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 Ramalok, devoir n°2 [Aillas]

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Ramalok




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MessageSujet: Ramalok, devoir n°2 [Aillas]   Ramalok, devoir n°2 [Aillas] Icon_minitimeMar 26 Fév - 20:56

Citation :
Ramalok/ Etudiant de Aillas

Sujet de devoir N°2, Classé Niveau 5==> Facile
Peu de restriction, un sujet large et un style au choix, taille minimale, une page de traitement de texte standard. Il est attendu une certaine inventivité. Sachant que le but du devoir reste la découverte des connaissances et des failles de l'étudiant.

Thème à développer: Vitraux.




Le soleil était haut quand le vieux moine s’arrêta sur le bord de la route pour souffler un peu et se restaurer. Il portait la tonsure, le peu de cheveux blancs qui lui restait entouraient une large calvitie qui brillait en ce soleil d’été. Une légère brise lui caressa le visage. Il ouvrit son baluchon et avec des gestes sur coupa deux larges tranches de pain et un gros morceaux de fromage. Il mangea tranquillement écoutant le gazouillement des oiseaux.
Repus, il repris son chemin le dos courbé par l’âge. Il le sentait ce lourd poids des âges, sa fin était proche. Dieu allait bientôt le rappeler à lui. Sa vie avait été simple. Entré vers l’âge de dix ans à l’abbaye, il y resta pendant quarante ans puis il voyagea de monastère en monastère. Vivant de la charité des gens. Ses confrères l’accueillaient à bras ouvert. A la fin, c’était tous les petits villages du Nord de la France qui le connaissait.
Puis vint les rhumatismes, il s’essoufflait rapidement, il n’en avait plus pour longtemps, Dieu lui avait parlé en rêve que le moment était venu pour lui de faire un dernier voyage…
Après quelques heures de marche, il arriva en vu du petit village qu’il recherchait et qu’il visitait pour la première fois. Il se situait au bord d’une rivière dans une vallée. Des pêcheurs jetaient leur canne dans les eaux calmes, quelques fois on voyait un saumon sauter ça et là ; les fermiers bêchaient leur terre saluant de la main le petit moine qui leur rendait leur salut. Un imposant clocher surplombait tout le village, l’église était, à sa base, faite de pierre puis en montant on avait mit du mortier et des briques. Alfred se dirigea sans attendre vers l’église. Arrivée au pas de la porte il s’arrêta, ferma les yeux, inspira puis il pénétra dans la maison de Dieu. De suite il s’agenouilla et fit le signe de croix avec l’eau bénite qui se trouvait dans un récipient taillé dans une colonne de pierre. Tout était silencieux, personne. Les bancs s’alignaient sagement sous son regard envoûté qui suivait le grand couloir central sans le voir. Jusqu’à ce que ses yeux se pose sur Le torturé. Là, il tomba à genoux les bras écartés, paumes en l’air. Ses prières résonnaient dans l’église comme les paroles d’un homme essoufflé arrivé au bout de son périple.
Il remarqua avec surprise que sa peau avait changé de couleur entre temps. C’était les rayons du soleil qui traversant les vitraux lui donnaient de telles couleurs de peau. Il se remit sur pied et contempla les plaques de verres ajustées les unes aux autres avec des barres de fer forgées, admirant les scènes et dévisageant les personnages religieux, bouche bée, ému Une petite larme coula doucement le long de sa joue comme une caresse.

-Vous aussi vous les trouvez magnifiques. Dit une voix derrière son dos. Il sursauta et se retourna brusquement. L’homme qui l’avait coupé dans sa contemplation était un prêtre d’une quarantaine d’année portant une bure blanche.

-Vous m’avez fait peur.

-J’en suis fort marri. Voulez vous boire un petit remontant ?

-Non merci, pourriez-vous me dire où je peux trouver celui qui a fabriqué ces magnifiques vitraux ?

-Bien sur. C’est une sorte de « fou » qui ne se passionne que pour sa et pour Dieu. Il vit à la lisière de la forêt à l’ouest du village.
Ils parlèrent de ce « fou » et des vitraux qu’il produisait. Voyant l’heure passé il

-Merci pour votre chaleureux accueil. Je vais prendre une chambre puis j’irais voir ce monsieur. Vous ne connaissez pas une auberge où je pourrais m’arrêter ?

-Si, il y en a une très bonne au centre du village, elle se nomme « Les devoirs n’attendent pas ».

-Quel nom.

-Je ne vous le fais pas dire. Dit le prêtre en souriant.

-A bientôt et bonne fin de journée.

