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| Sephi 4*4 devoir n°3 [Ambre] | |
| | Auteur | Message |
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Sephi 4*4 Chromatique
Nombre de messages : 5279 Age : 35 Localisation : Sûl-Nar ! In my dream Date d'inscription : 25/11/2007
Personnages RP Pseudo: Sephi Pseudo : Kordrok Pseudo : Eilana
| Sujet: Sephi 4*4 devoir n°3 [Ambre] Lun 2 Fév - 20:52 | |
| Bon voilà un premier jet, bien que je ne sois pas très satisfait de moi. Mais tu devrais pouvoir m'aider, ou tout du moins me dire ce qui ne va vraiment pas.
Le Sujet:
Écrire au temps passé, la vision du devoir précédent par une personne présente à ce moment!
Allez hop, je poste:
Ceci c’était passé quelques temps auparavant. Un matin, habituel, hormis le fait que j’avais décidé de prendre mon café dans un bistrot du coin, et non au boulot. Je devais le regretté par la suite de nombreuses fois. Pour toujours, je m’en souviendrais. Alors que les rayons du soleil se reflétaient sur les tables, que le silence dominait les environs, hors les moteurs de voiture qui ronronnaient doucement à nos oreilles. Je m’étais assis à une table, avait prit commande. Autour de moi, peu de monde, un homme qui lisait un journal, feuille de papier quelconque, un jeune couple qui devait s’être évadé dans un lieu connus d’eux seuls. Quelques ouvriers en pause, et un ou deux badauds qui discutaient du beau temps, très certainement. Le serveur approcha, posa devant moi le café fumant, je réglai la note. Prit la tasse, l’apportait à mes lèvres. En même temps que je regardais les pigeons qui picoraient le bitume, à la recherche d’une quelconque miettes.
Un bruit sourd, mat résonna autour de moi. Qu’étais ce ? pensais je, alors que je me retournais. La tasse de café se vida sur mon pardessus. Puis je le vit, presque directement, ce corps allongé, qui semblait si vivant quelques instant plutôt. J’imitais les clients, m’approchant du lieu, téléphone en main. Peuple atterré, devant ce corps allongé aux yeux exorbités. Le cœur semblait battre faiblement. Une crise ? Je composais le numéros des secours, étais je le seul apte à réagir ? Mes pensées tourbillonnaient dans ma tête. Une voix me répondit, reprenant mes esprits, je commençai à expliquer le situation.
Stupeur, étonnement, il se levait, il semblait perdu. Et moi donc, je bafouillais au téléphone. Je ne savais que faire. Il nous fixa, tous, puis se détourna, partit et disparut de notre vue. J’avais du raccroché, m’étais excusé, avait reçue diverses critiques de leur part.
Je n’en revenais, il était partis, comme cela … Il n’avait rien ou bien ? Quel était ce mystère, comment pouvait-on se relever et partir après une crise ? Etais ce un surhomme ? Ou cela dépassait-il notre entendement ? | |
| | | Ambre Melifol
Nombre de messages : 401 Age : 34 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 10/02/2008
| Sujet: Re: Sephi 4*4 devoir n°3 [Ambre] Mer 18 Fév - 16:19 | |
| - Sephi 4*4 a écrit:
- Ceci s’était passé quelques temps auparavant.
