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 Rendus - "Dernière illusion"

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Sharah'In
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MessageSujet: Rendus - "Dernière illusion"   Rendus - "Dernière illusion" Icon_minitimeVen 18 Sep - 22:34

Rendus - "Dernière illusion" Finishcj


Tahir rentrait de son travail, il arrivait comme à son habitude au village où il avait déposé tôt ce matin ses enfants à l'école. Lorsque derrière lui, plusieurs détonations sonnèrent l'arrivée d'un convoi composée de deux jeeps et d'un camion sur lesquels se tassaient nombres de rebelles armés, arborant des sourires d'une victoire déjà acquise et criant leur joie du butin occasionné. Un courant de panique gagna rapidement tout le village. Les cris de terreurs se mélangeait aux hurlements de fureur victorieuse tandis que les vrombissements des moteurs sonnaient la charge, emballée par les coups de feu. Tahir ne se retourna pas et couru avec les ailes de la peur pour arriver devant l'école. Il rentra dans l'unique salle de classe où ses enfant l'attendaient parmi d'autres, la peur dans le regard. Il prit la main des deux plus jeunes et leur ordonna à tous de courir puis sortirent au moment même où les jeunes du Revolutionary United Front, posèrent pied à terre et commencèrent leur jeu de massacre, chacun tirant selon ses envies viciées.

L'un d'entre eux l'aperçu et se dirigea vers lui d'un pas rapide, il interpela Tahir qui ne se retourna pas. L'enfant armé lui cria dessus, l'ordonnant de s'arrêter, entre deux insultes, ce qu'il ne fit pas. Plusieurs coups partirent, Nansi, la cadette s'écroula après avoir lâchée la main de son père Tahir qui s'immobilisa et se pencha sur sa fille sans vie. Il cria son nom comme un damné et finit par se tourner vers son meurtrier, le regard plein de haine. Il eut un moment d'hésitation, qui lui fut fatal. L'enfant brandit son arme vers lui et tira sans pitié, juste un sourire aux lèvres, un rire dérangé en coin. Le père s'écroula lui aussi, laissant deux orphelins qui furent absorbés par ce déchainement de violence. Le meurtrier les regarda avec un sourire cruel, il saisit le bras du plus vieux afin qu'il soit enrôlé et devenir son frère, et laissa l'autre, trop jeune, assommé et laissé pour mort. Leur convoi reprit alors sa route et se dirigea vers le prochain village. Un de ses compagnons d'arme l'appela par son nom, Sans Peur, et il grimpa dans le camion qui ne mit guère longtemps à faire le trajet.

Et le même schéma se répéta, les cris de jubilation et de terreur associés aux métaux hurlants et aux ronronnements mécaniques proposant ainsi une mélopée cacophonique. Plus tard viendrait le crépitement des flammes, l'odeur du sang, de la chair brûlée et de la désolation. Sans Peur n'y faisait presque plus attention, et sauta du camion lorsque celui-ci fut à l'arrêt. Il leva les yeux vers ces nuages noirs qui semaient le trouble dans cet océan azur, le temps se prêtait à leur jeu avec son humeur de plus en plus électrique. Autour de lui, ses compagnons poursuivaient les fuyards avec une jouissance perverse sous le regard de leur chef, des pleurs d'enfants déchiraient la scène, mêlés aux cris des femmes. Tout recommençait, une fois de plus, encore et encore. Sans Peur tira sur un vieillard qu'il croisa dans son jardin, puis sur plusieurs villageois, entrant dans une transe frénétique. Le besoin de tuer l'absorba dans son cercle vicieux.

Il se retrouva devant une jeune femme le visage marqué par la peur et l'étonnement lorsqu'elle le vit. Elle se précipita sur lui en criant quelque chose, Sans Peur tressaillit puis tira une salve mortelle dans un réflexe animal. La jeune femme recula sous les impacts se heurtant à une vieille voiture rouillée. Elle le regarda d'un air désolée, voulu prononcer un mot, mais s'affala au sol avec pour dernier aveux, un doux sourire. Elle ne se releva pas, de sa propre terre, plus jamais. Il est dit que sa couleur pourpre est imbibée de leur sang. On raconte également qu'elle retrouve toujours quiconque est née sous son regard. La gueule de son canon encore fumante, il ne bougea pas, paralysé. Quelques perles écarlates se marièrent harmonieusement sur le sol poussiéreux. Ils redeviendraient poussière et retourneraient à la terre qui les a vu naître, et il en a toujours été ainsi.

