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 Sb..., devoir n°3 [Aillas]

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Tangi

Tangi


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MessageSujet: Sb..., devoir n°3 [Aillas]   Sb..., devoir n°3 [Aillas] Icon_minitimeVen 22 Fév - 1:08

Sujet de devoir N°3, Classé Niveau 4==> Modeste
Il est demandé dans ce devoir de commenter le sujet, il est important de sortir un aspect nouveau, voire humoristique. Il est attendu au minimum une page et demi de traitement de texte standard. Il est conseillé d'aérer convenablement le texte et d'en dégager un narrateur qui soit intéressant et loquace.
Thème à développer: Tabac.





Le tabac
L'amour du pauvre





Le tabac est une plante originaire d'Amérique. Les feuilles de tabac sont séchées et finement hachées, fermentées, mélangées à des arômes qui vont en personnaliser le gout, puis consommées sous forme de cigarettes, cigares ou tabac pour pipes ou à rouler, les formes de conditionnement ne manque pas.
Le tabac est riche d'une substance psychoactive, la nicotine, et il contient plus de 5000 composants gazeux, liquides ou solides dont la plupart sont nocifs, dans une bouffée de tabac on trouve pêle-mêle:


- du Polonium 210. (Fumeur = Agent du Kgb?)

- de l'acide Cyanhydrique, anciennement utilisé dans les chambres a gaz (Fumeur = SS?)

- du monoxyde de carbone, un gaz d'échappement (Fumeur = Polleur?)

- de l'arsenic, un poison violent. (Fumeur = Dangereux dépressif?)


Je vous épargne les insecticides, les dissolvants, les solvant industrielle et autres détergent ainsi que les carburant pour fusée ou produit pour batterie et l'ensemble des produits rentrant dans la fabrication du goudron.


Si la nicotine est responsable de l'accoutumance, ce sont les goudrons qui tuent à petits feux.
Fumer est aujourd'hui tellement inscrit dans notre culture qu'il parait inconvenant de rappeler que le tabac tue actuellement plus de monde que toutes les autres drogues réunies, y compris l'alcool, l'héroïne et la cocaïne.


Nous les derniers résistant de la sainte Cigarette, nous le savons plus que tout, nous entendons sa à longueur de journée, du matin jusqu'au soir toujours la même rengaine, toutes les heures, toujours et toujours la même litanie. Et à la première bouffé je vois les Antis nous passer a tabac. On sait que sa nous tuera, on le sait, on le lit bien assez tout les matin sur notre paquet dans toutes les langues possible et imaginable: « Fumuar, pueder marta »

L'incompréhension est aujourd'hui a son paroxysme.

Nous les fumeurs, nous ne sommes pas les dangereux fous inconscient qu'on voudrais que l'on soit. Nous ne somme juste des amoureux, des poètes moderne, des romantiques déchus, amoureux d'une petite blonde, qui nous fume et nous consume lentement a petit feu. Elle nous pénètre au plus profond de notre être, laissant dans nos entrailles sa marque, son passage, ses bienfaits et ses vices et ses vertus.


Au premier baiser, a la première bouffé on en ressent ses effets, elle nous caresse, intimement elle nous fait le plus grand bien. Ce n'est ni sa beauté ni sont prix qui nous intéresse, c'est un objet banal, quotidien, à peine décoratif, a peine utile, voir inintéressant. Comment sa a commencé? A vrai dire par hasard, grâce à un amis, une soirée ou par négligence, notre première fois. Un vrai coup de foudre cette première fois, maintenant elle est bien planqué au fond de notre poche, sa présence nous réconforte, nous consolide, en cas de besoin elle est toujours présente. Au tout début on n'y prête guère attention, ce n'est pas un objet que nous aimions particulièrement...


Et puis de fil en aiguille, son pouvoir d'attraction a traverser les années, doucement elle nous obnibule, elle fait parti de notre intimité, des objets qu'on ne jetterait et délaisserait pour rien au monde. Elle nous a suivis dans toutes nos histoires, toutes nos pérégrination et l'ensemble de nos péripéties qu'elles soient facile ou compliquer. Jamais au non jamais, devant l'adversité elle ne nous a lâchée, elle est devenu notre meilleur amis. Au fil du temps, la tendresse de l'accoutumance s'est superposer à la chose. Nous avons éprouver envers cette objet presque un culte, en tout cas une reconnaissance légitime pour le seul fait d'avoir persisté et d'avoir subsister avec elle, éternellement lié.
A présent même si nous ne somme guère fétichiste, c'est un chose,une idée, un concept qui nous tiens a cœur. Nous serions fâché, triste, déprimé de nous la voir supprimer. Se serait comme voir le bonheur se défiler à l'horizon. Notre relation etait est et sera durable et finalement rassurante.
Un jour sans doute, quand nous serons terriblement affaiblis, très vieux, malade et mourant, un pieds vers la grande caisse en bois, glissant inexorablement vers un trou sans fin, nous prendrons en main la petite et on s'y accrochera comme si c'était la seul chose qui tienne encore et qui nous permet de ne point sombrer tout entier. Une dernière bouffé pour un vie admirablement bien vécu.



