Sephi 4*4 devoir n°1 [Ambre]

[Histoire]
Comme dit le début de celui-ci!

C'est assez conséquent ^^ Pour un premiers tiers ou moitié on verra Tire la Langue

The sujet :

Citation :: Bon alors premier sujet, le but est de cerner un peu ton niveau actuel et de voir comment tu t'en tires.

Du coup, un thème facile : raconte-moi une l'attaque d'un vaisseau spacial dont ton héros est le pilote. Narrateur omniscient, donc je veux savoir à la fois quel est le point de vue des adversaires et quel est celui de ton héros tout en ayant l'effet de surprise de l'attaque.

Si l'attaque de vaisseau spacial ne te convient pas, prend l'attaque du village dans lequel le héros vit, à toi de voir si tu es plutôt tenté par le côté SF ou fantasy de la chose.

ET ouais tu vas voir à quel point j'aime les vaisseaux spaciaux Tire la Langue

JE préfère largement les petites cabanes en bois! Cool

[/Hhistoire]

* * *

Eclat de métal luisant aux lueurs que la lune diffuse à travers les arbres ! Des soldats marchent en silence avançant vers ce qui semble être la lisière de celle-ci !
-L’Aube ne va pas tarder à se lever, soldat, nous devons être en place avant les premières lueurs du jour !
Les habitants de ce village ne doivent pas avoir le temps de s’organiser, la destruction de celui-ci n’est que le premier pas dans notre conquête ! Sergent prenez la moitié de nos hommes et contournez le village, il ne doit y avoir aucun fuyard !
-Comptez sur moi !

Le sergent désigna une petite trentaine d’hommes pour l’accompagner, tous plus effrayants les uns que les autres ! Barbe de plusieurs jours, armure rouillé par endroits, épée émoussée voir ébréché ! Ces hommes semblait plus être une troupe de renégats ayant soif de pillage et de massacre qu’un véritable contingent ducal.
Le capitaine, amena quant à lui, le reste des mercenaires à la lisière même du bois ! On pouvait lire sur son visage son envie irrésistible de piller, tuer, violer les habitants de ce village !

-Je préfère vous prévenir nous sommes aux portes même du royaume elfique, ce sont donc des individus méprisables que nous allons attaquer, n’ayez aucun scrupule !

Acquiescement et rictus de haine sur la tête des multiples soldats rester de ce côté de la clairière ! Une chose était sur, il n’y aurait aucune pitié dès que l’aube paraîtrait !

* Si jamais nous massacrons tous ces elfes je pourrais alors revenir dans l’armée, couvert de gloire, après avoir vaincu une partie de cette vermine immortelle ! Être reconnus par les siens doit être fabuleux, et si ce que l’ont dit est vrai ces gens possèdent une quantité incroyable de bijoux et objets de valeurs, nous reviendrons riches ! *

* * *

Au cœur de la petite clairière, baignant dans la douce lueur de la Lune, un petit village sylvanien dormait encore paisiblement, insouciant de la menace qui pesait sur lui ! Une légère brise glaciale soufflait entre les habitations de bois, chantant avec tristesse une douce mélodie !
Dans une petite cabane le long de la « rue » principale, Afenor dormait encore ! Chasseur et archer renommé du village, il se reposait calmement avant une nouvelle journée de marche dans la forêt ! Son arc et son carquois gisaient à côté d’une fine lame elfique posé sur la petite table qui était pour tout le seul meuble hors la chaise et le lit qui se trouvait dans la maison !
Partout ailleurs les Sylvaniens dormaient encore, et seuls les premiers rayons du soleil, qui allaient bientôt apparaître, pouvaient les réveiller !

* * *

Derniers rayons de lune disparaissant, laissant place aux premières lueurs de l’aube. Les premiers tintement de lame sortant des étuis commencent à s’entendre, quelques craquements du aux branches mortes écrasé par les mercenaires durant leur approche ! Quelques armures apparaissent à la lueur de l’aube naissante, le Capitaine en première ligne, la charge ne va point tarder, et le massacre commencer !

-Soldats, restez calme tant qu’aucun signe de vie n’apparaît ! Plus nous serons prêt d’eux, plus grand sera notre avantage ! N’oubliez pas, ne vous offusquez point de tuer pareil vermine, nous servons notre intérêt plus ceux de notre empire ! Si fuite il y a, dirigez là vers l’extrémité Sud, nos hommes se feront un plaisir de les accueillir !

Murmures approbateurs, sourire cynique se dessinant sur les visages, l’envie de tuerie est là !
Ces soldats se battront jusqu’à leur propre mort, en faisant abstraction de toute souffrance, des diables sont lancés sur ces pauvres Sylvaniens en demi éveil !

Alors que la douce lumière dorée du Soleil commençait à baigner les habitations, le rythme d’avancé des soldats s’accélérait, du pas au trot, puis soudain, le tant attendus :

-CHAAARGEZ, massacrez ces païens !

Le rythme s’accéléra encore, quelques voltiges de terre s’envolaient dans les airs du au martèlement forcés de la terre encore meuble du à la légère rosé tombé dans la nuit .
C’est donc, dans un tourbillon de terre volante et de beuglement sinistre que les soldats atteignirent les premières maisons …

* * *

Lumière dorée légère passant à travers les rideaux, venant inondé le visage endormis du sylvanien. Mouvement imperceptible sur les paupières closes de l’elfe, clignement, chute dans les profondeurs abyssales de ces yeux bleus outremer !

Beuglement animal, retentissant à l’extérieur, frisson parcourant le corps de l’elfe. Qu’elle sorte de bête viendrait dans un petit village elfique à une heure si matinal …
Afenor se précipite vers la porte, l’entrouvre et là perception d’un horreur inimaginable. Une masse d’hommes étincelant approches des premières maisons.

* Une attaque si tôt ! Que nous veulent ces humains en acier … Leur regards est emplis de haine, et les quelques torche qu’ils portent ne présage rien de bon . Si nous ne réagissons pas mes frères et moi nous ferons massacrer.*

Attrapant le cor de brume qui pendait à son mur, l’elfe sonna l’alarme, récupéra son arc et ses couteaux, le visage grave empoigna la hampe de l’arc et partit à la chasse, mais cette chasse serait humaine.

De partout des elfes sortaient, arcs à la main, flèches encochés, prêt à se défendre face à cet horde d’humain assoiffés de sang.

* * *

Les humains arrivèrent aux atours des habitations au moment où une sonnerie de cor retentit, sonnant l’alerte, abasourdis, pensant surprendre l’ennemi, la charge humaine ralentis, laissant un capitaine furieux, vociférant à s’en casser la voix, des ordres à ses hommes !

-Ne vous laissez pas intimider, si nous entrons dans le village ils n’auront plus de protection, mettez le feu partout, tuer, bruler piller, ne laisser rien en l’état ! Où est passez votre soifs de tuer !

Enhardis par les paroles de leur chef, les humains reprirent l’attaque, au moment même ou les premiers elfes sortaient des habitations arcs en main !
Une, ou deux flèches volèrent vers les humains en fauchant un dans sa course ! Alors que de l’autre côté le premier elfe tombait à terre, tête tranché par l’épée du capitaine qui était arrivé aux niveau des premières habitations !
Les humains affluaient se protégeant des flèches grâce aux maisons de bois, malgré quelques blessé et pertes, les humains avaient eux aussi put massacre deux-trois sylvaniens, qui n’avaient eut le temps de s’éloigner de la charge, leur corps gisaient en plein centre de la voie menant vers le centre du village.
Les hommes contournait les maisons mettant le feu à celles qu’ils laissaient derrière eux, les quelques elfes qui tentèrent de s’opposer à cette avancer connurent une fin tragique et douloureuse !

-Soldat, nous avons put surprendre une partie de ces païens, mais les autres ont du s’organiser, nous devons être plus prudent maintenant, ils ont réagis plus vite que ce que nous attendions, nous avons malgré tout l’avantage du nombre et le terrain ne nous est pas défavorable car leur flèches ne peuvent nous atteindre !

* C’est bien ce que j’espérais, d’ici une petite heure nous aurons raser ce village, ma lame serait enduit du sang de ces païens et nous aurons une place d’honneur dans l’armée ducale que nous irons rejoindre ! ET enfin l’invasion de ces terres hérétiques pourra commencer *

Les soldats, rictus de haine sur le visage, yeux luisant du plaisir qu’ils prenaient à tuer ces elfes, commencèrent à avancer vers ce qui s’annonçait comme le plus rude combat de la journée ! Mais certain de leur victoire futur, aucune peur ne se voyait dans leurs yeux dément, seul la terreur que les ennemis devaient ressentir et l’envie de meurtre était lisible sur ces visages sinistre !

