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| Filius Devoir n°1 | |
| | Auteur | Message |
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Shalimar
Nombre de messages : 171 Age : 36 Localisation : Debout sur le bois d'un robuste navire, les cheveux au vent, contemplant le prometteur horizon azuré Date d'inscription : 23/12/2007
| Sujet: Filius Devoir n°1 Lun 29 Sep - 13:04 | |
| - Spoiler:
J'aimerai que tu me décrive une scène de bataille ou post-bataille. Tu devras surtout travailler sur les impressions du personnage. Je veux des descriptions du décor (état des lieux après conflit) des objets, personnages, armes, cadavres et autres choses qui l'entourent. - Citation :
- Mes yeux sont clos, les ténèbres s’étalent devant mes yeux, je veux les ouvrir mais la force me manque : je reprends conscience.
Mais où suis-je ? Qu’est-ce que c’est que …. Oh mon dieu … Une odeur infâme m’envahit les narines, un mélange de sang, de sueur et de cendres… J’entends les corbeaux croasser non loin, ils sont nombreux je suppose, au bruit qu’ils font… saleté de charognes, noirs chasseurs de carcasses.
Après l’odorat et l’ouïe, voilà le ... comment dire… Toucher ? ça doit être quelque chose du genre ... une vague de douleur soudaine et violente m’envahit d’un seul coup, m’arrache un gémissement étouffé, je n’aie même plus la force de crier, je sens ma gorge rauque me faire sentir sa douloureuse présence . Mon cerveau se met à recouvrer toutes ses capacités, une à une , lent rétablissement accompagné de cette cruelle compagne qu’est la mienne : la douleur .
Un enchaînement d’explosions se déclenchent en moi, je perçois à nouveau les blessures qui me furent infligées avant mon inconscience, les bras les jambes le torse et surtout : la tête. Coupures, fractures, bleus, mais comment un corps humain peut il supporter tout cela ? Mon corps meurtrit, allongé sur le sol inégal, gît lamentablement parmi sûrement tout ceux de mes congénères. Quelle stupidité…
La guerre …
Rassemblant tout ce qui me reste de forces, je mets de coté ma douleur à laquelle je commence à me faire, aux odeurs puantes qui me viennent au nez, et j’oublie un instant que ma tête résonne de milles cloches, comme prise dans un étau de fer. Oubliant mes douleurs charnelles, j’ouvre les yeux, lentement, et contemple alors ce sombre spectacle : tout d’abord je vis le ciel ; L’endroit où Dieu devait se lamenter , car il était au premières loges pour nos festivités.
Le ciel oui, mais pas comme le votre en pleine campagne, bleu clair, emplit de nuages blancs, et d’oiseaux. Dommage, le notre , il est… différent, mais pas de beaucoup, hein ! Non, le notre, de ciel, il est noir, les fumées de brasiers l’ont peint de sombres couleurs, ils paraissent lourds, prêts à déverser sur moi les témoins du chagrin de Dieu, une pluie diluvienne, qui quand bien même annoncée par des éclairs grondants et aveuglants ,ne vint pas. Peut-être plus tard j’imagine…
Je tourne lentement la tête sur ma gauche, et quand mes yeux se posent sur ce semblant d’apocalypse, je me demande ce qui fait le plus mal à cet instant, la douleur de mon corps meurtrit ? Ou la douleur morale de voir ce qui s’étend devant moi ? Des étendues de sang, de tripes, de terre battue et retournée ou brulée. On aurait dit l’enfer terrestre… nous les hommes avons transformé ce qui fut autrefois sûrement le paradis terrestre en un enfer dévasté par la guerre et la haine.
Des milliers de corps, à perte de vue, s’étendent. La plupart ont les entrailles caressées par l’air ambiant ; D’autres pourraient faire une mosaïque avec leur corps, mais avec 500 pièces. Le détail original c’est qu’il faut d’abord rassembler les pièces avant de tout mettre en place.
