Ego' devoir n°2 => Ambre

Sujet: la fin du monde.


Les radios ne captaient plus, les chaînes de télévision étaient si brouillée qu'elles en devenaient incompréhensible. On était coupés du monde, au fin fond de notre campagne. Il y à trois jours. Aujourd'hui, le 19 Mars 2368, les évènements sont beaucoup plus terrifiants. la terre tremble en permanence, et il n'y a plus aucune étendue d'eau à cause de la puissance du soleil. Nous ne connaissons pas la température: le thermomètre à explosé. La forêt et les multiples champs et prairies roussissent à vue d'œil, à une vitesse inquiétante.

Ma mère s'affole car mon père, fidèle à son poste de livreur camionneur, est dans un pays lointain depuis deux semaines. dans son dernier coup de téléphone, il dit que les chefs gouvernementaux de tout les pays actuels ont déclarés la destruction de la planète terre par la puissance astrale, et ont installés des fusées pouvant contenir 8000 personnes et partant pour Olïan , planète inhabitée identique à la Terre. les données sont simples: sur 14 milliards d'habitants sur terre, seuls 144000 partent pour Olïan. ma famille n'en fait pas partie.

Les bruits augmentent. je me plaque les mains contre les oreilles, mais rien n'y fait, le sang m'y bat au rythme de sifflements stridents venus de l'extérieur. ma peu se boursoufle, et les cadres de bois des fenêtres s'enflamment, tandis que les vitres fondent. Par une brèche du mur, je regarde dehors: la terre se fend en deux dans des grondements saccadés de sifflements aigus. mes cheveux s'embrasent et des bouquets de cloques naissent sur la peau fumante de mon crâne.

Mes paumes de mes mains collent à me tempes, et un liquide visqueux coule de mes oreilles. je pousse des hurlements de douleur, mais aucun son ne sort de ma bouche. Soudain, je tombe à terre, vomissant des gerbes de sang brouillant qui s'évapore en une fine vapeur rosée dès qu'il touche le sol. Mes tympans éclatent sous l'ampleur du bruit tandis que mes vêtements de laines, devenus braises, s'incrustent dans les cloques qui recouvrent désormais mon corps. mes ongles se liquéfient, faisant monter une odeur putride jusqu'à mes narines. Mon pied, agité de soubresauts, rencontre un corps sans vie. je tente de me retourner pour regarder le cadavre de ma mère, mais je ne parviens qu'a arracher la peau de ma joue, collée au plancher. Mes pupilles fondent sous la chaleur. L'armature ou ce qu'il en reste de ma maison, s'effondre sur moi sur un silence cotonneux. La lave jaillit de la fente Terrestre. la terre est séparée en deux.

Quand je pense aux nouveaux Olïaniens... les salauds.

Egorann a écrit:

Les radios ne captaient plus, les chaînes de télévision étaient si brouillées qu'elles en devenaient incompréhensibles. On était coupé(s) du monde, au fin-fond de notre campagne. Il y à trois jours. Aujourd'hui, le 19 Mars 2368, les événements sont beaucoup plus terrifiants. La terre tremble en permanence, et il n'y a plus aucune étendue d'eau à cause de la puissance du soleil. Nous ne connaissons pas la température: le thermomètre a explosé. La forêt et les multiples champs et prairies roussissent à vue d'œil, à une vitesse inquiétante.

Ma mère s'affole car mon père, fidèle à son poste de livreur camionneur, est dans un pays lointain depuis deux semaines. Dans son dernier coup de téléphone, il dit que les chefs gouvernementaux de tous les pays actuels ont déclaré(s) la destruction de la planète terre par la puissance astrale, et ont installé(s) des fusées pouvant contenir 8000 personnes et partant pour Olïan , planète inhabitée identique à la Terre. Les données sont simples: sur 14 milliards d'habitants sur terre, seuls 144000 partent pour Olïan. Ma famille n'en fait pas partie.

Les bruits augmentent. Je me plaque les mains contre les oreilles, mais rien n'y fait, le sang m'y bat (à reformuler) au rythme de sifflements stridents venus de l'extérieur. Ma peau se boursoufle, et les cadres de bois des fenêtres s'enflamment, tandis que les vitres fondent. Par une brèche du mur (dans le), je regarde dehors: la terre se fend en deux dans des grondements saccadés de sifflements aigus (mal dit). Mes cheveux s'embrasent et des bouquets de cloques naissent sur la peau fumante de mon crâne.

