Goémonier coruscant

Goémonier coruscant aspire l'argonaute

Le beat résonne au-delà de la montagne à cheval édulcorée et lyophilisée et momentanée
enivre tes vêtements de souffre d'eurodéputé du son plastifié du bracelet coupé
Par ici, part là
Pare toi
Paroi
Baroque
Barman
mannequin
quinté soustrait du montant de la fraise sonotone monotone tonnelle cependant néerlandaise

toi qui ramasse cette salade verte sur le croquant blé de roche
lui qui accroche la clef au mur quand la balade alerte se casse
vous qui à Caen iodlez l'Iliade il appert que les hures se fassent en broches

Il convient alors de se demander si nous sommes tous prêts à devenir des benthos
Mouais, susurre la chaussure
Carabiné, tambourine la douche publique
Trop de dico sans s, persiste le déchu mais non moins enjoué des mains nénufar en recevant son test pH
Pourquoi pas, clavicule le bulbe rachidien (de Jacques) et il poursuit sous la férule (de Jacques) : toutefois, uniquement si le méridien a nettoyé ses plaques noires propres à rendre impropre le dur travail du goémonier.
Mange ton kiwi, rétorqua le marin d'eau mi-salé, mi-douce, mi-volcanique, mis en bouteille là-bas sur la montagne à cheval et sur sa sœur vallée du poney et sur sa grande-sœur la dune licorne

Au demeurant (4 rue de la piscine à Glénan au fond à droite et en haut à la cave du haut qui s'appelle grenier avec la trappe pratique dans le plafond pour monter), l'homme fluorescent crève deux mille six (cent douze francs suisses) iris avec son bâton à pointe trop classe de nettoyage foliacé.

Ramassons, ramasseurs. Les légumes murs s'étendent et se prélassent au soleil l'accueillant avec une banane singeant la béatitude à travers son muscle étiré sur la face

Les perruques marines, perroquets de l'odeur, sous l'empire de la drogue saline assaillent les sens et cent dessus dessous sent le cens. Sus aux sous ! Soupire le peer to peer soupe au lait saupoudrant la soucoupe de la raison infidèle. Raison infidèle car les prétendus détenteurs de la logique et du bon sens subissent un adultère sans fin, mérité qui plus est. Ils sont trompés dans ce qu'ils pensent détenir, leurs mains n'emprisonnent que du goëmon, coruscant d'idiotie, phare de leur syndrome du moutonisme qui vient tranquillement brouter et s'empoisonner sur les plages oblongues et émeraudes.

Le blanc mouton (comment est votre blanquette ? ) avale facilement ce qu'il déniche au sol, il festoie. Il lui suffit de ce carré sablé les rochers électrifiés l'entourant sont beaucoup trop haut pour ce pauvre petit mouton qui finira noyé, au plus grand plaisir du crabe, par le grand abreuvoir mouvant.

Délire complètement assumé, je suppose. Ecriture automatique. Ca donne à sourire, il y a un effort, un jeu dans l'enchainement, dans la mélodie. Des images bien trouvées.
Je me suis laissée porter et J'ai rien compris c'est grave docteur?