[2 VS 2] Léon & Yvonne VS Babar & Jules [Arène]

Citation :: Type de Match : 2 VS 2

Participant(e)s & Equipes :
- Equipe 1 : Léon le Péon et Yvonne l'Amazone
- Equipe 2 : Babar le Barbare et Jules le Consul

Règle(s) du match : Math à mort (règles classiques)
Condition(s) de Victoire :
- Mort, abandon ou incapacité à combattre de tous les membres d'une équipe

Les quatre combattants arrivèrent dans l'antichambre du choix (à défaut de changer de nom sous peu), et le tout dans l'humeur la plus rocambolesque qui soit. Passons les détails et amenons nous précisément au moment du choix de l'arène...

- Tais toi ou je te fais bouffer tes dents macho illettré !
- Quoi ! Je vè te fer ravaler ta lemgue !

Un arbitre arriva alors sur les lieux, vêtu d'une armure d'or, ainsi qu'un ange accoutré de manière assez débraillée, et calmèrent le jeu.

- Attendez l'entrée dans l'arène pour ça, lança l'ange.
- Léon ? Yvonne ? avez vous choisi le terrain ou vous voudriez combattre ? demanda le chevalier

Après quelques tergiversations, un barbare sur les nerfs, un Jules qui rêvais déjà de la prime, les deux autre figurants annoncèrent leur choix final.

- Et bien, nous choisirons une jungle marécageuse, climat tropical, juste après les moussons habituels de ces lieux, sans de gros prédateurs, juste une faune locale classique.
- Un trou puan...m'étonne pas d'une sovage et d'un porcinet...
- Qu'il en soit ainsi déclarèrent les deux arbitres, l'ange lança un regard noir au barbare qui détourna la tête, haussant les épaules. Quoiqu'il avait sans doute comprit, que la politesse était de mise ici, il aurait tout le temps d'insulter après, dans l'arène.
- Mais c'est gluant et tout sale là dedans, fit un Jules tout dégouté
- Hein probem ?
- Euh non non non ! avance donc, je reste en arrière !
- Urgh meuh non ça sens bon.
- Veuillez prendre ces deux portes respectives, vous connaissez les règles, alors que la meilleur équipe gagne. Bonne chance.

Les deux groupes passèrent la porte, celle-ci se refermant directement après leur passage, quelques instants s'écoulèrent et tous furent projeté dans un marais nauséabond. Toute une zone étant partiellement inondé, s'avancer dans cette jungle ne s'avérait pas de tout repos. Les écrans s'illuminèrent pour les spectateurs qui avaient acheter leurs place à l'avance dans l'attente de ce premier duel, peut importe qui combattrait, cela en valait le coup d'oeil rien que d'y être.

Mais retournons à nos combattants...

- C'est laid et c'est puant !!!!!
- Toa si tu kontinu je te tu
- Mais non on est allié et ami non ?
- Si tu me fé chié, je te tu, pigé ?
- Euh oui j'ai compris, fit Jule en avalant sa salive à la hate manquant de s'étouffer
- Bon aler, fo les trouver en preum's pour leur foutr sur la tronch en preum's
- Ouaiiii et gagner la récompense !!!!
- Ouai leur tetes !

Les deux compagnons d'infortunes, du moins cela dépendait pour qui et du point de vue sur lequel on s'appuyait, amorcèrent leur périple parmi la flore intense de ce marécage. Babar devant bien sûr, avançant d'un pas sûr, bourru et bruyant, cassant ou coupant les fougèrent, lianes et branches se mettant en travers de son chemin. Jules, lui suivait derrière, maudissant ce barbare sans cervelle, et leur deux adversaires. De plus et pour ne rien arranger, Babar s'était mit à chanté la "marche barbare"

Pendant ce temps Yvonne et Léon s'était tapis dans les ronces et arbres tordus du marais, guettant leur cible, les surveiller, les détecter et pourquoi pas profiter de l'effet de surprise. Yvonne avait préparé son arc et ses flèches, elle avait suggéré cette stratégie pour qu'elle les atteingne à distance et furtivement. L'instict de la chasseresse amazone étaient affutés pour le tapinois. Léon le Péon préparait alors la pelle rouillée pour le combat, la seule arme que possédait le peau vert.

