j'étrange ardeur qui m'étrangle, sous un ciel nuit qui déraisonne, sous un ciel noir qui s'étire, j'étouffe et je ne sens.
ta peau aime impressionne, j'ai tout fait pour te dire dans mes poëmes résonne la fougue de me rire.
j'argue un peu trop souvent, à tort ou à travers, j'agréable pourtant, même si ce n'est qu'en vers.
et contre toute attente, ton odeur qui déçoit, car je ne sens plus là, l'exigüité du centre.
sentirais-tu pourtant, où que tu sois ce sens ? Centre n'est plus un mot, pour moi c'est l'existence.
il rime avec ton ventre, intimité touchante, moi qui n'ose t'approcher.
tendre vers moi ta joue, je blesse, trop souvent les yeux, et devant ton regard, halluciné les baisse.
je n'ai pas mal pourtant, rien ne m'atteint vraiment, sauf celui que je ·
· perds le temps ·