Les chevaux gisent sur le sol près des chevaliers qui les avaient montés, beaucoup d’hommes semblent avoir gardé précieusement les épées ennemies dans le fourreau de leur corps, il faut dire que le corps des hommes tient chaud, je comprends les lames d’acier voulant se mettre au chaud pour lutter contre cette rude journée d’hiver. Mais le gros défaut des hommes c’est qu’une fois une épée soigneusement glissée dedans il perd rapidement de sa chaleur , et donc de son utilité. La couleur argentée du fer gracieusement mélée au vermeil du sang humain, forment une délicate poésie. Au milieu de tout ce mélange de chair et de métal, se dressent au loin des instruments de mort massive : Les engins de siège. Je crois que tout les morts ici présents peuvent remercier les balistères et les chefs de guerre. Vous savez quand il y a dix hommes à vous contre cent cinquante dans un même endroit, et qu’un tir de catapulte ne demande qu’à être lancé… c’est très tentant de se débarrasser de tout ce vilain monde, surtout quand la perte d’une dizaines de jeunes recrues est minime aux yeux du roi.
Où en étais-je ? Mince je m’égare, j’ai un brouillard tenace à l’esprit. Rassemblons nos pensées… Euhh.. A OUI ! Les maccabées !
Dernier détail avec eux, plus je regarde le spectacle qui s’offre à moi et plus les corbeaux se font nombreux dans ce périmètre, bon appétit les oiseaux ! Moi j’ai eu ma dose de viande crue… merci. J’espère juste qu’aucun d’entre eux ne voudra « me » goûter. C’est surtout que je ne suis pas sûr d’avoir la force de le repousser.
Mes souvenirs me reviennent tous lentement, je me remet du choc . Que m’est-il arrivé à moi au fait ? Je scrute encore mon environnement et m’aperçois à trois mètres d’un gros cratère formé dans le sol, du sang au fond, de la terre retournée tout autour . Tiens oui c’est vrai … le tir de catapulte, c’est pour ça les cloches dans ma tête, je me souviens, pendant notre fuite d’un groupe d’ennemis , un tir a éclaté à quelques pas de nous et m’a projeté sur un petit talut .
Ce n’est pas agréable mine de rien...arg ! Saleté de ..
Chassant d’ une main frêle un de ces volatiles carnassiers, la douleur dans ma cuisse me revint de plus belle. Un silence de « mort » plane sur les terres que nous avons tous si vaillamment défendus… vu son état actuel je me demande si tout cela valait le coup. Qu’importe, j’aurais au moins accomplit mon devoir, je pense que je peux mourir tranquille.
Quand vais-je mourir ? Au fait quelle heure est-il ? Après un long moment resté allongé ici, je perds à nouveau connaissance, et ne me réveille que plusieurs heures plus tard, quand mes yeux se rouvrirent encore une fois, ce fut pour discerner l’aube naissante. Les nuages noirs avaient disparus, comme si ils n’avaient jamais existé, laissant un ciel doré pointer à l’horizon. Les corbeaux furent remplacés par les hirondelles et le sang lavé par la rosée du matin, et vu l’état humide de mes vêtements, je parie que la pluie diluvienne que j’attendais vint finalement pendant mon inconscience.
Le printemps… les hirondelles que je vois venir du sud , volant gaiement dans les cieux, annoncent l’arrivée du printemps, une nouvelle année commence dirait-on. Le soleil est chaud, doux et doré. C’est tellement agréable que j’en oublie presque ma douleur, je respire péniblement, je dois avoir une ou deux côtes cassées. Un obstacle vint néanmoins gâcher ce qui venait d’être mon dernier instant sur terre avant le trépas. Un ombre m’obstrue la vue sur l’aube et se tient devant moi, debout, habillée d’une grande toge encapuchonnée. La silhouette n’est pas très grande, mais suffisamment pour remplir tout mon champ de vision. Les yeux de cet inconnu, voilés par le haut de la capuche, m’empêchent de distinguer autre chose que les lèvres de ce qui semble être un visage féminin, je souris , et salue celle qui allait être mon bourreau.