Au loin on entendait le croassement de grenouilles et de crapauds; l'eau qui bouillonnait étrangement par l'émergeance de gaz lacustres.

Quelques instants passèrent, et les deux équipes ne s'étaient toujours pas rencontrés, Babar commençaient vraiment à en avoir marre et Jules qui ruminait la malchance et maudissait le monde entier sous prétexte qu'il était contre lui.
Au fur et à mesure de l'avancée, on entendait une chanson guerrière et grégaire, L'ouie fine de Yvonne le ressenti à sa droite et tira une flèche.

Jules sursauta de douleur quand une pointe acérer lui lacéra le postérieur, réalisant un bond qu'il n'aurait jamais cru pouvoir faire un jour, il se retrouver sur le dos de Babar. Lui en alerte fit de vifs et brusques mouvements de corps et de tête, regardant aux alentours tandis que Jules alla s'acraserau sol dans un roulé boulé maladroit et douloureux. Tant bien que mal il tenta d'enlever la flèche plantée dans son derrière.

- Modit soi cete bougrèce !
- Ouille ouille ouille ça fait mal, elle a me le payer !
- Meton nou à couvair !

N'étant qu'à quelques mètres du groupe de Léon et Yvonne, le second groupe ignorait encore d'ou ils se cachaient. Ils avaient l'avantage de la dissimulation.
C'est alors que Jules le Consul sorti un parchemin de sa besace.

Jules déroula le parchemin après avoir enlever le sceau en cire, puis se mit à lire les signes magiques imprégnant le morceau de papier aux attraits vulgaires d'apparence. Sa vois aigrelette et vicieuse se mua en un râle tonitruant profond, à mesure qu'il lisait ses lignes quelques étincelles de lumière surnaturelles émergèrent du parchemin et tout autour des deux compères. Babar lui tirait une grimace de dégoût devant cette magie qu'il détestait, mais le laissa faire, quoique la hache à porté de main et prête à être utilisée au cas où. La dernière syllabe du sort fut prononcé et Jules ressentit son regard changé, ses yeux devinrent d'un rouge pâle animé d'un flamme étrange.

- Ils sont par là !
- Tu lè voi ?
- Oui, avec ce sort, je peux voir à travers la matière.
- Ah....t'es pa si inutil. Bon allon zy !
- Je te couvre, hey hey.

Jules le Consul sortit une fiole contenant un poison mortel, et en en fit dégouliner sur sa dague. Elle ne perdait rien pour attendre. Pendant ce temps...

- Ils se sont cacher, mais j'en ai eut un, la ptite fouine exécrable je crois.
- Hu hu, bey il sorte pas, hey j'ai ressentit de la magie
- Ah tu peux ressentir ça toi ?
- Beng oui, nou lesorcs on ressnt un peu la magig, hig !...
- AAAAAA l'asssooooooo !!!!!!! Fit Babar qui chargeait alors toute hache devant, il écrasait toute la végétation, fonçant comme un pachyderme vers ses ennemis
- Hug tention !

Yvonne décocha une flèche vers le barbare qui se la prit en pleine épaule droite, mais il ne s'y attarda même pas, continuant sa charge tonitruante.

- Merde !

Et en décocha deux autres avant qu'il arrive, une vers la tête qui le manquant malheureusement de peu, puis elle sortit ses armes blanches, tandis que Léon lui, s'était positionné sur le haut d'une branche pour pouvoir sauter sur Babar, ne voyant que l'amazone de toute façon.

- héééééé héééééé le musclé !!!! le peau vert est dans la branche !!! Héla alors le fourbe Jules qui voyait plus distinctement et plus posément les alentours que Babar dans un mode Berserk engagé

Mais celui-ci ne l'écoutait déjà plus, entrer dans une furie sanguinaire, seul n'existait que lui, sa hache, et l'amazone.