Un matin(,) habituel, hormis le fait que j’avais décidé de prendre mon café dans un bistrot du coin, et non au boulot. Je devais le regretter par la suite de nombreuses fois. (inversion : de nombreuses fois par la suite. Je ne saurais pas t'expliquer pourquoi par contre ^^) Pour toujours, je m’en souviendrai(s). (je vois ce que tu as voulu faire ici : tu fais passer le "pour toujours" devant pour bien insister dessus. Seulement, il y a deux manières de mettre en valeur un mot : le placer en première et en dernière place (non en fait c'est pas vrai, il y a d'autres moyens mais dans ce cas-ci, c'est les plus évidents), et en dernière place ça collerait très bien : Je m'en souviendrai toujours.) Alors que les rayons du soleil se reflétaient sur les tables, que le silence dominait les environs, hors les moteurs de voiture qui ronronnaient doucement à nos oreilles. (problème de construction. Quand tu emploies "alors que", ça veut dire que tu vas forcément avoir une principale quelque part, et ici il n'y en a pas. Exemple : on dit "alors que je me promenais, je rencontrais un chien". Pas "alors que je me promenais". Ici, pourquoi ne pas simplement supprimer le problème ? --> Les rayons du soleil se reflétaient sur les tables. Le silence dominait les environs, hors les moteurs de voiture qui ronronnaient doucement à nos oreilles. Autres petits problèmes : si tu dis hors, dis plutôt hormis, ou mis à part, c'est d'un registre plus soutenu. Le choix du verbe dominer ne me semble par pertinent ici : régnait, peut-être ? Et dernière remarque sur cette phrase : d'où est-ce que tu sors ce "nos" ? Ton personnage n'est pas accompagné, attention, reste au singulier) Je m’étais assis à une table, avais pris commande. Autour de moi, peu de monde, un homme qui lisait un journal, feuille de papier quelconque, un jeune couple qui devait s’être évadé dans un lieu connu(s) d’eux seuls. (problème : tu parles d'un couple, puis d'eux... Ca coince. Pourquoi pas simplement un lieu inconnu ?) Quelques ouvriers en pause, et un ou deux badauds qui discutaient du beau temps, très certainement. Le serveur approcha, posa devant moi le café fumant, je réglai la note. Pris la tasse, l’apportais à mes lèvres. En même temps que je regardais les pigeons qui picoraient le bitume, à la recherche d’une quelconque miette(s). (alors là, gros souci de construction sur tout le paragraphe... cf commentaire général)
Un bruit sourd, mat résonna autour de moi. Qu’était-ce ? pensais-je, alors que je me retournais. La tasse de café se vida sur mon pardessus. Puis je le vis, presque directement (mal dit : aussitôt ? ou alors, utilisation de la paraphrase : je passais quelques instants à scruter les alentours avant de le voir), ce corps allongé, qui semblait si vivant quelques instants plutôt. J’imitais les clients, m’approchant du lieu, téléphone en main. Peuple (euh, faut pas exagérer : foule ?) atterré(,) devant ce corps allongé aux yeux exorbités. Le cœur semblait battre faiblement. Une crise ? Je composais le numéros des secours, étais-je le seul apte à réagir ? Mes pensées tourbillonnaient dans ma tête. Une voix me répondit, reprenant mes esprits, je commençai à expliquer le situation.
Stupeur, étonnement, il se levait, il semblait perdu. Et moi donc, je bafouillais au téléphone. Je ne savais que faire. Il nous fixa, tous, puis se détourna, partit et disparut de notre vue. J’avais dû raccrocher, m’étais excusé, avait reçu(e) diverses critiques de leur part.