Le petit moine sorti, il trouva facilement la fameuse l’auberge. A chaque fenêtre des pots de fleurs, le lierre montait sur les murs du bâtiment, des buissons bien taillés entouraient la porte. Avant de pénétrer dans la bâtisse, une scène attira son œil. Un précepteur chauve armé d’une règle en bois courait en vociférant après ses élèves. Amusé, il rigola gentiment puis il entra.
Une fois sa chambre prête, il se mit en route pour la maison de l’illuminé.
Le soir était tombé vite. Il pressait le pas pour atteindre la maison avant qu’il ne fasse complètement noir. On pouvait voir à côté de la bâtisse une forge et tout autour des tas de verre biscornus sans doute raté et des piles de fer forgé tordu. L’homme de Dieu toqua à la porte et c’est une voix bourrue qui lui répondit :

-Qui est là ?

-Je suis un moine de passage et je viens admirer vos beaux vitraux.

-Pas idée de venir à une heure pareille. Sacrédidyou !

-Excusez moi mais je ne pouvais attendre, j’étais trop excité.

-Entrez.

L’intérieure étais un vrai capharnaüm de verres multicolores. Il y avait des vitraux partout et de toutes tailles, laissant peu de place pour la vie.

-C’est magnifique mon frère ! Vous faite du très joli travail. Votre art n’a pas d’égal dans tout le pays. Avez-vous une pièce maîtresse ?

-Normalement je ne la montre à personne car elle est … comment dire … spéciale mais vous me semblez être au bout du rouleau. Suivez moi.

Ils pénétrèrent dans une petite pièce. Le vitrail qui était accroché au plafond était époustouflant. Le « fou » l’avait incrusté dans le toit pour que le sol soit illuminé d’une multitude de couleurs. Le vitrail représentait Dieu avec les mains ouvertes et ayant une grande auréole autour de la tête. La lune éclaira l’auréole qui éclaira elle-même le petit moine tremblotant, au centre de la pièce, devant une telle beauté. Ses jambes ne tenaient plus et son cœur non plus. Il s’effondra sur le sol et ses derniers mots furent :

-Merci mon frère.

Le fou qui était resté en retrait murmura :
-De rien mon fils. Maintenant repose en paix.
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Aillas
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MessageSujet: Re: Ramalok, devoir n°2 [Aillas]   Ramalok, devoir n°2 [Aillas] Icon_minitimeMar 18 Mar - 18:27

Ramalok a écrit:
Citation :
Ramalok/ Etudiant de Aillas

Sujet de devoir N°2, Classé Niveau 5==> Facile
Peu de restriction, un sujet large et un style au choix, taille minimale, une page de traitement de texte standard. Il est attendu une certaine inventivité. Sachant que le but du devoir reste la découverte des connaissances et des failles de l'étudiant.

Thème à développer: Vitraux.




Le soleil était haut quand le vieux moine s’arrêta sur le bord de la route pour souffler un peu et se restaurer. Il portait la tonsure, le peu de cheveux blancs qui lui restait entouraient une large calvitie qui brillait en ce soleil d’été (Entre calvitie et tonsure j'ai bien peur qu'il ne faille choisir...). Une légère brise lui caressa le visage. Il ouvrit son baluchon et avec des gestes sûrs, il coupa deux larges tranches de pain et un gros morceau de fromage. Il mangea tranquillement, écoutant le gazouillement des oiseaux.
Repus, il repris son chemin, le dos courbé par l’âge. Il le sentait, ("le" me parait assez lourd justement, pour ajouter en légèreté, je t'ai ajouté une virgule. Mais on reparlera des virgules plus atrd mon cochon.) ce lourd poids de l'âge, sa fin était proche et Dieu allait bientôt le rappeler à lui. Sa vie avait été simple. Entré vers l’âge de dix ans à l’abbaye, il était resté pendant quarante ans puis il avait voyagé de monastère en monastère. Vivant de la charité des gens. Ses confrères l’accueillaient à bras ouvert. A la fin, (le "c'étaient" est à prohiber! C'est un langage parlé!) tous les petits villages du Nord de la France qui le connaissait. (Tu remarqueras que j'ai remplacé tes passés simples par des plus que parfait (enfin je crois), et il y a une bonne raison à cela. Pour parler du passé tu as ouverts une sorte de parenthèse, aussi, imagine comme un voile sépia ou noir et blanc sur la scène qu'imaginera le lecteur (comme dans les films quoi) et tu comprendras qu'il faut lui montrer ça sans brusquerie, d'un ton légèrement monocorde et passif, l'imparfait et le plus que parfait sont supers pour ça. Alors que le passé simple sert surtout à parler des actions ou à donner un rythme plus fort.)