La nature est ainsi:

On ne peut priver Romeo de sa Juliette.


Ne nous priver pas de nos amours.




Je vous lance un appel à vous, membres et confrères des anti-fumeur, je vous demande de fumer...












...le calumé de la paix, enterrons la hache de guerre une bonne fois pour toute, comprenez nous, ayez un minimum d'empathie! Au minimun laissez nous tranquille, on ne vous demande rien.
Je vous en conjure, nous ne sommes pas méchant, juste éperdument amoureux, n'ayez crainte sous nos air aigri nous ne mordons pas.



Je vous laisse, ma petite amie, la blonde m'appelle.
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MessageSujet: Re: Sb..., devoir n°3 [Aillas]   Sb..., devoir n°3 [Aillas] Icon_minitimeVen 14 Mar - 7:41

Citation :
Le tabac
L'amour du pauvre






Le tabac est une plante originaire d'Amérique. Les feuilles de tabac sont séchées et finement hachées, fermentées, mélangées à des arômes qui vont en personnaliser le goût, puis consommées sous forme de cigarettes, cigares ou tabac pour pipes ou à rouler, les formes de conditionnement ne manque pas. (Genre la phrase qui tue tout. Trop longue, ta dernière répartie aurait méritée une nouvelle phrase.)
Le tabac est riche d'une substance psycho active, la nicotine, et il contient plus de 5000 composants gazeux, liquides ou solides dont la plupart sont nocifs. Dans une bouffée de tabac on trouve pêle-mêle:


- du Polonium 210. (Fumeur = Agent du Kgb?)

- de l'acide Cyanhydrique, anciennement utilisé dans les chambres a gaz (Fumeur = SS?)

- du monoxyde de carbone, un gaz d'échappement (Fumeur = Pollueur?)

- de l'arsenic, un poison violent. (Fumeur = Dangereux dépressif?)


Je vous épargne les insecticides, les dissolvants, les solvants industriels et autres détergents ainsi que les carburants pour fusées ou produits pour batteries et l'ensemble des produits rentrant dans la fabrication du goudron.


Si la nicotine est responsable de l'accoutumance, ce sont les goudrons qui tuent à petit feu.
Fumer est aujourd'hui tellement inscrit dans notre culture qu'il parait inconvenant de rappeler que le tabac tue actuellement plus de monde que toutes les autres drogues réunies, y compris l'alcool, l'héroïne et la cocaïne.


Nous, les derniers résistant de la sainte Cigarette, le savons plus que tout, nous entendons ça à longueur de journée, du matin au soir, toujours la même rengaine, toutes les heures, toujours et toujours la même litanie. Et à la première bouffé je vois les Antis nous passer à tabac. On sait que ça nous tuera, on le sait, on le lit bien assez tout les matins sur notre paquet dans toutes les langues possible et imaginable: « Fumuar, pueder marta » (en espagnol ça donne "fumar puede matar")

L'incompréhension est aujourd'hui à son paroxysme.

Nous, les fumeurs, ne sommes pas les dangereux fous inconscients qu'on voudrait que l'on soit. Nous sommes juste des amoureux, des poètes modernes, des romantiques déchus, amoureux d'une petite blonde, qui nous fume et nous consume lentement à petit feu. Elle nous pénètre au plus profond de notre être, laissant dans nos entrailles sa marque, son passage, ses bienfaits, ses vices et ses vertus.


Au premier baiser, a la première bouffée, on en ressent les effets, elle nous caresse, intimement elle nous fait le plus grand bien. Ce n'est ni sa beauté ni sont prix qui nous intéresse, c'est un objet banal, quotidien, à peine décoratif, a peine utile, voir inintéressant. Comment ça a commencé? A vrai dire par hasard, grâce à un ami, une soirée ou par négligence, notre première fois. Un vrai coup de foudre cette première fois, maintenant elle est bien planquée au fond de notre poche, sa présence nous réconforte, nous consolide, en cas de besoin elle est toujours présente. Au tout début on n'y prête guère attention, ce n'est pas un objet que nous aimions particulièrement...


Et puis de fil en aiguille, son pouvoir d'attraction a traversé les années, doucement elle nous obnubile, elle fait partie de notre intimité, des objets qu'on ne jetterait et délaisserait pour rien au monde. Elle nous a suivi dans toutes nos histoires, toutes nos pérégrination et l'ensemble de nos péripéties qu'elles soient facile ou compliquées. Jamais, ô non jamais, devant l'adversité elle ne nous a lâché, elle est devenue notre meilleure amie. Au fil du temps, la tendresse de l'accoutumance s'est superposée à la chose. Nous avons éprouvé envers cet objet presque un culte, en tout cas une reconnaissance légitime pour le seul fait d'avoir persisté et d'avoir subsisté avec elle, éternellement liés.
A présent, même si nous ne sommes guère fétichistes, c'est une chose,une idée, un concept qui nous tient à cœur. Nous serions fâchés, tristes et déprimés de nous la voir confisquée. Ce serait comme voir le bonheur se défiler à l'horizon. Notre relation etait, est et sera durable et finalement rassurante.
Un jour sans doute, quand nous serons terriblement affaiblis, très vieux, malades et mourants, un pied vers la grande caisse en bois, glissant inexorablement vers un trou sans fin, nous prendrons en main la petite et on s'y accrochera comme si c'était la seule chose qui tienne encore et qui nous permet de ne point sombrer tout entier. Une dernière bouffée pour une vie admirablement bien vécue.