* * *

Sephi 4*4 a écrit:: Eclat de métal luisant aux lueurs que la lune diffuse à travers les arbres. Des soldats marchent en silence, avançant vers ce qui semble être la lisière de la forêt. (pourquoi mettre celle-ci quand tu peux dire forêt sans faire de répétition ?)
-L’Aube ne va pas tarder à se lever, soldats (sauf s'ils sont que deux et j'espère pas pour eux ^^), nous devons être en place avant les premières lueurs du jour ! Voilà, ça c'est une bonne place pour un point d'exclamation !
Les habitants de ce village ne doivent pas avoir le temps de s’organiser, sa destruction n’est que le premier pas dans notre conquête. Sergent, prenez la moitié de nos hommes et contournez le village. Il ne doit y avoir aucun fuyard ! (ce que je viens de faire en remplaçant ta virgule par un point, c'est donner plus de valeur à ton exclamation. Plus elle est courte, plus elle s'inscrit facilement dans l'esprit du lecteur.)
- Comptez sur moi !

Le sergent désigna une petite trentaine d’hommes pour l’accompagner, tous plus effrayants les uns que les autres. Barbe de plusieurs jours, armure rouillée par endroits, épée émoussée voir ébréchée... (ici, points de suspension car tu veux amener à faire travailler l'imagination du lecteur. En faisant cela, il s'imaginera de lui-même l'attirail complet des soldats.) Ces hommes semblaient plus être une troupe de renégats ayant soif de pillage et de massacre qu’un véritable contingent ducal. (Un moyen simple d'alléger ta phrase ici : ces hommes ressemblaient, au lieu de semblaient être. Ca supprime un verbe et sa rend la construction beaucoup plus simple. Tu peux même alléger encore (mais là je chipote, j'avoue ^^) en faisant deux phrases : Ces hommes ressemblaient plus à une troupe de renégats qu'à un véritable contingent ducal. La soif de pillage et de massacre se lisait dans leurs yeux. Bon, c'est un exemple, pas forcément bon et un peu cliché, mais tu vois où je voulais en venir j'espère.)
Le capitaine amena quant à lui le reste des mercenaires à la lisière même du bois. (règle d'or de la virgule : la virgule ne se met jamais entre un sujet et son verbe, fais attention à ça, j'insiste. Ensuite, le quant à lui ici n'est pas vraiment nécessaire) On pouvait lire sur son visage son envie irrésistible de piller, tuer, violer les habitants de ce village. (de ce village n'est pas vraiment nécessaire.)

-Je préfère vous prévenir, nous sommes aux portes mêmes du royaume elfique. Ce sont (donc) des individus méprisables que nous allons attaquer, n’ayez aucun scrupule !

Acquiescements et rictus de haine sur le visage des multiples soldats restés de ce côté de la clairière. Une chose était sûre, il n’y aurait aucune pitié dès que l’aube paraîtrait ! (alors là, désolée, déformation littéraire, mais je verrais bien une personnification du genre l'aube serait sans pitié ou quelque chose comme ça ^^ c'est bon, je suis déjà dehors...)

* Si (jamais) nous massacrons tous ces elfes je pourrais (alors) revenir dans l’armée (,) couvert de gloire, après avoir vaincu une partie de cette vermine immortelle ! (évite les jamais, alors, ils sont inutiles et alourdissent ta phrase. Autre règle d'or de la virgule : on ne sépare pas les verbes qui forment une expression comme revenir couvert de gloire) Être reconnu(s) par les siens doit être fabuleux, et, si ce que l’on(t) dit est vrai, ces gens possèdent une quantité incroyable de bijoux et objets de valeurs... (là aussi, les points de suspension suggèrent que la richesse est incommensurable) Nous reviendrons riches ! *

* * *

Au cœur de la petite clairière, baignant dans la douce lueur de la Lune (pourquoi une majuscule ici ? La lune est-elle divinisée, personnifiée ? Si c'est le cas, précise ta pensée par une phrase ou deux, ça ne fera pas de mal ^^), un petit village sylvanien (sylvain, sylvestre, ou néologisme voulu ? là aussi, à préciser) dormait encore paisiblement, insouciant de la menace qui pesait sur lui. Une légère brise glaciale (opposition entre légère et glaciale : si la brise est légère, elle sera fraîche, si elle est glaciale, ce sera plutôt un vent, la glace fait penser à quelque chose de vif, de violent, ce qui est en totale opposition avec la légèreté, qui se veut plus douce, surtout au niveau du vent) soufflait entre les habitations de bois, chantant avec tristesse une douce mélodie. (au vu de ta phrase, j'opterais plutôt pour la brise)
Dans une petite cabane le long de la « rue » principale (évite les guillemets, ça montre ton incertitude quant au terme que tu emploies, ou sinon insiste sur le fait que le terme soit désuet, par exemple "le long de ce qui tenait lieu de rue principale"), Afenor dormait encore. Chasseur et archer renommé du village, il se reposait calmement avant une nouvelle journée de marche dans la forêt. Son arc et son carquois gisaient à côté d’une fine lame elfique posée sur la petite table qui était pour tout le seul meuble hors la chaise et le lit qui se trouvait dans la maison. (Ouhlà. Alors là, attention, mélange d'expressions. Le "pour tout" est inutile, mets ton de la maison après le meuble, et transforme ton "hors" en hormis, ça te donne ça : ...qui était le seul meuble de la maison hormis la chaise et le lit. Ta phrase se retrouve simplifiée, mais tu peux aussi changer d'expression en refaisant une phrase : hormis la petit table, la maison comprenait pour tout ameublement le lit et la chaise." à toi de voir la formulation qui te conviendrait le mieux.)
Partout ailleurs les Sylvaniens (là on comprend que ton néologisme était voulu. la précision aurait dû être faite avant, pour que le lecteur ne croie pas à une erreur de ta part) dormaient encore, et seuls les premiers rayons du soleil, qui allaient bientôt apparaître, pouvaient les réveiller.

Commentaire général : Première remarque, celle de la mise en page. J'ai beaucoup apprécié que tu mettes des couleurs, le rendu est bon et ajoute de la clarté au changement de narrateur. Par contre, évite de centrer tes textes. Laisse-les alignés à gauche, justifie-les à la limite, mais prends l'habitude de cette présentation parce que c'est celle qui est couramment admise et acceptée. Les paragraphes centrés ou alignés à gauche ne le sont que dans le cas où l'auteur veut à tout prix signaler soit un moment clé de son raisonnement, soit un changement temporaire de narrateur, mais à ce moment-là, c'est plutôt le changement typographique (que tu as parfaitement appliqué) qui sera de mise.

Deuxième remarque : ma ponctuation. Tu es le premier fana des points d'exclamation que je rencontre ^^ Petit rappel : le point d'exclamation est utilisé pour marquer une forte émotion ou la surprise. Pas le suspense. Je reprends tes deux premières lignes et je t'ajoute ici les commentaire internes suscités par tes points d'exclamation chez le lecteur.

Eclat de métal luisant aux lueurs que la lune
diffuse à travers les arbres ! (tatatatsoin !) Des soldats marchent en silence avançant
vers ce qui semble être la lisière de celle-ci ! (tataaaam !)

Et là, le lecteur est à moitié mort de rire. Avoue que ce n'est pas trop l'effet que tu recherchais. Dans ce devoir, tu n'as pas tenu compte de la valeur d'exagération que revêt le point d'exclamation. A surveiller pour la prochaine fois, que ce soit dans la narration même ou les dialogues Heureux

Ensuite, tu aimes bien les celle-ci, celle-là, etc. Tu complexifies tes phrases, souvent inutilement, parce que tu as peur de faire des répétitions quand la solution est en général simple. Essaie de te relire à voix haute de temps à autre, ça pourra t'être utile.

Remarque suivante : les virgules, petit récapitulatif : la virgule, c'est, quand tu lis à voix haute, le moment où tu en profites pour reprendre ta respiration. Elle permet aussi de déterminer le ton de la phrase. Par exemple :

Citation :: Mon chat qui est malade n'a pas voulu manger sa pâté.

Mon chat, qui est malade, n'a pas voulu manger sa pâté.

