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 <Ramalok>[devoir n°1]{Ominoe}

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Ramalok




Masculin Nombre de messages : 168
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Date d'inscription : 24/11/2007

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MessageSujet: <Ramalok>[devoir n°1]{Ominoe}   <Ramalok>[devoir n°1]{Ominoe} Icon_minitimeSam 24 Nov - 22:05

Sujet : Le sujet est libre




Le soleil illuminait le ciel. Les oiseaux chantaient, les mâles de toutes races faisaient leur cour (cours) à u]leurs[/u] demoiselles. plutôt mettre "la cour" pour éviter la répétition L’herbe verte et grasse reflétait, grâce à la rosée du matin, les rayons du soleil. "rayons de l'astre du jour" ou tout simplement "les rayons du jour" ou "du matin" ou "de l'après-midi" suivant le moment auquel ça se passe...

Une troupe marchait au milieu de cette mer verte.
Elle traversait ainsi le "ainsi" es inutile, il ne précise rien du tout et alourdit la phrase sans s’arrêter cette immensitée. Une fois arrivé à la l’orée de la forêt, le capitaine dit : verbe correct, certes, mais très basique et qui ne permet pas d'imaginer comment cela se passe... doù l'utilité d'un vocabulaire plus spécifique


-Maintenant plus de bruit jusqu’à ce que nous ayons traversé la forêt ! Et pour lui-même, je ne voudrais pas que ces pillards, dont j’ai entendu parler dans le dernier village, nous tombent dessus.

Le grincement de la charrette reprit quand la troupe se remit en route mais toutes voix c’étaient tues ça se dit pas ça, garde une construction simple et logique "mais toutes les voix s'étaient tues" ou mieux "toutes les conversations s'étaient tues"... autre possibilité insister plutôt sur le silence que l'absence de bruit "se remit en route dans le plus grand silence" . La forêt engloutit les voyageurs heu on parle d'hommes en arme... c'est peut-être un peu plus que des voyageurs.... L’air devint lourd et humide. Les oiseaux ne chantaient plus et
les minces rayons de soleil qui transperçaient le toit vert éclairaient avec difficultés la troupe.


Le capitaine qui menait le groupe ah le vocabulaire varie un peu, c'est bien empruntait un sentier de terre. Un craquement sonore déchira le silence. Par réflexe le capitaine dégaina son épée. La sueur perlait sur tous les visages. Le cœur du capitaine tambourinait si fort qu’on aurait dit qu’il voulait s’extraire de la poitrine. Le bruit venait de devant eux. Le capitaine chuchota à ses hommes : des efforts pour retranscrire une emotion... peut-être exagéré un peu de trop, mais bonne intention

-En formation.

Les soldats encerclèrent connotation agressive dans le mot, j'aurais plutôt mis "entourer" la charrette et des deux marchands. Le capitaine alluma une torche, couper la phrase ici, trop long et peu élégant sinon cela était dangereux il le savait mais si jamais on avait voulu les tués INFINITIF se ce serais serait déjà fait. Il enflamma une flèche de son carquois et tira dans la direction de l’émission sonore. La flèche décrivit une courbe et vint se planter dans une branche pourrie.

Tous les voyageurs voyageurs à nouveau inappropré, les voyageurs c'est les campeurs du bord de plage poussèrent un soupir de
soulagement. Le capitaine se retourna vers ses hommes.


Une flèche lui frôla l’oreille et vint se planter dans la charrette. Le capitaine blêmi de peur.

-Tous le monde à cheval, cria-t-il.

Les chevaux hennissaient de peur. Quand les soldats et les deux marchands sur la charrette, qui ont récit au passé détaché les chevaux de cette même charrette, furent sur leur cheval. Les chevaux des soldats se cabrèrent mais les soldats, cavaliers aguerris, ne tombèrent pas. A oubier les deux dernières phrases, totalement incohérent, construit n'importe comment et pas français... pense à mattre toujours une proposition principale sinon ça va pas Tout le groupe parti au gallot galop à travers la forêt.

Les flèches sifflaient autour d’eux. Un cor sonna puis un autre lui répondit.

... sans dégats ? ils faisaient des cibles faciles quand ils montaient sur leurs canassons...