- HEEEEEooooooo!!!!! La voix de Jules s'estompait dans les oreillles du barbare sourd à tout imploration. Bon il va falloir que le m'occupe du peau vert !!!!

C'est alors qu'il sorti une boule de sa besace et la lança vers Léon. Celui ci de sa position ne put le remarquer et la boule s'illumina intensément, créant un halo lumineux qui aveugla toutes les personnes aux alentours, y comprit Babar et aussi Yvonne. Le guerrier du grand nord se prit une racine dans les pieds et tomba à plat ventre.

- Bordel ki cey qui a fè ça !? hurla Babar en se protégeant les yeux de ce halo aveuglant.
- Hig ?! Léon manqua de tomber de son arbre, mais se rattrapa de de justesse à l'aveuglette.
- Il est ou le gros plein de soupe ?!, je ne vois plus rien ! Fit alors Yvonne tatant pour voir ou elle était lorsque elle toucha ..... une matière ressemblant à de la peau avec des poils hirsurtes.

Un grognement se fit entendre, et ayant retrouver partiellement la vue, Yvonne distingua une sorte d'ours, sans la fourrure, mais avec la même gueule et un peu plus petit, cependant ses crocs assérés n'inspirais pas le calme ni la confiance. La bête cria de rage d'avoir été éveillée en direction de l'amazone et du barbare qu'elle avait dans le colimateur.

- Oh oh...
- Cey quoi enco ce bordel ?!

Esquivant de peut de se faire décapiter d'un revers de bras, Yvonne prit la fuite devant la créature qui mit quelques temsà réagir avant de la poursuivre puis finalement de bondir en direction de Babar.

- A ué, tu ve fair joujoue avec bibine ? lança Babar en regardant sa hache, vien la bestiole, je vé te fair craché tè trip !

- On avait dit pas de grosses bestioles, jura Yvonne.

Quoique grosse bestiole voulait dire, créatures d'une plus grande envergure que la moyenne des humanoïdes. Ce qu'elle ne savait pas, jusqu'à maintenant...

Le Oursinge se déplaça à vive allure pour attaquer Babar qui lui planta sa hache à double affutage en plein dans le crane, le tuant sur le coup. Un coup sanglant et particulièrement dévastateur avait eu raison de la bête qui se vidait alors d'une substance violacée sortant par tout les orifices.
Cependant, Yvonne de son coté, avait tiré une flèche, elle visait le dos de la bête, la toucha au niveau de la nuque, non loin de Babar qui ne mit pas longtemps intellectuellement à se rappeller de Yvonne qui était en face de lui. D'un bond digne des effets spéciaux, et sans cables, il sauté d'une hauteur surhumaine et attéri sur Yvonne, dès alors étendue sur le sol écrasé sous le poids du barbare.

"la pozission ke je préfèr !"

Mais Péon sauta à son tour sur Babar lu assénant un coup du tranchant de la pelle. Le Barbare émit un râle grossier de douleur, sentant son dos balafré par une coupure peu profonde mais douloureuse, la pelle rouillée ne faisait apparement pas du bien, Léon sourit. Mais Yvonne fut encore plus écraser par cette nouvelle masse qui leur attérit dessus. Ne pouvant plus respirer elle se débattit comme un diable et réussit à faire tomber Babar qui ne se préocupait plsu que de Léon, tentant de le saisir pour l'envoyer paitre six pied sous terre.

C'est alors que Jules débarqua .... de manière sournoise dans le dos de Yvonne pour tenter de lui asséner un coup bas pour lui planter son poignard empoisonné, cependant son déplacement rendu difficile dans les marais et les plantes pièges l'avait fait tomber à seulement 4 mètres de l'amazone. Il s'étala alors de tout son long, lourdement et bruyamment, son poignard lui échappant dans les eaux poisseuses.

