Il est une pratique quasi religieuse a laquelle tous les hommes de tous les mondes connus s'adonnent, avec une régularité surprenante et manière quotidienne quel que soit leur occupation, leur préoccupations ou leurs rang social. Cette pratique consiste simplement à chercher un réconfort matériel ou spirituel après un dur et/ou long et/ou intense labeur.
Ainsi Joe, au coin du bar, savourais son demi.
Joe était un homme stressé, méthodique, méticuleux, procédurier, paranoïaque, et soufrant d'un complexe d'infériorité envers ses supérieurs , bref un cas "intéressant" selon l'avis de son voisin psychanalyste mais Joe pensais que c'est en parti grâce a ces défauts qu'il avais récemment accédé au grade d'adjoint au sous chef de la sécurité de l'équipe de nuit d'un des plus grands terminal du spaciport de la ville.
Joe, au coin du bar savourais son demis. Il était 7 H 23 du matin et bientôt il rentrerait chez lui ce coucher. Autant le terminal était son monde, la ou il était la loi; autant ici, le bar "chez bob" était son jardin secret, l'antichambre de la quiétude bienfaisante du sommeil. Et ici, chose rare, il ce permettait de baisser un instant sa garde le temps de savourer un demis chaque matin.
Au terminal il aurais détaillé les comportement les attitudes des un et des autres pour en comprendre le plus possible et toujours avoir une longueur d'avance sur "l'ennemi" mais ici il ne remarqua même pas l'air réprobateur de la veille grand mère qui sermonnais son petit fils sur les méfaits de l'alcool en désignant Joe d'un regard noir.
Puis soudain l'homme entra.
Joe ne pouvais pas dire pourquoi mais son naturel de bête traqué ... NoN de prédateur ... DE Prédateur, avais soudainement repris le dessus. Du coin de l'oeil il scruta l'homme.
Il portait un long manteau de laine noire délavé et effiloché, ou on pouvais voir de nombreuses traces de graisse.
Ces cheveux longs semblaient sortir d'un four a micro-ondes et même être un peu brûlés sur les bords.
Un Clandestin !
Ils ce cachent souvent dans les compartiments mécaniques des navettes de transport civiles mais rares sont ceux qui survivent au voyage dans les parties des navettes considères comme non habitables. Et même dans ce cas ils sont repêchées a l'arrivée par les équipes de Joe qui les renvoient a leur destination d'origine.
Pourtant il était la ... en dehors du terminal et il entrait dans le bar, dans SON bar ... il aurais pas pu en choisir un autre?
En sentant le sang monter a son visage Joe tenta de se calmer ... Si il était passé c'est qu'il y avais un coupable, un responsable, quelqu'un a blâmer ... il y a toujours quelqu'un a blâmer. Il devais pas ce laisser emporter, ce raccrocher a quelque chose ... la procédure. Pour blâmer quelqu'un il devais avoir des preuves et pour avoir des preuves il devais arrêter cet individu.
Clik. Le petit bruit du cran de sécurité de son arme ce perdit parmis les bavardages des clients du bar.
Joe marcha vers la porte d'entrée que l'homme était en train de fermer.
Puis il s'arrêta net en entendant bob, le patron s'exclamer en s'adressant a l'inconnu:
"Ber, l'ami, comment tu vas, sa faisais un bye au mois 4-5 ans? On ne t'attendais plus, Je t'ai a peine reconnu."
"6 ans et 3 mois Bob, j'ai fait un assez mauvais voyage, mon vieux vaisseau a plus ou moins rendu l'âme en cours de route et j'ai du le rafistoler moi même. Je suis dans un triste état mais je suis vivant. Et toi tu, n'a pas changé apparemment, j'ose espérer que tu garde une petite bouteille de whisky pour moi?"
"Pourquoi petite? C'est une grande ocasion."
Oubliant visiblement l'heure Bob monta la voix pour couvrir les bavardages de ces clients:
"J'offre une tournée générale de whisky en l'honneur de mon vieil amis Berynim qui viens selon ces dires viens encore une fois d'échapper a la mort."
Beaucoup de clients refusèrent poliment, d'autre optèrent pour l'Irish Coffee, une grand mère et son petit fils quittèrent l'enseigne sans laisser de pourboire ni sans cacher leur indignation et un agent de sécurité au terminal accepta volontiers un verre de whisky qu'il vida d'un trait.
"Vous, vous avez passé une nuit difficile." Joe ce souvenais encore de ce certain Berynim lui disant ces paroles, un verre de whisky a la main, puis après tout deviens flou, il n'arrive plus a recoler les bouts...
Depuis ce jour Joe n'a jamais demandé a bob ce qu'il a pu ce passer cette matinée et ce qu'est devenu son ami Berynim.
Et chaque matin, a 7 H 23 il commande a Bob un café crème.
Bon voila comme d'habitude quand je veut faire court je suis emporté par mon inspiration du moment...
Peu d'entre vous me connaissent. J'ai longtemps écris des RP pour ogame mais je les ais souvent réserves aux membres de mes alliances (mon pseudo sur ogame était Grand Emperator). J'ai connu Aëringor via le forum d'ogame mais je ne m'était pas inscris avant le forum de transition sur lequel j'ai un peu écris lancé quelques idées loufoques avant de disparaître aussi subitement que j'étais apparus.
Je suis dans une période de ma vie ou je suis amené a remettre en question constamment mon mode de vie, mon rythme bref je ne peut pas garantir que cela ne ce reproduira pas... Il est même probable que cela ce reproduise mais je ferais de mon possible pour mettre a profit le temps dont je dispose avec vous.
Je suis féru de littérature en général et j'admire déjà les talents d'écriveurs dont certains d'entre vous ont fait preuve je pense que j'ai beaucoup encore a apprendre dans ce domaine et qu'ici je pourrais progresser.
(Au passage il est utile de préciser que j'ai un talent inné pour les fautes d'orthographes)
J'aimerais aussi éventuellement me mettre au graphisme mais plus tard dans un second temps.
C'est ainsi que je me présente a vous, peuple de Ter Aelis. ( ah oui je suis mégalomane aussi ... je l'avais oublié sa ... )
Votre tout dévoué,
Berynim.
"Alors Ber ... tu prend quoi?"
Berynim regardais s'éloigner en titubant l'agent de sécurité, un homme qui avais faillit le menacer avec une arme, encore une fois. Heureusement, il l'avais senti, et il était intervenu ...
"Cuba Libre patron, Cuba Libre ..."