Ma mie

l'image de toi nue
est un aphrodisiaque
laisse mon âme déchue
dont l'amour est intacte

ta nuque du bout des doigts
laisse moi la touché
te prendre dans mes bras
serai inespéré

si blanche et si fragile
ta peau lisse je caresse
tes seins pointes, si dociles,
ainsi frémisses tes fesses.

Ma mie si belle si femme
serai ce un péché?
que nos âmes se condamnes
ensemble, l'éternité.

aikoh a écrit:

L'image de toi nue
Est un aphrodisiaque
Laisse mon âme déchue
Dont l'amour est intact

Ta nuque du bout des doigts
Laisse moi la toucher
Te prendre dans mes bras
Serait inespéré

Si blanche et si fragile
Ta peau lisse je caresse
Tes seins pointent, si dociles,
Ainsi frémisses tes fesses.

Ma mie, si belle, si femme
Serait-ce un péché ?
Que nos âmes se condamnent
Ensemble, l'éternité.

Voici pour les quelques fautes qui émaillent ton texte. Rien de bien méchant, surtout des fautes d'inattention. Tu peux les corriger si tu en trouves l'envie.

A mon sens, un texte écrit sans fautes gagne en intérêt, en beauté. Ton texte tel que tu nous l'offres n'est pas inintéressant, je l'ai lu avec plaisir mais il gagnerait à être corrigé.

Les majuscules que j'ai rajouté à chaque début de ligne sont une convention poétique, chaque vers commence ainsi. Pour ce qui est de tes rimes -car tu sembles avoir voulu écrire en rime-, elles sont pour la plupart pauvres voire tirées par les cheveux.

J'en prend pour exemple :

Citation :

L'image de toi nue
Est un aphrodisiaque => son "ak"
Laisse mon âme déchue
Dont l'amour est intact => son "akt"

Par contre, j'ai beaucoup apprécié certaines sonorités comme par exemple l'allitération en S qui commence à la deuxième strophe et se poursuit jusqu'à la fin. C'est très agréable à l'oreille.
On croit entendre une confession chuchotée à l'oreille, un murmure qui avoue une passion cachée.

Dans ce sens là et malgré des choses à retravailler, ton poème est réussi.

Je suis pas mal ce qu'a dit Erli', le début est fastidieux, les rimes pas si réussies, comme si tu essayais maladroitement de suivre le schéma des poéses, lui même cliché et qui ne t'apporte rien.
Les deux dernières strophes sont plus réussies et sauvent le poème en quelque sorte.

Par contre vraiment les fautes c'est rhédibitoire, ça donne envie direct de lacher le texte. Fais gaffe.