Yvonne, reprenant son souffle se tourna vers Jules. Dans un réflexe surhumain de survie, mais naturel pour une amazone, elle fondit sur Jules, dégainant son arme dans un même geste et ce d'une roulade pour se trouver à sa portée. Elle lui répondit d'un regard carnassier, accompagné d'un sourire peu amical. Le Consul fut alors bien désemparé, ne pouvant sortir une nouvelle arme. Pendant ce temps là, Léon réussit par malchance (ou par bonheur) à faire tomber Babar, qui lâcha sa hache, surprit, mais d'un bond se redressa et chargea l'orc et le plaqua avec violence (à la chabal). S'en suivit un lutte entre les deux êtres, dans la boue...

- Je vé te crevé !
- Hug ti mem !

Une mandale du barbare alla se loger sur la joue gauche du péon, ce dernier se retrouva expulsé à quelques mètres hors du lac boueux. Léon se percutta alors contre un arbre, l'assomant légèrement par ce choc violent. Puis Babar ramassa la pelle rouillé du Péon et la regarda avec un sourire sadique.

"Apré, je vé t'antéré vivan Mwhahahahaha !!!!!"

Babar leva la pelle et l'arma avant de s'arrêter net en entendant un hurlement de douleur non loin. Il tourna la tête en direction de cet évènement dans un réflexe négligent. Jules porta sa main en valide à l'autre, plantée au sol par la lame d'Yvonne qui semblait éprouver un réel plaisir à faire souffrir le pauvre homme allonger au sol. Elle retira sa lame de sa main ensanglantée dans un geste sec, Jules émit à nouveau un râle aigu.

- Alors, ça veux jouer dans la cour des combattants mas ça ne sais même pas se battre ? Pitoyable, tu me répugne Jules ! Tu n'as rien à foutre ici ! Les serpents, chez moi, on les mangent !
"Aaaaaaaaaaaaaaaah moiiiiiii, au secours !!!!!! Babaaaaaaaaar, Babaaaaaar !!!!!"
- Kel gro naz...mé je vé me la fair st'amazaune ! m'tape sur le sistaime !

Babar avança d'un pas lourd pour récupérer sa hache et se dirigea sans trop tarder vers l'amazone. Celle ci l'avait remarqué, mais elle ne pouvait pas user d'armes de jets pour l'avoir, elle devrait l'avoir au corps à corps, parce qu'il lui fallait jouer sur 2 fronts, entre Jules et Babar. Elle donna un violent coup de botte à Jules en plein dans les reins, celui-ci se recroquevilla, la douleur lui coupant le souffle. Elle gagnait ainsi de précieuses secondes pour affronter seule à seul, le tas de muscles.

"Toa vien te batre, je te batrai parcke t'é tro faibl"
- Allez, ramène toi !
- J'arriv ma bel !

Yvonne irritée, s'élança d'un bond sur le barbare, croisa le fer, mais d'un jeu de main habile esquiva sa lame, connaissant sa faiblesse par rapport à la force du barbare. Se retrouvant sur son flanc droit, elle lui taillada l'épaule et refit un bond en arrière, se mettant hors de portée du coup de hache qui faucha quelques fougères à la place.

"Babar, aiiiiide moiiiii !!!"
"Ta geul toa !!!!"

Le combat continuait alors, le barbare avait du mal face à l'esquive de Yvonne. Babar frappait de tout ses forces, mais ce n'était pas assez, alors il se mit à charger sans vergogne Yvonne qui fut propulsée pour atterrir sur un Jules à peine relevé.

- Argh !

Babar lança sa hache vers Yvonne, mais celle-ci parvint à se saisir de Jules En guise de bouclier, celui-ci se prit la hache en plein ventre. Et dans un gargouilli d'incompréhension, il moura éventré par son compagnon d'arme qui lui, maudit ce bon à rien.

* Mourrait..mourrait pas tout seul...*

Mais avant de trépasser, Jules activa une petite sphère, qu'il lâcha dans son derneir soupir. La boule roula quelques mètres, et s'activa, un bruit sonor régulier se faisait entendre tandis que quelques diodes rouges clignotaient au même rythme que les bip sonores.

- Qu'est-ce que ?
- Hum ?!

