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| [TEC] Et si....? | |
| | Auteur | Message |
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Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: [TEC] Et si....? Lun 15 Avr - 20:26 | |
| - Bon Vanessa, il faut accepter l'évidence. Entre nous, c'est le train-train. On est tellement l'un sur l'autre qu'on s'encroûte chérie. Le jardin, la tondeuse à gazon, la bêche, le râteau...on s'encroûte. Tu es là, vautré...tu ne me fais plus rêver Vanessa. Tu crois que c'est en te laissant pousser les mentons que tu vas me retenir ? Je te préviens, je compte. À cinq mentons, tu risques de me voir caché derrière un journal à chaque petit-déjeuner, premier signe inquiétant... Viens allons fumer une pipe devant la cheminée. Et si...?- Tu comprends, Vanessa, à force de compter les mentons, je risque de m'endormir. Je rêvais d'une vie de conquêtes amoureuses... ...de promenades romantiques sous des ponts d'Automne et d'étreintes passionnées dans des hôtels borgnes. Et puis le soir, devant la cheminée, comme au bon vieux temps [car de nos jours, la télévision nous force au silence], j'aurais raconté à ma femme et à mes enfants mes aventures de la journée. Claire, à la personnalité imprévisible, qui ravit le cœur des hommes mûrs. Fraîcheur, gaieté, impertinence, joie de vivre, c'est un jeune cabri qu'il faut savoir monter. On ne monte pas Claire comme on monte un âne : il faut savoir la caresser, brosser son pelage, lui murmurer à l'oreille. Ses parents n'étaient pas là. Nous avons fait l'amour sous le lustre du salon : avons fait le cochon pendu sur la pergola, avons fait Tarzan et Cheetah dans le potager et avons fait King-Kong sur l'antenne-rateau. Ensuite, je suis allé voir Clotilda. Gaie, enjouée, pimpante, Clotilda est la jeunesse. Si jeune qu'en lui pressent les tétons, il aurait sorti du lait. Des yeux de braise, une croupe de cheval furieux et deux missiles sol-air prêts à la mise à feu. Elle invente sans cesse de nouveaux jeux érotiques. Elle enlève sa culotte, découvrant une croupe de cheval furieux. Elle enlève sont soutien-gorge, libérant deux missiles sol-air prêts à la mise à feu. Mais où va-t-elle chercher toutes ses idées ? Elle prend de la drogue ou quoi ? Avons fait gai luron et belle lurette, avons fait Lucky Luck et Jolly Jumper, avons fait Lareul et Hardy sur la table et avons fait Tristan et Yseult sous la douche. Cette vie de cheval emballé inflige à l'âme des tourments que seul le cocon familial sait apaiser. Ma femme et son regard lumineux qui inonde mon cœur... Dans la vie, il faut s'appuyer sur quelque chose de solide. Ma femme est l'épaule et je suis la tête. A la maison c'est elle qui porte la culotte et c'est moi qui mets la main dedans. D'ailleurs, si ma femme ne portait pas la culotte, je ne mettrais pas les mains dedans. Le désespoir, disait Chateaubriand, c'est une culotte vide. À quoi bon mettre les mains dans le désespoir ? Parfois, un effroi fugace me glace. Si ma femme n'était plus là aux retours de mes voyages, je crois que je me pendrais. C'est un sentiment des cœurs usés. Quand on est jeune, on ne se pend pas aussi facilement. Si tu es mineur et tu veux te pendre, il te faut la corde de tes parents. Quand je broie du noir, pour dissiper l'angoisse, je vais voir Rigoberta. Elle m'a confié sa clef et est experte en amitié, elle consolerait un éléphant. À notre première rencontre, après les civilités d'usage, Rigoberta avait disparu, me laissant seul dans le grand salon. En parcourant la maison, l'esprit inquiet, j'ai trouvé Rigoberta dans la salle de bains, le regard étrange, les yeux fixés sur ma personne. Soudain, elle a fait jaillir de son peignoir sa poitrine insolente. Son corps ondulé perlait de gouttes. Mes mains ont pianoté sur sa peau une symphonie de Claude François et je lui ai fait crier mon nom. Puis elle s'est enfuie à travers l'orage. Les peupliers sifflaient et gémissaient. La lande hurlait. La chaussette de l'aéroport était à l'horizontale. De retour chez moi. Rude journée ! Il va falloir que je songe à m'assagir. M'habituer à la vieillesse et à la solitude, tout doucement fuir le tumulte. Devenir léger. Sans désir. Accepter le vide. Faire l'amour au néant. Des phrases courtes. Un rythme nerveux. Être un fantôme. Hors du réel. Se détacher du commerce et des passions. Ôter le bonnet de sa conscience. Enlever les habits de sa compréhension. Être la durée nue. Être l'ami du rien. Le complice de l'absence. Pouffer avec le désespoir. Ne pas se résigner au vide, mais l'accueillir bras ouverts. Comme un présent. Une récompense. Un désert de joie. Car la réponse doit être la vie. Sinon, c'est la porte ouverte à la mort. C'est la laisser s'installer chez soi. C'est lui dire : "va-y assieds, toi dans mon canapé. Tiens, sers-moi un cognac. Tu pourrais me masser les pieds ? Aaaaaah oui, c'est booooon...oh c'que c'est bon..." Et puis allez, encore un coup chez Gertruda. Un dernier pour la route vers le pas-grand-chose. Gaie, fraîche, souriante, impertinente, Gertruda ravit le cœur des hommes mûrs. Ses parents ne sont pas là.
