Du bruit dans la forge

Invité

J'erre tranquillement. Toujours. je vais ici mais aussi là.
Comme le vent me sert.
Aujourd'hui je n'ai plus de bois à brûler, ni de fer à forger.
Je cherche donc. Je cherche ici mais aussi là. Comme le temps me pousse.
Aujourd'hui je viens me réfugier ici. Il pleut dehors. C'est triste.
Finalement je veux trouver. Trouver la foudre et l'orage qui me rendront ma forge. Mon esprit.
J'aime l'orage, il met en valeur les gouttelettes de pluie.

Bonsoir à tous

Bonsoir !
Bienvenu en ce lieu Heureux

Il faut avoir erré un temps. Avant de se poser. Ici ou là, mais ici c'est là.
Le vent est toujours le meilleur compagnon.
Ici nous avons des forges chantantes par mille voix entretenues.
Joins ton souffle au nôtre pour soutenir la flamme de nos créateurs.
Ici il fait chaud. Il fait chaud au coeur.
L'orage est dans nos gorges et nous le crions au monde.

Bienvenue !

Invité

Ma flamme, simple braise ardente, ne demande qu'à s’allier à une étincelle pour embraser un bucher d'idée confuse. Le monde.

Il me tarde de visiter vos forges. Elles seront entretenues comme il se doit. Je me fabriquerai un nouveau marteau comme un nouveau souffle pour assommer, créer, penser, oser, revendiquer, hurler, négocier.

Votre monde semble vaste dame Cordelia. Je serais heureux de trouver un chemin vers une forge rutilante et hurlante, pleine de métal et prête à accoucher moult désirs.

Merci pour votre accueil mesdemoiselles.

Nombre de messages : 2050 Age : 27 Date d'inscription : 07/02/2008

Pourquoi est-ce que tout les noivueaux font une présentation genre ils échouent sur TA genre après de longs mois d’errance, toussah...

Cependant, hurle donc dans nos bibliothèques ou bien crée dans les ateliers !

Et pis bienvenue aussi. Très Heureux

Tiens, t'aimes l'orage. C'est pas important, mais tu montes haut dans mon estime.

La bienvenue ici.

Invité

Mes cris résonneront dans quelques pas et les tiens aussi.

Échouer. Échouer. Je ne crois pas avoir sombrer ici. Je ne me suis pas encore pris les pieds sur une pierre non plus. J'ajouterais que je ne suis pas arrivé par hasard non plus. Drôle.

Merci a vous deux
A bientôt

Egorann a écrit:: Pourquoi est-ce que tout les noivueaux font une présentation genre ils échouent sur TA genre après de longs mois d’errance, toussah...

Cependant, hurle donc dans nos bibliothèques ou bien crée dans les ateliers !

Et pis bienvenue aussi.

J'avoue... Faut croire que les panneaux d'autoroute sont un peu effacés. : )

Sois le bienvenu ici, forgeron de la foudre.
Si tes outils manient plus docilement les mots, ton repère est du côté de Wilvarin.
S'ils forgent aussi l'image, je t'invite à visiter Atalantë.
Quant au rôlisme, il est enluminé de vert un peu partout dans ces contrées.
Bonne route ici.

Tiens, tu me rappelles le script qu'avais écrit un ami...

Bienvenue à toi.

Si tu as besoin d'aide dans ces contrées, n'hésite pas à demander.

Le hasard est un jeu que seuls certaines personnes ont le bonheur de maitriser. Parfois on le maudit, et d'autre on le bénit. Quoi qu'il en soit il en reste presque toujours insaisissable... Les pauvres mains humaines ne sont guère faites pour l'accueillir, leur instinct étant trop primaire.

...

Pardon, je m'égare. Enchantée de vous rencontrer Dieu des forges intemporelles. Veuillez considérer ce pays comme le votre, et ses habitants comme des frères. Méfier seulement de l'ambiance électrique du moment, il semblerait que certains clans ce soient formés et qu'une guerre est imminente...

L'ange que je suis ne peut que vous souhaiter bonheur et inspiration dans ce lieu bénit par la création. Bonne route.

Les Forges ont goûté à l'orage, et les gorges ont crié grâce quand le feu est monté jusque dans ton coeur, allumer foudre, allumer ciel, et s'endormir dans un coin d'âtre.

Effacé par la pluie, je t'observe encore, qui dandine entre pierre et métaux, a dessiner l'horizon d'une peau de cuivre et de fer.

Sous ton marteau, ton coeur bat-il?

< Bienvenu >

Invité

Smirtnoff, ton nom n'est pas sans me rappeler une marque où le rouge et le blanc sont amis pour le meilleur. Merci pour la boussole simplifiée.

Elle passe, s'arrête et puis me parle. J'acquiesce le hasard est futile et fragile.
-Merci belle âme. La route s'ouvre devant moi.

Quelques pas boiteux plus loin celui qui brûle rencontre une ligne sinueuse se présente, lui adresse un sourire. Mon marteau, usé mais solide sur l'épaule. Je m'arrête, pose bruyamment mon compagnon sans pour autant le lâcher.
- Mon cœur s'embrase autant que les feux de ma forge.

Il était forgé de chair que la flamme avait durcie.
Il était trempé jusqu’en son sein d’une lame noircie
Par les ans qui lui avait broyé l’envie et tous les vices.
Il attendait que brûle à nouveau le feu en cette Ter Aelis
Et de crier au vent sa rage où tonnaient les roulis de colère
Autant que ses éclats tempêtant bien au-delà des mers

Cassiopée te salue bien forgeron ! Réveille le silence. Qu'il gronde de tous côtés ! et n'hésite pas à donner de la voix si jamais tu te perds.

un éclair

jet de lumière, reflet d'argent vif dans la chaleur d'un souterrain. Lame éclatante, saisie par le feu et trempée par la main du dieu, levée, prête à braver les Temps.

un grondement de tonnerre

choc du marteau sur l'enclume, façonnant les armes des Titans. Bruit infernal, tellurique surgissant des Âges et menaçant le Cosmos.

une lueur rouge et brûlante

le Volcan jamais apaisé, bouillonnant et rugissant dans les arcanes chthoniennes, prêt à vomir la rage sur les Antiques Nations

Au loin le vieux volcan hurla. Oublié depuis des lustres, jamais les héros ou les habitants ne l'avaient vu si menaçant. La montagne trembla au loin, l'épaisse fumée s'éleva haut dans l'azur.

Le gobelin, juché sur son clocher, l'air plus intrigué qu'inquiet, scrutait pensivement l'horizon et ses arrêtes ébranlées.

Tiens ! vlà du nouveau !

Invité

Le maitre du métal et du feu commence à connaître les environs.
L'endroit et l'envers d'une nouvelle mine à mettre à jour se profile.

L'horizon rougeoyant dévoile deux nouvelles personnes venues souhaiter la bienvenue au maître d'œuvre. Son tablier de cuir, aussi jeune que lui, réajuster, il leur lance un bonjour simple et bienveillant.

Il a désormais hâte de se mettre au travail dans une nouvelle forge.

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