Puis virent (Passé simple pour signifier un fait soudain) les rhumatismes, il s’essouffla rapidement. Il n’en avait plus pour longtemps, Dieu lui avait dit en rêve que le moment était venu (Pas besoin de "pour lui" ici car lui utilise déjà "lui" plus avant) de faire un dernier voyage…
Après quelques heures de marche, il arriva en vue du petit village qu’il cherchait et qu’il voyait pour la première fois. Il se situait au bord d’une rivière dans une vallée. Des pêcheurs jetaient leurs cannes dans les eaux calmes (ah bon? leurs lignes plutôt?), quelques fois on voyait un saumon sauter ça et là ; les fermiers bêchaient leur terre saluant de la main le petit moine ("qui leur rendait leur salut" inutile, ajoute plutôt "qui passait" pour redonner une impression de mouvement.). Un imposant clocher surplombait tout le village, l’église était, à sa base, faite de pierre puis en montant on avait mit du mortier et des briques. Alfred (c'est son petit nom? Tu pourrais le faire venir d'une autre façon pour faciliter la compréhension.) se dirigea sans attendre vers l’église. Arrivé au pas de la porte il s’arrêta, ferma les yeux et inspira, (ici les virgules servent à placer tes "didascalies") puis il pénétra dans la maison de Dieu. De suite il s’agenouilla et fit le signe de croix avec l’eau bénite qui se trouvait dans un récipient taillé dans une colonne de pierre. Tout était silencieux, personne. Les bancs s’alignaient sagement sous son regard envoûté qui suivait le grand couloir central sans le voir. Jusqu’à ce que ses yeux se posent sur Le torturé. Là, il tomba à genoux (Hum... il est déjà à genoux...) les bras écartés, paumes en l’air. Ses prières résonnèrent (j'ai remplacé l'imparfait par un passé simple car tu n'as pas encore énoncé qu'il priait, de plus, cela donne un peu de grandeu à cette phrase qui se veut éloquente) dans l’église comme les paroles d’un homme essoufflé arrivé au bout de son périple.

Il remarqua avec surprise que sa peau avait changé de couleur entre temps. C’était les rayons du soleil qui, traversant les vitraux, (les explications de ce style, qui coupent les phrases, se situent entre virgules. Regarde la construction de ma phrase.) lui donnaient de telles couleurs de peau. Il se remit sur pied et contempla les plaques de verre (Il n'y a pas plusieurs verres différents, mais un verre qui constitue tous les vitraux.) ajustées les unes aux autres avec des barres (Pas des barres, trouve un autre mot moins vulgaire) de fer forgé (ici c'est fer forgé et non barres forgées), admirant les scènes et dévisageant les personnages religieux, bouche bée. Emu, une petite larme coula doucement le long de sa joue comme une caresse.

-Vous aussi vous les trouvez magnifiques. Dit une voix derrière son dos. Il sursauta et se retourna brusquement. L’homme qui l’avait coupé dans sa contemplation était un prêtre d’une quarantaine d’années portant une bure blanche.

-Vous m’avez fait peur.

-J’en suis fort marri. Voulez vous boire un petit remontant ?

-Non merci, pourriez-vous me dire où je peux trouver celui qui a fabriqué ces magnifiques vitraux ?

-Bien sur. C’est une sorte de « fou » qui ne se passionne que pour ça et pour Dieu. Il vit à la lisière de la forêt à l’ouest du village.
Ils parlèrent de ce « fou » et des vitraux qu’il produisait. Voyant l’heure passer il (Petit raté?)

-Merci pour votre chaleureux accueil. Je vais prendre une chambre puis j’irais voir ce monsieur. Vous ne connaissez pas une auberge où je pourrais m’arrêter ?

-Si, il y en a une très bonne au centre du village, elle se nomme « Les devoirs n’attendent pas ».

-Quel nom.

-Je ne vous le fais pas dire. Dit le prêtre en souriant.

-A bientôt et bonne fin de journée.

Le petit moine sorti, il trouva facilement la fameuse l’auberge. A chaque fenêtre "il y avait" (tu ne peux laisser ce bout de phrase en nominatif) des pots de fleurs, le lierre montait sur les murs du bâtiment, des buissons bien taillés entouraient la porte. Avant de pénétrer dans la bâtisse, une scène attira son œil. Un précepteur chauve armé d’une règle en bois courait en vociférant après ses élèves. Amusé, il rigola gentiment puis il entra.
Une fois sa chambre prête, il se mit en route pour la maison de l’illuminé.
Le soir était tombé vite. Il pressa le pas pour atteindre la maison avant qu’il ne fasse complètement noir. On pouvait voir à côté de la bâtisse une forge et tout autour des tas de verre biscornus, sans doute des ratés, et des piles de fer forgé tordu (Peux-tu m'expliquer comment faire une pile avec du fer forgé tordu? C'est impossible, alors trouve un autre synonyme de "tas"). L’homme de Dieu toqua à la porte et c’est une voix bourrue qui lui répondit :

-Qui est là ?

-Je suis un moine de passage et je viens admirer vos beaux vitraux.