Partie 2 "Vincent Bidalère, âge incertain, poids incertain. De nature très "grognon", il n'a de cesse que de déblatérer d'infâme horreur aux gens qui le lui sont proches. Immonde me dites-vous ? Non, c'est ça façon de montrer toute son affection à une personne. Pas la peine de chercher, ni même de prendre un peu de recul pour essayer de comprendre, c'est inutile : vous ne pouvez trouver aucune logique au raisonnement de Vincent. Mais ne jugeons pas l'injugeable, profitons pleinement de se curieux personnage qui, et cela va sans dire, me divertit au plus haut point."Allez hop, au boulot. Tiens la bonne Gertrude, toujours attablée dehors le dimanche, sous sa grande terrasse en bois. Quelque pas plus loin, paf, voilà Michel, le boucher qui profite de son seul jour de repos. Un sacré chaud lapin celui-là ! L'autre coup, je m'en allais faire les courses quand je l'ai vu essayé de draguer Vanessa à la caisse de la supérette : * Round One * Fight ! - C'est incroyable Thierry, Vincent s'élance à vive allure sur son adversaire qui lui tourne le dos ! - Tout à fait Robert, j'ai l'impression que ça lui faire tout drôle quand il va se retourner. - Je pense que c'est une feinte et je...OH MON DIEU, NON ! VINCENT VIENS DE LUI DÉCROCHER UNE DROITE DU TONNERRE DE DIEU, J'AI L'IMPRESSION QUE MICHEL NE SE RELÈVERA PAS ! - Je vois mal sur la caméra, mais je crois que le nez de Michel touche sa joue, l'arbitre est en train de regarder et...C'EST FINI, L'ARBITRE MET FIN AU COMBAT !Et si...?Je ne suis pas venu déguiser en feuille de chou pour me faire bouffer le cul par des lapins ! Non mais et puis quoi encore ? La prochaine fois, il aura qu'à me demander... J'aurais surement dit oui, après tout si un quintuple menton l'excite tant mieux ! Au même moment, dans le cerveau de Vincent :Folie. Non, je suis simplement décalé. Idiotie. Non, je suis simplement mal instruit. Méchanceté. Non, je suis simplement franc du collier. Paresse. Non, je...Ouah ! Quelle belle paire de...Je ne l'avais jamais vu celle-là. Je la siffle pour quelle se retourne. Échec total. Je me décide à la suivre, histoire d'en savoir plus sur la charmante demoiselle. Simple curiosité de Damoiseau. Chanel numéro cinq, je le reconnaîtrais même après avoir respiré un million d'autres parfums. Vanessa ne s'est parfumée qu'avec ça pendant nos vingt-sept années de vies communes. Chevelure blonde ==> Conforme à la norme Taille, un mètre quatre-vingts ==> Limite, mais conforme aux exigences du client Poitrine, quatre-vingt-cinq D ==> Produit pesé main, conforme aux attentes Talons, quinze centimètres ==> Produit aussi long que ma...Hum ! Conforme.Je vais tenter de la faire se retourner, vite, un caillou. Je lui lance, ça y'est elle se retourne. JE RÊVE ?! SUIS-JE MAUDIT ?! Du calme, un peu de concentration, de réflexion, d'attention et tout se qui rime en "ion". Il faut souffler, zen attitude. Non, je ne peux pas, il faut que j'aille vérifier. Tiens Rigoberta, je vais aller voir de plus près si...AH MON DIEU ! C'EST UN CAUCHEMAR ATROCE, ELLE AUSSI ! Courir. Vite. Loin. Je suis fini, partout ou je vais les femmes souffre du même mal, les hommes ne semblent pas affectés par le virus. Toutes les femmes de mes désirs portent le menton de ma femme qui me répugne tant ! Ma femme ! C'est ma femme qui est à l'origine de tout ça, je dois faire quelque chose. Arrivé chez moi, je la trouve en train de passer le balai. Fourche en main, je lui dis que je l'avais prévenu, que sont quintuple menton était une horreur quelle devait supprimer. Elle me demande de me calmer et je lui rétorque qu'il est trop tard. Je lui enfonce la fourche dans le ventre, assoiffé de sang. Vilaine, ça t'apprendra à refiler ton menton à tout le monde. Un petit coup d'œil par la fenêtre et...Rigoberta qui passe, le menton à disparu, quel bonheur ! Je suis débarrassé de Vanessa et de ces foutus mentons. Bip bip bipFoutu réveil, je ne l'avais pourtant pas programmé hier soir. Vanessa ronfle comme un bébé, je lui raconterais mon merveilleux rêve une fois quelle sera réveillée. Bon, un petit café, un morceau de brie et un verre de jus de pomme. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir me mettre aujourd'hui ? Je prends les premières affaires qui me viennent sous la main et j'emmerde le monde. Je ne suis pas venu ici pour sucer des glaçons ! J'enfile le tout, j'ouvre les volets et... PUTAIN DE BORDEL DE DIEU ! CE N'ETAIT PAS UN RÊVE ! - Citation :
À suivre "Précédemment dans les aventures de Vincent Bidalère : après avoir, comme à sont habitude, déblatéré d'horrible propos à l'égard des gens qui l'entoure, Monsieur Bidalère pense être dans un rêve ou toutes les femmes ont un quintuple menton. Fou de rage, il part assassiner son épouse à coups de fourche, l'accusant du mal que subissent toutes les femmes de ce monde. Après une nuit de sommeil, il constate, le lendemain matin, que tout ceci était bel et bien réel. Continuons à profiter pleinement de se curieux personnage qui, et cela va sans dire, me divertit au plus haut point. C'était Axel Anders en direct du Vésuve, à vous les studios"Merde, ma femme ne ronfle pas, elle est en train d'agoniser ! Qu'est-ce que j'ai fait bordel de merde ? Je suis vraiment un pauvre type, je ne mérite pas votre pitié mon seigneur, quel idiot j'ai étais. J'ai planté ma femme sans même réfléchir à comment cacher le cadavre, je suis impardonnable. Oh ! Et puis je ne vais pas me faire chier pour cette grognasse. Faisons comme si de rien était, et allons-nous promener. Un p'tit bonjour à madame Perez, sans regarder sont menton et...AH QUADRUPLE MENTON ! Chut, du calme, il ne faut pas attirer l'attention. Avançons, l'air de rien, je suis peut-être simplement un peu surmené, je devrais prendre un petit pastis au "bistrot du pays", ça ira mieux ensuite. L'air est bizarrement frais, j'ai l'impression d'être en Alaska, quel merdier ! Tiens, c'est quoi ce truc qui brille derrière l'arbre. Oh putain d'merde ! Une pièce de deux euros. Viens dans ma poche petite coquine, je vais te...AHHHHH ! Et si...?Ah ! Mon crâne, j'ai l'impression qu'un troupeau de vaches et venu m'éclater la gueule. Où suis-je ? Il y a quelqu'un ou quoi ? - Vincent...tu es ici, dans la demeure qui est mienne. - Sors de ta cachette branleur, je vais te montrer ! - Il n'est pas bon de pêcher en ma présence mon fils. Je suis celui qui est, le tout et le rien, la vie et la mort. - Bordel, arrête de jouer avec mes couilles et montre toi ordu... - SILENCE ! TU AS TROP SOUVENT FAIS LE MAL AUTOUR DE TOI VINCENT, JE DOIS TE PUNIR POUR TE RAMENER A LA RAISON ET... - Mais il va la ferme sa grande gueule ! Tu es qui pour me parler sur ce ton ? Montre-toi ! - Je suis le Père, créateur du ciel et de la Terre. Je suis Dieu, Vincent. C'est moi qui suis la source de ton malheur. Sache qu'aucune femme ne sera redevenue comme avant tant que tu n'auras pas changé. - Oh mon Dieu ! Vous ne pouvez pas m'infliger telles souffrances, laissez-moi une chance mon p'tit Père. - Tes blasphèmes vont te coûter très cher. Mais je suis généreux, et t'offre une chance de te racheter - Oui mon p'tit Père, tout ce que vous voudrez - Je te condamne