Je n’en revenais pas, il était parti(s), comme cela … Il n’avait rien ou bien ? (tournure trop familière : il n'avait rien, alors ?) Quel était ce mystère, comment pouvait-on se relever et partir après une crise ? Etait-ce un surhomme ? Ou cela dépassait-il notre entendement ? Commentaire général : Alors, je peux d'ores et déjà te dire que tu vas reprendre ton devoir, parce que j'en suis pas très contente non plus ^^ Deux problèmes majeurs auxquels tu dois absolument remédier : 1. La construction de tes phrases. Je retrouve trop de phrases nominales utilisées à mauvais escient. Tu ne peux pas te contenter d'énumérer des groupes nominaux sans donner de précision. Je sais que c'est très à la mode, que ça donne un style, mais ça n'a aucune valeur concrète. Un exemple : ta version : Autour de moi, peu de monde, un homme qui lisait un journal, feuille de papier quelconque, un jeune couple qui devait s’être évadé dans un lieu connu d’eux seuls. Quelques ouvriers en pause, et un ou deux badauds qui discutaient du beau temps, très certainement. version type : Il y avait peu de monde autour de moi. Un homme lisait son journal, une feuille de papier quelconque, et deux jeunes gens restaient immobiles, leurs yeux plongés dans ceux de l'autre comme s'ils s'étaient évadés vers un lieu connu d'eux seuls. Quelques ouvriers en pause et un ou deux badauds discutaient autour d'une table, évoquant certainement le beau temps. La différence : ton texte, c'est plutôt les flashs d'un appareil photo. On est ébloui, on ne comprend pas trop ce qu'il se passe. La version type, c'est une description, c'est-à-dire qu'on prend le temps de regarder ce qu'il y a autour. Ecrire, ce n'est pas une course. Cherche à être plus précis, à trouver le bon mot, la bonne expression. Attention, ce que je viens de dire s'applique aussi aux phrases dans lesquelles tu squizzes le sujet 2. L'exagération. Un homme qui se réveille après avoir fait un malaise et qui s'en va sans rien dire c'est surprenant, mais ce n'est pas pour ça que c'est un surhomme. J'ai trouvé plusieurs allusions exagérées comme ça dans ton texte, peuple notamment. Tu ne cherches pas à faire une caricature, donc modère tes propos. Une fois encore, réfléchis bien aux termes que tu vas employer, cherche à savoir si tes expressions sont correctes, etc. Au niveau de la grammaire/conjugaison, je constate avec plaisir que tu ne fais presque plus de fautes au niveau des participes passés, +1 pour toi donc ^^. Par contre, je me permets de te rappeler une petite règle : Je l'attend s, je le compri s. Même quand le COD s'intercale entre le sujet et le verbe, le verbe s'accorde toujours au sujet. Donc, pour faire un petit bilan de tout ça : tu progresses vraiment de plus en plus au niveau de la grammaire, je pense que pour le prochain devoir (enfin, j'espère), tu ne feras plus de fautes majeures ou répétitives. Par contre, au niveau de la construction des phrases, ce n'est pas encore ça, et c'est donc sur cela que nous allons nous concentrer sur ce devoir. Corrige tes erreurs majeures pour le moment, et nous verrons encore plus dans les détails une fois que tu auras repris ton texte. Sinon, au niveau de l'intrigue, pas vraiment de surprise puisque c'est la reprise du devoir précédent, mais au niveau du choix quant à la quantité consacrée à la description, à l'événement etc, c'est nickel. Pour plus de précisions, je suis disponible sûr par mp, sur msn plus rarement en ce moment mais je pense que tu trouveras quand même l'occasion de me croiser ^^ | |
| | | Sephi 4*4 Chromatique
Nombre de messages : 5279 Age : 35 Localisation : Sûl-Nar ! In my dream Date d'inscription : 25/11/2007
Personnages RP Pseudo: Sephi Pseudo : Kordrok Pseudo : Eilana
| Sujet: Re: Sephi 4*4 devoir n°3 [Ambre] Lun 9 Mar - 1:46 | |
| Ceci s’était passé quelques temps auparavant. Un matin habituel, hormis le fait que j’avais décidé de prendre mon café dans un bistrot du coin, et non au boulot. Je devais le regretter de nombreuses fois par la suite. Je m’en souviendrais toujours. Les rayons du soleil se reflétaient sur les tables. Le silence régnait les environs, hormis les moteurs de voiture qui ronronnaient doucement à mes oreilles. Attendant mon café, j’en profitais pour laisser mes yeux se balader autour de moi. Sur la terrasse, quelques personnes, un groupes d’ouvriers discutant , deux ou trois badauds qui devaient très certainement discuté du beau temps. Ainsi qu’un homme lisant son journal, quelconque feuille de papier racontant les âneries de la veille. Puis une jeune couple qui semblaient perdus, évader dans un quelconque lieu inconnus. Le serveur approcha, il posa devant moi le café fumant et me demanda de régler la note, ce que je fis. Je pris la tasse, l’apportais à mes lèvres et but quelques gorgés qui me brûlèrent quelque peu la gorge. Je profitais de ce temps pour regarder les quelques pigeons du coin picoraient les innombrables miettes qui s’étalaient sur le bitume.