Les diodes s'illuminèrent d'un vert agressif et fluorescent tandis qu'un clic se fit entendre. Yvonne n'écouta que son ntuition et semit à courrir pour partir le plus loin de cette chose, tandis que Babar en fit de même, suivant lui, son insctinct. Mais trop tard, une lumière aveuglante émana de l'engin et une fraction de seconde plus tard, la sphère explosa ...

Aveuglée, Yvonne tomba au sol, puis plus rien. Babar grogna contre ce traître tandis qu'il aperçu en quoi une branche en partie éclatée qui l'assoma net. Le souffle balaya la zone avec une puissance inouie. Léon qui venait de se relever ne comprit que trop tard la situation et vu emporté par l'onde de choc, projeté une fois de plus contre un arbre pour une fois de plus sombrer dans la demi-conscience.

"Hmfr !!!! Majie trétresse, Jul viens là bordel de merd !!!!"

Mais il ne restait rien de Jules, juste un cratère fumant d'une dizaine de mètre de diamètre.

"Ou kila disparu se kon ?"

Une voix féminine et légèrement robotisé annonça la nouvelle en appuyant sur chaque mot dans les esprits des combattants.

* Jules Le Consul est mort, l'équipe 2 à l'avantage *

Dans les esprits bizarrement on aurait cru entendre un bon débarras, mais Léon, encore titubant ainsi que Yvonne, c'était Babar qui avait une résistance hors du commun qui s'était rétabli le plus vite, pret à en découdre.

- Vnez vou batr bande de clauport' !

Léon se releva à son tour, secouant la tête comme pour retrouver ses esprits, mais il n'eut en retour qu'une légère nausée puis sa vue se rétablit ainsi que son sens de l'équilibre. Il aperçu le barbare les cherchant, il se planqua derrière un arbre, après avoir récupéré sa pelle ave la discrétion la plus fine que pouvait se permettre un orc. Le barbare bien que légèrement aveuglé entendit Léon arriver, la discretion et les orcs ne font pas vraiment bon ménage, surtout face à un barbare aggueri. La vaine tentative de Léon se solda par un coup de coude dans les côtes. Mais Yvonne revint à la charge, hurla uen colère insoupçonnée, elle se jeta sur les épaules de Babar, et lui planta sa dague dans le torse et tenta de lui griffer les yeux. Léon lui tentait de reprendre son souffle.

"calm toa groniass !' Fit le barbare sans aucune considération vis à vis de la femme.Il la frappait pour se dégager d'elle, toutefois il sentit quelque chose se créer en lui, lui qui révait d'avoir une femme forte et insoumise, enfin face aux autres, pas vis a vis de lui
Léon se rua vers le barbare, pelle en avant et menaçante.

- Hig, crèv !

"t'es toujoure la toa ?"

Avant qu'il ne puisse porter un coup au barbare, celui-ci lui donna un coup de pied en pleine tronche, ce qui fit voler le pauvre péon qui alla s'écraser comme une souche quelques mètres plus loin.

'Woooooooooo jé ganié, je sui le plu for !!!!"

Yvonne reprenant ses esprits des coups reçu, voyant le barbare frimer, lui donna un bon coup de pied au niveau de l'entrejambe. L'homme tomba, genou à terre, mangeant la poussière, les mains sur le point douloureux.

- Gnnn....

- Gnnn ouuarrggnnn...sale....

Avant qu'il ne termine sa phrase, Yvonne lui remonta une fois encore l'entrjambe et cette fois-ci de manière sadique et sans scrupule, Babar resta à terre sans rien dire, assommé par la douleur qui lui parcourait tout le corps. Fière d'elle, elle entreprit de discuter un peu, dans un monologue capricieux, et au nez et à la hache du barbare