à devoir accomplir douze travaux. Si tu échoues à un seul d'entre eux, tu seras condamné à vivre dans un monde ou tout ce qui te fait souffrir sera, jusqu'à la fin des temps. Et je sais d'avance que tu échoueras. - Et si je réussis ? - Tu pourras continuer à vivre comme bon te semble, sans te soucier d'aller en Enfer, sans devoir me craindre. Mais sache que telle chose n'arrivera pas. Le premier de tes travaux sera de rendre ta femme la plus heureuse de toutes. La moindre méchanceté, le moindre petit soupçon de tristesse ou de colère, et ce sera la fin de ta vie telle que tu la connais. HAHAHA... L'enculé, il m'a pris au piège. Comment j'vais faire pour la rendre heureuse, j'ai jamais fait un truc pareil moi. Non mais je ne le crois pas, quel con ce Dieu. Ma femme est en train de crever, quel débile. Je ne vais pas trop en chier pour la rendre heureuse. Allez, je vais rentrer à la maison et regarder un p'tit épisode de Louis la Brocante avec le cadavre de ma femme, on sera heureux tout les deux. Quelle aventure mon vieux Vincent, tu as dû abusé de la bouteille, j'te jure. Pourquoi Dieu viendrait-il parler à un cinglé comme toi. Quelle vie... JE RÊVE ?! C'EST UN CAUCHEMAR ? JE SUIS EN ENFER ! MA FEMME EST LA, EN TRAIN DE PRENDRE LE JOURNAL SUR LE PAS DE PORTE. Ma tête, elle tourne... Je vois trouble... C'est beau... - Citation :
À suivre
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| | | Lyn
Nombre de messages : 125 Age : 28 Localisation : Dans l'énorme cinéma qu'on appelle le monde Date d'inscription : 03/04/2010
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Mar 16 Avr - 1:01 | |
| Alors, tout d'abord, je dirais qu'il y a quelques problèmes au niveau de la syntaxe, rien de bien méchant, mais qu'il serait bon de corrigé. En général, c'est des fautes d'inattention que l'on commet tous (moi la première d'ailleurs), mais qui se remarquent. Il y a aussi plusieurs répétitions, comme "hommes mûrs" "gaie".... Encore une fois, faut le remarquer, mais je trouve que ça donne un peu de redondance à ton texte, et c'est pas super agréable à la lecture. Sinon, je suis pas fan-fan du vocabulaire employé parfois pour décrire le corps des différentes femmes, mais bon, c'est peut-être lié au personnage ou au style que tu as voulu donner et donc ce n'est que mon avis personnel. En fait, c'est surtout ça le problème. Qui est cet homme ? Vu d'ici, ça m'a l'air d'être un beau salaud, mais est-ce comme ça que tu voulais le décrire ? Je ne comprend pas tellement l'objectif de ce texte et c'est dommage, parce que certains passages ne sont pas inintéressants. Par exemple, ces phrases : " Quand on est jeune, on ne se pend pas aussi facilement. Si tu es mineur et tu veux te pendre, il te faut la corde de tes parents." même si elles sont assez morbides, m'ont bien plu ! Si tu pouvais m'éclairer, ce serait pas mal, parce que j'ai l'impression de passer à côté de quelque chose ! | |
| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Mar 16 Avr - 21:57 | |
| - Citation :
- Alors, tout d'abord, je dirais qu'il y a quelques problèmes au niveau de la syntaxe, rien de bien méchant, mais qu'il serait bon de corrigé. En général, c'est des fautes d'inattention que l'on commet tous (moi la première d'ailleurs), mais qui se remarquent.
J'ai un peu de soucis avec l'orthographe, je fais de mon mieux malgré cet handicap. Je parle d'handicap car il est réel, il fais perdre un certain intérêt à la lecture de mes textes. - Citation :
- Il y a aussi plusieurs répétitions, comme "hommes mûrs" "gaie".... Encore une fois, faut le remarquer, mais je trouve que ça donne un peu de redondance à ton texte, et c'est pas super agréable à la lecture. Sinon, je suis pas fan-fan du vocabulaire employé parfois pour décrire le corps des différentes femmes, mais bon, c'est peut-être lié au personnage ou au style que tu as voulu donner et donc ce n'est que mon avis personnel.
Les répétitions sont voulus, une sorte de style qui plaît ou ou non. Le vocabulaire utilisé par le narrateur est dût au fait qu'il est un homme qui a besoin de se libérer, lâcher ce qu'il a sur le cœur, imaginer une vie sans complexe, celle dont il rêve. - Citation :
- Qui est cet homme ? Vu d'ici, ça m'a l'air d'être un beau salaud, mais est-ce comme ça que tu voulais le décrire ? Je ne comprend pas tellement l'objectif de ce texte et c'est dommage
Cet homme est un rêveur, une personne qui se remet en question : pourquoi ma vie est-elle si inintéressante ? Il cherche un échappatoire en laissant libre court a son imagination. Est-ce être un salaud que de vouloir vivre la vie dont nous avons toujours rêver ? Il s'imagine aimant une femme mais ne pouvant s'empêcher de la tromper. Elle lui apporte l'amour et le bonheur mais ça ne lui suffit pas, il lui faut encore plus, s'aventurer vers d'autres chemins. En poussant son imagination plus loin il se rends compte que tout ceci ne lui apporterais ni plus ni moins mais qu'importe. La vie n'est qu'un jeu pour lui, une partie qu'il sait qu'il ne peut gagner mais ou il peut au moins prendre plaisir à jouer. Sa réalité l'ennui. Il a certes des rêves pervers enfin...pervers...parlons plutôt de fantasmes. Quel homme n'en a jamais eus ? Les siens peuvent paraître peu catholique et ils le sont, il le sait...et alors ? Libéré Lassé Assoiffé Ce sont les trois mots qualifiants le mieux mon personnage. J'espère t'avoir un peu plus éclairé sur la philosophie de ce monsieur et te remercie d'avoir pris le temps de me lire et de me critiquer. | |
| | | Lyn
Nombre de messages : 125 Age : 28 Localisation : Dans l'énorme cinéma qu'on appelle le monde Date d'inscription : 03/04/2010
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Mar 16 Avr - 22:31 | |
| J'ai moi-même beaucoup de soucis avec l'orthographe et c'est vrai que ça n'aide pas à apprécier un texte. Une bonne relecture et de l'exercice et le souci ne se posera plus ! Si j'ai qualifié ton personnage de salaud, ce n'était pas dans le sens péjoratif du terme, il y a beaucoup de grands salauds dans la littérature. Le tiens, après explication, me fait penser à Dom Juan : éternel insatisfait qui a des pulsions incontrôlables et qui rêve d'ailleurs, et surtout de l'autre. Ce qui m'avait fait tiqué, c'est le passage parlant des doubles mentons au début, qui est quand même loin d'être super délicat. Pour le reste, le langage cru est un style, qui m'est pas trop familier, mais ça peut avoir son charme donc pas de soucis là-dessus, tant que c'est assumé et cohérent. Ce que j'apprécie par contre, c'est que tu ne prend pas de gants pour décrire les pensées que certains (ou même beaucoup haha, qui sait) hommes peuvent avoir, et qui sont considérées comme politiquement incorrect. J'trouve que ça reste à perfectionner, mais qu'il y a de l'idée. Enfin voilà, merci d'avoir répondu à mes questions | |
| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Mar 16 Avr - 22:38 | |
| Je pense faire une autre nouvelle avec ce cher monsieur, j'ai quelques idées derrière la tête. Je n'ai pas pour habitude d'écrire avec un vocabulaire aussi familier, c'est un territoire qui m'était inconnu et qui ne l'est plus désormais.
