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 Sb..., devoir n°1[Aillas]

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Tangi

Tangi


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MessageSujet: Sb..., devoir n°1[Aillas]   Sb..., devoir n°1[Aillas] Icon_minitimeMar 22 Jan - 19:53

Ecrire un texte sur le thème:" La Communauté"


Zone E-36, Communauté des Illuminés.


La zone E-36 est un ancien complexe militaire situé dans un grotte du Collaro à quelque dizaine de mètre sous la terre. L’ex. complexe militaire s’étend sur près du 300 m², l’architecture purement fonctionnelle s’organise autour d’un torrent qui s’écoule dans le fond de la cavité, apportant eau et électricité a l’ensemble. Le bunker avait été construit durant la Grande Resetions puis abandonné pendant la 1er Surtension à cause d’un manque de financement.

Depuis quelques mois la fourmilière reprenait vie, une centaine de personne s’y activés. On y trouver des chercheurs, des scientifiques, des ingénieurs essentiellement mais aussi quelques littéraires et artistes. Ils forment la Communauté des illuminés, dernière lumière face à l’obscurantisme de l’époque. Communauté crée de toute pièce par la nécessité. L’ensemble de ses habitants n’auraient jamais imaginer à devoir se terrer comme des cafards sous un évier mais il fallait bien survivre, survivre à l’Incertitude. L’Incertitude était le nom choisi par les historiens à l’époque suivant la 3 éme Surtension. Le nom en avait été décider ainsi car personne, ni les plus grands érudits, ni les programmes de prévision statistique avancé n’avait pu se prononcer sur l’issu de cette crise. C’était la plus grande crise qu’on ait jamais connu, plus importante que les dix dernières réunies. Il n’y était plus question d’intérêt personnelle ou de survie d’un état mais de l’avenir de l’humanité. Et à la grande loterie du destin, cette avenir était tombé sur face, elle avait perdu, l’humanité était perdu. Le système avait explosé, le verni de la civilisation craqué, barbarie et cruauté était de mise, la totalité de la planète était ravagé, vitrifié, inévitablement perdu. Tous les membres de la Communauté avait connu sa: l’odeur de la chair en décomposition, le désespoir, la haine, la fin du monde. L’apocalypse selon St Jean leur paraissais bien fade à coté de se qu’ils avaient enduré. Mais à défaut de leur consorts de l’extérieur qui, soit s’entretuer pour survivre tels des bêtes sauvages , soit s’entassés dans des camps humanitaire dérisoire surpeuplé et sous alimenté, eux avaient décider de reprendre le destin en main et ils n’étaient pas près de le lâcher. Etaient ils les seul à s’être enterrer ? Beaucoup se poser la question, personne en avait la réponse. Comment vivaient ceux qui était rester a la surface ? Tels un tabou ils n’oseraient pas se poser se genre de question, le poids de leur honte, la Communauté n’offrait pas l’hospitalité. La Communauté s’était fondé au hasard, ils s’étaient tous trouver dans le plus grand camp de réfugié de la région Missi, région frontalière du Collaro. Ils avaient décider de sauver et de faire prospérer les dernières bribes du savoir de l’humanité, ils avaient volé le peu de bétails qui rester et était parti vers le Collaro, et un jour ils tombèrent par un heureux hasard de circonstance sur la zone E-36. La Communauté avait bien pris soin de sceller la porte du complexe et de ne surtout par regarder derrière soi. Les premiers mois avait été rude, l’étroitesse des lieux, la claustrophobie, les restrictions alimentaires mais ses survivants avaient eu le temps d’apprendre le sens du mot souffrance et de tous ses dérivés. Et puis les jours passèrent, le quotient s’installa, la Communauté était là, présente et soucieuse de ses membres, ils avaient le même passé, les même valeurs, ils s’entraidaient. La Communauté constituer une micro-sociétè avec son lots de lois. Se que le grec rêver la Communauté l’avait fait, le “Tout Social”. Tout y été partager jusqu’a la moindre goutte de sueur, chacun valait autant que son voisin, ni élite ,ni chef, ils restaient uni, uni face à l’obscurantisme. Tous le monde y mettaient du siens, les ingénieurs faisaient un travail formidable, les psychologue un travail de titan, les quelques rare artistes recouvraient les murs de béton de couleur et de gaieté. La vie repris forme, sur tous ses visages lourdement marqués on revoyait doucement revenir un peu de lumière, d’espérance, un sourire ici, un rire par là et bientôt les premiers flirts. De nouveaux bambins viendraient renforcer les rangs de la Communauté. Ils auraient la lourde tache d’établir les bases d’une nouvelles sociétés. La Communauté veillerait à son établissement...


