Ramalok
Nombre de messages : 168 Age : 32 Date d'inscription : 24/11/2007
| Sujet: Ramalok, devoir n°5 [Aillas] Dim 25 Mai - 23:12 | |
| - Citation :
- Sujet: Faire un texte à progression linéaire. Le texte sera long de 20 phrases ou plus.
Une vieille barque était amarrée dans un petit étang verdâtre. Dans son eau, des centaines de poissons se mouvaient à droite, à gauche et quelques fois allaient à la surface pour attraper et manger des insectes. De petits êtres vivants minuscules et multicolores dansaient sur l’eau, faisant des ballets dans l’air et allant piquer de temps à autre les pêcheurs qui se tenaient bêtement là. Deux vieux papis, qui en avaient cure, pêchaient sagement, attendant que le fil des cannes se tende. Ce fil, ils avaient eu du mal à le trouver. Finalement le cherchant partout ils le trouvèrent tout simplement dans leur boite à pêche. Cette boite était neuve et reposait sur un tabouret entre eux avec le seau à poisson. Le récipient était pour l’instant vide de tout poisson. Ceux-ci restaient tapis au fond de l’étang, refusant de d’approcher des deux pêcheurs et de leur lanterne. Le rayonnement ne couvrait pas une grande surface mais il suffisait aux vieux pêcheurs qui n’avaient pas besoins de plus pour voir sous la nuit étoilée. L’obscurité avait recouverte depuis peu la vallée. Elle s’était drapée pour les hivers d’une grande forêt et pour les étés du petit étang et d’un grand lac. Etant l’un des plus grand du continent, il attirait des milliers de curieux. Les touristes affluaient de d’autres pays. De ces régions venaient des gens ne n’ayant pas la même langue à la « naissance » mais qui se comprenaient grâce à un idiome. L’anglais avait battu toutes les autres langue sur le plan mondiale car elle était parler et comprise de tous. L’Homme mit des années à se façonner des langages. Celles-ci sont le reflet d’une culture et d’une tradition propre à chaque peuple. Les peuples, ont évolué, ils sont passé de tribut à empire et d’empire à nation. Ces mêmes nations à qui nous appartenons. Nous sommes donc le fruit d’une longue maturation qui est loin d’être terminée. | |
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