La légère brise étouffante qui les accompagnaient depuis l'aube s'amusait à soulever la poussière rouge ce qui créait une fine brume de rouille souillant tout sur son passage. Chaque grain virevoltait dans les airs tel la vie qui avait animé chacun de ses frères et ancêtres,. Toutes ces particules se répandirent au gré des mouvements qu'offrait le chaos environnant et tentaient de le prévenir du sort qui lui était réservé. Il n'en avait heureusement pas conscience, son innocence brisée s'était tant bien que mal reconstruite de manière superficielle pour lui voiler le regard d'un ruban de violence irrecevable mais acceptée. Son fil noir était maculé de sang, nectar infecte enraciné jusqu'aux tréfonds de son être ne pouvant désormais plus le quitter, au mieux le guider d'un doigt autoritaire et sans compassion.

Il la regarda, il l'avait connu un temps, mais ses souvenirs ne lui dévoilèrent que des images mouchetées de rouille lui donnant la migraine. Certaines d'entre elles lui revinrent brutalement à l'esprit jusqu'à l'abasourdir, il sortit sans aveux d'un rêve éveillé. Une balle perdue esquinta sa joue alors qu'il venait de réaliser l'ampleur de son propre désastre. Il avait mal, des goutes de sang perlèrent de sa joue tandis que ses larmes symbolisaient sa détresse. Ces deux sources de douleur se joignirent et finirent par s'éclater au sol. Son corps céda et il tomba à genou lâchant son arme qui tomba dans la flaque poisseuse et poussiéreuse tandis que les premières gouttes de pluie percutèrent le sol.

Saeisha fut sa sentence. Ce nom lui donna la nausée, et l'odeur de corps brûlé fut de trop, il vomit les restes d'un maigre repas et de la bile lui brûla la gorge. Il réalisa que ce corps, était celui de Saeisha, sa grande soeur qu'il n'avait pas vu depuis plus d'un an. Il serra les poings jusqu'au sang, rongé par une douleur intérieure insoutenable. Tout ce semblant de rêve militant, ces bonnes grâces que lui avait donné le commandant des rebelles, ces belles illusions de lutte révolutionnaire contre le gouvernement, ces bons souvenirs avec ses frères d'arme, tout vola en éclat pour n'être plus que tristesse et rancoeur. Toutes ces promesses devinrent les causes de son mal être grandissant, il hurla de toute ses forces, demandant au ciel « pourquoi ».

Il se souvenait de ce village, c'est ici que venait travailler sa grande soeur, il y allait souvent, avant. Sa voix douce et chaleureuse murmura dans sa tête, juste avant qu'il ne tire, Samsalu, c'était son vrai nom. Cette voiture appartenait à l'un de ses grands frères, triste témoin de l'ironie de son sort. Ce vieillard, le jardinier chez qui elle travaillait. Des chansons, des cris de joies, de la tendresse, de l'amour. Tout ces souvenirs toujours plus nombreux défilèrent dans sa tête et se mélangèrent dans un tourbillon infernal qu'il manqua de perdre conscience. Tout ceci, n'est plus, c'était avant. Avant d'être emmené comme le garçon prit de panique qui passa derrière lui, son âme implorant son innocence brisée et perdue d'avance.

L'un de ses aînés l'attrapa par le bras et l'obligea à se relever. Il lui intima de poursuivre le travail comme les autres, mais Sans Peur, ou plutôt Samsalu n'obéit pas, en proie à une déchirante confusion, dorénavant anéanti. Plusieurs coups le firent chuter dans la boue jusqu'à ce que le chef vienne lui même à son chevet. Il ordonna à l'aîné de poursuivre son travail et aida Sans Peur à se relever. Il eut droit à tout un sermon.


- Tu pleures ?

Il hocha fébrilement par la négative et reçu moult encouragements, félicitations et quelques tapes dans le dos. Sa chance tournait, il allait avoir l'honneur d'être capitaine. Il pourrait diriger une petite troupe de cinq confrères qu'il enverrait commettre un massacre pour lui. Et ce soir, la fête serait en partie pour lui. Il avait de la chance, ce soir, il sera vraiment un homme important pour ses compagnons.

Il demanda si c'était finit pour aujourd'hui, le chef lui répondit qu'il avait encore un village à visiter. Il s'en retourna vers la jeep alors que les hommes du villages pouvant servir aux mines diamantifères furent molestés et emmenés dans les camions, ainsi que les jeunes recrues. Sans Peur regardait sa soeur et ce village, il venait d'ouvrir les yeux. Il leur demanda pardon, à elle, à sa terre, à sa famille toute entière, à son village. Ses yeux inondés de larmes se fermèrent, il héla le chef qui se tourna vers lui.


- Oui.

