38 – JOS3PHIN8

texte en cours de réécriture

Nombre de messages : 49 Age : 30 Date d'inscription : 22/02/2010

Oh, l'ambiance des lotos ruraux... C'est exactement ça ! Ne manquent que les gosses qui sont les seuls à afficher leur ennui en courant dans tous les sens Tire la Langue

Et après aussi, on s'y croit. On déprime en accompagnant Joséphine dans sa vie quotidienne, on est heureux avec elle de prendre sa revanche sur la routine, et surtout, on espère le miracle à la roulette, summum d'une fin haletante. Puis on imagine la suite.

J'ai adoré.

Ah! Tu as bien fait d'exprimer tes regrets dans les courants d'air. Suite à cet écho du vent, je suis allée lire ce texte long que j'avais laissé de côté. Et c'est sans regret.
Des scènes de vie filmées de l'intérieur d'un même personnage, Joséphine.
Dans toutes ces scènes, tu y décris les combats internes, souvent inconscients, entre rêve et réalité. Tu dépeints le malaise de cette femme qui voudrait une autre vie, mais subit la sienne.
La place du jeu dans ce panorama de situations est importante, comme s'il était un véhicule au rêve. Un moyen de rêver.

Tu as su mettre en valeur la position de Joséphine, femme banale s'il en est, par un langage clair et très facilement lisible.
Un excellent texte, ou plutôt, une excellente mosaïque de textes où tous les morceaux s'assemblent sans problème.

Wooh ! petite fierté avec ce premier texte publié chez les voisins ^^

http://www.oniris.be/nouvelle/dvb-jos3phin8-2912.html

Un petit bémol, ici. Si le fond et le sujet sont, à nouveau, très intéressants, le style est plus lent et, ainsi, l'histoire perd ce dynamisme que tu sais si bien insuffler dans tes textes. J'aime néanmoins cette manière que Joséphine à de vouloir se rattacher aux coïncidences et tenter de donner une dimension supplémentaire à son existence via cette affinité avec le nombre 38 qui lui confèrerait un pouvoir/une force supplémentaire. On essaye de croire en ce que l'on peut... Un personnage assez attachant, par ailleurs, représentatif de bien des gens tant par son passé que par sa mentalité, ce qui renforce encore le réalisme de ton histoire.

PS : J'adore la chute. Dommage que le texte sur Orinis n'ait pas l'image - je ne l'ai pas vu en tout cas. Je ne savais pas que les roulettes n'avaient que 36 numéros, pour ma part !