[hrp]J'espère ne pas avoir pris trop de liberté envers le sujet demandé j'ai tenter d'exercer mon imagination au maximun, de crée toute une hsitoire autour de la naissance d'une communauté. J'espère aussi ne pas avoir laisser trop de fautes. (doit malheuresement en avoir encore un bon paquets j'imagine.)[/hrp]
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MessageSujet: Re: Sb..., devoir n°1[Aillas]   Sb..., devoir n°1[Aillas] Icon_minitimeSam 26 Jan - 18:04

Zone E-36, Communauté des Illuminés.

La zone E-36 est un ancien complexe militaire situé dans une grotte du Collaro à quelques dizaines de mètres sous la terre. L’ex-complexe militaire s’étend sur près du 300 m² (C'est tout?), l’architecture purement fonctionnelle s’organise autour d’un torrent qui s’écoule dans le fond de la cavité, apportant eau et électricité a l’ensemble. Le bunker avait été construit durant la Grande Récession puis abandonné pendant la 1ère Surtension à cause d’un manque de financement.

Depuis quelques mois la fourmilière reprenait vie, une centaine de personnes s’y activaient. On y trouvait des chercheurs, des scientifiques et des ingénieurs essentiellement mais aussi quelques littéraires et artistes. Ils formaient (ou "formèrent" mais en tout cas, cet emploi du présent n'est pas justifié dans un texte au passé) la Communauté des illuminés, dernière lumière face à l’obscurantisme de l’époque. Communauté crée de toutes pièces par la nécessité. "L’ensemble de ses habitants n’auraient jamais imaginer" (à reformuler) à devoir se terrer comme des cafards sous un évier, (phrase qui ne s'enchaîne pas parfaitement, use et abuse de la ponctuation) mais il fallait bien survivre, survivre à l’Incertitude. L’Incertitude était le nom choisi par les historiens de l’époque suivant la 3éme Surtension. Le nom en avait été décidé ainsi car personne, ni les plus grands érudits, ni les programmes de prévision statistique avancée ou avancés n’avait pu se prononcer sur l’issu de cette crise. C’était la plus grande crise qu’on ait jamais connu, plus importante que les dix dernières réunies. Il n’y était plus question d’intérêt personnelle ou de survie d’un Etat mais de l’avenir de l’humanité. Et à la grande loterie du destin, cet avenir était tombé sur face, elle avait perdu, l’humanité était perdue. Le système avait explosé, le verni de la civilisation craqué, barbarie et cruauté était de mise, la totalité de la planète était ravagé, vitrifié et inévitablement perdu. Tous les membres de la Communauté avaient connu ça: l’odeur de la chair en décomposition, le désespoir, la haine, la fin du monde (Ce passage manque de puissance, essai peut-être de trouver des mots ou des images plus frappantes). L’apocalypse selon St Jean leur paraissait bien fade à coté de ce qu’ils avaient enduré. Mais au contraire (ou à la différence) de leur consorts de l’extérieur qui, soit s’entretuaient pour survivre tels des bêtes sauvages, soit s’entassaient dans des camps humanitaires dérisoires surpeuplés et sous alimentés, eux avaient décidé de reprendre leur destin en main et n’étaient pas près de le lâcher. Etaient ils les seuls à s’être enterrés ? Beaucoup se posaient la question, mais personne n'en avait la réponse. Comment vivaient ceux qui étaient restés a la surface ? Tel un tabou ils n’osaient pas se poser ce genre de questions, c'était le poids de leur honte, la Communauté n’offrait pas l’hospitalité. La Communauté s’était fondée au hasard, ils s’étaient tous trouvés dans le plus grand camp de réfugiés de la région Missi, ("région" en trop?) frontalière du Collaro. Ils avaient décidé de sauver et de faire prospérer les dernières bribes du savoir de l’humanité, ils avaient volé le peu de bétail qui restait et étaient partis vers le Collaro, et un jour ils tombèrent par un heureux hasard de circonstance sur la zone E-36. La Communauté avait bien pris soin de sceller la porte du complexe et surtout de ne pas regarder derrière eux. Les premiers mois avaient été rudes, l’étroitesse des lieux, la claustrophobie, les restrictions alimentaires mais ces survivants avaient eu le temps d’apprendre le sens du mot souffrance et de tous ses dérivés. Et puis les jours passèrent, le quotidien s’installa, la Communauté était là, présente et soucieuse de ses membres, ils avaient le même passé, les même valeurs, ils s’entraidaient. La Communauté constituait une micro-société avec son lot de lois. Ce que le grec rêvait la Communauté l’avait fait, le “Tout Social”. Tout y été partagé jusqu’a la moindre goutte de sueur, chacun valait autant que son voisin, ni élite ,ni chef, ils restaient unis, unis face à l’obscurantisme. Tous le monde y mettait du sien, les ingénieurs faisaient un travail formidable, les psychologue un travail de titan, les quelques rares artistes recouvraient les murs de béton de couleurs et de gaieté. La vie reprit forme, sur tous ces visages lourdement marqués on revoyait doucement revenir un peu de lumière et d’espérance. Un sourire ici, un rire par là et bientôt les premiers flirts. De nouveaux bambins viendraient renforcer les rangs de la Communauté. Ils auraient la lourde tache d’établir les bases d’une nouvelle société. La Communauté veillerait à son établissement...


