pour mon patient, ainsi que sa seringue d’ailleurs
. J’ouvris la porte, et mis les pieds sur le sable de sa chambre, la mer chantait des écumes decrescendo, le ciel vomissait de temps à autres, sur son fond plus bleu encore que celui de l’onde liquide, des nuages allégés, petites ombrelles translucides me cachant de l’astre aveuglant. Devant moi, debout, les pieds dans l’eau, le chat noir, est ses yeux qui suscite toujours chez moi des sueur plus froide que nature puissent, Jade, qui fait naître chez moi, ce désir pervers, et Jonas, et ses dents absentes, et ses cheveux poisseux, et ses vêtements d’un autre temps. Tous trois poster en cortège autour de mon Fils, lui que je n’avais plus vu depuis près de 6ans, lui, si pathétiquement relié à tant de tube et machine qui lui sont indispensables pour vivre, lui, dans ce fauteuil roulant vernis de poussière, lui, qui m’interdit de l’aimer.
-« Papa, je suis fatigué de rêver. Papa … »
Je me suis réveiller trois jours plus tard, j’appris être tombé dans le coma, et X… rien, ou… tout, du moins, inchangé.
Je pense que mon fils vie encore derrière ses facettes, soit prisonnier de ses chimères, soit … je ne sais pas. Je suis sur que la complexité de son esprit laissent à découvrirent de nombreux trésors, de toutes formes, je pense que l’on aura jamais assez de temps pour déceler tous les méandres de son esprit si vaste, mais je ne désespère pas d’entendre mon fils m’appelé à nouveau … PAPA
C’est ainsi que je vous l’envoi, espérant que l’air de vos montagnes, les plages de vos récifs, ou les habitants de Ter Aelis le réveille de ce sommeil virtuel. Peut-être aussi, que de se confronter à des créateur de rêves, il réaliserait, l’histoire de sa vie, sa réalité .