Ayant des difficultés à continuer mon récit des aventures rocambolesques de Missac d'Angeloi pour des raisons diverses (principalement le manque d'inspiration : je n'arrive pas à trouver les mots qui traduisent mes idées) et ayant lu d'une traite l'ouvrage que Max Gallo a récemment consacré à la Révolution française, je me suis prit à rêver un peu...
Et si Robespierre n'avait pas péri le dix thermidor an II ? Et si les robespierristes avaient réussi à reprendre la main la nuit du neuf au dix ?
Comme j'ai une affection particulière pour Robespierre, personnage que j'ai toujours trouvé extrêmement fascinant, dont les idées me semblent les plus novatrices et révolutionnaires qui soient, dont les principes s'accordent parfaitement avec ma sensibilité et dont j'estime qu'il fut et est toujours injustement calomnié, je ne pouvais qu'en faire, à défaut du héros, le protagoniste principal de cette uchronie.
Je revisite l'histoire, donc.
Cette fois-ci, je vais faire très attention à ne publier de chapitre sur Ter Aelis qu'en ayant un autre d'avance. J'en ai écrit deux cette semaine, j'en ai donc posté un. J'en suis très satisfait. J'ai beau l'avoir lu et relu dans tous les sens, je ne vois rien à y changer, dans le style comme dans le propos. Vous comprenez donc combien il est urgent que des lecteurs m'assènent critiques et commentaires, histoire de me faire revenir sur Terre et pointer du doigt les inévitables imperfections du récit.
Je compte sur vous.