Les deux phrases sont grammaticalement correctes. Simplement, quand tu liras la première, ce sera d'un trait, sans qu'un élément se détache vraiment de la phrase. Alors que dans la deuxième, l'information principale (le fait que le chat soit malade et qu'il n'ait pas voulu manger) se retrouve mise en évidence car mieux définie.

Sinon, cherche un peu moins la précision mathématique, à savoir : lui là, oui, lui, ce personnage... c'est pas comme ça que ça marche ^^. Choisis toujours d'être le plus simple possible et d'être le plus précis. Exemple : Le capitaine, le soldat, Il, Ils... Ca suffit, pas besoin de plus ! évite les "quant à lui", les "pour sa part" : c'est pas une dissertation ^^ à la limite, tu peux utiliser "de son côté", ça donne tout de suite un aspect plus littéraire non ? :afro: Evite aussi la surcharge de compléments du noms, ils sont inutiles.

Concernant les pensées des personnages, simplement les mettre entre ** est assez facile, je trouve. Tout dépend du texte que tu veux faire. Ici, la consonance est tout de même rpique, donc ça passe, mais en règle générale précise plutôt un pensa-t-il, ou quelque chose dans le genre. Si tu ne veux pas préciser qui pense, mets quelque chose qui précède pour le signaler : une pensée s'envola dans les airs ou parmi le chaos provoqué par les soldats, une pensée se formula plus clairement, etc.

Attention également à l'accord de tes participes passés, il n'est pas toujours exact, relis-toi bien.

Suite au post suivant, pas assez de place ici ^^

Sephi 4*4 a écrit:: Derniers rayons de lune disparaissant, laissant place aux premières lueurs de l’aube. Les premiers tintements de lame sortant des étuis commencent à s’entendre (l'expression correcte est "se faire entendre"), quelques craquements dûs aux branches mortes écrasées par les mercenaires durant leur approche. (durant leur approche... ? Ta phrase ne tient pas debout grammaticalement tu utilises un verbe conjugué puis uniquement un participe, il manque donc un verbe conjugué après approche. Si tu n'as pas compris, on le refera par msn avec exemples à la clé $Clin d\'Oeil$ ) Quelques (attention à la répétition) armures apparaissent à la lueur de l’aube naissante... Le Capitaine en première ligne, la charge ne va point tarder, et le massacre commencer !

-Soldats, restez calme tant qu’aucun signe de vie n’apparaît ! Plus nous serons prêt d’eux, plus grand sera notre avantage ! N’oubliez pas, ne vous offusquez (ici, le terme offusqué semble un peu pompeux, utilise un langage plus simple, ici le ton se doit d'être dialogique, presque familier) point de tuer pareil vermine, nous servons notre intérêt plus (là, par contre, expression maladroite. Pourquoi pas simplement "et" ?) ceux de notre empire ! Si fuite il y a, dirigez là vers l’extrémité Sud, nos hommes se feront un plaisir de les accueillir !

Murmures approbateurs, sourires cyniques se dessinant sur les visages, l’envie de tuerie est là !
Ces soldats se battront jusqu’à leur propre mort(,) en faisant abstraction de toute souffrance, des diables sont lancés sur ces pauvres Sylvaniens en demi éveil.

Alors que la douce lumière dorée du Soleil commençait à baigner les habitations, le rythme d’avancée des soldats s’accélérait, du pas au trot (moyen quand même, l'allusion au cheval), puis soudain, le tant attendu(s) :

-CHAAARGEZ, massacrez ces païens !

Le rythme s’accéléra encore, quelques voltiges de terre s’envolaient dans les airs du au martèlement forcés de la terre encore meuble du à la légère rosé tombé dans la nuit . (Cette phrase, honnêtement, ça va pas. Déjà, une voltige de terre n'existe pas. Tu peux parler de mottes de terre, par exemple. Ensuite, tu surenchéris sur les du, qui s'orthographient plutôt dues d'ailleurs, ce qui créé une gradation assez malvenue. De plus, tu dis que le rythme s'accélère : montre-le dans le rythme que tu donnes à ta phrase. Ta phrase reprise : Le rythme s'accéléra encore. Le sol, amolli par la rosée, était meuble sous les pieds des soldats. Des mottes de terres s'envolaient dans les airs.)
C’est donc(,) dans un tourbillon de terre volante et de beuglements sinistres que les soldats atteignirent les premières maisons.

* * *

Lumière dorée légère passant à travers les rideaux, venant inonder le visage endormi(s) du sylvanien. Mouvement imperceptible sur les paupières closes de l’elfe, clignement, chute dans les profondeurs abyssales de ses yeux bleus outremer.

Beuglement animal(,) retentissant à l’extérieur, frisson parcourant le corps de l’elfe. Qu(’)elle sorte de bête viendrait dans un petit village elfique à une heure si matinale ?
Afenor se précipite vers la porte, l’entrouvre et là perception d’une horreur inimaginable. (attention, là, par contre, langage familier à éviter dans un récit. --> Afenor se précipite vers la porte et l'entrouvre. Perception d'une horreur inimaginable. Tout simplement, et ça rend la scène plus frappante) Une masse d’hommes étincelant(si tu parles de la masse, étincelante, si tu parles des hommes, étincelants) approche(s) des premières maisons.

* Une attaque, si tôt ! Que nous veulent ces humains en acier ? Leur regards sont emplis de haine, et les quelques torches qu’ils portent ne présagent rien de bon . Si nous ne réagissons pas mes frères et moi nous ferons massacrer.*

Attrapant le cor de brume qui pendait à son mur, l’elfe sonna l’alarme, récupéra son arc et ses couteaux, le visage grave empoigna la hampe de l’arc et partit à la chasse, mais cette chasse serait humaine. (inversement des expressions dans la phrase, je te remets les groupes de mots dans l'ordre : Attrapant le cor de brume qui pendait à son mur, l'elfe sonna l'alarme, récupéra son arc et ses couteaux, empoigna la hampe de de l'arc, et, le visage grave, partit à la charge. Mais cette chasse, malheureusement, serait humaine.)

De partout des elfes sortaient (les elfes sortaient de partout, plutôt), arcs à la main, flèches encochées, prêts à se défendre face à cette horde d’humains assoiffés de sang.

* * *

Les humains arrivèrent aux alentours des habitations au moment où une sonnerie de cor retentit, sonnant l’alerte. Abasourdis, la charge humaine ralentit. Ils avaient pensé surprendre l’ennemi. Le capitaine, furieux, vociférait des ordres à ses hommes à s'en casser la voix !

-Ne vous laissez pas intimider, si nous entrons dans le village ils n’auront plus de protection. Mettez le feu partout, tuez, brûlez, pillez, ne laissez rien en l’état ! Où est passée votre soif(s) de tuer ?

Enhardis par les paroles de leur chef, les humains reprirent l’attaque(,) au moment même ou les premiers elfes sortaient des habitations arcs en main.
Une(,) ou deux flèches volèrent vers les humains, en fauchant un dans sa course. (Alors que) De l’autre côté le premier elfe tombait à terre, tête tranchée par l’épée du capitaine qui était arrivé au(x) niveau des premières habitations.
Les humains affluaient, se protégeant des flèches grâce aux maisons de bois, malgré quelques blessés et pertes, (les humains) ils avaient eux aussi pu(t) massacrer deux-trois (pas très littéraire) sylvaniens, qui n’avaient pas eu(t) le temps de s’éloigner de la charge, leurs corps gisaient en plein centre de la voie menant vers le centre du village. (alors là, ce que tu as fait, c'est que tu as eu plein d'idées, donc tu t'es dit "chouette, si je les mettais dans une seule phrase" ? Le problème, c'est que le lecteur est bête, et qu'il n'aime pas ça. Il faut que tu sois plus clair dans tes propos, et pour cela, utilise le petit point magique : Les humains affluaient, se protégeant des flèches grâce aux maisons de bois. Malgré quelques blessés et pertes, ils avaient eux aussi pu massacrer deux-trois sylvaniens qui n'avaient pas eu le temps de s'éloigner de la charge. Leurs corps gisaient en plein centre de la voir menant au centre du village.)
Les hommes contournait les maisons, mettant le feu à celles qu’ils laissaient derrière eux. Les quelques elfes qui tentèrent de s’opposer à cette avancée connurent une fin tragique et douloureuse.

-Soldat, nous avons pu(t) surprendre une partie de ces païens, mais les autres ont dû s’organiser, nous devons être plus prudents maintenant, ils ont réagi(s) plus vite que ce que nous attendions. Nous avons malgré tout l’avantage du nombre et le terrain ne nous est pas défavorable, car leur flèches ne peuvent nous atteindre !

