Malgré le mélange de rimes plates et de vers courts qui produisent chez moi un ennui terrible et les trois dernières strophes qui détonnent, il y a un certaine réussite de la première. On entend une euphonie évidente dans la première et des lieux communs dans lesquels le lecteur pour s'y retrouver. Mais après on te perds, on se perds, je crois, dans une sensibilité maladroitement exprimée, tu nous embrouilles.
« Plus puissant que l'effort de ne pas avoir tort » ? Qu'est-ce que cet effort là ? Cela n'est pas très clair. Et faut-il comprendre « puissant » au sens de « pénible » ?