[EN ATTENTE] Longue requète

Rizel :

Sur le désert de
l’est balayée par les vents du septentrion se dresse une forêt de gratte-ciels
d’acier, rutilants sous le soleil. Cette citadelle, construite à flanc des montagnes
délimitant le monde inconnue, fut tout d’abord le lieu de rendez-vous des armées
personnel du Cercle pour pouvoir maitriser les pirates de L’est qui, il y a
plusieurs décades de cela avaient envahit les terres jusqu’à Déruba. Puis
lorsque les temps de guerres furent apaisés, Rizel se consacra à son
développement et, au fur et à mesure de son avancé dans l’âge industriel, cette
ville se déploya de plus en plus, et devint ainsi la ville de toutes les
nouvelles technologiques. Aujourd’hui un essaim de navettes volantes la
sillonne. Rizel, la Cité des Diplomates. Au cœur de la ville, des bâtiments
plus imposants encore que ceux qui les entourent abritent suffisamment de
salons de négociations pour permettre à des émissaires de chaque recoin de
l’Univers de se rencontrer. Chaque litige commercial, territorial, financier et
même parfois totalement personnel est soumis aux discussions des ambassadeurs
représentants les protagonistes, ou quelquefois de ceux-ci en personne. Des
modérateurs surveillent le bon déroulement des négociations, avec interdiction
cependant de révéler le plus petit détail de ce qu’il a appris, car de
nombreuses affaires secrètes sont traitées sous leurs yeux. Les constructions
massées autour de ces bâtiments sont les multiples services que l’on offre aux
diplomates : hôtels, restaurants, stades, bains, cinémas, bibliothèques…
Ils sont apparus peu après la fondation du quartier central par un célèbre
intellectuel décédé depuis qui souhaitait voir s’épanouir un lieu ou tous les
conflits pourraient être réglés par la voix de la parole, quand nombre de
commerçants ont compris les possibilités que cette ville leur offrirait. La
Tour de Diamant, siège principal des négociations, est le plus haut édifice, permettant
ainsi de voir au-delà des terres contrôlées par Le Cercle, faisant de Rizel la
citadelle frontalière entre l’exploré et l’inconnue.

Lamon :

Quelque part dans
les contrées inoccupées de l’ouest, perdus dans une immense forêt de pins, ou
la faune et la flore vivent en parfaite symbiose, se trouve Lamon, une ville,
ou plutôt un entassement crasseux de casinos, de bordels, de bars de
consommation illégale. Mais aussi de boutiques d’armes, d’entrepôts remplis de
substances illicites ou de marchandises passées en fraude et d’astroports truffés
de rufians. Lamon, et la parfait endroit pour le rendez-vous des meurtriers en
fuite, des voleurs, des contrebandiers, des parrains accompagné de leurs bras
cassés, des prostituées, des trafiquants, des arnaqueurs en tous genres, des pickpockets,
des mercenaires sans scrupule et même des pirates de l’espace. Au détour des ruelles
crasseuses et malodorante, où pavés se mélangent avec déchets, vomissures,
débris de verres et excréments on peut discerner des conversations sur les
prochains abordages, le cours des drogues, les convois de contrebande, les
guerres de gang… L’ordre, la justice, la sécurité n’ont plus de sens dès qu’on
entre dans les quartiers poussiéreux et obscurs des ruelles peu fréquentées, où
abondent les mendiants et les coupe-jarrets, qui égorgent pour une bouteille de
bière. Mais cette bourgade bien que malfamé, attire de nombreux poètes et
romanciers qui y puise leur inspiration pour décrire avec le plus d’exactitudes
les scènes morbides et décadente du genre humain. Mais cette ville est d’autant
plus prisée par ses menaces, et dangers car les Initiants y entrainent leurs
élèves à contrer les attaques des habitants ivrognes de Lamon. Les rues
fréquentées, elles, sont bondées d’ivrognes, de voleurs à la tire, de brutes
qui provoquent les passants en duels pour montrer leur bestialité à leurs
compagnons, ce qui est d’ailleurs le seul moyen de survivre dans une telle
ville : prouver sa force en toutes circonstances.