* C’est bien ce que j’espérais, d’ici une petite heure nous aurons rasé ce village, ma lame sera(it) enduite du sang de ces païens et nous aurons une place d’honneur dans l’armée ducale que nous irons rejoindre ! (ET) Enfin l’invasion de ces terres hérétiques pourra commencer ! *

Les soldats, rictus de haine sur le visage, yeux luisant du plaisir qu’ils prenaient à tuer ces elfes, commencèrent à avancer vers ce qui s’annonçait comme le plus rude combat de la journée. Mais, certains de leur victoire future, aucune peur ne se voyait dans leurs yeux déments. Seules la terreur que les ennemis devaient ressentir et l’envie de meurtre étaient lisibles sur ces visages sinistres.

* * *

Commentaire général (suite) : Essaie de t'en tenir au temps que tu as choisi. Certains passages sont au présent, voire au futur dans un système au passé. C'est plutôt fortement déconseillé, mais je pense cibler le prochain devoir sur la concordance des temps donc pas d'inquiétude (je ne l'ai pas corrigé dans ce devoir pour mieux cerner les autres difficultés).

Fais attention à tes relectures, il manque souvent des s, et il y a beaucoup de fautes d'étourderie. Attention aussi à tes conjugaisons (s aux verbes, oubli du ent, etc)

Petit rappel pour les participes passés :

Citation :: Elle s'est tue.

Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde avec le sujet.

Citation :: J'ai entendu Chantale chanter.

Avec l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas.

Citation :: Je l'ai entendue chanter.

Si le complément d'objet précède l'auxiliaire avoir, le participe passé s'accorde avec le complément d'objet.

Pour savoir si le mot est un participe passé ou un verbe à l'infinitif, petit conseil :

Citation :: venant inonder --> venant trahir
il a mangé --> il a trahi

Fais attention, tu prends parfois les participes passés pour des verbes conjugués : dans il a pu, c'est a qui est le verbe.

Tu fais aussi pas mal d'erreurs d'inattention, mais ça ça s'en ira à force de pratique et de relectures. Surveille surtout tes pluriels, tu mets parfois l'article au pluriel quand le nom est au singulier, et inversement.

Ton défaut majeur reste tout de même la poncutation. Relis-toi à voix haute pour bien cerner où mettre les virgules. Mets plus de points, tes phrases sont trop longues et en deviennent incompréhensibles. Quant aux points d'exclamation, c'est bien simple, tu en auras droit à 3 et pas un de plus dans ton prochain devoir, ça te fera les dents (niark, ajouterais-je).

[hors]
Bon voici la suite et je dit bien suite ^^,
bah oui j'ai pas finis encore Tire la Langue

J'ai lus la correction, essayé d'en tenir compte, faut que je la relise encore je pense ^^
[/hors]

* * *

Les premiers rangs d’humain atteignirent les baraquements au moment même, où Afenor et quelques elfes relâchaient la corde de leur arc, laissant entendre le cri strident d’une flèche s’envolant vers sa proie ! Quelques humains tombèrent se tordant de douleurs ou ne bougeant plus d’un pouce une flèche en travers de la gorge.
Dans le même temps, les derniers sylvaniens à tenter de se replier vers les leurs furent fauchés, piétiné et tailladés sauvagement , par ces démons !

La vue de ces atrocités, emplis de haine le cœur, d’habitude si pur des elfes, et ceux-ci commencèrent à se positionner de manière à ne point laisser les humains atteindrent le centre du village !

- Les amis, nous devons leur tendre, des embuscades à chaque coin de rue, nous ne devons en aucun cas fuir, ils ont dut cacher des hommes à l’extérieur dans les bois, sinon ils auraient attaqués en cercle !
Face à tant de haine, seule notre volonté de survie nous permettra de l’emporter, vengeons nos frères qui n’ont put leur échapper !

Les visages des elfes se durcirent, se répartissant en petit groupes, ils partirent vers les différentes ruelles afin de tendre embuscade sur embuscade aux humains.
Les elfes se rapprochent des maisons, ne sachant encore ou se trouve les humains dans ses dédales de quelques rues, pour éviter la grande rue.
Afenor se dirigea vers la plus à droite, avec quelques guerriers. Les humains étant susceptible d’arriver en grand nombre par celle-ci.

-Montons sur les toits, ainsi nous pourrons les arroser de flèches avant de descendre les finir avec nos lames.

Une partie des elfes accompagnant Afenor montèrent sur les toits laissant les autres rentrer dans les maisons ou se positionner au coin des rues. Les humains n’allaient plus tarder à arriver si l’on se fiaient aux panaches de fumée âcres qui montaient des bâtiments formant l’extrémité du village…

* * *

Soldats mugissants de contentement à la vue des corps sanguinolents des elfes allongés dans la poussière, lame recouvertes d’une épaisse couche de sang coagulé. Ombres partielles aux cœur de la fumée âcre des incendies, métal luisant à la lueurs des flammes pourléchant les maisons.
Images de Carnage, dans toute la zones extérieur de la ville. Les humains avançent, brûlants les habitations, piétinant soigneusement les corps préalablement décapités. Les têtes des elfes vaincus accrochés à la ceinture en guise de trophée, c’est une armée de meurtrier qui avancent vers le cœur du premier village elfique.

Toutes les maisons sont fouillés, si par malheur un elfe ou deux n’avaient point eut le temps de fuir ils subissaient diverses tortures, avant d’être laissé agonisant ou souillé pour les femmes, au cœur des flammes léchant la dîte maison.

- C’est presque trop facile, c’est païens ne savent point ce battre, avant midi nous aurons rasé ce maudit village, et nous retournerons dans notre duchés avec tout nos trophées.

Le plaisir pouvait se lire sur le visage du capitaine, quelques tête à sa ceinture rajoutait la dernière touche d’infamie qu’il manquait encore au personnage. Un véritable démons, conduisant ses troupes vers une victoire qu’il pensait acquise.

Bruit strident s’échappant de la fumée et des flammes, fendant l’air. Hurlement de douleur, cries d’agonie, un homme se tord de douleur au sol une flèche dans l’estomac.
Le nombre de flèches s’intensifie, partout les humains hurlent s’abrite ou accélère le pas pour trouver les coupables, le nombre de blessé augmentent, des cadavres d’humains commencent à s’agglutiner dans les ruelles.

-Ne restez pas à découvert, passez à travers les maisons, trouver ces impies et tuez les, ne les laisser pas vous voir, la fumée vous protégera.

Schlack ! ! !
Une flèche vient écorcher légèrement la joue gauche du capitaine, laissant échapper un filet de sang, ses traits se durcissent ça haine augmente instantanément, aura de haine et de feu semble sortir de son corps.
Prenant une épée dans chaque main il avance, insouciant aux flèches, tel un véritable démon venus régler ses comptes.
Voyant leur capitaine avancer sous ce déluge de flèches, les soldats reprirent du poil de la bête, sauf que cette bête est en l’occurrence un véritable démons.
Les soldats se ruent tels une armée enragée à travers les ruelles laissant les flèches des Sylvaniens mourir sur eux ou dans les maisons les entourant.
Une marée de haine commence à couler vers les elfes combattant encore pour leur survie. L’affrontement réel va enfin commencer.

Les premiers soldats sortent du nuage de fumée, arrivant presque au bout de la ruelle, les flèches volent en fauchant certain dans leur course, puis le piège se referme . Les premiers soldat se retrouve dos aux elfes, leur mort est rapide, le sol commencent à rougir sous la quantité du liquide écarlate coulant des corps.

Partout ailleurs la bataille commence à faire rage, les humains débouchent sur la petite place tenue par les elfes et les corps à corps s’engagent, sous les regards bouillant de haine du Capitaine et des caporaux l’accompagnant !

-Soldat, si la bataille s’éternise, appeler le sergent, qu’il les prennent à revers, les pertes ne sont pas importante mais nous devons à tout pris être partis d’ici avant le soir !

S’exécutant, le soldat fila chercher son instrument, se préparant à en user si la tournure des événement venait à l’exiger !

