[Aeringor] Sur le flanc de la montagne...

Posté a Aeringor le dimanche 22 avril.

Assise sur un flanc de la montagne, je regarde, émerveillée, la vue qui s’étant a moi. Des arbres magnifique, chacun d’un vert différent, forment une forêt très danse. Un petit peu plus loin, se dresse un énorme caillou blanc qui surplombe un lac d’un bleu saphir où nagent quelques canards au cou vert, accompagnés de leurs femelles, et de leurs petits. La berge est recouverte d’un sable blanc laiteux et de quelque galet gris. Un peu plus loin, les montagnes reprennent grises et blanches, encore ce blanc laiteux qui semble faire ressortir les autres couleurs. Je halète devant la beauté du paysage, la main posée sur ma poitrine. Essayant de reprendre une respiration normale, je tourne légèrement la tête et aperçoit une bande d’animaux. En regardant de plus près, j’aperçois une meute de loup. J’essaye de me ressaisir mais je suis parcourue de frisson. Les poings serrés, le souffle court, je ferme les yeux un moment. J’ai peur que, si j’émet le moindre bruit, tout ce merveilleux spectacle ne s’effondre. J’ai l’impression que si je bouge le moindre muscle, le rocher blanc tombera sur le lac. Que l’air perdra sa pureté naturelle parfumée au senteur des bois, et que les loups commenceront a hurler à la mort. Je me retourne, et la, dans le ciel, un magnifique aigle s’apprête a fondre sur un louveteau. Je me plaque les mains contre le visage et, quand je les rouvre l’aigle n’est plus qu’un point noir au loin et le bébé loup a disparut du sol. La peur m’envahie un instant, puis se dissipe. Même un aigle royal ne s’en pas au humain, sauf s’il fait du mal a son petit, et je n’ai rien fait. Tout a coup, je me demande l’heure. Je n’ai pas de montre sur moi, mais le temps ici semble n’avoir aucune importance. Je me relève doucement, m’apprête a partir, mais, la montagne me faisant avoir beaucoup d’émotion, je me rassie. Une musaraigne passe devant moi, j’entends un cri lointain, je le devine sortir du bec de l’aigle. Il va bientôt repartir en chasse de nourriture. Je m’appuie sur un rocher, et épuisée par tous les sentiments éprouvés au court de la journée, je m’endors presque immédiatement.

Voilà bientôt un an que ce texte a été écrit.
Une relecture t'aurait sans doute permis de corriger des fautes de "jeunesse", comme celles-ci :

Posté a Aeringor le dimanche 22 avril.

Assise sur un flanc de la montagne, je regarde, émerveillée, la vue qui s’étend devant moi. Des arbres magnifiques, chacun d’un vert différent, forment une forêt très dense. Un petit peu plus loin, se dresse un énorme caillou blanc qui surplombe un lac d’un bleu saphir où nagent quelques canards au cou vert, accompagnés de leurs femelles, et de leurs petits. La berge est recouverte d’un sable blanc laiteux et de quelques galets gris. Un peu plus loin, les montagnes reprennent ,grises et blanches, encore ce blanc laiteux qui semble faire ressortir les autres couleurs. Je halète devant la beauté du paysage, la main posée sur ma poitrine. Essayant de reprendre une respiration normale, je tourne légèrement la tête et aperçois une bande d’animaux. En regardant de plus près, j’aperçois une meute de loup. J’essaye de me ressaisir mais je suis parcourue de frisson. Les poings serrés, le souffle court, je ferme les yeux un moment. J’ai peur que, si j’émets le moindre bruit, tout ce merveilleux spectacle ne s’effondre. J’ai l’impression que si je bouge le moindre muscle, le rocher blanc tombera sur le lac. Que l’air perdra sa pureté naturelle parfumée aux senteurs des bois, et que les loups commenceront a hurler à la mort. Je me retourne, et là, dans le ciel, un magnifique aigle s’apprête à fondre sur un louveteau. Je me plaque les mains contre le visage et, quand je les rouvre l’aigle n’est plus qu’un point noir au loin et le bébé loup a disparu du sol. La peur m’ envahit un instant, puis se dissipe. Même un aigle royal ne s’en pas au humain, sauf s’il fait du mal a son petit, et je n’ai rien fait. Tout a coup, je me demande l’heure. Je n’ai pas de montre sur moi, mais le temps ici semble n’avoir aucune importance. Je me relève doucement, m’apprête a partir, mais, la montagne me faisant avoir beaucoup d’émotions, je me rassoie. Une musaraigne passe devant moi, j’entends un cri lointain, je le devine sortir du bec de l’aigle. Il va bientôt repartir en chasse de nourriture. Je m’appuie sur un rocher, et épuisée par tous les sentiments éprouvés au cours de la journée, je m’endors presque immédiatement.

Changerais tu ce qui est en bleu aujourd'hui ??

Ceci étant, le texte ,en lui même, laisse entrevoir une imagination débordante et je prendrais soin de bien lire ce que tu vas continuer à "poster".

Désolée, c'était un devoir pour Silissia...

Tentative donc de correction:

Assise sur le flanc de la montagne, je regarde, émerveillée, la vue qui s’étend devant moi. Des arbres magnifiques, chacun d’un vert différent, forment une forêt très dense. Un petit peu plus loin, se dresse un énorme rocher (je ne vois pas la faute…) blanc qui surplombe un lac d’un bleu saphir où nagent quelques canards au cou vert, accompagnés de leurs femelles, et de leurs petits. La berge est recouverte d’un sable blanc laiteux et de quelques galets gris. Un peu plus loin, les montagnes reprennent, grises et blanches, encore ce blanc laiteux qui semble faire ressortir les autres couleurs. Je halète devant la beauté du paysage, la main posée sur ma poitrine. Essayant de reprendre une respiration normale, je tourne légèrement la tête et aperçois une bande d’animaux. En regardant de plus près (quelle faute ?), j’aperçois une meute de loup. J’essaye de me ressaisir mais je suis parcourue de frisson. Les poings serrés, le souffle court, je ferme les yeux un moment. J’ai peur que, si j’émets le moindre bruit, tout ce merveilleux spectacle ne s’effondre. J’ai l’impression que si je bouge le moindre muscle, le rocher blanc tombera sûr le lac. Que l’air perdra sa pureté naturelle parfumée aux senteurs des bois, et que les loups commenceront a hurler à la mort. Je me retourne, et là, dans le ciel, un magnifique aigle s’apprête à fondre sur un louveteau. Je plaque mes mains contre mon visage et, quand je les rouvre l’aigle n’est plus qu’un point noir au loin et le bébé loup a disparu de la terre. La peur m’envahit un instant, puis se dissipe. Même un aigle royal ne s’en prend pas aux humains (faute d’inattention.), sauf s’il fait du mal a son petit, et je n’ai rien fait. Tout a coup, je me demande l’heure. (Quelle faute ?). Je n’ai pas de montre sur moi, mais le temps ici semble n’avoir aucune importance. Je me relève doucement, m’apprête a partir, mais, la montagne me faisant avoir beaucoup d’émotions, je me rassoie. Une musaraigne passe devant moi, j’entends un cri lointain, je le devine sortir du bec de l’aigle (Pas vu la faute). Il va bientôt repartir en chasse de proies. Je m’appuie sur un rocher, et épuisée par tous les sentiments éprouvés au cours de la journée, je m’endors presque immédiatement.

Il y a certaines fautes que je n'ai pas comprises.