- Ah enfin un peu de silence, t'es casse pied à crié pour un rien.
Babar n'eut pour réponse qu'un râle emplit de haine, ses yeux la regardèrent un instant, noir comme la mort et son désir de tuer, de la tuer, tandis que Léon revenait, tout cabossé à la rescousse, ou plutôt arrivais après la bataille.
- Franchement, tu me fais pitié, voilà ce que c'est de m'énerver, enfin au moins ça montre que t'as des couilles, mais là tu vois, elles ne te servent pas à grand choses, sans neurones tu pourras rien faire espèce de demeuré ! Bien fait pour ta ptite gueule ! Ha ha !
L'amazone tenait à présent en joue le barbare, bandant son arc pour lui mettre une flèche entre les 2 yeux, mais le barbare réveillé d'un second souffle par la douleur, sentait ses forces se décupler à vue d'oeil, sa peau devenait plus foncée et sa colère était immense. Empoignant sa hache à double affûtage il courru à une vitesse surhumaine vers Yvonne. Celle-ci décocha sa flèche qui se logea dans le crane du barbare. N'étant nullement mort, Babar chargea avec violence Yvonne qui cracha du sang, ne pouvant réagir

Bon sang, son crane est donc si vide ? Je l'ai touché pleine tête pourtant, Non arrète !!!!!
Babar sans aucune pitié l'acheva d'un coup de hache ravageur qui lui ouvrit le crane horizontalement en deux
- Hig ! Yvon !
* Yvonne l'Amazone est morte, égalité des deux équipes *

Léon se précipita au sol, prêt d'Yvonne, quelques larmes se décrochant de ses yeux pour tomber sur ses genous boueux.
Toa le po ver tu é le suivan !

Léon semblait désemparé face à un barbare enragé qui lui réserverai un sort pire que celui d'Yvonne qui eut malgré elle un sort particulièrement rapide, Il ne pouvait espérer du barbare qu'une mort longue et douloureuse

Une pelle rouillée face à une Hache de guerre était bien inégal, mais Léon avait perdu son alliée et sa colère aussi commençait à monter

Léon entra lui aussi dans une fureur sans précédent, n'écoutant plus que la colère qui l'animait et la haine à l'égard de barbare il se saisit d'une caillasse et la fracassa sur le crâne de Babar avec une violence telle que le guerrier tomba à la renverse à moitié sonné. Le péon prononça alors deux termes étranges, avec une vois qui ne lui ressemblait pas. Les yeux rougis par une aura mystérieuse, son corps s'allongea alors, ses poils poussèrent pour former une fourrure épaisse d'un gris sombre et tacheté de brun. Ses bras et ses jambes se transformèrent en pattes griffues puissantes et acérées tendis que ses crocs impressionnant donnait à sa mine plus fine une aura impressionnante. On aurait dit un loup géant si l'absence de queue ne prétextait pas le contraire.

Léon rugit avec bestialité, les yeux rutilants et rua le barbare qui l'esquiva pour lui donner un coup de hache, mais fut néanmoins fauché par les pattes arrières du loup géant. Lui aussi commençait à fatigué et une joie se dessina dans son esprit, celle d'affronter enfin quelqu'un de fort. Attiré par cette force dévorante

qu'était le combat, le barbare émit un hurlement des plus puissants tandis que des tatouages tribaux apparaissaient progressivement tout le long de son corps. Quelques instants plus tard et pendant que Léon le toisait d'un oeil mauvais, Babar désormais dans une frénésie bersekienne lui adressa les dernières paroles de ce combat.

- Tu va mourir !

Léon lui répondit par un rugissement et les deux êtres s'élancèrent, tranchants en avant. Léon le loup pas vraiment mignon se rua telle une bête vers le bras gauche de Babar, qu'il mordit aussitôt et dessina des mouvement de têtes horizontaux comme pour vouloir arracher ce dit membre qui ne tenait pas la hache à ce moment là. Les ligaments, les muscles, puis les os se détachèrent progressivement. La vigueur de Léon par la vivacité de sa colère, lui permit d'arracher sans mal le bras du barbare qui ne hurlait nullement de douleur malgré le sang qui giclait.

"Un bra an moin je vai êtr moin for !!!"

Le barbare souleva alors sa hache d'arme d'une seule main, avec un peu de peine. Léon transformé, agit promptement, il bondit en donnant un coup de tête sur le seul bras valide, lui brisant l'humérus sur le coup.