Alors, je trouve ce texte très plaisant et agréable, l'inspiration est de mise car ton idée est développée et bien construite. Tu exploites bien la taille du texte pour y mettre l'essentiel, c'est un très bon point. Continue à garder ces réflexes. Les textes qui sont logiques et bien construits sont généralement intéressants.

Ensuite, les points à changer.

  • D'abord, les fautes! Non je rigole, je ne te tiens pas rigueur dessus, juste je t'encourage à toujours t'améliorer dans ce domaine.

  • Le manque d'air! Ton texte ressemble à un gros pavé. C'est dommage, car surtout dans un texte comme le tien, séparer les différentes idées ou développement en paragraphes permet une meilleure lecture. Essai donc de séparer tes éléments aux bons endroits.

  • Un peu plus de précisions quand aux personnages qui peuplent ce complexe auraient été les bienvenues. De plus, la fin nous laisse un peu trop dans le vague. Tu parles d'une nouvelle société mais sans l'expliciter plus que ça, c'est un peu dommage.

  • Enfin, l'utilisation de l'idéal grec est, à mon sens du moins, totalement injustifié. En effet les grecs cultivaient l'idée des castes et des hierarchies. Ils appréciaient d'avoir des esclaves et méprisaient les plus faibles (Voir Sparte). Bon, je dramatise un peu car les grecs ont aussi essayé une forme de démocratie mais je voulais te montrer que prendre à partie une forme de pensée pré-existante pour servir ton texte nécessite une connaissance quasi-parfaite de cette forme de pensée. Dans le cas contraire, elle dessert totalement ton idée. Donc, à revoir!


Pour tous les râleurs qui pensent que les sujets vastes sont inutiles, je suis en total désaccord. Lorsque j'ai pris Sb... comme élève, de quoi le connaissais-je? Presque rien, du coup le fait de lui demander quelque chose où il puisse montrer ses affinités me permet de voir ses failles et ses points forts. Dans le cas contraire, je nage dans le noir et j'avance à tâtons. En plus de cela, j'ai pour habitude de donner beacoup de travaux d'imagination à mes élèves car cela leur donne ensuite plus de facilité à imaginer. Comme tout, si l'on utilise pas son imagination elle reste lente et paresseuse, en la bousculant et en la sollicitant souvent on arrive à en faire sortir de bonnes choses fréquemment. Voilà, NA! Très Heureux
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