Samsalu lui adressa un sourire serein et soulagé contrastant avec son regard plein de haine. L'illusion s'estompa, le rêve se dissipa, il ne lui restait qu'une chose. Il pressa la détente...
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[i]   Tahir rentrait de son travail, il arrivait comme à son habitude au village où il avait déposé tôt ce matin ses enfants à l'école. Lorsque derrière lui, plusieurs détonations sonnèrent l'arrivée d'un convoi composée de deux jeeps et d'un camion sur lesquels se tassaient nombres de rebelles armés, arborant des sourires d'une victoire déjà acquise et criant leur joie du butin occasionné. Un courant de panique gagna rapidement tout le village. Les cris de terreurs se mélangeait aux hurlements de fureur victorieuse tandis que les vrombissements des moteurs sonnaient la charge, emballée par les coups de feu. Tahir ne se retourna pas et couru avec les ailes de la peur pour arriver devant l'école. Il rentra dans l'unique salle de classe où ses enfant l'attendaient parmi d'autres, la peur dans le regard. Il prit la main des deux plus jeunes et leur ordonna à tous de courir puis sortirent au moment même où les jeunes du Revolutionary United Front, posèrent pied à terre et commencèrent leur jeu de massacre, chacun tirant selon ses envies viciées.

   L'un d'entre eux l'aperçu et se dirigea vers lui d'un pas rapide, il interpela Tahir qui ne se retourna pas. L'enfant armé lui cria dessus, l'ordonnant de s'arrêter, entre deux insultes, ce qu'il ne fit pas. Plusieurs coups partirent, Nansi, la cadette s'écroula après avoir lâchée la main de son père Tahir qui s'immobilisa et se pencha sur sa fille sans vie. Il cria son nom comme un damné et finit par se tourner vers son meurtrier, le regard plein de haine. Il eut un moment d'hésitation, qui lui fut fatal. L'enfant brandit son arme vers lui et tira sans pitié, juste un sourire aux lèvres, un rire dérangé en coin. Le père s'écroula lui aussi, laissant deux orphelins qui furent absorbés par ce déchainement de violence. Le meurtrier les regarda avec un sourire cruel, il saisit le bras du plus vieux afin qu'il soit enrôlé et devenir son frère, et laissa l'autre, trop jeune, assommé et laissé pour mort. Leur convoi reprit alors sa route et se dirigea vers le prochain village. Un de ses compagnons d'arme l'appela par son nom, Sans Peur, et il grimpa dans le camion qui ne mit guère longtemps à faire le trajet.

   Et le même schéma se répéta, les cris de jubilation et de terreur associés aux métaux hurlants et aux ronronnements mécaniques proposant ainsi une mélopée cacophonique. Plus tard viendrait le crépitement des flammes, l'odeur du sang, de la chair brûlée et de la désolation. Sans Peur n'y faisait presque plus attention, et sauta du camion lorsque celui-ci fut à l'arrêt. Il leva les yeux vers ces nuages noirs qui semaient le trouble dans cet océan azur, le temps se prêtait à leur jeu avec son humeur de plus en plus électrique. Autour de lui, ses compagnons poursuivaient les fuyards avec une jouissance perverse sous le regard de leur chef, des pleurs d'enfants déchiraient la scène, mêlés aux cris des femmes. Tout recommençait, une fois de plus, encore et encore. Sans Peur tira sur un vieillard qu'il croisa dans son jardin, puis sur plusieurs villageois, entrant dans une transe frénétique. Le besoin de tuer l'absorba dans son cercle vicieux.

   Il se retrouva devant une jeune femme le visage marqué par la peur et l'étonnement lorsqu'elle le vit. Elle se précipita sur lui en criant quelque chose, Sans Peur tressaillit puis tira une salve mortelle dans un réflexe animal. La jeune femme recula sous les impacts se heurtant à une vieille voiture rouillée. Elle le regarda d'un air désolée, voulu prononcer un mot, mais s'affala au sol avec pour dernier aveux, un doux sourire. Elle ne se releva pas, de sa propre terre, plus jamais. Il est dit que sa couleur pourpre est imbibée de leur sang. On raconte également qu'elle retrouve toujours quiconque est née sous son regard. La gueule de son canon encore fumante, il ne bougea pas, paralysé. Quelques perles écarlates se marièrent harmonieusement sur le sol poussiéreux. Ils redeviendraient poussière et retourneraient à la terre qui les a vu naître, et il en a toujours été ainsi.