« Tu en as mis du temps, tu m’avais oublié ? Tu m’enmènes avec toi ? »
J’arrive à percevoir sur ses lèvres un sourire enfantin, alors la mort ressemble donc à cela ? Je me laisserais bien accompagné de l’autre côté par une si charmante créature. En la fixant je commence à bien apercevoir ses courbes féminines, elle pose sa main sur ma joue, et pour me préparer au voyage je ferme les yeux. Juste avant de m’évanouir d’épuisement après toutes les épreuves vécues, j’arrive à entendre une dernière phrase prononcée par la demoiselle :
« enmenez le prince à l’infirmerie, vite , dépêchez-vous » | |
| | | Shalimar
Nombre de messages : 171 Age : 36 Localisation : Debout sur le bois d'un robuste navire, les cheveux au vent, contemplant le prometteur horizon azuré Date d'inscription : 23/12/2007
| Sujet: Re: Filius Devoir n°1 Lun 29 Sep - 13:41 | |
| - Citation :
- Mes
yeux sont clos, les ténèbres s’étalent devant mes yeux, je veux les ouvrir mais la force me manque : je reprends conscience. Attention aux répétitions. - Citation :
- Mais où suis-je ? Qu’est-ce que c’est que …. Oh mon dieu …
Toujours ce même problème avec la ponctuation ! Fais gaffe, ce sont des petites choses qui accrochent le regard, et je crois même qu’Undead t’en a déjà fait la remarque. - Citation :
- Une odeur infâme m’envahit les narines, un mélange de sang, de sueur et de cendres… J’entends les corbeaux croasser non loin, ils sont nombreux je suppose, au bruit qu’ils font…
saleté de charognes, noirs chasseurs de carcasses. Pour une question de sonorité je passerai j’inverserai les deux éléments en vert. Lis à voix haute ta version : « Ils sont nombreux je suppose, au bruit qu’ils font… » La correction possible : « Au bruit qu’ils font, je suppose qu’ils sont nombreux… » - Citation :
- Après l’odorat et l’ouïe, voilà le... comment dire… Toucher ?
Ça doit être quelque chose du genre... Une vague de douleur soudaine et violente m’envahit d’un seul coup, m’arrache un gémissement étouffé, je n’aie même plus la force de crier, je sens ma gorge rauque me faire sentir sa douloureuse présence. La formulation en vert me choque un peu. Peut-être pourrais-tu tourner cela autrement ? Pour le moment je ne rentre pas dans le détail et ne chercherai pas meilleure formule. Je voudrai voir ça avec toi plus tard. Mais commence à réfléchir sur de nouvelles tournures de phrases.
Concernant ce passage une autre chose me laisse un sentiment d’incohérence. Ton personnage ne semble pas savoir ce qu’il a, mais il le décrit un peu « trop bien ». Fais attention ! A la rigueur je te proposerai de supprimer purement et simplement le morceau rouge de ton texte.
En outre la seconde phrase en vert est bien trop longue et perd en qualité. Essayer de l’écourter ou la diviser en deux aurait été plus judicieux. Voilà ce que je te propose :
« Une vague de douleur soudaine et violente m’envahit d’un coup un seul m’arrachant un gémissement étouffé. Je n’aie même plus la force de crier et ma gorge se rappelle douloureusement à moi.» - Citation :
- Mon cerveau se met à recouvrer toutes ses capacités, une à une , lent
rétablissement accompagné de cette cruelle compagne qu’est la mienne : la douleur . Pourquoi "se met à recouvrer", alors que tu peux te simplifier la vie et éviter de nombreuses fautes?
"Mon cerveau recouvre toutes ses capacités une à une, et la cruelle douleur se fait compagne de mon lent rétablissement. - Citation :
- Un enchaînement d’explosions se déclenchent en moi, je perçois à
nouveau les blessures qui me furent infligées avant mon inconscience, les bras les jambes le torse et surtout : la tête. " ... et je perçois à nouveau les blessures qui me furent infligées, avant de tomber dans l'inconscience. Les bras, les jambes, le torse, et surtout ma tête." - Citation :
- Oubliant mes douleurs charnelles
Répétition ! OUblier, oublis, oubliant.