* * *

Ombres grandissantes à travers l’épais nuage de fumée, flèches volants au hasard vers des cibles aussi bien floues qu’invisibles. Cris de douleur, hurlement de haine sortant de la brume, finissant de préparer le massacre qui va avoir lieu.
Tintement des lames sortis des fourreaux, sifflement des dernières flèches, quelques corps s’affalent a la limite de la fumée.
Les premiers humains apparaissent, épée levé, ventre à découvert.
Surprenant leur adversaires les guerriers elfes éventrent les humains sortant de la brume, ou les voient s’empaler sur les fines lame elfiques.
Flot de sang et de viscères s’abattant violemment au sol et teintant celui-ci d’un rouge sombre.
La marée humaine est telle que les combats commencent, tintement des lames s’entrechoquant, hurlements des blessés qui se font piétiner.
Malgré une grande expérience du combat et une agilité exemplaire, les elfes commencent à reculer et les premiers Sylvaniens tombent sous les attaques multiples et dévastatrices des humains.
Afenor se bat comme un diable entourés de deux jeunes sylvaniens, les cadavres s’amoncellent à leurs pieds, créant une sorte de mini rempart protecteur, empêchant les humains de leur sauter dessus en grand nombre.

*Malgré le nombre de pertes qu’ils ont subi, ils sont toujours aussi féroces et nombreux ! La vie de ses soldats ne vaut-elle donc rien aux yeux de leur chefs ? Que faire fasse à tant de hargne, chaque pertes subi nous est cruciale *

Quelques flèches continuent de voler a travers les rangs pour allez faucher les quelques soldats sortant encore de la brume, bien que le flot d’arrivant ayant diminuer .
Le nombre de combattant s’équilibre, l’espoir s’entrevoit sur le visage des elfes…

Soudain, sonnerie de cor sortant des entrailles du village comme un appel au secours.

Hurlements de rage y répondant de l’orée Sud du bois. La tenaille humaine se referme.
On passe de l’espoir à un désespoir prononcés sur le visage de nombreux elfes, les coups deviennent plus amples, plus dévastateurs mais plus facile à esquiver, les coups humains portent enfin, entaillant les abdomens et bras Sylvaniens.

* * *

Alors, je te poste une réponse rapide déjà pour te dire que j'ai lu ton post, et que je te félicite encore pour l'intérêt que tu portes à ce devoir au point d'en faire une nouvelle.

Je n'ai pas le temps de corriger tout ça en détail (ça me prendrait de toute façon plusieurs heures), mais je peux déjà te dire qu'il y a du progrès, notamment au niveau de la ponctuation, même si certains défauts apparaissent encore ici et là, mais ça se fera au rodage. En ce qui concerne la présentation typographique, je crois que je te l'ai déjà dit, mais évite de centrer tes textes.

Les points majeurs que nous travailleront dans les prochains temps sont ton orthographe, ta grammaire et ta conjugaison, ainsi que ta concordance des temps. Après, tu as aussi des difficultés au niveau de la formulation de certaines phrases, notamment d'expressions, mais on va travailler ça.

Pour conclure sur ce petit point de vue général, je dirais que ton devoir, s'il présente des maladresses et des imperfections, est plutôt significatif de ta volonté d'apprendre et de ton imagination. En gros, c'est plutôt bon. Je te ferai une correction au fur et à mesure et j'espère que tu en tiendras compte pour la suite.

Sephi 4*4 a écrit:: Les premiers rangs d’humains atteignirent les baraquements au moment même(,) où Afenor et quelques elfes relâchaient la corde de leur arc, laissant entendre le cri strident d’une flèche s’envolant vers sa proie. Quelques humains tombèrent, se tordant de douleur(s) ou ne bougeant plus d’un pouce, une flèche en travers de la gorge.
Dans le même temps, les derniers sylvaniens à tenter de se replier vers les leurs furent fauchés, piétinés et tailladés sauvagement (,) par ces démons.

La vue de ces atrocités(,) emplit de haine le cœur(,) d’habitude (d'habitude --> langage oral. d'ordinaire --> langage un peu plus soutenu qui correspond à l'écrit.) si pur des elfes, et ceux-ci commencèrent à se positionner de manière à ne point laisser les humains atteindre(nt) le centre du village.

- Les amis, nous devons leur tendre(,) des embuscades à chaque coin de rue, nous ne devons en aucun cas fuir, ils ont dû cacher des hommes à l’extérieur dans les bois, sinon ils auraient attaqué(s) en cercle.
Face à tant de haine, seule notre volonté de survie nous permettra de l’emporter, vengeons nos frères qui n’ont pu(t) leur échapper !

Les visages des elfes se durcirent. Se répartissant en petit groupes, ils partirent vers les différentes ruelles afin de tendre embuscade sur embuscade aux humains.
Les elfes se rapprochent des maisons, ne sachant encore où se trouvent les humains dans ce(s) dédale(s) de quelques rues, pour éviter la grande rue. (répétition de rue, utilise plutôt le terme avenue)
Afenor se dirigea vers la plus à droite, avec quelques guerriers. Les humains étant susceptibles d’arriver en grand nombre par celle-ci.

-Montons sur les toits, ainsi nous pourrons les arroser de flèches avant de descendre les finir avec nos lames.

Une partie des elfes accompagnant Afenor montèrent sur les toits, laissant les autres rentrer dans les maisons ou se positionner au coin des rues. Les humains n’allaient plus tarder à arriver si l’on se fiai(en)t aux panaches de fumée âcre(s) qui montaient des bâtiments formant l’extrémité du village…

* * *

Soldats mugissants de contentement à la vue des corps sanguinolents des elfes allongés dans la poussière, lames recouvertes d’une épaisse couche de sang coagulé. Ombres partielles au(x) cœur de la fumée âcre des incendies, métal luisant à la lueur(s) des flammes pourléchant les maisons.
Images de carnage(,) dans toute la zone(s) extérieure de la ville. Les humains avancent, brûlant(s) les habitations, piétinant soigneusement les corps préalablement décapités. Les têtes des elfes vaincus accrochés à la ceinture en guise de trophée, c’est une armée de meurtriers qui avance(nt) vers le cœur du premier village elfique.

Toutes les maisons sont fouillées. Si par malheur un elfe ou deux n’avaient point eu(t) le temps de fuir, ils subissaient diverses tortures(,) avant d’être laissés agonisant (ou souillées pour les femmes), au cœur des flammes léchant la dite maison.

- C’est presque trop facile, ces païens ne savent point se battre, avant midi nous aurons rasé ce maudit village, et nous retournerons dans notre duché(s) avec tout nos trophées.

Le plaisir pouvait se lire sur le visage du capitaine, quelques têtes à sa ceinture rajoutaient la dernière touche d’infamie qu’il manquait encore au personnage. Un véritable démon(s), conduisant ses troupes vers une victoire qu’il pensait acquise.

Bruit strident s’échappant de la fumée et des flammes, fendant l’air. Hurlement de douleur, cri(e)s d’agonie, un homme se tord de douleur au sol, une flèche dans l’estomac.
Le nombre de flèches s’intensifie, partout les humains hurlent, s’abritent ou accélèrent le pas pour trouver les coupables, le nombre de blessés augmente(nt), des cadavres d’humains commencent à s’agglutiner dans les ruelles.

-Ne restez pas à découvert, passez à travers les maisons, trouvez ces impies et tuez-les, ne les laissez pas vous voir, la fumée vous protégera.

Schlack ! ! !
Une flèche vient écorcher légèrement la joue gauche du capitaine, laissant échapper un filet de sang. Ses traits se durcissent, sa haine augmente instantanément, une aura de haine (plutôt colère, sinon répétition) et de feu semble sortir de son corps.
Prenant une épée dans chaque main, il avance, insouciant des flèches, tel un véritable démon venu(s) régler ses comptes.
Voyant leur capitaine avancer sous ce déluge de flèches, les soldats reprirent du poil de la bête, sauf que cette bête est en l’occurrence un véritable démon(s).
Les soldats se ruent tels une armée enragée à travers les ruelles, laissant les flèches des Sylvaniens mourir sur eux ou dans les maisons les entourant.
Une marée de haine commence à couler vers les elfes combattant encore pour leur survie. L’affrontement réel va enfin commencer.

Les premiers soldats sortent du nuage de fumée, arrivant presque au bout de la ruelle. Les flèches volent en fauchant certains dans leur course, puis le piège se referme. Les premiers soldats se retrouvent dos aux elfes, leur mort est rapide, le sol commence(nt) à rougir sous la quantité du liquide écarlate coulant des corps.

Partout ailleurs la bataille commence à faire rage, les humains débouchent sur la petite place tenue par les elfes et les corps à corps s’engagent(,) sous les regards bouillant de haine du Capitaine et des caporaux l’accompagnant !