Un bruit sourd, mat résonna autour de moi. Qu’était ce ? pensais-je, alors que je me retournais. La tasse de café se vida sur mon pardessus. Puis je le vis, après quelques instants à observer les environs, ce corps allongé, qui semblait si vivant quelques instants plutôt. J’imitais les clients, m’approchant du lieu, téléphone en main. Clients atterrés devant ce corps allongé aux yeux exorbités. Le cœur semblait battre faiblement. Une crise ? Je composais le numéros des secours, étais je le seul apte à réagir ? Mes pensées tourbillonnaient dans ma tête. Une voix me répondit, reprenant mes esprits, je commençai à expliquer le situation.
Stupeur, étonnement, il se levait, il semblait perdu. Et moi donc, je bafouillais au téléphone. Je ne savais que faire. Il nous fixa, tous, puis se détourna, partit et disparut de notre vue. J’avais dû raccrocher, m’étais excusé, avait reçu diverses critiques de leur part.
Je n’en revenais pas, il était parti, comme cela … N’avait-il pas quelques séquelles après une telle chute, ou alors ? Quel était ce mystère, comment pouvait-on se relever et partir après une crise ? Etait-ce un surhomme ? Je ne pense pas, après tout ce n’était peut être qu’un petit évanouissement, il fallait arrêter de s’en soucier. Cela dépassait surement mon entendement ?
En espérant ne aps y avoir ajouter de fautes ^^! Je pense qu'au niveau de la construction je suis dans le mieux, après c'est plus à toi d'en juger. | |
| | | Ambre Melifol
Nombre de messages : 401 Age : 34 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 10/02/2008
| Sujet: Re: Sephi 4*4 devoir n°3 [Ambre] Lun 9 Mar - 18:38 | |
| Alors alors, oui, tu as rajouté des fautes, et des répétitions aussi, mais dans l'ensemble au niveau de la construction et de la narration c'est beaucoup mieux.
Je te ferai une correction complète mercredi pour notre jour de relâche ou sinon samedi au plus tard. Envoie-moi un mp pour me dire si tu veux reprendre encore une fois ce devoir ou en avoir un autre, un tout nouveau, parce que depuis le temps tu dois être un peu lassé à mon avis, et ça c'est jamais bon ^^ J'adapterai ma correction en conséquence. Précise-moi aussi quand tu auras le temps de faire cette correction ou le prochain devoir, que je puisse un peu gérer mon emploi du temps. | |
| | | Ambre Melifol
Nombre de messages : 401 Age : 34 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 10/02/2008
| Sujet: Re: Sephi 4*4 devoir n°3 [Ambre] Mer 11 Mar - 13:11 | |
| Alors, je te le corrige définitivement comme ça on pourra passer à un autre sujet. J'ai remanié entièrement certaines de tes phrases pour te montrer ce qui dérangeait dans ton texte. Comme quoi, un rien et c'était parfait ^^ En italique l'explication de mes corrections. - Sephi 4*4 a écrit:
- Cela s’était passé quelques temps auparavant. Un matin habituel. (hormis le fait que) J’avais décidé de prendre mon café dans un bistrot du coin, et non au boulot. Je devais le regretter de nombreuses fois par la suite. Je m’en souviendrai(s) toujours.
Les rayons du soleil se reflétaient sur les tables. (Le silence régnait les environs, hormis les moteurs de voiture qui ronronnaient doucement à mes oreilles.) Seul le doux ronronnement des voitures de passage rompait par moments le silence paisible qui régnait sur les environs.[Ici, tu avais bien compris qu'il fallait insister sur le silence, c'est pourquoi tu l'as mis en début de phrase. Le problème qui se posait, c'était la lourdeur de "hormis", qui brisaient le rythme. Si tu commences par "seul" et que tu ajoutes "par moments", cela montre à la fois la présence du silence et du calme avec l'insistance par le "paisible", et le fait qu'il est de temps en temps rompu.]