-Pas idée de venir à une heure pareille. Sacrédidyou !

-Excusez moi mais je ne pouvais attendre, j’étais trop excité.

-Entrez.

L’intérieur était un vrai capharnaüm de verres multicolores. Il y avait des vitraux partout et de toutes tailles, laissant peu de place pour la vie "quotidienne" (ce n'est ici bien sûr qu'une proposition).

-C’est magnifique mon frère ! Vous faites du très beau (joli est connoté "gai" et "enfantin", aussi il n'a pas sa place ni dans cette phrase, ni dans le vocabulaire du prêtre) travail. Votre art n’a pas d’égal dans tout le pays. Avez-vous une pièce maîtresse ?

-Normalement je ne la montre à personne car elle est … comment dire … spéciale mais vous me semblez être au bout du rouleau. Suivez-moi.

Ils pénétrèrent dans une petite pièce. Le vitrail qui était accroché au plafond était époustouflant. Le « fou » l’avait incrusté dans le toit pour que le sol soit illuminé d’une multitude de couleurs. Le vitrail représentait Dieu avec les mains ouvertes et ayant une grande auréole autour de la tête. La lune éclaira l’auréole qui éclaira elle-même le petit moine tremblotant, au centre de la pièce, (Cette annotation est inutile voire gênante, tu casses la beauté de la scène en ajoutant une précision malheureuse) devant une telle beauté. Ses jambes ne tinrent plus et son cœur céda. Il s’effondra sur le sol et ses derniers mots furent :

-Merci mon frère.

Le fou qui était resté en retrait murmura :
-De rien mon fils. Maintenant repose en paix.


Hum... Génial, tu as vraiment du talent. Lorsque je propose des mots-sujets à mes élèves, j'attends toujours qu'ils en saisissent l'opportunité de m'éblouir en racontant une histoire originale à défaut d'être parfaite.

Or, dans ton texte, il existe quelques maladresses, des fautes de style ou des zones légèrement floues qui sont dûes à ton manque d'expérience, mais le rendu est fantastique. Ce texte est bien plus qu'un devoir à mes yeux, aussi, une partie de ton nouveau devoir consiste à le parfaire au mieux pour ensuite le poster dans la bibliothèque. J'ai mis le temps pour corriger, et pour cause, j'y ai encore passé ds heures. Mais je ne suis pas du tout déçu et de loin. Heureux

Je passe maintenant aux conseils. D'abord, l'utilisation des virgule est un peu à désirer. Aussi, voici quelques indices.

Utilisation de la virgule en tant qu'annotation: La plupart des littéraires fonctionnent un peu comme des metteurs en scène, aussi ils ont besoin de donner des indications à certains moment du texte sans que cela n'en gêne la lecture. Aussi, il est demandé de placer ces annotations entre virgules. ex: Aillas, dans sa splendeur, te corrige.

Utilisation de la virgule pour donner un souffle: Le lecteur est un humain, il ne faut pas l'oublier. Et la lecture, est toujours faite à voix haute, car lorsque nous lisons sans faire de bruit, nous interprêtons les lettres pour donner des "sons" virtuels dans nos esprits. Aussi, lorsque l'auteur crée des phrases trop longues ou mal coupées, le lecteur s'essoufle et doit créer lui-même ce souffle. Ce qui casse la phrase. Donc dès que tu vois un moment pour placer un souffle, entre deux actions par exemple, place le donc.

Utilisation de la virgule pour une liste: Lorsque l'auteur formule un étalage d'objets, d'adjectifs ou autres, il est obligé d'user de la virgule. Cependant, attention, il faut lier les deux derniers membres de la liste par "et" ou "ou", ou ajouter ", etc." à la fin.

Il doit en exister d'autres mais ce sont celles-là qui te seront utiles pour le moment.

Autre point, le passé simple et l'imparfait... Tu as une tendance exaspérante à remplacer l'un par l'autre et inversement...

Passé simple: Sert à noter une action passée dans un récit. Usé pour formuler un fait soudain ou sur lequel il faut attirer l'attention du lecteur.

Imparfait: Sert à noter une action passée. Usé pour formuler un fait générique, qui ne trouble pas le récit ou qui n'amène pas de sursaut de lecture. Il est considéré comme "monocorde" et permet les appartés (flashbacks, descriptions, etc.).

Ne pas confondre, "Parler" et "dire que". "Parler" n'indique pas ce qu'il s'est dit et ne permet pas de le dire. "Dire que" est forcément suivi des paroles rapportées.

Enfin, Petit problème:

Citation :
Il se situait au bord d’une rivière dans une vallée.

Change moi ça au mieux, cette phrase est insipide.


Toussa toussa, j'espere avoir corrigé au mieux et t'avoir guidé. Je suis content de ta performance. :heart:
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