   La légère brise étouffante qui les accompagnaient depuis l'aube s'amusait à soulever la poussière rouge ce qui créait une fine brume de rouille souillant tout sur son passage. Chaque grain virevoltait dans les airs tel la vie qui avait animé chacun de ses frères et ancêtres,. Toutes ces particules se répandirent au gré des mouvements qu'offrait le chaos environnant et tentaient de le prévenir du sort qui lui était réservé. Il n'en avait heureusement pas conscience, son innocence brisée s'était tant bien que mal reconstruite de manière superficielle pour lui voiler le regard d'un ruban de violence irrecevable mais acceptée. Son fil noir était maculé de sang, nectar infecte enraciné jusqu'aux tréfonds de son être ne pouvant désormais plus le quitter, au mieux le guider d'un doigt autoritaire et sans compassion.

   Il la regarda, il l'avait connu un temps, mais ses souvenirs ne lui dévoilèrent que des images mouchetées de rouille lui donnant la migraine. Certaines d'entre elles lui revinrent brutalement à l'esprit jusqu'à l'abasourdir, il sortit sans aveux d'un rêve éveillé. Une balle perdue esquinta sa joue alors qu'il venait de réaliser l'ampleur de son propre désastre. Il avait mal, des goutes de sang perlèrent de sa joue tandis que ses larmes symbolisaient sa détresse. Ces deux sources de douleur se joignirent et finirent par s'éclater au sol. Son corps céda et il tomba à genou lâchant son arme qui tomba dans la flaque poisseuse et poussiéreuse tandis que les premières gouttes de pluie percutèrent le sol.

   Saeisha fut sa sentence. Ce nom lui donna la nausée, et l'odeur de corps brûlé fut de trop, il vomit les restes d'un maigre repas et de la bile lui brûla la gorge. Il réalisa que ce corps, était celui de Saeisha, sa grande soeur qu'il n'avait pas vu depuis plus d'un an. Il serra les poings jusqu'au sang, rongé par une douleur intérieure insoutenable. Tout ce semblant de rêve militant, ces bonnes grâces que lui avait donné le commandant des rebelles, ces belles illusions de lutte révolutionnaire contre le gouvernement, ces bons souvenirs avec ses frères d'arme, tout vola en éclat pour n'être plus que tristesse et rancoeur. Toutes ces promesses devinrent les causes de son mal être grandissant, il hurla de toute ses forces, demandant au ciel « pourquoi ».

   Il se souvenait de ce village, c'est ici que venait travailler sa grande soeur, il y allait souvent, avant.  Sa voix douce et chaleureuse murmura dans sa tête, juste avant qu'il ne tire, Samsalu, c'était son vrai nom. Cette voiture appartenait à l'un de ses grands frères, triste témoin de l'ironie de son sort. Ce vieillard, le jardinier chez qui elle travaillait. Des chansons, des cris de joies, de la tendresse, de l'amour. Tout ces souvenirs toujours plus nombreux défilèrent dans sa tête et se mélangèrent dans un tourbillon infernal qu'il manqua de perdre conscience. Tout ceci, n'est plus, c'était avant. Avant d'être emmené comme le garçon prit de panique qui passa derrière lui, son âme implorant son innocence brisée et perdue d'avance.

   L'un de ses aînés l'attrapa par le bras et l'obligea à se relever. Il lui intima de poursuivre le travail comme les autres, mais Sans Peur, ou plutôt Samsalu n'obéit pas, en proie à une déchirante confusion, dorénavant anéanti. Plusieurs coups le firent chuter dans la boue jusqu'à ce que le chef vienne lui même à son chevet. Il ordonna à l'aîné de poursuivre son travail et aida Sans Peur à se relever. Il eut droit à tout un sermon.[/i]

[color=brown]- Tu pleures ?[/color]

[i]Il hocha fébrilement par la négative et reçu moult encouragements, félicitations et quelques tapes dans le dos. Sa chance tournait, il allait avoir l'honneur d'être capitaine. Il pourrait diriger une petite troupe de cinq confrères qu'il enverrait commettre un massacre pour lui. Et ce soir, la fête serait en partie pour lui. Il avait de la chance, ce soir, il sera vraiment un homme important pour ses compagnons.

   Il demanda si c'était finit pour aujourd'hui, le chef lui répondit qu'il avait encore un village à visiter. Il s'en retourna vers la jeep alors que les hommes du villages pouvant servir aux mines diamantifères furent molestés et emmenés dans les camions,  ainsi que les jeunes recrues. Sans Peur regardait sa soeur et ce village, il venait d'ouvrir les yeux. Il leur demanda pardon, à elle, à sa terre, à sa famille toute entière, à son village. Ses yeux inondés de larmes se fermèrent, il héla le chef qui se tourna vers lui.[/i]

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[i] Samsalu lui adressa un sourire serein et soulagé contrastant avec son regard plein de haine. L'illusion s'estompa, le rêve se dissipa, il ne lui restait qu'une chose. Il pressa la détente...[/i][/quote]
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