- Smalin ça gro tas d'porc, tu....

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il vola dans les airs pour aller se briser sur un arbre dans une cacophonie de craquement sourds, il n'eut même pas la force de crier. Allongé au sol après une chute douloureuse, il regarda dans les yeux son adversaire fou furieux qui paraissait déjà victorieux. Il ne pouvait l'admettre. Pas un Péon, non, pas possible, impossible ! Un rage sombre et entière se saisit de son âme.

La mort apparut devant ses yeux, ainsi pactisa-t-elle avec lui alors que le temps s'était arrêter sur l'arène. Ainsi, son ultime il lança, et dans un bruit assourdissant il se releva, une lueur pourpre se dégaeant de son corps. Quelques claquements et gargouillis se firent entendre, le guerrier paraissait comme neuf. Plus encore, il voyait le monde de pourpre, on appelait cela, la vue furieuse. Babar était entré en état de berseker, il se ressentait vivre, et il rua vers Léon.

Un combat furieux s'engagea entre les deux bêtes, car l'on ne pouvait pas les nommés autrement. Les giclées de sang redécoraient le sol et les fougères. Les coups ravageurs creusaient le sol qui s'éventrait à chaque assaut. Mais Babar était en lourd désavantage, Léon étant trop rapide et trop précis dans ses attaques, les morsures volaient de partout et les cicatrices, les plaies de Babar s'ouvraient, libérant ce liquide chaud et écarlate à grands flots. Le barbare n'arrivait pas à la toucher, il n'arrivait qu'a creuser le sol, soulevant la terre, l'eau et la vase dans un sentiments de dépit et de frustration.Il plongea alors sa hache dans le sol et jeta une motte de terre dans au visage du Léon. A moitié aveuglé, celui-ci donna des coups à l'aveuglette, mais Babar en profita pour lui tallaidé un bras avant de se retrouver cinq mètres plus loin, sous la réponse fulgurante et enragée de Léon.

Fé chié, tu me cass les nair !

Pendant ce temps ....

Hein .... quoi .... plait il ?

"Vous venez de ressuciter, le combat n'est pas actuellement terminé, veuillez rester en salle de repos."

Une pensée obscure envahi alors ce petit être, une colère profonde mélée de frustration certaine. Il avait perdu sa dignité déjà pas fameuse dans ce combat et perdu la récompense par sa défaite.

"Noooooon c'est pas possible"

Bravant les interdits, il quitta la salle de réanimation pour entrer illégalement dans l'arène. Cependant, en arrivant devant l'entrée, la porte fait d'un alliage aux tons ocres lui fit barrage. Il savait qu'il ne pourrait pas la forcée, et quand bien même il réussirrait par chance à l'ouvrir par un quelconque moyen, une barrière éthérée empêchant toute intrusion durant un combat l'attendait. Sortant un parchemin contenant une rune spécifique et un livre de traduction, il prononça les longues paroles d'incantation ....

Dans l'arène.

Léon se releva avec un sourire lupin narquois, ce coup l'avait désorienté un peu certes, mais ce n'était après tout qu'un coup de chance. Une fois sur patte et après s'être débarrassé de la boue lui ceinturant les poils, il se remit à la charge. Une ombre sortit une fiole de poison à l'aspect peu reluisant, il plongeait sa dague dans le nectar mortel et fonça vers Léon pour se venger. La foule indignée le hua tandis qu'il s'avançait vers son but. Le loup repoussa d'un coup de queue l'infortuné traitre qui avait pu se téléporter à l'intérieur du coeur du combat. Babar se senti presque outré de cette intervention, certes il souhaitait bien gagner ce tas de muscles, mais ceci relevait de choses qu'il ne semblait pas apprécier. Jules tombé sur le sol sorti sa dernière arme, un autre parchemin couleur ténèbres et prononça ces mots 'Launech !"

D'un coup un point lumineux fut visible dans l'horizon, il se rapprochait dangereusement, laissant une trainée derrière lui.

"Attaque Nucléaire Détectée !"