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| | | dale cooper
Nombre de messages : 7649 Age : 46 Date d'inscription : 08/09/2008
Personnages RP Pseudo: Pseudo : ▲ Pseudo :
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Dim 21 Avr - 12:42 | |
| Autant le dire tout de suite, à la première lecture j'ai trouvé ça poussif et je suis resté sceptique devant ce texte, raison pour laquelle j'ai pas commenté (bah quand j'ai rien à dire en général je dis rien ^^) Et puis un de nos lecteurs assidus mais invisibles (il y en a plus qu'on le croit) m'a confié avoir beaucoup aimé ce texte, entre autre les petites expressions franches et décalées. Il avait trouvé çà amusant et agréable à lire. Du coup je m'y suis repenché avec un peu plus d'attention sur ton texte. Déjà une première chose : il y a beaucoup moins de fautes (que ce soit en orthographe, ponctuation, syntaxe, conjugaison ou grammaire). Bon il en reste un peu, et comme l'a suggéré Lyn : un peu d'attention, de relecture et d'exercice suffise souvent à en venir à bout. D'autre part, ce texte est assez différent de tout ce que j'ai pu lire de toi jusqu'ici. Ici c'est bien plus franc, plus spontané et plus léger aussi. Tu sembles t'être affranchi d'une envie de "faire comme" qui aurait pu te contraindre à une rédaction un peu laborieuse (j'en reviens à l'épisode des superlatifs et du factice). Ce texte me semble plus personnel et plus osé. Le personnage tient une logique toute à lui, mais que tu arrives à justifier : ce drôle de fantasme d'éclairer sa vie terne de famille (ou de couple) en relatant ses exploits érotiques de manière décomplexé et amusante... moi je trouve ça bizarre et assez drôle en fait ! Enfin, il y a quelques tournures qui peuvent être un peu maladroites, mais je me dis aussi que ça colle plutôt bien au personnage, cette bonhomie un peu basique. Les répétitions ne m'ont pas choquées, au contraire, comme toi je pense qu'elles appuient le caractère du protagoniste. Par contre : - Citation :
- Si tu es mineur et tu veux te pendre, il te faut la corde de tes parents.
Faire l'amour au néant.
Être l'ami du rien. Le complice de l'absence. par contre ouais... il y a quelques morceaux de bravoure là-dedans. Je trouve ces quelques extraits tout à fait truculents (limite génial !). En gros à la fin de ma seconde lecture, je me dis que la fin est bien plus aboutie qu'il n'y parait : la résignation, l'envie de s'assagir, de renoncer à toutes ces frasques pour retrouver un confort d'esprit salutaire est tout simplement balayé par un dernier petit coup chez Gertruda, la jumelle de Claire. Le type est irrattrapable, jamais il ne sortira de... mais tout ça est juste fantasmé, il n'a rien fait, il se contente de raccrocher ses rêves aux branches de l'effondrement de sa normalité. En fait faudrait que t'en fasse plus des comme ça. MAIS ATTENTION HEIN : il reste des fautes ^^ | |
| | | Airet Syl Chromatique
Nombre de messages : 1384 Age : 41 Localisation : Les Hauts Fourneaux Date d'inscription : 29/04/2008
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Dim 21 Avr - 14:43 | |
| Bon, je suis un des lecteurs invisibles et j'ai trouvé ce texte sur le blog. Comme le souligne dvb, il y a de l'audace, ça se lit bien, ça oriente vers le débat des gens à l'aise avec leur corps ou le courant de pensée "coucher est tellement plus simple qu'aimer", mais tout à fait fade, selon moi.
Alors les fautes je préfère remettre une couche, d'autant qu'avec les correcteurs automatiques des logiciels de traitement de texte, et même de Firefox, c'est dingue d'en retrouver autant. Certes le message passe, mais pas l'envie d'en lire plus si la forme n'est pas soignée.
Cette projection dans la maturité est plaisante, désillusion moqueuse, je pense que tu devrais travailler ce style plus abrupt, travailler un texte, je dis bien travailler et pas le dévoiler de but en blanc façon 'one shot'. Se pencher sur les répétitions notées par Lyn par exemple tout en gardant le côté "franc du collier".
Non? | |
| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Mer 24 Avr - 3:09 | |
| Tout d'abord, comme à mon habitude, merci d'avoir pris la peine de lire et de critiquer mon texte il est toujours bon d'avoir des échos sur ses écrits.
Le personnage est assez simple, certaines phrases peuvent paraître maladroite mais c'est le résultat que je voulais donner. Le style que j'ai choisis, et que je réutiliserais pour d'autres textes, est assez spécial, il peut déranger certains lecteurs et c'est ce qui m'a motivé dans l'écriture, créer une ambiance "originale".
On peut toujours faire plus, toujours faire mieux, j'essaye de rester fidèle à moi-même tout en gardant une ouverture d'esprit assez large pour évoluer.