La nature est ainsi:

On ne peut priver Romeo de sa Juliette.


Ne nous privez pas de nos amours.



Je vous lance un appel à vous, membres et confrères des anti-fumeurs, je vous demande de fumer...












...le calumet de la paix, enterrons la hache de guerre une bonne fois pour toute, comprenez nous, ayez un minimum d'empathie! Au minimum laissez nous tranquille, on ne vous demande rien.
Je vous en conjure, nous ne sommes pas méchants, juste éperdument amoureux, n'ayez crainte (ici, soit une virgule soit un "car") sous nos airs aigris nous ne mordons pas.



Je vous laisse, ma petite amie, la blonde m'appelle.



Alors, comme je te l'avais dit, ce texte est très bon, maintenant qu'il est corrigé, je t'invite même à le poster dans la bibliothèque, il le mérite. Ton narrateur est comme spécifié dans l'énoncé, piquant et loquace, comme je voulais. Néanmoins, ta fin est moins capiteuse que le début, je vais t'expliquer tout cela en long, en large et, comble de l'extase, en travers!

D'abord, et comme tu auras put le remarquer, c'est la quantité de faute qui est impressionante, je sais que tu n'y peux pas grand chose, mais je vais tout de même essayer de te refiler quelques astuces. Des petites choses qui devraient te permettre de faire moins de fautes.

Bon, je ne sais pas si tu es macho ou quoi mais tu oublies très souvent le "e" de une ou des liaisons féminines. Donc, essai de garder un oeil sur ces mots là, lorsque l'on sait où se trouve les faute son peut les déceler plus facilement.

Ensuite, les participes passés, alors là pas trop difficile, je suis d'accord avec toi, il est souvent difficile de savoir quelle forme donner à son participe ou même savoir s'il faut poser là un participe passé ou un infinitif. Mais, il y a une potion magique, l'herculade, pas chère, je te la vend contre à peine 499 euros. Non sérieusement, voici.


Citation :
Lorsque tu fais ta phrase, si un doute se présente, pense donc à utiliser le verbe "prendre" à la place du verbe que tu voulais enployer. La particularité du verbe "prendre" c'est qu'il n'est pas trop contrariant, lis ta phrase et il se placera exactement comme il faut, s'il est remplacé par "pris" ou "prise" tu sais si c'est masculin ou féminin, si cela reste "prendre" tu sauras que c'est un infinitif! Toussa toussa!

Citation :
Et puis de fil en aiguille, son pouvoir d'attraction a traversé les années, doucement elle nous obnubile, elle fait partie de notre intimité, des objets qu'on ne jetterait et délaisserait pour rien au monde. Elle nous a suivi dans toutes nos histoires, toutes nos pérégrination et l'ensemble de nos péripéties qu'elles soient facile ou compliquées. Jamais, ô non jamais, devant l'adversité elle ne nous a lâché, elle est devenue notre meilleure amie. Au fil du temps, la tendresse de l'accoutumance s'est superposée à la chose. Nous avons éprouvé envers cet objet presque un culte, en tout cas une reconnaissance légitime pour le seul fait d'avoir persisté et d'avoir subsisté avec elle, éternellement liés.

La dernière phrase est farfelue, elle tombe mal et il est difficile d'en comprendre aisément le sens, or, tu nous avais habitué jusqu'ici à un discours convaincant et sans trop de bourdes. En quoi cette reconnaissance est légitime? Parce que tu as subsité et persisté? Bizarre non? Explique le mieux, ça ne tombe malheureusement pas sous le sens.

Citation :
Ce serait comme voir le bonheur se défiler à l'horizon.

Non, non et non. Tu fais un magnifique contre sens, tu indiques par cette phrase que si la cigarette venait à être supprimée ce serait un bonheur. Quel affreux contre sens, non? Attention aux métaphores, oui, mais à user avec parcimonie car sinon c'est le sens qui se fait la malle. Edit: je suis épris d'un énorme doute d'un coup... J'ai du confondre entre se profiler et defiler. Désolé, la précedente remarque ne tiens donc pas. Sinon pour répondre à ta question de MP, oui je veux que tu participes au GOAL Clin d\'Oeil

Voilà, je clos ici cette correction, j'excuse mon retard et reverrais sans doute quelques petites choses avec toi! Clin d\'Oeil
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