-Mince ils vont nous encercler. Plus vite ! Plus vite !

Un des marchands se fit faucher par deux flèches. Les soldats à cheval tiraient autant qu’ils le pouvaient mais sans précision, ils devinaient juste les tireurs embusqués. Un lancier reçut un trait dans la cuisse et un autre faucha le casque d’un soldat.

*-Miracle*, pensa-t-il

... effectivement...

Les voyageurs chevauchèrent bride abattue sous les flèches. ben dis donc ce qu'ils se prenent... un suel dieu suffit-il ? Le capitaine commençait à apercevoir la fin de la forêt. Entre temps le déluge de flèches s’était arrêté.

-Aller ! Plus que quelques mètres et nous sommes sauvés! Cria-t-il

C’était sans compter les flèches enflammées qui commencèrent à pleuvoir. Une pluie de flamme s’abattit sur la troupe. Plusieurs d’entre eux tombèrent de cheval brûlés vifs.

*-plus que deux rangées d’arbres !* Pensa-t-il

Un forêt bien entretenue ça... si seulement on avait des arbres alignés partout, ça serait pratique pour juer au morpion sur les images satellite...Sérieux, là, expression énorme qui vaut bien le "forêt vierge et bien nettoyée" de Madame Bovary certes subtil donc, mais comique donc inapprorié ici...

Ils débouchèrent sur une plaine où se dressait une ville fortifiée. Leurs poursuivants les avaient lâchés une fois sorti de la forêt. Je dirais pas qu'ils les ont tenus à un moment ou un autre, ils n'ont même pas tentés de les arrêter...
Heu sinon des traquenards comme ça à 500 mètres d'une place forte ?

La ville était entourée d’une muraille blanche de plusieurs mètres de haut.

La cloche sonna en ville, les guetteurs devaient les avoir aperçus. Des soldats se postèrent sur les murs de la ville. Les portes de bronze s’ouvrirent
lourdement, tout le monde pénétra au gallot galop... et sinon un peu rapide là peut-être....


Le capitaine descendit de cheval et voulu regarder le dernier marchand mais quand il posa ses yeux sur le marchand il le découvrit avec une flèche entrant dans le thorax et ressortant dans le dos.

Le capitaine pensa :
*-Heureusement que nous avons été payé avant le voyage*

Le capitaine en faction de la garnison de la ville vint à leur rencontre.

-Vous allez bien, Toblàs ? dit-il en donnant l’accolade à son ami qu’il avait reconnu.

Question pertinente, en effet... tout indique qu'il et de retour d'une plaisante garden-party...
Je rappelle que le dernier cavalier est à l'état de cadavre...

-Oui, mais pourquoi diable des brigands ont-ils réussis à décimer une partie mes meilleurs soldats, surtout sur un cheval ?!
On voit la compassion pour ses hommes de troupe...
Sinon pour information un homme qui se prend une flèche, à pied comme à cheval (sauf qu'à cheval il peut pas se mettre à couvert), a mal... il n'y a en aucun cas un quelconque bouclier du canasson divin qui joue en leur faveur

- J’en déduis que tu n’es pas au courant. Le phénomène a dut se passer après ton départ.

Le capitaine de la garnison réfléchit par où commencer. mal dit

-Alors ?

-Hé bien. Un mage noir et sa vingtaine d’apprentis ont contaminé et corrompu plusieurs villages d’elfes. Ce mage se sert de ses elfes corrompu, ou elfes noirs, pour piller les villages et les raser.

Le roi a décidé de réagir on voit ça... vu que l’armée du mage grossissait de jour en jour. Le pire est qu’il possèdent singulier de la poudre de dragons. Poudre qui si on en approche une flamme déclenche la colère des ragons.

Cette dernière phrase fut murmurée à l’oreille de Torblàs mais les soldats proches des deux capitaines avaient entendus. Ils blanchirent d’effroie. color=darkorange]effroi[/color]

Les deux capitaines reprirent à voix haute.
-Pourquoi étaient-ils dans la forêt ?