"Occultant le mal qui me tient, [...] et contemple ce sombre spectacle." La suite au prochain épisode puisqu'il me faut malheureusement aller en cours. | |
| | | Shalimar
Nombre de messages : 171 Age : 36 Localisation : Debout sur le bois d'un robuste navire, les cheveux au vent, contemplant le prometteur horizon azuré Date d'inscription : 23/12/2007
| Sujet: Re: Filius Devoir n°1 Jeu 2 Oct - 15:19 | |
| - Citation :
- tout d’abord je vis le ciel ; L’endroit où Dieu devait se lamenter , car il était au premières loges pour nos festivités.
"Je vis d'abord le ciel d'où Dieu, assit au premières loges, devait se lamenter."
- Citation :
- Dommage, le notre , il est… différent, mais pas de beaucoup, hein !
Là je ne vois même pas quoi dire pour rectifier le "tir". Honnêtement, cette phrase n'a rien de très agréable à lire. On pourrait croire à une "discussion entre potes" alors que ton personnage est d'origine noble... Et puis... il me semblait te connaitre un goût particulier pour le monde de la chevalerie. On le retrouve bien ici, ne t'en inquiète pas ! Mais cette façon de s'exprimer entache un peu la qualité de ton récit.
- Citation :
- Non, le notre, de ciel, il est noir, les fumées
de brasiers l’ont peint de sombres couleurs, ils paraissent lourds, prêts à déverser sur moi les témoins du chagrin de Dieu, une pluie diluvienne, qui quand bien même annoncée par des éclairs grondants et aveuglants ,ne vint pas. Ouille >.< Qu'est-ce que c'est long. Tu as vu le nombre de subordonnées qu'il y a là?! Pas étonnant que tu fasse des fautes d'accords, et pas facile pour ton lecteur de te suivre. Pour en revenir à cette faute. On ne sait plus si tu parles du ciel ou des nuages, mais j'ai la forte impression que tu t'es emmêlé les pinceaux. RELIS TOI ça t'évitera ce genre d'erreurs stupides ! (Enfin de mon point de vue)
- Citation :
- Je tourne lentement la tête sur ma gauche
" ...sur la gauche..."
- Citation :
- je me demande ce qui fait le plus mal à cet instant, la douleur de mon corps meurtrit ? Ou la douleur morale de voir ce qui s’étend devant moi ?
"ce qui fait le plus mal à cet instant : la douleur de mon corps meurtrit, ou la douleur..."
- Citation :
- Des étendues de sang...
Mon Dieu je n'ai jamais entendu cette expression auparavant. Elle n'est pas très belle, et on a plutôt tendance à dire "marres de sang" d'ordinaire. Qu'en penses-tu?
- Citation :
- On aurait dit l’enfer terrestre… nous les hommes
avons transformé ce qui fut autrefois sûrement le paradis terrestre en un enfer dévasté par la guerre et la haine. "On aurait dit l'enfer terrestre... Nous les hommes avions transformé ce qui autrefois était un paradis sur Terre en un désert infernal, emplit de haine et marqué par le guerre." Ce n'est là qu'une proposition de correction. Si tu as mieux je prends ! ^^
- Citation :
- caressées par l’air ambiant
"caressées par le vent."
- Citation :
- D’autres pourraient faire une mosaïque avec leur
corps, mais avec 500 pièces. Le détail original c’est qu’il faut d’abord rassembler les pièces avant de tout mettre en place. "Avec le corps de certains on pourrait faire une mosaïque d'une centaine de pièces. Enfin... seulement après avoir rassembler tous les morceaux a mettre en place."
- Citation :
- Les chevaux gisent sur le sol près des
chevaliers qui les avaient montés, beaucoup d’hommes semblent avoir gardé précieusement les épées ennemies dans le fourreau de leur corps, il faut dire que le corps des hommes tient chaud, je comprends les lames d’acier voulant se mettre au chaud pour lutter contre cette rude journée d’hiver. "Les chevaux gisent au sol, près des chevaliers qui les ont monté. Beaucoup de ces hommes ont précieusement conservé, dans le fourreau de leur corps, les épées ennemies. Il est bien naturel que ces lames assassines aient voulu se mettre au chaud, pour se protéger de cette rude journée d'hiver."