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| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Dim 18 Aoû - 19:28 | |
| "Vincent Bidalère, âge incertain, poids incertain. De nature très "grognon", il n'a de cesse que de déblatérer d'infâme horreur aux gens qui le lui sont proches. Immonde me dites-vous ? Non, c'est ça façon de montrer toute son affection à une personne. Pas la peine de chercher, ni même de prendre un peu de recul pour essayer de comprendre, c'est inutile : vous ne pouvez trouver aucune logique au raisonnement de Vincent. Mais ne jugeons pas l'injugeable, profitons pleinement de se curieux personnage qui, et cela va sans dire, me divertit au plus haut point."Allez hop, au boulot. Tiens la bonne Gertrude, toujours attablée dehors le dimanche, sous sa grande terrasse en bois. Quelque pas plus loin, paf, voilà Michel, le boucher qui profite de son seul jour de repos. Un sacré chaud lapin celui-là ! L'autre coup, je m'en allais faire les courses quand je l'ai vu essayé de draguer Vanessa à la caisse de la supérette : * Round One * Fight ! - C'est incroyable Thierry, Vincent s'élance à vive allure sur son adversaire qui lui tourne le dos ! - Tout à fait Robert, j'ai l'impression que ça lui faire tout drôle quand il va se retourner. - Je pense que c'est une feinte et je...OH MON DIEU, NON ! VINCENT VIENS DE LUI DÉCROCHER UNE DROITE DU TONNERRE DE DIEU, J'AI L'IMPRESSION QUE MICHEL NE SE RELÈVERA PAS ! - Je vois mal sur la caméra, mais je crois que le nez de Michel touche sa joue, l'arbitre est en train de regarder et...C'EST FINI, L'ARBITRE MET FIN AU COMBAT !Et si...?Je ne suis pas venu déguiser en feuille de chou pour me faire bouffer le cul par des lapins ! Non mais et puis quoi encore ? La prochaine fois, il aura qu'à me demander... J'aurais surement dit oui, après tout si un quintuple menton l'excite tant mieux ! Au même moment, dans le cerveau de Vincent :Folie. Non, je suis simplement décalé. Idiotie. Non, je suis simplement mal instruit. Méchanceté. Non, je suis simplement franc du collier. Paresse. Non, je...Ouah ! Quelle belle paire de...Je ne l'avais jamais vu celle-là. Je la siffle pour quelle se retourne. Échec total. Je me décide à la suivre, histoire d'en savoir plus sur la charmante demoiselle. Simple curiosité de Damoiseau. Chanel numéro cinq, je le reconnaîtrais même après avoir respiré un million d'autres parfums. Vanessa ne s'est parfumée qu'avec ça pendant nos vingt-sept années de vies communes. Chevelure blonde ==> Conforme à la norme Taille, un mètre quatre-vingts ==> Limite, mais conforme aux exigences du client Poitrine, quatre-vingt-cinq D ==> Produit pesé main, conforme aux attentes Talons, quinze centimètres ==> Produit aussi long que ma...Hum ! Conforme.Je vais tenter de la faire se retourner, vite, un caillou. Je lui lance, ça y'est elle se retourne. JE RÊVE ?! SUIS-JE MAUDIT ?! Du calme, un peu de concentration, de réflexion, d'attention et tout se qui rime en "ion". Il faut souffler, zen attitude. Non, je ne peux pas, il faut que j'aille vérifier. Tiens Rigoberta, je vais aller voir de plus près si...AH MON DIEU ! C'EST UN CAUCHEMAR ATROCE, ELLE AUSSI ! Courir. Vite. Loin. Je suis fini, partout ou je vais les femmes souffre du même mal, les hommes ne semblent pas affectés par le virus. Toutes les femmes de mes désirs portent le menton de ma femme qui me répugne tant ! Ma femme ! C'est ma femme qui est à l'origine de tout ça, je dois faire quelque chose. Arrivé chez moi, je la trouve en train de passer le balai. Fourche en main, je lui dis que je l'avais prévenu, que sont quintuple menton était une horreur quelle devait supprimer. Elle me demande de me calmer et je lui rétorque qu'il est trop tard. Je lui enfonce la fourche dans le ventre, assoiffé de sang. Vilaine, ça t'apprendra à refiler ton menton à tout le monde. Un petit coup d'œil par la fenêtre et...Rigoberta qui passe, le menton à disparu, quel bonheur ! Je suis débarrassé de Vanessa et de ces foutus mentons. Bip bip bipFoutu réveil, je ne l'avais pourtant pas programmé hier soir. Vanessa ronfle comme un bébé, je lui raconterais mon merveilleux rêve une fois quelle sera réveillée. Bon, un petit café, un morceau de brie et un verre de jus de pomme. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir me mettre aujourd'hui ? Je prends les premières affaires qui me viennent sous la main et j'emmerde le monde. Je ne suis pas venu ici pour sucer des glaçons ! J'enfile le tout, j'ouvre les volets et... PUTAIN DE BORDEL DE DIEU ! CE N'ETAIT PAS UN RÊVE !
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| | | dale cooper
Nombre de messages : 7649 Age : 46 Date d'inscription : 08/09/2008
Personnages RP Pseudo: Pseudo : ▲ Pseudo :
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Dim 18 Aoû - 23:13 | |
| Il manque des mots, relis-toi bien.
Vite fait : la fin, le coup du rêve et du réveil => over too déjà vu cliché. Je trouve que la fin casse vraiment cette belle ambiance. A revoir peut etre. | |
| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Dim 18 Aoû - 23:36 | |
| Merd* !! J'ai sauvegardé la version brouillon à la place de la bonne...J'éditerais une fois que j'en aurais le courage (demain quoi) --" | |
| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Dim 18 Aoû - 23:57 | |
| Bon, j'ai retrouvé la version finale au fin fond des entrailles de mon ordinateur. J'ai édité. | |
| | | dale cooper
Nombre de messages : 7649 Age : 46 Date d'inscription : 08/09/2008
Personnages RP Pseudo: Pseudo : ▲ Pseudo :
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Lun 19 Aoû - 0:01 | |
| | |
| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Lun 18 Nov - 21:41 | |
| "Précédemment dans les aventures de Vincent Bidalère : après avoir, comme à sont habitude, déblatéré d'horrible propos à l'égard des gens qui l'entoure, Monsieur Bidalère pense être dans un rêve ou toutes les femmes ont un quintuple menton. Fou de rage, il part assassiner son épouse à coups de fourche, l'accusant du mal que subissent toutes les femmes de ce monde. Après une nuit de sommeil, il constate, le lendemain matin, que tout ceci était bel et bien réel. Continuons à profiter pleinement de se curieux personnage qui, et cela va sans dire, me divertit au plus haut point. C'était Axel Anders en direct du Vésuve, à vous les studios"Merde, ma femme ne ronfle pas, elle est en train d'agoniser ! Qu'est-ce que j'ai fait bordel de merde ? Je suis vraiment un pauvre type, je ne mérite pas votre pitié mon seigneur, quel idiot j'ai étais. J'ai planté ma femme sans même réfléchir à comment cacher le cadavre, je suis impardonnable. Oh ! Et puis je ne vais pas me faire chier pour cette grognasse. Faisons comme si de rien était, et