un inconnu à Calliope

Après un réveille difficile, une bonne dose de stress et un quart d'heure de course à pied Gybizze arriva à l'accueil de l'établissement.
"Bienvenu à la bibliothèque de Calliope. Que puis-je faire pour vous? "
Dit la vieille bique d'une voix monotone. Vous savez les vieille bique que l'on trouves à l'entre des bâtiments : maussade, molle, et insupportable, toutes les mêmes.
"Bonjour... je suis en retard... je viens remettre mon dossier d'abonnement... ffu"
Répondit le jeune homme tout en sueurs.
"J'avais remarque."
Elle saisi le tas de feuilles d'un mouvement sec.
"Merci. Bon voyons voir ça, Monsieur... Marchepenser..., vous avez 1 jour de retard sur la date limite, vous savez ?... Il ne manque rien, voici votre carte d'emprunt. Je vous rappel que vous ne pouvez emprunter plus de 3 ouvrages à la fois. "
Pendant toutes ces phrases elle n'avait pas levé les yeux du document administratif.

Gybisse pris sa carte, hocha la tête en guise de remerciement, mais la bique ne le regarder plus. Après une seconde d'hésitation il poursuivi son chemin dans la grande bibliothèque.
Pendant qu'il arpentait les raillons sens réel but, il se mit à rêvasser comme il lui arrive souvent :
"Mais où es que je suis encore tombé moi, je n'est aucun rôle (Play) à jouer ici, du moins pas temps que je ne me suis pas fait un place dans ce nouvel univers. Si tu veux te faire un nom t'a qu'à aller à l'académie certes tu n'écrit pas du Melicerte ou du Cassiopée mais c'est déjà ça."
Ah oui, il lui arrive aussi de se parler à lui même.
" C'est pas pour rien que t'es venu à Wilwarin, t'aurai fait quoi à Atalantë avec tes gribouillis à 3 franc 6 sous hein?"
Malheureusement, à force de se parler à sois même on fini par avoir des mimiques extérieur qui on tendance à attirer l'œil d'autrui. C'est pourquoi lorsque le rêveur revint à la réalité, pour s'apercevoir que tout le monde le regarder avec des yeux ronds, il décida qu'il avait remplis son cota de honte pour la journée et qu'il était temps pour lui de rentrer à la maison.
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Voila pour ma petite intro !
j'épit le forum depuis déjà quelques semaine alors j'avais envie de faire une entrer digne de se nom de se magnifique endroit. Par contre je ne sais pas si je participerai énormément. J'espère que la personne qui ma conseille de venir sur TA ma reconnu ^^.

Pour vous résumer(IRL) :
-j'ai 18 ans
-je suis plutôt du côte littéraire
-Pour le Rôle-Play on verra plus tard
-Je dessin mais rien d'extraordinaire
-j'ai 2 chat et je en suis un inconditionnelle des pastilles VICHI

Vichyyyy POWAAAA !

Hum.

Non non, je ne t'ai pas du tout reconnu.

(remarque, même sans les pastilles, je me doutais que c'était toi... un truc dans ta plume).

Chuis bien contente que te v'là !

Tu me dis, hein, si t'es paumé ou autres. Et concernant Atalantë, si tu en as l'envie, ça peut être l'occasion d'améliorer tes "gribouillages" (qui, dans mes souvenirs, sont bien sympathiques au demeurant).

Pis bon... viens faire un tour ICI ! Et plus vite que ça ! ^^



edit : chuis une triple andouille, j'avais pas fait le lien avec ton pseudo -_-'

Juché sur le dernier échelon de l'escabeau, tenant dans un équilibre des plus précaire sur ses minuscules pattes cagneuses, le gobelin acariâtre tentait d'attraper un volume au moins aussi gros que lui.

Faut-il être assez stupide pour ranger un tel manuscrit à cette hauteur ? Le bibliothécaire
de faction doit certainement être un crétin fini !

Alors que le frêle échafaudage menaçait de l'emporter vers l'étagère d'en face, le gobelin pris de panique, se jeta lestement sur le sommet du rayonnage. De là il put suivre discrètement les allées et venues du nouvel arrivant.

Ses grandes oreilles pointées vers la litanie monologuée de l'étrange personnage, lui confirmèrent la première impression qu'il en avait eu en le scrutant de haut :

"Encore un taré ! On fait décidément entrer n'importe qui dans cette bibliothèque... ça m'apprendra à vouloir descendre de mon clocher !"



Soit le bienvenu en Aelis, monsieur Gybisse, et prend garde à bien lisser ton orthographe sous peine de te voir taxer de gfx ! car souvent dans leur vice ils glissent et gisent et c'est supplice pour les mirisses. Alors fais y gaffe ou on te coupe les vibrisses !

dvb a écrit:

et prend garde à bien lisser ton orthographe sous peine de te voir taxer de gfx ! car souvent dans leur vice ils glissent et gisent et c'est supplice pour les mirisses. Alors fais y gaffe ou on te coupe les vibrisses ! [/color]

... dit le type en faisant une faute dans sa diatribe ! ;-)

Assis sur une chaise droite il ferme les yeux, il se concentre. Le boit racle contre le parquet. Il ouvre les yeux sur le future champ de bataille, cette plain bientôt sanglante, cette feuille vierge. Eclairé par une unique bougie il saisi son stylo : seul arme capable de lui accorder la victoire. Il n'a pas peur ses deux généraux sont à leurs place, Bescherelle à gauche et Dictionnaire à droite. C'est dans ces condition que notre preux chevalier se lance dans la bataille.
Clic ! "Dictée numéros 172. Difficulté : 6éme ... Dans le jardin de Marie il y a ..."
Après 1 h de combat acharné Gybizze s'arrête épuisé , cette fois c'est sûr il à vaincu !
Sûr de sois il tire d'un geste désinvolte la feuille de correction. Mais ses yeux n'ont même pas effleuré la premier ligne que le désespoir le submerge déjà et encore.
Un cri vengeur brise le silence de cette nuit sans lune.
"Dyslexie ! tu ne pais rien pour attendre! mais un jour je te vaincrai ! "
Des confettis de papier s'envole d'un balcon
les uns sont raturés de rouges et manuscrits
les autres sont d'un noire et blanc cruel
tape à la machine.
______
Pas besoin de m'étendre vous aurez comprit
je n'en fais pas une excuse, n'hésite pas à me relire.

Cordelia Melicerte a écrit:

dvb a écrit:

et prendS garde à bien lisser ton orthographe sous peine de te voir taxer de gfx ! car souvent dans leur vice ils glissent et gisent et c'est supplice pour les mirisses. Alors fais y gaffe ou on te coupe les vibrisses ! [/color]

... dit le type en faisant une faute dans sa diatribe ! ;-)

Bon euh ! impérieusement je tempère mon père hâtif, impérialement emporté dans cet impair rétif, car l'impératrice des tifs est triste devant un paradis d'ifs.


mè oqué je vé me fendre d'en la mass, histoirre 2 fair prophile bât, kom çà persone me relèvra. Enf1 si 1 peut cômme meme ^^