-Soldat, si la bataille s’éternise, appelez le sergent, qu’il les prenne(nt) à revers, les pertes ne sont pas importantes mais nous devons à tout prix être partis d’ici avant le soir !

S’exécutant, le soldat fila chercher son instrument, se préparant à en user si la tournure des événements venait à l’exiger.

* * *

Ombres grandissantes à travers l’épais nuage de fumée, flèches volant(s) au hasard vers des cibles aussi bien floues qu’invisibles. Cris de douleur, hurlements de haine sortant de la brume(,) finissant de préparer le massacre qui va avoir lieu.
Tintement des lames sorties des fourreaux, sifflement des dernières flèches, quelques corps s’affalent a la limite de la fumée.
Les premiers humains apparaissent, épée levée, ventre à découvert.
Surprenant leur adversaires, les guerriers elfes éventrent les humains sortant de la brume(,) ou les voient s’empaler sur les fines lames elfiques.
Flot de sang et de viscères s’abattant violemment au sol et teintant celui-ci d’un rouge sombre.
La marée humaine est telle que les combats commencent, tintement des lames s’entrechoquant, hurlements des blessés qui se font piétiner.
Malgré une grande expérience du combat et une agilité exemplaire, les elfes commencent à reculer et les premiers Sylvaniens tombent sous les attaques multiples et dévastatrices des humains.
Afenor se bat comme un diable entouré(s) de deux jeunes sylvaniens, les cadavres s’amoncellent à leurs pieds, créant une sorte de mini-rempart protecteur, empêchant les humains de leur sauter dessus en grand nombre.

*Malgré le nombre de pertes qu’ils ont subi, ils sont toujours aussi féroces et nombreux ! La vie de ces soldats ne vaut-elle donc rien aux yeux de leurs chefs ? Que faire face à tant de hargne, chaque perte(s) subie nous est cruciale *

Quelques flèches continuent de voler à travers les rangs pour aller faucher les quelques soldats sortant encore de la brume, bien que le flot d’arrivants ait diminué.
Le nombre de combattants s’équilibre, l’espoir s’entrevoit sur le visage des elfes…

Soudain, sonnerie de cor sortant des entrailles du village comme un appel au secours.

Hurlements de rage y répondant de l’orée Sud du bois. La tenaille humaine se referme.
On passe de l’espoir à un désespoir prononcé(s) sur le visage de nombreux elfes, les coups deviennent plus amples, plus dévastateurs mais plus faciles à esquiver, les coups humains portent enfin, entaillant les abdomens et bras Sylvaniens.

* * *

Commentaire général : C'est reparti pour un p'tit tour ! Alors, il y a une nette amélioration au niveau de la ponctuation, notamment au niveau des points d'exclamation, c'est un vrai plaisir de te lire par rapport au début du devoir. Maintenant, le problème reste celui des virgules, qui ne sont pas toujours bien placées, mais je te rassure, c'est assez courant et ça disparait au fil des devoirs après relectre à voix haute.

Un petit truc, cependant : le sujet ne peut pas être séparé de son verbe par une virgule. Ensuite, j'ai remarqué que tes phrases étaient souvent longues. Mets plus de points, si possible. Une phrase = une idée générale, sinon ton lecteur finit par s'embrouiller.

Autre chose : ils ont pu et ils ont dû. Mais les choses sont dues. Fais attention à ça, la faute revient souvent. Fais aussi attention à tes pluriels (je sais, je me répète), tu ne les mets décidément pas partout.

Ensuite, ne confonds pas impératif et infinitif : laissez plutôt que laisser, puisque c'est un capitaine qui donne des ordres à ses soldats. Tu peux employer l'infinitif uniquement quand tu veux donner une tonalité totalement impersonnelle à ton texte (c'est pour ça qu'on emploie généralement des infinitifs pour les recettes de cuisine, et encore, pas toujours).

Je ne les ai pas non plus relevées toutes sur ce devoir, mais tu as tendance à faire des répétitions ou reprendre des expressions que tu as déjà employées plus haut dans ton texte. Si le lecteur n'aime pas les phrases compliquées, il a par contre une bonne mémoire, donc méfie-toi de ça, essaie de varier ton vocabulaire (dictionnaire des synonymes, périphrases, etc)

Ne confonds pas non plus participe présent et adjectifs :

Citation :: flèches volant au hasard

Volant est un participe présent, il est invariable.

Citation :: feuilles volantes

Ici, volantes est un adjectif lié à feuilles, il s'accord avec le nom auquel il se rapporte.

Bien, malgré ces précisions, il y a une nette amélioration dans cette partie de ton devoir et je suis plutôt contente de ton intrigue.

De manière générale, voici un tableau comportant les systèmes de temps :

Système de temps passé :

Action passée	Action en train de se produire	Action future
Plus-que-parfait	Imparfait/passé simple	Conditionnel

Système de temps présent :

Action passée	Action en train de se produire	Action future
Passé composé	Présent	Futur

Pour information : tes dialogues correspondent au système de temps présent et ton récit au système de temps passé.

Quelques conseils pour la suite :
- Relis-toi à voix haute
- Demande-toi quel est le sujet dans la phrase pour conjuguer ton verbe et tes participes passés, et à qui elle s'adresse quand tu emploies des impératifs
- Fais attention à tes pluriels
- Une phrase = une idée principale.
- Continue à employer une ponctuation adéquate sans surcharge de points d'exclamation (tu avais tendance à replonger à un moment)
- Essaie de commencer à faire attention aux temps et aux répétitions (facultatif)

Voilà, il ne me reste plus qu'à te souhaiter bon courage, je suis dispo par mp ou sur msn si tu as la moindre question :flower:

Les humains s ‘effondraient en nombres toujours croissant autour de leur capitaine, répandant tripes et sang sur le sol, rendant l’avancé de leur frères d’armes toujours plus difficile.

- Ne vous résignez pas, notre haine nous permettra de vaincre, même blessez battez vous, les hommes du sergent ne devraient plus tarder à arriver.

Lançant ses mots à ses hommes, le capitaine décapita au passage l’un des Sylvaniens qui tenta de le transpercer.
Esquivant l’autre attaque, il plongea son épée dans le ventre de l’elfe abasourdi, qui lâcha son dernier soupir dans un gargouillis incompréhensible, permettant au flot de sang de jaillir de sa bouche.

A cette vue, ses hommes reprirent confiance et repartirent avec plus de hargne, le flot d’arrivants humain se diminuant, ils allaient bientôt se retrouver à égalité numérique. Voyant les visages des elfes retrouver de l’espoir, les humains chargèrent désespérément sous les yeux dépités de leur capitaine, qui ne cessait de leur redonner raison.
Nombre d’entre eux s’empalèrent sur les lames elfiques avant qu’une sonnerie de cor, annoncent la demande de renforts.

Quelques instants plus tard une petite compagnie d’homme commença a sortir de la forêt en hurlant et courant vers le village. Les soldats reprirent courage, en voyant le désespoir s’inscrivent dans les yeux de leur adversaires.
Le corps à corps changea de façade, et les humains commencèrent à repousser les elfes, en tuant quelqu’un au passage.

Les hommes du sergent avançaient en hurlant, entendant à peine ses ordres …

- Massacrez ses païens, ne faites point attention aux flèches qui s’en prendront à vous, Tuer, Piller, Brûler, ce sont les seuls mot que vous devez avoir à l’esprit, bannissez de vous la peur.

Ainsi l’horde d’hommes déferla sur le village, entourée d’une émanation de haine et d’une aura rouge sanglante montrant la volonté de tuer.

* * *

Désespoir nettement visible sur leurs visages, les derniers Sylvaniens se jettent au cœur du combat.
Réduisant en bouillis, étalant tripes et boyaux humains sur le sol, avant de s’effondrer sous le nombre.
Voyant, ses amis, ses voisins tombés les uns après les autres. Afenor sent sa colère l’emplir, ses gestes deviennent plus vifs. Ses yeux cherchent l’adversaire à abattre.
Là bas, un homme, avec une armure scintillante de sang, semble s’extasier du massacre qu’il procure.

Ce doit être leur chef, leur courage et leur espoir diminueront si je l’abas, je me dois de le faire, pensa-t-il, éclair de rage et de désir de mort passant dans ses yeux .
Il commence à avancer vers son ennemi, taillant chaque humain essayant de traverser son chemin.

-Regroupez vous, les amis, nous allons mettre fin à ce massacre ensemble. Rappelant ses compagnons à lui.