J'ai beaucoup aimé l'image du "fourreau humain". Vraiment très beau.
- Citation :
- des hommes c’est qu’une fois une épée soigneusement glissée dedans il perd rapidement de sa chaleur , et donc de son utilité.
"...des hommes, c'est qu'une fois l'épée soigneusement "rangée" (à la place de glissée), il perd de sa chaleur et donc, de son utilité."
- Citation :
- Au milieu de tout ce mélange de chair et de métal, se dressent au loin des instruments de mort massive : Les engins de siège.
"...de chair et de métal se dressent, au loin, des instruments de mort massive : ces engins de siège."
- Citation :
- c’est très tentant de se débarrasser de tout ce
vilain monde, surtout quand la perte d’une dizaines de jeunes recrues est minime aux yeux du roi. "il est très tentant de se débarrasser de tout ce vilain monde. Surtout quand la perte d'une dizaine de jeunes hommes apparaît ridicule aux yeux du roi."
- Citation :
Où en étais-je ? Mince je m’égare, j’ai un brouillard tenace à l’esprit. Rassemblons nos pensées… Euhh.. A OUI ! Les maccabées !
Dernier détail avec eux, Plus je regarde le spectacle qui s’offre à moi et plus les corbeaux se font nombreux dans ce périmètre, bon appétit les oiseaux ! Moi j’ai eu ma dose de viande crue… merci. J’espère juste qu’aucun d’entre eux ne voudra « me » goûter. C’est surtout que je ne suis pas sûr d’avoir la force de le repousser. Ce qui est barré en rouge m'apparait totalement inutile et me choque. Comment ton prince presque agonisant peut-il dire des choses pareilles. Il voit à peine et est dans les vappes. Pas question de lui donner tant de vivacité ! Oo Pour le reste petite rectification : "J'espère juste qu'aucun d'entre eux ne voudra "me goûter", car je ne suis pas même sûr de pouvoir le repousser."
- Citation :
- Que m’est-il arrivé
à moi au fait ?
Il est facile de deviner que c'est pour lui qu'il s'inquiète, pas besoin de rajouter ce "à moi".
- Citation :
- et m’aperçois à trois mètres d’un gros cratère
"et aperçois..."
- Citation :
- je me souviens, pendant notre fuite
d’un groupe d’ennemis "je me souviens pendant notre fuite, un tir a éclaté..."
- Citation :
- talut
"talus"
- Citation :
- Chassant d’une main frêle un de ces volatiles carnassiers, la douleur dans ma cuisse me revint de plus belle.
"D'une main frêle, je chasse un de ces volatils carnassiers, et la douleur au niveau de la cuisse revient de plus belle."
- Citation :
- quand mes yeux se rouvrirent encore une fois, ce fut pour discerner l’aube naissante. Les nuages noirs avaient disparus, comme si ils
n’avaient jamais existé, laissant un ciel doré pointer à l’horizon. Les corbeaux furent remplacés par les hirondelles et le sang lavé par la rosée du matin, et vu l’état humide de mes vêtements, je parie que la pluie diluvienne que j’attendais vint finalement pendant mon inconscience. "Quand mes yeux se rouvrent, c'est pour assister à la naissance d'un nouveau jour. Les nuages noirs ont disparu [...]. Les hirondelles ont remplacé les corbeaux, et la pluie diluvienne survenue pendant mon inconscience a lavé le sol du sang qui le maculait."
Voili ! Voilou ! Pour le reste du texte c'est bon. Mais quel travail tu m'as donné avec ce texte. ^^
J'espère que ma correction te servira. C'était pas mal pour un premier devoir, mais j'ai quand même deux trois petites choses à te reprocher. Je relève de grosses lourdeurs dans ton expression, et les fautes d'orthographes et de conjugaison sont un peu trop nombreuses. La prochaine n'hésite pas à user du correcteur d'orthographe de word. Ah ! Et par pitié ! RELIS TOI ! Je suis sûre que la moitié des maladresses dans ton expressions ou des petites fautes relevées auraient pu être évitée, si tu avais pris le temps de te relire deux ou trois fois. Alors pas de précipitation, et surtout de la concentration ! | |
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