allons-nous promener. Un p'tit bonjour à madame Perez, sans regarder sont menton et...AH QUADRUPLE MENTON ! Chut, du calme, il ne faut pas attirer l'attention. Avançons, l'air de rien, je suis peut-être simplement un peu surmené, je devrais prendre un petit pastis au "bistrot du pays", ça ira mieux ensuite. L'air est bizarrement frais, j'ai l'impression d'être en Alaska, quel merdier ! Tiens, c'est quoi ce truc qui brille derrière l'arbre. Oh putain d'merde ! Une pièce de deux euros. Viens dans ma poche petite coquine, je vais te...AHHHHH ! Et si...?Ah ! Mon crâne, j'ai l'impression qu'un troupeau de vaches et venu m'éclater la gueule. Où suis-je ? Il y a quelqu'un ou quoi ? - Vincent...tu es ici, dans la demeure qui est mienne. - Sors de ta cachette branleur, je vais te montrer ! - Il n'est pas bon de pêcher en ma présence mon fils. Je suis celui qui est, le tout et le rien, la vie et la mort. - Bordel, arrête de jouer avec mes couilles et montre toi ordu... - SILENCE ! TU AS TROP SOUVENT FAIS LE MAL AUTOUR DE TOI VINCENT, JE DOIS TE PUNIR POUR TE RAMENER A LA RAISON ET... - Mais il va la ferme sa grande gueule ! Tu es qui pour me parler sur ce ton ? Montre-toi ! - Je suis le Père, créateur du ciel et de la Terre. Je suis Dieu, Vincent. C'est moi qui suis la source de ton malheur. Sache qu'aucune femme ne sera redevenue comme avant tant que tu n'auras pas changé. - Oh mon Dieu ! Vous ne pouvez pas m'infliger telles souffrances, laissez-moi une chance mon p'tit Père. - Tes blasphèmes vont te coûter très cher. Mais je suis généreux, et t'offre une chance de te racheter - Oui mon p'tit Père, tout ce que vous voudrez - Je te condamne à devoir accomplir douze travaux. Si tu échoues à un seul d'entre eux, tu seras condamné à vivre dans un monde ou tout ce qui te fait souffrir sera, jusqu'à la fin des temps. Et je sais d'avance que tu échoueras. - Et si je réussis ? - Tu pourras continuer à vivre comme bon te semble, sans te soucier d'aller en Enfer, sans devoir me craindre. Mais sache que telle chose n'arrivera pas. Le premier de tes travaux sera de rendre ta femme la plus heureuse de toutes. La moindre méchanceté, le moindre petit soupçon de tristesse ou de colère, et ce sera la fin de ta vie telle que tu la connais. HAHAHA... L'enculé, il m'a pris au piège. Comment j'vais faire pour la rendre heureuse, j'ai jamais fait un truc pareil moi. Non mais je ne le crois pas, quel con ce Dieu. Ma femme est en train de crever, quel débile. Je ne vais pas trop en chier pour la rendre heureuse. Allez, je vais rentrer à la maison et regarder un p'tit épisode de Louis la Brocante avec le cadavre de ma femme, on sera heureux tout les deux. Quelle aventure mon vieux Vincent, tu as dû abusé de la bouteille, j'te jure. Pourquoi Dieu viendrait-il parler à un cinglé comme toi. Quelle vie... JE RÊVE ?! C'EST UN CAUCHEMAR ? JE SUIS EN ENFER ! MA FEMME EST LA, EN TRAIN DE PRENDRE LE JOURNAL SUR LE PAS DE PORTE. Ma tête, elle tourne... Je vois trouble... C'est beau... À suivre | |
| | | Axel & Anders
Nombre de messages : 1018 Age : 30 Localisation : Dans ton coeur Date d'inscription : 13/12/2012
Personnages RP Pseudo: Jésus Pseudo : Vincent Bidalère Pseudo : Eric Couyalère
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Mar 21 Jan - 17:10 | |
| [Màj : j'ai remis l'ensemble des textes sur le premier post, mais il faudrait déplacer le sujet dans les ateliers car la boucle n'est pas encore bouclé.]
J'aurais besoin d'aide pour la correction des fautes, et avoir un avis sur l'ensemble, savoir si le personnage n'est pas trop "lourd" et si le style choisis ne l'est pas aussi.
Merci d'avance. | |
| | | Mike001 Coordonnateur Littéraire
Nombre de messages : 2662 Age : 23 Localisation : West Coast ; Phare Ouest Date d'inscription : 26/09/2010
Personnages RP Pseudo: Mike le Fremen Pseudo : Hannibal Smith Pseudo : Davy et Mickey
| Sujet: Re: [TEC] Et si....? Mar 21 Jan - 18:10 | |
| - L.I.S a écrit:
- - Bon Vanessa, il faut accepter l'évidence. Entre nous, c'est le train-train. On est tellement l'un sur l'autre qu'on s'encroûte chérie. Le jardin, la tondeuse à gazon, la bêche, le râteau... (il y a un espace après les points de suspension) on s'encroûte.
Tu es là, vautrée... tu ne me fais plus rêver, (virgule) Vanessa. Tu crois que c'est en te laissant pousser les mentons que tu vas me retenir ? Je te préviens, je compte. À cinq mentons, tu risques de me voir caché derrière un journal à chaque petit-déjeuner, premier signe inquiétant... Viens allons fumer une pipe devant la cheminée.
Et si... (espace) ?
- Tu comprends, Vanessa, à force de compter les mentons, je risque de m'endormir. Je rêvais d'une vie de conquêtes amoureuses...
...de promenades romantiques sous des ponts d'Automne et d'étreintes passionnées dans des hôtels borgnes. Et puis le soir, devant la cheminée, comme au bon vieux temps [car de nos jours, la télévision nous force au silence] (ce sont le tiret moyen ou la parenthèse qu'il faut utiliser), j'aurais raconté à ma femme et à mes enfants mes aventures de la journée.
Claire, à (a) la personnalité imprévisible, qui ravit le cœur des hommes mûrs. Fraîcheur, gaieté, impertinence, joie de vivre, c'est un jeune cabri qu'il faut savoir monter. On ne monte pas Claire comme on monte un âne : il faut savoir la caresser, brosser son pelage, lui murmurer à l'oreille. Ses parents n'étaient pas là. (tu gagnerais en fluidité en reliant cette phrase avec la suivante) Nous avons fait l'amour sous le lustre du salon : (ce n'est pas les deux-points mais une virgule qu'il fallait mettre) avons fait le cochon pendu sur la pergola, avons fait Tarzan et Cheetah dans le potager et avons fait (c'est beaucoup trop lourd comme répétition) King-Kong sur l'antenne-rateau.
Ensuite, je suis allé voir Clotilda. Gaie, enjouée, pimpante, Clotilda est la jeunesse. Si jeune qu'en lui pressent les tétons, il aurait (ils auraient sorti) sorti du lait (cette image est abusive et non justifiée, je ne vois pas trop où tu veux en venir. Il n'y a pas de rapport entre la jeunesse et la production de lait maternel). Des yeux de braise, une croupe de cheval furieux et deux missiles sol-air prêts à la mise à feu. Elle invente sans cesse de nouveaux jeux érotiques. Elle enlève sa culotte, découvrant une croupe de cheval furieux (m'est avis qu'avec la culotte on la devinait). Elle enlève sont (son) soutien-gorge, libérant deux missiles sol-air (la répétition c'est bien quand elle utilisée avec parcimonie) prêts à la mise à feu. Mais où va-t-elle chercher toutes ses idées ? Elle prend de la drogue ou quoi ? Avons fait gai luron et belle lurette, avons fait Lucky Luck et Jolly Jumper, avons fait Lareul et Hardy sur la table et avons fait Tristan et Yseult sous la douche.