Les elfes se regroupent, facilitant l’avancé d’Afenor vers le Capitaine. Se traçant un chemin sanglant dans la masse humaine.
Un peu plus loin, les Sylvaniens tombent sous les assauts furieux du Capitaine et des soldats l’entourant. Formant quasiment, un petit monceau de cadavre.

La distance diminue, alors que derrière, les hommes venant d’apparaître de la forêt atteignent l’entrée du village.

Je dois l’abattre avant que ceux-ci nous tombent dessus. Sur ses dernières pensées, le jeune elfe arriva enfin devant ses amis tombé au combat et les quelques blessés qui gémissait à terre.

-Ton heure est arrivé humain. Tu ne feras plus de mal aux miens dorénavant. Sur ces paroles, Afenor sauta lestement sur la capitaine qui para le coup venu dans haut.

Partout le combat s’arrêta, pour regarder les deux hommes s’affronter.

* * *

Un elfe arrivais vers lui massacrant les humains, qui se dressaient devant lui.
D’autres Sylvaniens le suivait.
Soudain le jeune elfe sauta vers lui abattant sa lame de haut en bas.
Le capitaine para aisément.

-Laissez-le moi, mais n’arrêtez pas le combat, hurla-t-il devant l’inactivité général de ces hommes.

Les combats reprirent, encore plus féroces, l’instinct de survie dominait clairement dans les dits affrontements.

-Tu est bien téméraire, oser annoncer ma mort comme cela, tu vas périr pour cela. Ainsi tu ne verras pas la déchéance de ta ville, sois en heureux.

Lui envoyant un violent coup de pied vers l’abdomen, le capitaine profita du moment ou l’elfe s’écarta pour tenter de lui assener un coup.
Tintement cinglant entre les deux lames. Glissement métalliques du à la quantité de sang étalé sur les lames.
Le combat était engagé, Coup puissant, capable de démembré en un coup, face à l’agilité et la rapidité de l’elfe.
L’expérience du capitaine lui permettait d’esquiver au dernier moment les coups de l’elfe.
Le rythme du combat s’accélérait sous l’impulsion des séries de coups de l’elfe, qui ne trouvait pour l’instant que le vide, ou l’armure de plaque ou une parade de l’épée.

Se faufilant dans les maisons, les renforts se rapprochaient rapidement de la scène du combat.

-Plus vite soldats, le capitaine compte sur nous. De plus si vous voulez votre part en tête d’elfe il ne va pas falloir traîné.

Peur de ne toucher aucune tête, les soldats se mettent à accélérer, limite apeurés par le fait de ne rien tuer que par l’envie d’arriver sur les lieux.

* * *

Un coup puissant du Capitaine, arracha une partie de la manche droite de l’elfe. Le combat s’allongeait offrant de plus en plus d’ouverture.
Le visage du capitaine était maintenant parsemée de fine éraflure, saignant d’une manière non négligeable.
L’elfe portait maintenant une longue entaille sur le bras gauche, l’handicapant légèrement dans ces mouvements.
Nouveau tintement entre les lames, attirant plusieurs regards fatals aux humains majoritairement, les duels devenaient acharnés.
Sylvanien et Humain luttaient pour leur propre vie.

Je dois en finir vite, nous ne tiendrons plus longtemps, mais cet homme est fort, pensa Afenor, se lançant dans une nouvelle attaque.
La détermination avec laquelle elle fut porté, lui permit de s’enfoncer dans la hanche du capitaine qui poussa un hurlement de douleur.
Dans un sursaut, celui-ci attrapa le coup de l’elfe, le serrant de toutes ses forces, pour lui faire payer cette blessure.
Tournant sa lame dans la plaie, l’elfe commença à lui faire remonter la lame, lui déchirant les entrailles, et laissant le sang couler à flot.
Cet effort nécessitait toute l’énergie qu’il aurait du mettre a se débattre de cette poigne.
Le souffle commença à lui manquer.
Je vais mourir, et les miens après moi, pensa-t-il alors que ses yeux commençait à se fermer.

De l’autre côté, le capitaine commençait à pâlir, il devait voir sa mort approcher, ainsi que celle de son adversaire.

La fin était proche, les elfes allaient périre malgré la mort du capitaine adverse…

* * *

J’ai gagner, je l’ai battu, mes hommes me soigneront après cela, la gloire nous attends, pensa le capitaine en voyant l’elfe fermer les yeux.

Sang jaillissant à gros bouillon, la vue du capitaine se troubla devant tant d’émanation.
La sensation du cou de l’adversaire avait disparus.
S’affalant dans un bruit sourd, il vit ses deux membres tronqués à mi bras, dans un dernier soubresaut, crachant du sang par la bouche, il expira.

Hurlement de terreur, les soldats venait de voir leur capitaine tombé, les mains tranchés, devant lui, un elfe en tenant un autre dans ses bras.
Son seul regard réussit à mettre les hommes en déroute, les flèches recommencèrent a voler, les lueurs de vengeance dans les yeux des elfes eurent raison d’une partie des fuyards.

Une voix faiblarde se fit entendre :

-Laissez fuir ceux-là et arrêtez les arrivants qu’ils s’enfuient eux aussi, murmura Afenor, avant de sombrer dans l’inconscience.

Fabuleux voyage, dans un monde noir, sans haine ni violence, juste le calme, la solitude.

Odeur âcre de fumée, de bois brûlé.
Paupières collantes, sensation revenant.

Je suis allongé sur le sol même du village ? Non c’est de l’herbe, où suis-je ?, Afenor était troublé, son voyage dans l’inconscience lui avait fait perdre toute notion du temps.

Ouvrant les yeux, il aperçut, un feu, avec trois ou quatre elfes autour.
Plongés dans leur pensés.

Ainsi le village avait été abandonné, mais les humains vaincus, heureux de la nouvelle, il ferma les yeux.
A jamais, les blessures avaient finis par avoir raison de lui.

Sa dernière partielle de vie s’envolant, les visages autour se remplir de larmes.
Le coût de leur survie avait été dur.
Quel avenir leur était réservé…

[Hors Texte]
Bon voilà, j'ai essayé de faire au mieux, suivant tes consignes, le mieux possible.
Enfin selon moi.
j'ai un peu l'impression d'une fin bâclée, a voir ....
Mais avec ceci j'en finis avec l'écriture, a moins que je retravaille ma fin, à voir.
[/Hors Texte]

Sephi 4*4 a écrit:: Les humains s ‘effondraient en nombre(s) toujours croissant autour de leur capitaine, répandant tripes et sang sur le sol, rendant l’avancée de leurs frères d’armes toujours plus difficile.

- Ne vous résignez pas, notre haine nous permettra de vaincre, même blessés, battez vous, les hommes du sergent ne devraient plus tarder à arriver.

Lançant ces mots à ses hommes, le capitaine décapita (là, franchement, joli jeu sur les sonorités ) au passage l’un des Sylvaniens qui tenta de le transpercer.
Esquivant l’autre attaque, il plongea son épée dans le ventre de l’elfe abasourdi, qui lâcha son dernier soupir dans un gargouillis incompréhensible, permettant au flot de sang de jaillir de sa bouche.

A cette vue, ses hommes reprirent confiance et repartirent avec plus de hargne. Le flot d’arrivants humains se diminuant, ils allaient bientôt se retrouver à égalité numérique. Voyant les visages des elfes retrouver de l’espoir, les humains chargèrent désespérément sous les yeux dépités de leur capitaine, qui ne cessait de leur redonner raison.
Nombre d’entre eux s’empalèrent sur les lames elfiques avant qu’une sonnerie de cor(,) annonce(nt) la demande de renforts.

Quelques instants plus tard une petite compagnie d’hommes commença à sortir de la forêt en hurlant et courant vers le village. Les soldats reprirent courage(,) en voyant le désespoir s’inscrire dans les yeux de leurs adversaires.
Le corps à corps changea de façade, et les humains commencèrent à repousser les elfes, en tuant quelques-uns au passage.

Les hommes du sergent avançaient en hurlant, entendant à peine ses ordres …

- Massacrez ces païens, ne faites point attention aux flèches qui s’en prendront à vous, Tuer, Piller, Brûler, ce sont les seuls mots que vous devez avoir à l’esprit, bannissez de vous la peur.

Ainsi la horde d’hommes déferla sur le village, entourée d’une émanation de haine et d’une aura rouge sanglante montrant la volonté de tuer.