(Attendant mon café, j’en profitais pour laisser mes yeux se balader autour de moi.) Je laissais mes yeux se promener autour de moi en attendant mon café. [Ton problème reste l'emploi trop fréquent des participes présents, et surtout leur mise en valeur, qui donne de la lourdeur à tes textes. Placer un élément en début de phrase, c'est insister dessus. J'ai donc mis le fait qu'il attende son café en fin de phrase pour plutôt insister sur son observation, parce que ça te permet la description des lieux.] Sur la terrasse, quelques personnes, un groupe(s) d’ouvriers discutant , deux ou trois badauds qui devaient très certainement discuter du beau temps. Il y avait peu de monde sur la terrasse : un groupe d'ouvriers et deux ou trois badauds qui devaient certainement discuter du beau temps.[Encore le problème de l'absence de verbe conjugué ici. Le double point réconcilie tout le monde, la présence du verbe avoir donne une construction nette à ta phrase, et le groupement de tout ce petit monde évite la répétition du verbe discuter]
Ainsi qu’un homme lisant son journal, quelconque feuille de papier racontant les âneries de la veille. Puis un(e) jeune couple qui semblai(en)t perdu(s), évadé dans un quelconque lieu inconnu(s). Un homme lisait tranquillement son journal, quelconque feuille de papier racontant les âneries de la veille. Dans un coin, un jeune couple semblait s'être évadé, chacun le regard perdu dans celui de l'autre vers un lieu inconnu. [Même problème des phrases sans verbe, fais vraiment attention à cela. Fais aussi attention à ton emploi de quelques, quelconque, etc. Ca alourdit tes phrases] Le serveur approcha, il posa devant moi le café fumant et me demanda de régler la note, ce que je fis. [Cette phrase, on sent que tu l'as reprise, et elle est nickel] Je pris la tasse, l’apportai(s) à mes lèvres et bus quelques gorgées qui me brûlèrent (quelque) un peu la gorge. Je profitais de ce (temps) répit pour regarder les quelques pigeons du coin picorer les innombrables miettes qui s’étalaient sur le bitume.
Un bruit sourd, mat résonna autour de moi. Qu’était-ce ? pensais-je, alors que je me retournais. La tasse de café se vida sur mon pardessus. Puis je le vis, après quelques instants à observer les environs, ce corps allongé, qui semblait si vivant quelques instants plutôt. J'observais les environs quelques instants. Puis je le vis, ce corps allongé, qui semblait si vivant auparavant. [Ici, le problème est que tu veux insister sur la découverte du corps en disant que tu ne l'aperçois pas directement. La solution est simple : faire deux phrases]
J’imitais les clients, m’approchant du lieu, téléphone en main. Clients atterrés devant ce corps allongé aux yeux exorbités. Ces derniers étaient atterrés devant ce corps allongé aux yeux exorbités. [là pareil, en répétant clients, tu joues avec le temps de ta narration et tu perturbes ton lecteur] Le cœur semblait battre faiblement. Une crise ? Je composais le numéro(s) des secours, étais-je le seul apte à réagir ? Mes pensées tourbillonnaient dans ma tête. Une voix me répondit. Reprenant mes esprits, je commençais à expliquer le situation.
Stupeur, étonnement. Il se levait, il semblait perdu. Et moi donc, je bafouillais au téléphone. Je ne savais que faire. Il nous fixa, tous, puis se détourna, partit et disparut de notre vue. J’avais dû raccrocher, m’étais excusé, avait reçu diverses critiques de (leur part) la part des secours.
Je n’en revenais pas, il était parti, comme cela … N’avait-il pas quelques séquelles après une telle chute(, ou alors) ? Quel était ce mystère, comment pouvait-on se relever et partir après une crise ? Etait-ce un surhomme ? Je ne pense pas, après tout ce n’était peut-être qu’un petit évanouissement. Il fallait arrêter de s’en soucier. Cela dépassait surement mon entendement. (?)
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