Cette vie de cheval emballé inflige à l'âme des tourments que seul le cocon familial sait apaiser. Ma femme et son regard lumineux qui inonde mon cœur... Dans la vie, il faut s'appuyer sur quelque chose de solide. Ma femme est l'épaule et je suis la tête. A (À) la maison c'est elle qui porte la culotte et c'est moi qui mets la main dedans. D'ailleurs, si ma femme ne portait pas la culotte, je ne mettrais pas les mains dedans. Le désespoir, disait Chateaubriand, c'est une culotte vide. À quoi bon mettre les mains dans le désespoir ?
Parfois, un effroi fugace me glace. Si ma femme n'était plus là aux retours de mes voyages, je crois que je me pendrais. C'est un sentiment des cœurs usés. Quand on est jeune, on ne se pend pas aussi facilement. Si tu es mineur et tu veux te pendre, il te faut la corde de tes parents.
Quand je broie du noir, pour dissiper l'angoisse, je vais voir Rigoberta. Elle m'a confié sa clef et est experte en amitié, elle consolerait un éléphant. À notre première rencontre, après les civilités d'usage, Rigoberta avait disparu, me laissant seul dans le grand salon. En parcourant la maison, l'esprit inquiet, j'ai trouvé Rigoberta dans la salle de bains, le regard étrange, les yeux fixés sur ma personne (il entre dans la pièce et elle le regarde déjà ? le sens de la phrase est très bancal. Tu devrais insister sur le fait qu'elle l'attendait plutôt). Soudain, elle a fait jaillir de son peignoir sa poitrine insolente. Son corps ondulé perlait de gouttes. Mes mains ont pianoté sur sa peau une symphonie de Claude François et je lui ai fait crier mon nom. Puis elle s'est enfuie à travers l'orage. Les peupliers sifflaient et gémissaient. La lande hurlait. La chaussette de l'aéroport était à l'horizontale.
De retour chez moi. Rude journée ! Il va falloir que je songe à m'assagir. (les phrases sont trop hachées ici) M'habituer à la vieillesse et à la solitude, tout doucement fuir le tumulte. Devenir léger. Sans désir. Accepter le vide. Faire l'amour au néant. Des phrases courtes. Un rythme nerveux. Être un fantôme. Hors du réel. Se détacher du commerce et des passions. Ôter le bonnet de sa conscience. Enlever les habits de sa compréhension. Être la durée nue. Être l'ami du rien. Le complice de l'absence. Pouffer avec le désespoir. Ne pas se résigner au vide, mais l'accueillir bras ouverts. Comme un présent. Une récompense. Un désert de joie. Car la réponse doit être la vie. Sinon, c'est la porte ouverte à la mort. C'est la laisser s'installer chez soi. C'est lui dire : " (mauvaise utilisation de la typographie : on use d'abord des guillemets français (« et ») avant ceux des anglais) vas-y assieds, (la virgule est en trop j'imagine, par ailleurs, c'est un trait d'union qu'il faut mettre) toi dans mon canapé. Tiens, sers-moi un cognac. Tu pourrais me masser les pieds ? Aaaaaah oui, c'est booooon... (espace) oh c'que c'est bon..."
Et puis allez, encore un coup chez Gertruda. Un dernier pour la route vers le pas-grand-chose. Gaie, fraîche, souriante, impertinente, Gertruda ravit le cœur des hommes mûrs.
Ses parents ne sont pas là.
Partie 2
" (guillemets français) Vincent Bidalère, âge incertain, poids incertain. De nature très "grognon" (je suis sûr que tu peux utiliser un adjectif plus soutenu que celui-ci), il n'a de cesse que de déblatérer d'infâme horreur aux gens qui le lui sont proches. Immonde me dites-vous ? Non, c'est ça façon de montrer toute son affection à une personne. Pas la peine de chercher, ni même de prendre un peu de recul pour essayer de comprendre, c'est inutile : vous ne pouvez trouver aucune logique au raisonnement de Vincent. Mais ne jugeons pas l'injugeable, profitons pleinement de se curieux personnage qui, et cela va sans dire, me divertit au plus haut point."
Allez hop, au boulot. Tiens la bonne Gertrude, toujours attablée dehors le dimanche, sous sa grande terrasse en bois. Quelques pas plus loin, paf, voilà Michel, le boucher qui profite de son seul jour de repos. Un sacré chaud lapin celui-là ! L'autre coup, je m'en allais faire les courses quand je l'ai vu essayé de draguer Vanessa à la caisse de la supérette :
* Round One
* Fight !
- C'est incroyable Thierry, Vincent s'élance à vive allure sur son adversaire qui lui tourne le dos ! - Tout à fait Robert, j'ai l'impression que (il manque un mot, un "va" je suppose, du coup il y a une répétition) ça lui faire tout drôle quand il va se retourner. - Je pense que c'est une feinte et je... (espace) OH MON DIEU, NON ! VINCENT VIENS DE LUI DÉCROCHER UNE DROITE DU TONNERRE DE DIEU, J'AI L'IMPRESSION QUE MICHEL NE SE RELÈVERA PAS ! - Je vois mal sur la caméra, mais je crois que le nez de Michel touche sa joue, l'arbitre est en train de regarder et... (espace) C'EST FINI, L'ARBITRE MET FIN AU COMBAT !
Et si... (espace) ?
Je ne suis pas venu déguiser en feuille de chou pour me faire bouffer le cul par des lapins ! Non mais et puis quoi encore ? La prochaine fois, il aura qu'à me demander... J'aurais sûrement dit oui, après tout si un quintuple menton l'excite tant mieux !
Au même moment, dans le cerveau de Vincent :
Folie. Non, je suis simplement décalé. Idiotie. Non, je suis simplement mal instruit. Méchanceté. Non, je suis simplement franc du collier. Paresse. Non, je... (espace) Ouah ! Quelle belle paire de...
Je ne l'avais jamais vu celle-là. Je la siffle pour quelle se retourne. Échec total. Je me décide à ("de la suivre" serait plus joli) la suivre, histoire d'en savoir plus sur la charmante demoiselle. Simple curiosité de Damoiseau (pourquoi une majuscule ?). Chanel numéro cinq, je le reconnaîtrais même après avoir respiré un million d'autres parfums. Vanessa ne s'est parfumée qu'avec ça pendant nos vingt-sept années de vies communes.
Chevelure blonde ==> Conforme à la norme Taille, un mètre quatre-vingts ==> Limite, mais conforme aux exigences du client Poitrine, quatre-vingt-cinq D ==> Produit pesé main, conforme aux attentes Talons, quinze centimètres ==> Produit aussi long que ma... (espace) Hum ! Conforme.