Déruba

Construite à proximité de l’artère
fluvial traversant les terres du Cercle, la Gouvre, Déruba, cité économique à
depuis des temps immémoriaux possédé le plus grand Marché de toute la contré. On
n’y dénombre pas moins de trente cinq milles échoppes, manufactures, tavernes,
joailliers, forges, épiciers, et quelques autres commerces qui ne valent pas à
être connus. Tous les matins, le marché, situé au centre de la cité ouvre ses
immenses portes, et la foule s’engouffre sur cette place pour effectuer toutes
les emplettes pour la journée et pourquoi pas y déniché quelques bonnes
affaires. L’humeur en est d’autant plus jovial car la place s’étend jusqu’aux
auberges qui bordent les remparts de pierres de taille de la ville. C’est donc
avec une bourse accrochée à votre ceinture qu’il vaut mieux déambulait dans les
rues de la ville. Outre cette animation quotidienne, Déruba est mystérieuse, on
y raconte que lorsque un des Initiants vint à la stèle des Murmures, il
s’endormie sur ce terrain, autrefois plan et ou la nature était encore
maitresse des lieux. Le lendemain lorsqu’il se réveilla, une multitude de
cadavres d’animaux et de prédateurs étaient jonchés sur le sol à un périmètre
assez conséquent de l’Initiant. Depuis ce jour, des recherches on été menées.
La plupart des savants ce sont mis d’accord sur l’existence, dans les
profondeurs de la terre, d’une source d’énergie, si puissante que chaque Initiant,
même débutant, peut accéder à la Transe de façon aisé sans trop demander
d’effort, c’est pourquoi, Déruba fut entièrement construite grâce au
Supra-Mental. On comprend, donc plus aisément la prouesse technique qui à été
mené dans l’édification de cette ville.
Des ponts arachnéens translucides décomposent la lumière et une
multitude de facettes colorées reliant chaque bâtisse entre elle. Les tours
immenses, surplombe le marché, sans pour autant le plongé dans l’obscurité. On
recense ici la plus grande bibliothèque, comprenant tout les livres du monde,
mais aussi les archives depuis la création du cercle. Mais Déruba n’a pas
toujours été dans l’âge de gloire. Il y a quelque douzaines de décades de cela,
elle était sous l’emprise des pirates de L’est. Sombrant ainsi dans ses années
les plus sombres et les plus inquiétantes, devenant le refuge de toutes les
guerres et de tous les ressentiments. Ce siège dura jusqu'à la présidence d’un
nouveau conseil, qui extermina tout ceux qui été qualifié d’ennemies et
construisit la citadelle frontalière du désert : Rizel. Depuis, Débura,
mène une activité des plus paisibles, mais souffre beaucoup de la
surpopulation. Et dois donc sans cesse être réaménagé.

Apoles

Les regards se perdent sur cette
étendue d’herbes et de fougère, et la conclusion qu’aucune ville ne peut-être
construite ici ne fait aucun doute. Ors, il existe bel et bien une cité,
enfouie certes mais existante. Il suffit d’observé plus attentivement ce
plateau, dans ressentir chaque détail, de s’imbibé de la nature et ne faire
qu’un avec elle, pour que votre instant vous guide, car il existe un accès, il
se dessine devant vos yeux, rutilant, et réfléchissant la beauté de l’astre
solaire. A peine descendu que le bruit de la foule vous envahis. Mais ce qui
vous fascine le plus, c’est cette étrange clarté, alors que vous êtes sous
terre, il émane de chaque bâtiment construit a même le cristal une lueur
fantastique, presque envoutante, charmeuse. C’est Apoles autrefois appelé QG du
Cercle. Depuis cette gloire passé, la ville à bien changé. On y compte pas
moins de 100 000 milles âmes, qui vivent et y respirent. Pour permettre
toute cette vie, il a fallût aménager de grand espace de nature, et y récréer
une bio diversité. Mais cela ne suffisant pas, les Initiants on dû coupler ces
espaces de verdure à un système d’aération qui ne puisent pas l’air dans la
nature mais dans le sol, pour incorporer à cet air artificiel des atomes
d’énergies nécessaire pour pratiqué le Supra-mental dans de bonne condition. Berceau
de la civilisation, Apoles à vécu de nombreuses décades, et la technologie
mélangée aux bâtiments rustique créer un savant mélange entre la passé et le
présent. Cependant, il existe dans cette ville une zone rarement visité,
presque inconnue de tous les habitants, l’Area. Situé à 400 mètres au dessous
de la ville. Seuls les membres du conseil et quelques salariés peuvent y
accéder. On y trouve une carrière permettant de fabriquer sur place le
béton nécessaire à la réfection des pistes d’astroports et à la construction de
nouveaux bâtiments et de bastions. Ici est entreposé les armements et les
documents confidentiels du Cercle. A l'extrémité nord de la base, se trouvent
une panoplie d’amplificateur du Supra-Mental, permettant au meilleurs
Initiants, les Magistères, de pouvoir sonder chaque partie, chaque recoin de
l’Univers. De plus le chemin qui mène à l’Area et difficile et compliqué, il
est facile de s’y perdre et de finir mort assoiffé ou fou.

