Nergal contemplait du haut d’un immeuble délabré les ruines de la ville environnante. Rien de plus jubilatoire que de contempler son œuvre après une journée de travail. Il aimé son métier, et c’est avec joie qu’il avait accepté cet emplois.
Destructeur de monde.
Nergal posa son regard sur les tours qui se dressait à l’horizon. Il savait que la bas l’attendais un nouveau combat. D’une pensée il s’éleva dans les airs et se dirigea vers son prochain terrain de jeu.
Désastre, carnage et chaos, étaient le nom de ses enfants, et discorde était son frère.
Il surplombait maintenant les cadavres des grattes ciels qui le défié encore quelque seconde plus tôt. Comment auraient-ils put résister à ses assauts mentaux.
Encore un autre monde qu’il venait de détruire pour le compte de son employeur. De nouvelles vies brusquement stoppé. Il avait balayé toutes les beautés de ce monde pour en retirer son essence même, l’essence de tous les mondes, la folie.
Pour lui cette journée n’avait rien d’anormale, semblable à toutes les autres.
Alors qu’il venait juste d’en finir avec cette planète, son chef lui donna mentalement l’ordre de briser toute vie en Ter Aelis, une planète ou une civilisation vivoté depuis maintenant trop longtemps. Cette planète n’avait rien fait à son maître, mais il n’aimait pas qu’on puisse devenir aussi puissant que lui. Sans rien demander de plus, Nergal se propulsa dans l’espace, créant un gouffre béant à l’endroit ou il se trouvait, ajoutant encore à la destruction du monde. Il se dirigea parmi les étoiles et les lunes vers la dite planète.
Il n’avait pas peur, il n’avait en réalité jamais peur. Il se savait intouchable. Ses yeux blancs ne reflétaient aucun sentiment, et son visage en permanence dissimulé derrière un masque restait impassible, que cela soit à la plainte des mères qu’aux pleurs des enfants. Le temps ne signifiait rien pour lui tous se qui importait été le résultat. C’est perdu dans ses pensées qu’il arriva sur Aelis. Il se posa parmi les arbres près de deux grandes tours de verre et d’acier. Il apprit plus tard que le nom de cette citée été Belthil. Il s’écriât si fort qu’on l’entendit à l’autre bout de la planète :
« Je suis Nergal Kishar, Maître des Enfers et des Morts, dieu des mondes. Je ne suis la n’y pour vous soumettre, n’y pour vous dominer, mais pour vous exterminer. Rien ne sers de fuir, vous mourrez tous, tel est ma... » Il ne pu finir sa phrase, un cri de lamentation monta dans sa gorge, ses yeux se voilèrent de larme, et il tomba a genoux, perdu dans ses souvenirs. La beauté presque magique des lieux l’avait bouleversait. Il s’écroula en poussant plainte et gémissement. Son passé, celui qui avait disparu quand le maître avait pris possession de son corps lui revint. Il se vit jouer parmi les oiseaux, danser avec les plus belles des nymphes, chanter et réciter des poèmes. Il se vit, heureux et bienveillant, aidant ses amis et ses frères de plume. Tous ces moments perdu brisèrent la gangue de haine que le maître avait mis sur son cœur, et se cœur jadis dévasté redevint un. Alors l’homme qu’il été pu enfin refaire surface. Mais l’on n’efface pas en quelque seconde les blessures de centaines d’années passé à détruire des civilisations.
Autour de lui les habitants de la ville s’était rassemblé, sous leur regard étrange, il ne pu dire qu’une chose :
« Pardon ».
Bonjour, je me présente avec se petit rôle play, véridique histoire que vécut mon personnage en venant en ces lieux, je me prénomme Léo, né en 1992 (J’ai 18 ans pour ceux qui se demande…) dans la ville de Paris. Je vie aujourd’hui a Lyon, et je profite d’une fermeture de ma faculté pour écrire ce RP. Je viens en ces lieux attiré par la lumière qui s’en dégage et par la chaleur de son âtre. Mais aussi car j’ai une envie furieuse de vous comprendre (cf post de Talys). Je vais donc profiter de cette années ou je suis enfin seul (avec ma copine et sans mes parents quoi) pour améliorer aussi bien mon écriture que mon graphisme. Et voila donc réellement pourquoi je suis la… Comme vous le voyez mon discours et bien déstructuré et ne présente aucun plan, tangible ou irréel. Je suis ici pour perfectionner tant bien mon savoir absolu que relatif.
Amicalement votre. (Drôle de dame. Et autre Charles Ingals.)
Sur ceux, ce message semble fini…