-Sa ça , c’est la mauvaise nouvelle. Le roi a demandé de l’aide au roi des elfes. Ce dernier accepta color=darkorange]a accepté[/color]. Maintenant les deux armées marchent à la rencontre de celle du mage noir qui voit une opportunité de
prendre le pouvoir en tuant le roi des hommes et en montant sur son trône, scinder la phrase j’imagine qu’il veut aussi le trône des elfes.[/color]

-Alors il n’y a pas grand-chose à craindre. Ce n’est pas une cinquantaine d’oreilles pointues qui va détruire les armées des deux rois.

-Ho si ! L’armée du mage a grandit. En vue de la bataille, il a recruté des mercenaires, tous ceux qu’il a pu trouver. Devant
l’immensité de son armée, des brigands, des assassins, des rebelles, tous ont saisi l’occasion et se sont joint à eux. Les forces qui vous ont attaquée sont
des renforts pour l’armée. Nos espions nous dissent disent que si on arrivait à retenir suffisamment longtemps ces renforts alors un bataillon d’épéiste et d’archet viendra à notre secours mais pour sa il faut tenir la ville.


Aïe les fautes...
En théorie on a pas besoin d'espionner ses alliés pour savoir quand is envoient des renforts, mais bon...


-Nous avons combien de temps ?
-Ils seront là ce soir et demain soir, nos renforts, si nous sommes toujours de ce monde, arriveront.
-hé bien préparons la ville à l’assaut !

La ville était en effervescence. Les troupes patrouillaient dans la rue.

La population se préparait à un siège long et épuisant les renforts attendus arrivent demain soir... j'appelle pas ça "long" . Les soldats avaient peur, Toblas la lisait dans leurs yeux. Le soleil s’endormait il ronfle ? Mauvaise expression là , trop vite au goût de la population. La ville s’illuminait peu à peu. La garde faisait le guet sur les remparts.

Anarchés ne pas confondre un arnaché et un anarchiste de pieds en cape, Toblas et Iron le capitaine de garnison discutait autour d’une bière quand le cor de la ville sonna …

[hrp]La suite est une autre histoire Clin d\'Oeil [/hrp]

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Dounette




Féminin Nombre de messages : 4122
Date d'inscription : 22/11/2007

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MessageSujet: Re: <Ramalok>[devoir n°1]{Ominoe}   <Ramalok>[devoir n°1]{Ominoe} Icon_minitimeSam 24 Nov - 22:22

Correction du mentor : Ominoé


Bon alors voilà corrigé en orange...

Les grandes lignes donc :

- l'orthographe pas mal au début mais ça c'est déterrioré. Attention !
- un vocabulaire basique, beaucoup trop de répétitions, un vocabulaire neutre aussi qui fait mal passer les émotions. Mais appliqué.

Pour la forme donc, pour un premier devoir ça se tient. Il y a du progrès à faire mas pas de grosses carences.

Après il y a le fond très cher : SOIS CREDIBLE !
J'insisterai beaucoup là-dessus car ce récit ne se voulait pas comique, mais l'est devenu à cause de grosses maladresses.

Petit listing : bah déjà la réaction des soldats. Quand des flèches sont tirés, on commence pas par se mettre sur un cheval, donc un peu plus en hauteur, et en plus bien statique le temps de monter dessus. Un cavalier est toujours plus vulnérable aux flèches que quelqu'un à pied surtout quand 'homme a pied a une charette pour s'abriter derrière.

Ensuite les chevaux : un soldat monte rarement ûn cheval qui a peur des flèches et des coups. Avec des canassons pareils, les chevaliers français contre les archers anglais seraient partis vers le chateau-fort au galop, et Azincourt n'aurait jamais eu lieu. Les chevaux militaires sont habitués au combat.

L'embuscade : rien pour empêcher les soldats de sortir de la forêt. C'est le jeu du plus con là...

Après ils arrivent dans la forteresse, avec un mec planté par une flèche : ça va bien ? Le capitaine confirme qu'il s'est fait décimer ses soldats, et qu'il va très bien. Hum... l'humanité là ?

Enfin bref, le fond et la crédibilité à repenser vraiment là...


Cela dit, globalement positif hein... pour un premier, c'est déjà pas mal du tout, après l'histoire ça se retravaille
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