Cirissia

A trois mois de navigation de la
plus proche terre, quelque part au centre des mers de l‘ouest, se trouve l’île
Cirissia. De loin, les feuillages colorés de son abondante végétation irradient
sous le soleil un feu d’artifice merveilleux d’émeraudes, de saphirs, de rubis,
d’ambres, d’améthystes et d’ors. Mais sa beauté est un piège. Des fonds qui
l’entourent émergent des pics rocheux qui déchirent les coques des navires.
Alors des milliers de petits poissons aux éclats chatoyants déchiquètent
voracement les naufragés. Peu après, une armée de petits crustacés dépèce
soigneusement la carcasse du navire et l’emporte par morceaux dans leurs
cavernes sous-marines. Les survivants sont condamnés, car le danger est
partout. La terre elle-même empoisonne les sources. Des essaims d’insectes
monstrueux fondent du ciel en un battement de paupière. Une de leurs piqûres
est synonyme d’une mort lente et douloureuse. Fruits et racines sont mortels.
Le centre de l’île est infesté de toiles d’araignées immenses et des arachnides
qui les ont tissées. Quiconque se fait piquer par elles est condamné à un long
sommeil avant une mort horrible. Il arrive aux arbres eux-mêmes de bouger, et
de leurs racines et leurs branches de massacrer les passants qui sont ensuite
enterrés à leur pied pour s’y décomposer et les nourrir. Les rares survivants
on fondé une ville du nom de l’île, Cirissia. Ce village primitif compte une
100 d’âmes qui vivent en puisant dans la nature leurs besoins journaliers pour
survivre. Connaissant tout les dangers et recoin de l’île, les survivants ont
aménagé un chemin menant à la cote. Une voie éclairée ou la nature n’est qu’élément
de décor. Paisible. Rien dans ce village n’est fait pour le loisir. On y trouve
seulement un hangar, ou est entassé le bois des épaves échoué, quelques maisons
situées autour de la tour principal d’habitation qui à une capacité de 50
personnes, et quelques vestiges de murailles détruite par la nature furieuse.
Le seul moyen de communication avec les villes du continent est le
Supra-Mental. Les habitants puisent leurs énergies dans la nature plus
puissante et développé qu’ailleurs. Ils ont donc aménagé un espace dans la
forêt, entouré par la nature, donc par les énergies. Chaque soir les habitants
s’y réunissent et par la voie du Supra-Mental, échange avec les Membres du
Conseil toutes les informations les concernant. C’est ainsi que nous avons donc
pu apprendre l’existence de cette île mystérieuse et peu accueillante. Mais le
conseil à délibéré et un programme d’exploitation à été voté. Il consiste à
construire une digue entre l’île et le continent. Ainsi le village pourra
profiter du luxe. Mais ceci n’est qu’un projet, qui mérite encore une intense
réflexion

Nildis

Penché sur la mer, Nildis, ville
portuaire est une des plus belles citadelles de la contré. Le roulis des vagues
incessant vient meubler la vie paisible et doucereuse des Habitants qui ne
connaisse que la joie et le bonheur.
Dsl : mais je n'ai pas fini le texte pas trop d'inspiration