Mes paumes de mes mains (redondant) collent à me tempes, et un liquide visqueux coule de mes oreilles. Je pousse des hurlements de douleur, mais aucun son ne sort de ma bouche. Soudain, je tombe à terre, vomissant des gerbes de sang brouillant (du sang brouillant ? bouillant, peut-être) qui s'évapore en une fine vapeur rosée dès qu'il touche le sol. Mes tympans éclatent sous l'ampleur du bruit (terme pas assez fort au vu de la situation) tandis que mes vêtements de laine(s), devenus braises, s'incrustent dans les cloques qui recouvrent désormais mon corps. Mes ongles se liquéfient, faisant monter une odeur putride jusqu'à mes narines. Mon pied, agité de soubresauts, rencontre un corps sans vie. Je tente de me retourner pour regarder le cadavre de ma mère, mais je ne parviens qu'à arracher la peau de ma joue, collée au plancher. Mes pupilles fondent sous la chaleur. L'armature ou ce qu'il en reste de ma maison, s'effondre sur moi sur (dans) un silence cotonneux. La lave jaillit de la fente Terrestre. la terre est séparée en deux.

Quand je pense aux nouveaux Olïaniens... les salauds.

Commentaire général : J'ai un peu changé ma façon de te corriger comme tu peux le constater. J'ai corrigé les fautes de grammaire et d'expression, mais il y a d'autres choses qui sont pour toi, je ne te suggère plus rien, tout simplement parce que tu as atteint un stade où je pense que tu es tout à fait capable de te corriger toute seule.

Alors, quelques petits points qui ne vont pas : tout d'abord, le début d'une phrase prend une MAJUSCULE, et tu n'as plus intérêt à me refaire ça, parce que sinon je me fâche. C'est de la paresse pure et tu le sais.

Ensuite, revois une fois encore la règle des participes passés, parce que tu as toujours du mal même si tu es constamment en progrès. Autre chose, je t'ai souligné en orange les répétitions, surtout des "et" qui n'apportent rien de bon. A toi de voir ce que tu peux faire.

Tu as encore du mal avec les expressions toutes faites. Puisque tu fais la faute, tu ne les connais pas, c'est pour cela que je te les ai corrigées. Ne t'en fais pas, ça viendra avec la pratique.

Je t'ai mis entre parenthèses les endroits où ça pêche et les passages qu'il va te falloir retravailler, mais dans l'ensemble ton expression est bonne. Au niveau de l'imagination, tu n'as aucun problème, je retrouve même tes petites touches d'humour finales, on essayera de varier ça un peu dans le prochain devoir, histoire que tu sois capable de faire autre chose.

Voilà, je te laisse ces petits commentaires, si tu as besoin d'un conseil ou que tu as une question, tu sais comment me joindre... Bonne chance pour la reprise !

Correction, suite à la correction d'Ambre.

Les radios ne captaient plus, les chaînes de télévision étaient si brouillées qu'elles en devenaient incompréhensibles. On était coupés du monde, au fin-fond de notre campagne. Il y a trois jours. Aujourd'hui, le 19 Mars 2368, les événements sont beaucoup plus terrifiants. La terre tremble en permanence, et il n'y a plus aucune étendue d'eau à cause de la puissance du soleil. Nous ne connaissons pas la température: le thermomètre a explosé. La forêt et les multiples champs et prairies roussissent à vue d'œil, à une vitesse inquiétante.

Ma mère s'affole car mon père, fidèle à son poste de livreur camionneur, est dans un pays lointain depuis deux semaines. Dans son dernier coup de téléphone, il dit que les chefs gouvernementaux de tous les pays actuels ont déclarés la destruction de la planète terre par la puissance astrale, et ont installés des fusées pouvant contenir 8000 personnes et partant pour Olïan , planète inhabitée identique à la Terre. Les données sont simples: sur 14 milliards d'habitants sur terre, seuls 144000 partent pour Olïan. Ma famille n'en fait pas partie.

Les bruits augmentent. Je me plaque les mains contre les oreilles, mais rien n'y fait, j'entend mon sang y pulser au rythme de sifflements stridents venus de l'extérieur. Ma peau se boursoufle, et les cadres de bois des fenêtres s'enflamment, tandis que les vitres fondent. Dans une brèche du mur, je regarde dehors: la terre se fend en deux dans des grondements sourds, entrecoupés de sifflements aigus. Mes cheveux s'embrasent et des bouquets de cloques naissent sur la peau fumante de mon crâne.

Mes paumes collent à me tempes, et un liquide visqueux coule de mes oreilles. Je pousse des hurlements de douleur, mais aucun son ne sort de ma bouche. Soudain, je tombe à terre, vomissant des gerbes de sang bouillant qui s'évapore en une fine vapeur rosée dès qu'il touche le sol. Mes tympans éclatent sous le fracas permanent et insupportable, tandis que mes vêtements de laines, devenus braises, s'incrustent dans les cloques qui recouvrent désormais mon corps. Mes ongles se liquéfient, faisant monter une odeur putride jusqu'à mes narines. Mon pied, agité de soubresauts, rencontre un corps sans vie. Je tente de me retourner pour regarder le cadavre de ma mère, mais je ne parviens qu'à arracher la peau de ma joue, collée au plancher. Mes pupilles fondent sous la chaleur. L'armature ou ce qu'il en reste de ma maison, s'effondre sur moi dans un silence cotonneux. La lave jaillit de la fente Terrestre. La terre est séparée en deux.

Quand je pense aux nouveaux Olïaniens... les salauds.