* * *

Désespoir nettement visible sur leurs visages, les derniers Sylvaniens se jettent au cœur du combat.
Réduisant en bouillie(s), étalant tripes et boyaux humains sur le sol, avant de s’effondrer sous le nombre.
Voyant(,) ses amis, ses voisins tombés les uns après les autres, Afenor sent sa colère l’emplir, ses gestes deviennent plus vifs. Ses yeux cherchent l’adversaire à abattre.
Là bas, un homme, avec une armure scintillante de sang, semble s’extasier du massacre qu’il procure.

Ce doit être leur chef, leur courage et leur espoir diminueront si je l’abats, je me dois de le faire, pensa-t-il, éclair de rage et de désir de mort passant dans ses yeux . (les pensées en italique ou d'une typographie différente pour qu'elles ressortent)
Il commence à avancer vers son ennemi, taillant chaque humain essayant de traverser son chemin.

-Regroupez vous, les amis, nous allons mettre fin à ce massacre ensemble. Rappelant ses compagnons à lui. (à quoi se réfère la dernière phrase ? On ne comprend pas vraiment)

Les elfes se regroupent, facilitant l’avancée d’Afenor vers le Capitaine, se traçant un chemin sanglant dans la masse humaine.
Un peu plus loin, les Sylvaniens tombent sous les assauts furieux du Capitaine et des soldats l’entourant, formant quasiment(,) un petit monceau de cadavres.

La distance diminue, alors que derrière, les hommes venant d’apparaître de la forêt atteignent l’entrée du village.

Je dois l’abattre avant que ceux-ci nous tombent dessus. Sur ces dernières pensées, le jeune elfe arriva enfin devant ses amis tombés au combat et les quelques blessés qui gémissaient à terre.

-Ton heure est arrivée humain. Tu ne feras plus de mal aux miens dorénavant. Sur ces paroles, Afenor sauta lestement sur le capitaine qui para le coup venu d'en haut.

Partout le combat s’arrêta, pour regarder les deux hommes s’affronter.

* * *

Un elfe arrivait vers lui, massacrant les humains(,) qui se dressaient devant lui.
D’autres Sylvaniens le suivaient.
Soudain le jeune elfe sauta vers lui, abattant sa lame de haut en bas.
Le capitaine para aisément.

-Laissez-le moi, mais n’arrêtez pas le combat ! hurla-t-il devant l’inactivité général de ces hommes.

Les combats reprirent, encore plus féroces, l’instinct de survie dominait clairement dans les dits affrontements.

-Tu es(t) bien téméraire, oser annoncer ma mort comme cela, tu vas périr pour cela. Ainsi tu ne verras pas la déchéance de ta ville, sois en heureux.

Lui envoyant un violent coup de pied vers l’abdomen, le capitaine profita du moment où l’elfe s’écarta pour tenter de lui assener un coup.
Tintement cinglant entre les deux lames. Glissement métallique(s) dû à la quantité de sang étalée sur les lames.
Le combat était engagé. Coup puissant, capable de démembrer en un coup(,) face à l’agilité et la rapidité de l’elfe.
L’expérience du capitaine lui permettait d’esquiver au dernier moment les coups de l’elfe.
Le rythme du combat s’accélérait sous l’impulsion des séries de coups de l’elfe, qui ne trouvait pour l’instant que le vide, ou l’armure de plaque ou une parade de l’épée.

Se faufilant dans les maisons, les renforts se rapprochaient rapidement de la scène du combat.

-Plus vite soldats, le capitaine compte sur nous. De plus si vous voulez votre part en tête d’elfe il ne va pas falloir traîner.

Peur de ne toucher aucune tête, les soldats se mettent à accélérer, limite plus apeurés par le fait de ne rien tuer que par l’envie d’arriver sur les lieux.

* * *

Un coup puissant du Capitaine(,) arracha une partie de la manche droite de l’elfe. Le combat s’allongeait offrant de plus en plus d’ouverture.
Le visage du capitaine était maintenant parsemé(e) de fines éraflures, saignant d’une manière non négligeable.
L’elfe portait maintenant une longue entaille sur le bras gauche, l’handicapant légèrement dans ces mouvements.
Nouveau tintement entre les lames, attirant plusieurs regards fatals aux humains majoritairement, les duels devenaient acharnés.
Sylvanien et Humain luttaient pour leur propre vie.

Je dois en finir vite, nous ne tiendrons plus longtemps, mais cet homme est fort, pensa Afenor, se lançant dans une nouvelle attaque.
La détermination avec laquelle elle fut portée(,) lui permit de s’enfoncer dans la hanche du capitaine qui poussa un hurlement de douleur.
Dans un sursaut, celui-ci attrapa le coup de l’elfe, le serrant de toutes ses forces, pour lui faire payer cette blessure.
Tournant sa lame dans la plaie, l’elfe commença à lui faire remonter la lame, lui déchirant les entrailles, et laissant le sang couler à flots.
Cet effort nécessitait toute l’énergie qu’il aurait dû mettre à se débattre de cette poigne.
Le souffle commença à lui manquer.
Je vais mourir, et les miens après moi, pensa-t-il alors que ses yeux commençaient à se fermer.

De l’autre côté, le capitaine commençait à pâlir, il devait voir sa mort approcher, ainsi que celle de son adversaire.

La fin était proche, les elfes allaient périr(e) malgré la mort du capitaine adverse…

* * *

J’ai gagné, je l’ai battu, mes hommes me soigneront après cela, la gloire nous attend(s), pensa le capitaine en voyant l’elfe fermer les yeux.

Sang jaillissant à gros bouillons, la vue du capitaine se troubla devant tant d’émanation.
La sensation du cou de l’adversaire avait disparu(s).
S’affalant dans un bruit sourd, il vit ses deux membres tronqués à mi bras, dans un dernier soubresaut, crachant du sang par la bouche, il expira.

Hurlement de terreur, les soldats venaient de voir leur capitaine tomber, les mains tranchées(,) devant lui, un elfe en tenant un autre dans ses bras.
Son seul regard réussit à mettre les hommes en déroute, les flèches recommencèrent à voler, les lueurs de vengeance dans les yeux des elfes eurent raison d’une partie des fuyards.

Une voix faiblarde se fit entendre :

-Laissez fuir ceux-là et arrêtez les arrivants qu’ils s’enfuient eux aussi, murmura Afenor, avant de sombrer dans l’inconscience.

Fabuleux voyage, dans un monde noir, sans haine ni violence, juste le calme, la solitude.

Odeur âcre de fumée, de bois brûlé.
Paupières collantes, sensations revenant.

Je suis allongé sur le sol même du village ? Non c’est de l’herbe, où suis-je ?, Afenor était troublé, son voyage dans l’inconscience lui avait fait perdre toute notion du temps.

Ouvrant les yeux, il aperçut(,) un feu, avec trois ou quatre elfes autour.
Plongés dans leur pensées.

Ainsi le village avait été abandonné, mais les humains vaincus, heureux de la nouvelle, il ferma les yeux.
A jamais, les blessures avaient fini(s) par avoir raison de lui.

Sa dernière parcelle de vie s’envolant, les visages autour se remplirent de larmes.
Le coût de leur survie avait été dur.
Quel avenir leur était réservé…

Commentaire général : Déjà, je ne peux que te féliciter pour les progrès fulgurants que tu as accomplis en l'espace d'un seul et même devoir. Les répétitions et les problèmes de ponctuation, ainsi que les erreurs d'étourderie sont toujours présents, mais beaucoup moins fréquemment, il suffit pour s'en rendre compte de comparer le corrigé ci-dessus et celui de mon dernier post. Donc, encore une fois, bravo !

Quelques règles et remarques sur lesquelles il serait bon de revenir :

On dit une avancée.

Ensuite, pour différencier ces et ses :

Citation :: ces = ceux-ci, cet, cela, etc.
ses = les siens

pour savoir si on met à ou a :

Citation :: il a mangé --> il avait mangé

il est à moi --> il est avait moi incorrect, donc à

Pour le reste, au niveau de l'intrigue, c'est un peu trop poussé par moment, et la fin est effectivement un peu bateau, on voit que tu n'as pas su comment achever, mais on reverra ça, ainsi que les temps et plein d'autres trucs encore, mais pour l'essentiel, je constate que tu progresses à une vitesse vraiment surprenante, que tu as de la volonté et que tu suis vraiment bien les techniques que je te donne. S'il y a encore des corrections, je ne doute pas qu'elles disparaîtront quand tu auras eu un peu plus de pratique.

Voilà, pour conclure, bravo, et si tu n'as rien à ajouter, je suis à disposition pour le prochain devoir $Clin d\'Oeil$