Echoriath et l'arène étaient visés et là les arbitres sortirent de leurs positions. L'engin de destruction massive fusa vers le sol, mais s'enfonça dans une porte interplanaire juste avant l'impact. Le ciel se mua pour laisser place au publique encore affolé, mais toujours et encore plus outré par tout ceci. Le Gardien de l'Arène et L'arbitre Nichiren apparurent dans l'arène. Jules vit disparaitre son missile dans une porte dimentionelle dans un profond étonnement puis senti son corps lui échapper lentement, se réduisant en cendres, il n'avait pas senti le choc électrique le touchant, oubliant de se protéger ou même de se défendre. Il avait reçu de plein fouet le Lightning Coil du chevalier. Jules réduit en cendres par la foudre, il ne pourrait plus nuir. Echoriath échappa de peu à une destruction massive.

* Tu n'y es pas allé de main morte quand même... * Pensa Astriel.

"C'est à la hauteur du mal qu'il a causé, il a failli tous nous détruire avec son missile." Répondit Nichiren.

* Certes, il a dû douiller, mais il sera néanmoins ressucité et jugé pour cela *

"Bien évidemment"

Les deux autres combattants arrêtèrent de se taper dessus devant tout ce spectacle. Le barbare tira une mine dépitée tandis que Léon se grattait la tête, ne comprenant pas trop ce qui se passait non plus. (remarque, Babar non plus mais il savait que Jules avait encore fait des siennes, pour sûr, yavait que lui pour faire de grosses conneries toute façon).

- Chié ! Je çui deg.
- Hug ? Fit un Léon retourné dans son état de peau verte Jen ai marr, j'me kasse, komba inutil
- Kler
- Hig ! Lé relou la tafiole empoisonait
- Je vé me le fer dehor
- Je ne crois pas non, ou du moins tu devras attendre avant un moment avant de pouvoir lui coller une roust dont il se souvindra.
- Hug ?
- Heing ?
- je ne peux pas être plus clair, Jules le Consul sera jugé pour crime contre l'arène et Ter Aelis, entre autres, on va pas rentrer dans les détails.
- Aaaaah
- Haaaaaag...
- Hum tu a d'couraj pour un ork
- Hurg ? match nul ?

Les deux combattants se regardèrent mutuellement, puis les arbitres, pour revenir sur eux, et ce durant un moment indéterminé. Une période assez longue pour que le Gardien et l'Arbitre officiel de l'arène prononcent un communiquer pour l'ensemble des spectateurs et de ceux et celles qui regardaient le match. Astriel commença.

- Chers télespectateur, voici bien l'exemple d'une attitude des plus dangeureuses et intolérable vis à vis de vous et de Ter Aelis elle même. Cette tentative de vengeance puérile et stupide entrainera le jugement de Jules (ce bon vieux Jules, quel boulet).
- En attendant le jugement équitable de Jules qui viendra après sa résurrection. Léon, Babar ? continuez vous le combat ?
- Nan, komba bien mé jarèt', pa valabl'
- Narf, tricherie de Jules, pas loyal son comportement.
- Telle est votre décision alors, je déclare le match, match nul. Vous vous êtes bien battus
- Allé vien je paille la preumiaire tourner !
- Hiag ! okay !
- Vous vnez msieurs les arbitres ?
- Non merci, nous avons du travail. Le match est terminé. Nous déclarons officiellement le match nul.
- Hueg !
- La prochayne tu per rien pour attandre !
- cey ça !
- haha
- Hug hug
- Je peux me joindre à vous bande de machos ? Fit alors Yvonne avec un air faussement en colère.
- Yvonne ! Té vivante !
- Ben oui grand béta, alors on va boire ce coup ?
- Uf
- Hey hey, ben si t'arriv a tenir plu de 5 pinte je m'aincline !
- Pari tenu, prépare toi à souiller ton honneur !
- Groumf
- Hug hug

The end

Un peu plus loin, derrière des bareaux...

- Je me vengerais ! Vous serez puniiiiiiiiiiiiiii !!!!!