Je vais tenter de la faire se retourner, vite, un caillou. Je lui lance, ça y'est (y est) elle se retourne. JE RÊVE ?! SUIS-JE MAUDIT ?! Du calme, un peu de concentration, de réflexion, d'attention et tout se qui rime en "ion". Il faut souffler, zen attitude. Non, je ne peux pas, il faut que j'aille vérifier. Tiens Rigoberta, je vais aller voir de plus près si... (espace) AH MON DIEU ! C'EST UN CAUCHEMAR ATROCE, ELLE AUSSI ! Courir. Vite. Loin. Je suis fini, partout ou je vais les femmes souffrent du même mal, les hommes ne semblent pas affectés par le virus. Toutes les femmes de mes désirs portent le menton de ma femme qui me répugne tant ! Ma femme ! C'est ma femme qui est à l'origine de tout ça, je dois faire quelque chose. Arrivé chez moi, je la trouve en train de passer le balai. Fourche en main, je lui dis que je l'avais prévenu, que sont (son) quintuple menton était une horreur quelle devait supprimer. Elle me demande de me calmer et je lui rétorque qu'il est trop tard. Je lui enfonce la fourche dans le ventre, assoiffé de sang. Vilaine, ça t'apprendra à refiler ton menton à tout le monde. Un petit coup d'œil par la fenêtre et... (espace) Rigoberta qui passe, le menton à (a) disparu, quel bonheur ! Je suis débarrassé de Vanessa et de ces foutus mentons.
Bip bip bip
Foutu réveil, je ne l'avais pourtant pas programmé hier soir. Vanessa ronfle comme un bébé, je lui raconterais mon merveilleux rêve une fois quelle sera réveillée. Bon, un petit café, un morceau de brie et un verre de jus de pomme. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir me mettre aujourd'hui ? Je prends les premières affaires qui me viennent sous la main et j'emmerde le monde. Je ne suis pas venu ici pour sucer des glaçons ! J'enfile le tout, j'ouvre les volets et... PUTAIN DE BORDEL DE DIEU ! CE N'ETAIT PAS UN RÊVE !
- Citation :
À suivre " (guillemets français) Précédemment dans les aventures de Vincent Bidalère : après avoir, comme à sont (son) habitude, déblatéré d'horribles propos à l'égard des gens qui l'entoure, Monsieur Bidalère pense être dans un rêve ou (où) toutes les femmes ont un quintuple menton. Fou de rage, il part assassiner son épouse à coups de fourche, l'accusant du mal que subissent toutes les femmes de ce monde. Après une nuit de sommeil, il constate, le lendemain matin, que tout ceci était bel et bien réel. Continuons à profiter pleinement de se curieux personnage qui, et cela va sans dire, me divertit au plus haut point. C'était Axel Anders en direct du Vésuve, à vous les studios"
Merde, ma femme ne ronfle pas, elle est en train d'agoniser ! Qu'est-ce que j'ai fait bordel de merde ? Je suis vraiment un pauvre type, je ne mérite pas votre pitié mon seigneur, quel idiot j'ai étais (été). J'ai planté ma femme sans même réfléchir à comment cacher le cadavre, je suis impardonnable. Oh ! Et puis je ne vais pas me faire chier pour cette grognasse. Faisons comme si de rien était, et allons-nous promener.
Un p'tit bonjour à madame Perez, sans regarder sont (son) menton et... (espace) AH QUADRUPLE MENTON ! Chut, du calme, il ne faut pas attirer l'attention. Avançons, l'air de rien, je suis peut-être simplement un peu surmené, je devrais prendre un petit pastis au " (guillemets français) bistrot du pays", ça ira mieux ensuite. L'air est bizarrement frais, j'ai l'impression d'être en Alaska, quel merdier ! Tiens, c'est quoi ce truc qui brille derrière l'arbre. (point d'interrogation) Oh putain d'merde ! Une pièce de deux euros. Viens dans ma poche petite coquine, je vais te... (espace) AHHHHH !
Et si...?
Ah ! Mon crâne, j'ai l'impression qu'un troupeau de vaches et (est) venu m'éclater la gueule. Où suis-je ? Il y a quelqu'un ou quoi ?
- Vincent... (espace) tu es ici, dans la demeure qui est mienne. - Sors de ta cachette branleur, je vais te montrer (montrer quoi ?) ! - Il n'est pas bon de pêcher en ma présence mon fils. Je suis celui qui est, le tout et le rien, la vie et la mort. - Bordel, arrête de jouer avec mes couilles et montre toi ordu... - SILENCE ! TU AS TROP SOUVENT FAIS LE MAL AUTOUR DE TOI VINCENT, JE DOIS TE PUNIR POUR TE RAMENER A (À) LA RAISON ET... - Mais il va la fermer sa grande gueule ! Tu es qui pour me parler sur ce ton ? Montre-toi ! - Je suis le Père, créateur du ciel et de la Terre. Je suis Dieu, Vincent. C'est moi qui suis la source de ton malheur. Sache qu'aucune femme ne sera redevenue comme avant tant que tu n'auras pas changé. - Oh mon Dieu ! Vous ne pouvez pas m'infliger telles souffrances, laissez-moi une chance, (virgule) mon p'tit Père. - Tes blasphèmes vont te coûter très cher. Mais je suis généreux, et t'offre une chance de te racheter - Oui, (virgule) mon p'tit Père, tout ce que vous voudrez - Je te condamne à devoir accomplir douze travaux. Si tu échoues à un seul d'entre eux, tu seras condamné à vivre dans un monde ou (où) tout ce qui te fait souffrir sera, jusqu'à la fin des temps. Et je sais d'avance que tu échoueras. - Et si je réussis ? - Tu pourras continuer à vivre comme bon te semble, sans te soucier d'aller en Enfer, sans devoir me craindre. Mais sache que (qu'une) telle chose n'arrivera pas. Le premier de tes travaux sera de rendre ta femme la plus heureuse de toutes. La moindre méchanceté, le moindre petit soupçon de tristesse ou de colère, et ce sera la fin de ta vie telle que tu la connais. HAHAHA...
L'enculé, il m'a pris au piège. Comment j'vais faire pour la rendre heureuse, j'ai jamais fait un truc pareil moi. Non mais je ne le crois pas, quel con ce Dieu. Ma femme est en train de crever, quel débile. Je ne vais pas trop en chier pour la rendre heureuse. Allez, je vais rentrer à la maison et regarder un p'tit épisode de Louis la Brocante avec le cadavre de ma femme, on sera heureux tout (tous) les deux. Quelle aventure mon vieux Vincent, tu as dû abusé (abuser) de la bouteille, j'te jure. Pourquoi Dieu viendrait-il parler à un cinglé comme toi. Quelle vie... JE RÊVE ?! C'EST UN CAUCHEMAR ? JE SUIS EN ENFER ! MA FEMME EST LA ("LÀ"), EN TRAIN DE PRENDRE LE JOURNAL SUR LE PAS DE PORTE. Ma tête, elle tourne... Je vois trouble... C'est beau...
- Citation :
À suivre La réponse – ou du moins ma réponse – à ta question est : oui. Je trouve le style lourd et le cheminement de l'intrigue difficile à suivre, mais le comportement lourdaud du personnage n'est pas gênant. | |
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