Compagnard en plein complies

L'accompagnateur poursuit son accomplissement en faisant un acompte illégal dans les catacombes. Il s'en suit un combat plus loin dans une combe stérile et foisonnante de verdure. S'y échoue un playmobil invertébré qui s'interroge :

« Combien de combinaison le combinard appartenant à un combinat, peut-il combiner le combisme afin de combler la combrière ? » Glapit-il en profitant de sa combustion spontanée.

Le doute installé, nous passons sur ces événements capitaux. Compacité est compagne. Tandis que Comparable comparaît en tant que comparatiste comparse, coupable du compartimentage ayant entraîné la comparution d'un compas bicéphale et argenté, s'il vous plaît.

Devant le juge punk à chien de la rue St-Jacqueschirac-de-Compostelle, est compassée la compassion compatible du compatriote compendieux. Apache maritime aux mille scalps.

« Compénétrons les compensateurs, chers compères » argumente-t-il dans sa harangue. De son haleine de hareng, en ressort la compétence de compiler quelques complaintes » subjuguant l'audience captivée par leurs androïds r2d2 dernière génération.
« Il est de complaisance qui se perdent. Complantons ! Ajoute le compendieux, complantons à la recherche du parfait choux de Bruxelles. Celui-ci se trouve et se retrouve également dans la complémentarité et la complexité complice du piment brun. »

Un compliment pour certains, même s'il est compliqué de comploter, surtout lorsque la componction pointe le bout de son spectre spaghetti. Composante du compost théocratique. Compote compréhensible du discours théologique.

« Une compresse et au lit. », disait le curé. Compromettant discours que voilà, auquel s'ajoute le comptable public. Qui liste : compte-gouttes, compte rendu et compte-tours. Pourtant il aime chanter des comptines franc-comtoises. Mais sa préférée est celle de ce gyrocompas inaccompli, jeune et vieux, chauve et chevelu. Incommensurable et incommodant. Il est triste parfois lorsqu'il est incompris et laissé-pour-compte ; non-comparant il n'est pas. Alors il mange la photocomposeuse, passe en mode postcombustion et se transforme en ce qu'il a toujours désiré : en radiocompas et se fait acquitter.

Fin finale et de la première moitié inégale.

Mike001 a écrit:: Fin finale et de la première moitié inégale.

Disparition de la disparité disparate !

Je dis dix jedis du jeudi jetant l'ail, je dédie (ou médis) cette débile adéquation au susdit diplômé ès-dadadisme diffracté et dégingandé.

Ceci dit, vers midi, le dies irae mède et méridional, ding-dongue du lundi au samedi.

Dandy endimanché et désuet d'il y a cent dix décades, ce sugar daddy délétère divague et dilue sa dune et sa dime.

Sa digue, sadique plus que Zadig et Voltaire, dilettante et diligentée, dodeline.

Quel inédit édit que ce délicieux délit !

Pardi ! Tout n'est que on-dit, ondines et... on dîne quand ? Une sardine d'ici dissoute à dix sous, ça te dit ?

» Laylouch' zaventures des loups sephyriens [Lay et Seph vs plein de monstres]